Val-d'Or

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Modèle:Infobox Municipalité du Canada Val-d'Or est une ville industrielle et minière de l'ouest du Québec située dans la municipalité régionale de comté de La Vallée-de-l'Or, en Abitibi-Témiscamingue<ref>Répertoire des municipalités : Ville de Val-d'Or (La Vallée-de-l'Or) sur le site des Affaires municipales, régions et occupation du territoire.</ref>. De par sa population de Modèle:Unité, elle constitue la deuxième plus grande ville de la région.

Son nom rappelle la présence d'or dans son sous-sol<ref>Toponymie : Val-d'Or</ref>. Le toponyme algonquin de la ville est Ozawaconia Odena<ref>« L'homme de Neawigak : et autres histoires algonquine » de Joseph 'Josie' Mathias, Modèle:ISBN. Fiche sur le site de la Modèle:Lien brisé</ref>.

Géographie

Modèle:Carte interactive MRC

Situation et territoire

Val-d'Or est située à 525 km au nord-ouest de Montréal et à 417 km au nord-ouest d'Ottawa, notamment délimitée par la Réserve faunique La Vérendrye. Elle est située au 48° 06′ de latitude nord et à 77° 47′ de longitude ouest, au nord-ouest du Québec. La ville s'étend sur Modèle:Unité.

Municipalités limitrophes

Climat

Val-d'Or bénéficie d'un climat continental froid et relativement sec. En hiver, les températures minimales sont voisines de Modèle:Tmp, tandis qu'en été, les maximales avoisinent Modèle:Tmp. Les records de chaleur et de froid s'établissent respectivement à Modèle:Tmp (Modèle:Date-) et Modèle:Tmp (Modèle:Date-). Les chutes de neige sont abondantes. La hauteur annuelle de neige est de Modèle:Unité avec un maximum de Modèle:Unité en décembre. L'été est la saison la plus arrosée avec un maximum des précipitations de Modèle:Unité en septembre.

Modèle:Relevé météo

Histoire

Carte postale de Val d'Or.
Carte postale de Val-d'Or datant des années 1930.

Les débuts

Comptant parmi l'un des plus riches sous-sols du Québec renfermant des minerais d'or, de zinc, de plomb de cuivre et d'argent, la ville de Val-d'Or est créée à la fin des années 1930 à la faveur principalement du développement des mines d'or de la région, d'abord découvertes aux alentours des lacs De Montigny et Blouin<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. La ville détient par ailleurs son nom du dérivé de l'expression « vallée de l'or », du fait que les personnes s'étant établies à cet endroit l'ont fait pour l'or qui s'y trouvait.

C'est au nord de la ville, sur les berges du lac De Montigny que la première mine d'or de l'Abitibi, la Sullivan Consolidated, est fondée en 1911<ref name=":0" />. Celle-ci entre en exploitation en 1931, et avec les mines Sigma et Lamaque qui entrent également en exploitation en 1934, la Reine de la vallée de l'or, reconnue comme le Klondike du nord-ouest du Québec, commence son développement de ville-champignon.

L'urbanisation

L'urbanisation de la ville débute de manière plus marquée, et de manière chaotique, durant les années 1930. De plus en plus de commerces de services, tels que restaurants, hôtels et magasins, sont bâtis dans la ville, résultat d'une plus forte population. Les matériaux de construction sont apportés par voie fluviale depuis Amos jusqu'au lac Blouin, transitant par la rivière Harricana<ref name=":0" />.

Le Modèle:Date-, à la suite de la demande d'hommes d'affaires de la ville, la ville obtient le statut de municipalité de village, pour ensuite obtenir celui de ville, le Modèle:Date-. Val-d'Or est raccordée au système téléphonique depuis 1934, est électrifiée depuis 1935 et l'est complètement depuis Modèle:Date-. Quant aux postes, elles débutent en 1935. Bien que des policiers sont présents à Val-d'Or depuis les années 1930, le premier poste permanent de la Sûreté du Québec est érigé en 1953. Un premier palais de justice est construit dans la ville en Modèle:Date-, alors que l'actuel l'est en 1967<ref name=":0" />.

Fichier:Rue Centrale Val Or.jpg
La Modèle:3e Avenue à Val-d'Or en 1959.

Avec une population de plus en plus importante, des infrastructures publiques sont construites à Val-d'Or, dont un aéroport en 1949, un hôpital en 1950, un aréna et une bibliothèque en 1951, le conservatoire de musique de Val-d'Or en 1964, un centre culturel en 1967 et une polyvalente en 1971<ref name=":0" />. Quant à l'aéroport, un terrain au sud de la ville est défriché par Lucien Lévesque en vue d'aménager une piste d’atterrissage. Il accueille ses premiers avions commerciaux en Modèle:Date- et la Défense nationale y aménage un camp pour ses forces aériennes, y établissant de fait même une base militaire en 1954. Celle-ci fut désaffectée en 1976 et finalement réaménagée vers un usage uniquement civil par Transports Canada<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La période contemporaine

En 1968, la ville de Bourlamaque, située à l'est de Val-d'Or et fondée en 1933, et la municipalité de Lac-Lemoine, située à l'ouest et fondée en 1958, sont annexées à la ville de Val-d'Or. En 1995, c'est au tour du village de Louvicourt, située entre Val-d'Or et l'entrée de la réserve faunique La Vérendrye d'être annexé au territoire de Val-d'Or. La ville actuelle voit cependant le jour en 2002, lorsque son territoire est encore fusionné à celui d'autres municipalités, soit les villes de Sullivan, Dubuisson, Val-Senneville et Vassan<ref name=":0" />.

Le 20 mai 1980, vers 22h30, une partie du toit de la mine Belmoral, située à quelques kilomètres à l'est de Val-d'Or, s'affaisse. De grandes quantités d'eau, de boue et de végétation s'enfonce dans la mine. Seize mineurs réussissent à s'échapper, tandis que huit autres sont portés disparus. Ces derniers périssent tous dans l'incident. Les recherches pour les retrouver s'étirent pendant des semaines, si bien qu'on ne retrouve les dernières dépouilles des disparus que le 30 juillet 1980<ref name=":3">Modèle:Ouvrage</ref>. Une chanson écrite et enregistrée par le chanteur valdorien Jean-Guy Gauthier, intitulée La tragédie de la Balmoral, s'inspire de cet événement<ref name=":3" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'incident est également à la source de deux tableaux produits par la peintre Ma-Reine Bérubé en 1981, intitulés Au secours, nos frères se noient et Les noyés de la Belmoral<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1990, la ville est ébranlée par le sordide meurtre de Sandra Gaudet. L'adolescente avait Modèle:Nobr et a été abandonnée sur le bord d'une route<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, Céline Brindamour devient la première femme à être élue à la mairie de la ville<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Chronologie

Population

La population de Val-d'Or est plutôt stable depuis le début des années 2000, oscillant autour de Modèle:Unité. Elle est d'ailleurs de Modèle:Unité lors du recensement du Canada de 2021<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Terre d'immigration dès ses débuts

En raison de l'attrait que représentait l'industrie minière dans la région, Val-d'Or reçoit dès sa fondation plusieurs vagues d'immigration, provenant d'abord d'Europe de l'Est et d'Europe centrale, soit principalement des Polonais, des Ukrainiens, des Lituaniens, des Croates, des Slovènes, des Slovaques, des Russes, des Bulgares, des Finlandais, des Géorgiens et des Tchèques. Des Juifs venus faire du commerce et des Chinois venus œuvrer dans le domaine de la restauration se sont également établis à Val-d'Or<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>.

Plus tard, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, devenus victimes d'une piètre situation socioéconomique et politique en Europe, plusieurs personnes quittent le continent. Plusieurs Polonais et Italiens viennent s'installer à Val-d'Or pour remédier au manque de main-d'œuvre dans les mines<ref name=":1" />.

D'autres immigrants, en plus petit nombre, choisiront également Val-d'Or lors de leur venue au Canada, par exemple des Hongrois en 1957, après la répression par l'URSS de l'insurrection hongroise contre le pouvoir en place, des Haïtiens dans les années 1960 et 1970 lors de la dictature des Duvalier ainsi que des Laotiens et Vietnamiens dans les années 1980 en tant que boat-people<ref name=":1" />.

Plus récemment, soit à partir des années 1990, des immigrants choisissent toujours de s'établir à Val-d'Or, notamment des francophones venus d'Europe et d'Afrique ou encore des populations venues d'Amérique du Sud et du Moyen-Orient<ref name=":1" />.

Val-d'Or, terre d'abord algonquine

Alors que le chemin de fer Transcontinental est parachevé, traversant d'est en ouest le territoire abitibien, la colonisation à des fins forestière, minière et agricole s'entame et provoque le remplacement de la plupart des toponymes autochtones alors existants par des appellations de langues française ou anglaise<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>.

Les Algonquins jouent d'ailleurs un rôle essentiel au développement minier de la Vallée-de-l'Or, notamment comme guides, prospecteurs, foreurs et même découvreurs d'importants gisements. D'ailleurs, l'Algonquin Gabriel Commanda découvre en 1923, en compagnie de Robert Clark, le gisement de la mine Lamaque, qui deviendra le plus gros producteur d'or au Québec. Prospecteur, guide, garde-chasse et garde-forestier, Commanda séjourne d'ailleurs en bordure de la rivière Bourlamaque et au sud du lac Blouin<ref name=":2" />.

Lorsque Val-d'Or devient une municipalité en 1935, son territoire s'urbanise et nombre d'Algonquins de Grand-Lac-Victoria, de Lac-Simon et de Lac-Rapide fréquentent l'endroit. Le chemin de fer, les routes et l'expansion des industries minières et forestières provoquent des impacts irréversibles sur le mode de vie des autochtones, notamment sur leurs territoires de chasse et de pêche<ref name=":2" />.

Constituant encore aujourd'hui un carrefour important entre le Grand nord québécois, Montréal la métropole et les nombreuses localités algonquines de l'Abitibi, Val-d'Or demeure toujours fréquentée et même habitée par un nombre important d'autochtones de la région, principalement des Algonquins et des Cris.

Val-d'Or est la première ville au Québec à avoir adopté la Déclaration des droits des peuples autochtones des Nations Unies<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Données démographiques

{{#invoke:Démographie|demographie}}

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Population<ref>Statistique Canada : recensements 1996, 2001, 2006, 2011</ref> : Modèle:Nombre (2014)

  • Population en 1995 :
    • Dubuisson : 1 655
    • Sullivan : 3 312
    • Val-d'Or : 24 479
    • Val-Senneville : 2 408
    • Vassan : 988

Portrait linguistique (langues officielles parlées) :

  • Français seulement : 67,4 %
  • Anglais seulement : 0,8 %
  • Français et anglais : 31,7 %
  • Ni français ni anglais : 0,1 %

En 2007, Val-d'Or présentait la caractéristique d'être la ville québécoise avec le plus haut taux de célibat selon Statistique Canada<ref>Mariage ou l’union libre ?</ref>.

Administration et budget municipal

Les élections municipales se font en bloc et suivant un découpage de six districts<ref>https://www.electionsquebec.qc.ca/francais/municipal/carte-electorale/liste-des-municipalites-divisees-en-districts-electoraux.php DGEQ - Liste des municipalités divisées en districts électoraux</ref>.

Val-d'Or
Maires depuis 2001
Élection Maire Qualité Résultat
2001 Fernand Trahan Voir
2005 Voir
2009 Voir
2013 Pierre Corbeil Ministre libéral de l'Agriculture (2011-2012)
Député d'Abitibi-Est de 2003 à 2007 et 2008 à 2012
Voir
2017 Voir
2021 Céline Brindamour Voir
Élection partielle en italique
Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises

Le plus récent budget municipal publié par la Ville, soit celui de l'année 2021, s'élève à 62,7 M$ publié lors d'une séance extraordinaire du conseil municipal du 21 décembre 2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
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Culture

Val-d'Or compte différents lieux historiques, culturels et touristiques sur son territoire.

Patrimoine bâti

  • La mine Lamaque, première mine et source de revenus de la ville. Représentatif d'un ensemble minier des années 1930, le site patrimonial de l'ancienne mine Lamaque a été cité comme bien patrimonial en 2008, puis classé en 2010<ref>Modèle:Lien web</ref>. D'ailleurs, des infrastructures muséales surnommées la Cité de l'Or<ref>Modèle:Lien web</ref> permettent aux nombreux touristes de visiter ce site industriel patrimonial et d'effectuer une véritable visite minière souterraine.
  • Le village minier de Bourlamaque, agglomération industrielle planifiée construite en 1935. Village entièrement construit de maisons en bois rond et aux toits variant du bleu au orange en passant par le rouge, il constitue les origines de Val-d'Or. Construit autour de la mine Lamaque, ce petit village est aujourd'hui un patrimoine touristique reconnu. Le site patrimonial du Village-Minier-de-Bourlamaque est classé en 1979<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Le château d'eau de l'ancienne mine Sullivan, érigé en 1940 et cité comme immeuble patrimonial en 1998<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Le pont Champagne, pont couvert érigé en 1941. En 2001, il est cité comme immeuble patrimonial<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • L'église russe orthodoxe, construite en 1954, aujourd’hui propriété de la ville. L'église orthodoxe russe est une des multiples représentations religieuses qui furent installées à Val-d'Or à la suite de l'immigration de nombreux travailleurs du monde entier, dont l'Ukraine, venus pour travailler dans les mines<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • L'église catholique Saint-Sauveur-les-Mines, construite en 1959, citée comme immeuble patrimonial en 2012<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Plusieurs immeubles de la municipalité sont inventoriés pour leur valeur patrimoniale dont l'ancien hôtel Val-d'Or (1934)<ref>Modèle:Lien web</ref>, l'édifice Val-d'Or-Bowling-Alleys (1936)<ref>Modèle:Lien web</ref>, l'ancienne Académie Saint-Sauveur (1940)<ref>Modèle:Lien web</ref>, l'ancien magasin coopératif La Valdorienne (1946)<ref>Modèle:Lien web</ref> et l'ancien cinéma Strand (1948)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Selon les données statistiques annuelles compilées par le MAMH (Ministère des affaires municipales et de l'Habitation du Québec), la valeur foncière totale des bâtiments et terrains taxables (valeur uniformisée) sis sur le territoire de la Ville de Val-d'Or s'établissaient à Modèle:Nobr ($CAD) en 2019 et Modèle:Nobr ($CAD) en 2020, soit un bond de Modèle:Nobr ($CAD)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Médias

Historique

Les habitants de Val-d'Or ont accès à la radio depuis Modèle:Date-, avec l'inauguration de la station CKVD. Les médias écrits sont présents depuis 1935, avec le Val-d'Or News, journal anglophone, qui deviendra le The Val-d'Or Star en 1947. Quant aux journaux francophones, L'Écho abitibien, apparu pour la première fois en 1950<ref name=":0" />.

Actuels

Modèle:Début de colonnes Les journaux publiés sont :

  • L'Écho abitibien a été publié à partir de Modèle:Date-. Le propriétaire d'origine est Lucien Fontaine<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. La publication hebdomadaire est acquise par Québécor en 1974. Elle est vendue à Transcontinental lors d'une transaction impliquant plusieurs journaux en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>. Acquis par Lexis Média à la fin de 2017, L'Écho abitibien disparaîtra en 2018 pour laisser place à L'Éclat, un nouvel hebdomadaire gratuit<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Le Citoyen de la Vallée-de-l'Or, est un hebdomadaire gratuit fondé par Ronald Brisson. Le groupe Lexis Média est maintenant le propriétaire de la publication<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Abitibi Express, un hebdomadaire qui a cessé d'être publié en 2014<ref>Modèle:Lien web</ref>


Les chaînes de télévision sont :

Diverses stations de radio ont existé ou continuent d'être diffusées :

  • CJMV-FM : Station faisant partie du réseau Énergie
  • CKVD-AM : Fondée en 1939 et propriété de Radio-Nord à partir de 1948, cette station de radio diffusait sur la bande AM<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est transférée sur la bande FM en 1998<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • CHGO-FM : Anciennement CKVD
  • CHUT-FM : Radio communautaire qui diffuse depuis la réserve amérindienne du Lac-Simon

Modèle:Fin de colonnes

Sport

La ville compte une franchise amateur de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, les Foreurs de Val-d'Or, équipe ayant remporté la Coupe du président à trois reprises.

Val-d'Or a été plusieurs fois la ville hôte du Tour de l'Abitibi, seule étape nord-américaine de la coupe du monde junior de cyclisme, ainsi que la ville hôte des Jeux du Québec à l'été 1987. Enfin, le Modèle:Date-, la ville de Val-d'Or a accueilli le relais de la flamme olympique, qui doit parcourir le Canada jusqu'à Vancouver pour les Jeux olympiques d'hiver de 2010.

Transport

Fichier:Val d'Or 2.jpg
La Modèle:3e, artère commerciale principale de la ville.

Première ville d'importance sur le réseau routier témiscabitibien depuis le sud du Québec, la région valdorienne est le point de jonction de la majorité des routes principales de la région. La route Transcanadienne (route 117) traverse la ville d'est en ouest en suivant la faille de Cadillac jusqu'à Rouyn-Noranda et ultimement Arntfield. Les routes 111 et 397 prennent source au nord de la ville et permettent de relier la ville aux villes secondaires de la région.

Autocar

La société privée de transport par autocar, Autobus Maheux, assure une liaison journalière avec Montréal, les autres villes de la région et l'Ontario. La gare routière est située à l'angle de la Modèle:4e et la rue de la Québécoise.

Transport aérien

Un service régulier de transport aérien est opéré à l'aéroport de Val-d'Or, situé au sud de la ville. Les liaisons aériennes relient notamment les régions métropolitaines de Montréal et Toronto, la côte ouest de la Baie James et la Baie d'Hudson et ultimement, le Grand Nord québécois. L'aéroport dessert également une liaison vers les Antilles, mais de manière marginale via certains vols nolisés.

Transport en commun

Un service de transport en commun par taxi partagé (Taxibus) assure le service public de transport.

Tourisme

Personnalités liées à la municipalité

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Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail