Villerupt

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Modèle:Infobox Commune de France

Villerupt (Modèle:MSAPI<ref>Modèle:Pierret.</ref>) est une ville du Nord-Est de la France, chef-lieu de canton du département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est, situé au sud-est de Longwy.

Ses habitants sont appelés les Villeruptiens.

Géographie

Villerupt est arrosée par l'Alzette.

Cette commune fut un village-frontière avec l'Allemagne entre 1871 et 1919. L'Empire allemand avait annexé la partie de la Lorraine, qui correspond à l'actuel département de la Moselle, non seulement pour des questions culturelles et linguistiques, mais aussi pour s'approprier les minerais de fer.

Il se trouve en effet que les géologues, en prospectant les couches connues géologiques de Moselle dont le pendage descend vers l'ouest dans cette partie du Bassin parisien, en déduisirent qu'il serait possible de retrouver les mêmes minerais plus en profondeur. Les plus accessibles étant les moins profondes, ce sont les villes-frontières qui, disposant de vastes mines à ciel ouvert, furent alors exploitées en priorité.

Villerupt doit son développement grâce à l'exploitation de ces mines et fut donc au centre d'un enjeu qui suscita les convoitises des nations alentour.

Écarts et lieux-dits

  • Cantebonne, Micheville, Gaertchen, Haneberg, la Delle, la Forge Basse, Sur le pré, Orbeusse, les Quatre Chemins, Bois de Butte.

Urbanisme

Typologie

Villerupt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Esch-sur-Alzette (LUX)-Villerupt (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (23,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,6 %), forêts (19,3 %), terres arables (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), prairies (3,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

  • De ville + rupt « ruisseau ».
  • Anciennes mentions : Viluirue en 1287, Villereux en 1573, Willeront au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Ville-Rupt en 1749<ref>Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.</ref>.
  • Wyler ou Weiler en allemand<ref>Alain Simmer - L'ORIGINE DU NOM DE VILLERUPT</ref>, Weller en luxembourgeois<ref name="HAS 1983">Modèle:Article.</ref>,<ref>Luxemburger Wörterbuch, Luxemburg, P. Linden, 1950-1977</ref>.

Microtoponymie

Histoire

Fichier:Chateau Villerupt.jpg
Château d'Aubrives à Villerupt.

La fondation de Villerupt est aussi impossible à déterminer qu’elle paraît ancienne. L’hypothèse fréquemment admise est que Villerupt fut peuplée dès l’époque du néolithique (entre 4500 et 1700 avant Jésus-Christ).

Si, en 1284, Anselme de Villerupt et les siens sont vassaux du comte Henri III de Luxembourg, c'est du comte de Bar que, en 1333, les Malberg, sires d'Audun-Le-Tiche, tiennent en fief Cantebonne et Villerupt.

Durant le Moyen Âge, l’histoire de Villerupt épouse celle de cette région frontière, appelée Lorraine à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ballottée entre les royaumes de France et de Germanie.

Il est à noter que, dès ses origines, Villerupt, où l’existence d’une forge est attestée, travaille le minerai de fer. Mais c'est surtout pendant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que se développe progressivement la technique du haut fourneau.

Villerupt dispose alors d’un site avantageux de par la nature de sous-sol. En effet, le plateau lorrain à ossature calcaire contient une couche géologique d’un grand intérêt industriel : l’aalénien. Il renferme le minerai de fer lorrain, la « Minette ».

En 1817, Villerupt, village de l'ancienne province du Barrois sur l'Alzette, avait pour annexes le village de Thil, les hameaux de Cantebonne et de Micheville et le moulin de Tutange. À cette date, la commune comptait Modèle:Nombre, répartis dans Modèle:Nombre.

Villerupt et Thil restent français en 1871 grâce à un Normand

En 1871, Adolphe Thiers souhaitait donner de l'espace à la place-forte de Belfort devant rester française. Les Allemands, qui n'ignoraient pas la grande valeur du sous-sol, acceptèrent à condition de récupérer à leur profit des communes en déplaçant vers l'ouest la frontière prévue lors des préliminaires de paix signés à Versailles le Modèle:Date-. Les communes de Rédange, Thil, Villerupt, Aumetz, Boulange, Lommerange, Sainte-Marie-aux-Chênes, Vionville devenaient donc allemandes. L’humeur joviale d’un des négociateurs français, Augustin Pouyer-Quertier, qui plaisait à Bismarck, sauva du moins Villerupt : "... Je ne vous eusse pas obligé à devenir Français, dit-il au chancelier Bismarck, et vous me faites Allemand ! — Comment cela ?... Qui vous parle de prendre votre Normandie ?... — La chose est pourtant bien simple : je suis un des principaux actionnaires des forges de Villerupt, et vous voyez bien que, de ce côté, vous me faites Allemand. " Et Villerupt, comme Thil, resta française grâce au Normand Augustin Pouyer-Quertier, ministre des finances du gouvernement Thiers<ref>Extrait du livre "La délimitation de la frontière franco-allemande" par le colonel Aimé Laussedat, éditions Delagrave, Paris 1902.</ref>.

Sidérurgie

Fichier:Villerupt gare.jpg
Ancienne gare.

La première mention des forges de Villerupt date en effet du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais s'agit-il vraiment d'un haut fourneau ? Elles connaissent au maximum quatre hauts fourneaux au bois dont un qui se maintient jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

En 1831, des documents signalent l'existence des Forges de Sainte-Claire-lès-Villerupt, qui ont compté jusqu'à quatre hauts fourneaux au bois.

En 1866, ces deux établissements se regroupent pour former la Société des Usines de Villerupt et Sainte-Claire, celle-ci fusionne en 1894 avec la Société des fonderies d'Aubrives pour donner naissance à la Société d'Aubrives-Villerupt. Dès l'origine, la production de cette usine est orientée essentiellement vers la production de fonte.

À la veille de la Première Guerre mondiale, l'usine exploite deux hauts fourneaux.

L'année 1926 marque le rachat de l'usine de Laval-Dieu, datant de 1882 et où deux hauts fourneaux sont en activité depuis 1899 ; détruite après la Première Guerre mondiale, elle n'a jamais été reconstruite.

En 1930, l'usine de Villerupt compte deux hauts fourneaux ; en 1955, ils ont un diamètre de creuset de quatre mètres et une capacité de production de Modèle:Nombre de fonte de moulage par an.

Lors de la grande grève des mineurs de 1948, les ouvriers des cokeries font grève par solidarité. Dès le début de la grève, ils prennent en otage les patrons. Ils finissent par suspendre les mesures de sécurité. Lors de l'intervention des compagnies républicaines de sécurité (CRS), les ouvriers résistent armés de blocs de fer, de pierres, tuyaux de plomb et boulons, et font reculer les CRS qui ont Modèle:Nombre<ref name="Tartakowsky553">Danielle Tartakowsky, Les manifestations de rue en France, 1918-1968, Paris : Publications de la Sorbonne, 1997. Collection : « Histoire de la France au {{#switch: et

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq:   et  |-| – |   et   }}Modèle:S mini- siècle

}} », ISSN 1243-0269. Modèle:ISBN, Modèle:P.555.</ref>.

Un nouveau haut fourneau est mis en service en 1960. En novembre 1968, l'usine de Villerupt cesse toute activité et le dernier haut fourneau est éteint.

L'usine de Micheville trouve son origine dans la création en 1872 de la Société Ferry et Cie, qui met à feu son premier haut fourneau en 1878. Dès 1873, il travailla au lancement de l'usine de Micheville et de 1880 à 1927, Ernest Nahan dirigea d'une manière paternaliste l'usine qui passa progressivement à six hauts fourneaux.

À la veille de la guerre de 1914-1918, cinq hauts fourneaux sont à feu et un sixième en reconstruction. Ils ont une capacité annuelle de production de Modèle:Nombre de fonte. L'usine est endommagée pendant la Première Guerre mondiale, mais des travaux de reconstruction sont lancés dès 1918.

En 1920, le haut fourneau Modèle:N°1 est rallumé. En 1925, l'usine compte à nouveau six hauts fourneaux en état de marche. L'activité de l'usine est arrêtée pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cette usine est à l'origine du développement de Villerupt. De modeste village, le bourg se mua progressivement en une petite ville industrielle, passant de 561 habitants en 1861 à Modèle:Nombre en 1911 ; ensuite de Modèle:Nombre en 1936 jusqu'à atteindre son maximum démographique à Modèle:Nombre en 1966. La progression serait d'un rapport de près de 16 fois la population de 1861 !

Dans les années 1950, les quatre hauts fourneaux existants ont un volume compris entre 580 et Modèle:Unité ; un nouveau haut fourneau (1 bis), de 7,05 m de creuset, est allumé le Modèle:Date-. En 1959, l'usine comprend cinq hauts fourneaux, puis quatre en 1971 (les Modèle:N°1, 3, 4 et 6).

En 1974, l'usine est définitivement arrêtée, c'est alors la création de la S.L.V. (Société des laminoirs de Villerupt).

Politique et administration

Le canton de Villerupt est composé des communes de Bréhain-la-Ville, Crusnes, Errouville, Fillières, Hussigny-Godbrange, Laix, Longlaville, Morfontaine, Saulnes, Serrouville, Thil, Tiercelet, Villers-la-Montagne et Villerupt.

Par ailleurs, Villerupt fait partie depuis 2006 de la communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette (CCPHVA) comprenant les communes de : Audun-le-Tiche, Aumetz, Boulange, Ottange, Rédange, Russange et Thil.

En 2010, la commune de Villerupt a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »<ref>Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Fichier:Hopital Villerupt.jpg
Ancien hôpital de Micheville.

Villerupt doit son essor urbain grâce à ses mines de fer qui sont à l'origine du développement de la sidérurgie et de la métallurgie.

L'agglomération actuelle, qui s'étend également sur le département de la Moselle avec la petite ville voisine d'Audun-le-Tiche, n'est qu'une partie d'une conurbation industrielle plus étendue qui franchit la frontière, dont le principal centre est la ville luxembourgeoise d'Esch-sur-Alzette.

En raison de la crise sidérurgique de la région, la population est passée de presque Modèle:Nombre dans les années 1960 à moins de 10 000 aujourd'hui.

Avant que ne commence ce déclin urbain à partir des années 1970, la croissance de la population était stimulée en grande partie par l'immigration italienne. Villerupt est, à ce titre, sans doute l'une des communes les plus « italiennes » de France, ce qui peut se constater à la lecture de l'annuaire, la très grande majorité des noms de famille y étant à consonance italienne. Villerupt fut aussi comme Audun-le-Tiche et Hussigny-Godbrange un actif centre de l’immigration italienne qui fournissait une main-d’œuvre importante pour les besoins du bassin minier de la minette. Une grande partie de cette immigration italienne provenait de Gualdo Tadino.

Villerupt organise chaque année le Festival du film italien vers la fin du mois d'octobre.

Soucieuse de développer son volet culturel, Villerupt possède aussi une MJC dynamique proposant diverses activités, mais aussi une école de musique, une école de danse, une école d'arts plastiques et une salle de concerts et d'expositions dénommée La Cave.

La municipalité participe activement aux programmations sportives et culturelles proposées par le tissu associatif de la ville.


Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Édifices civils

Fichier:Monument aux Morts de Villerupt.jpg
Monument aux morts de Villerupt.
  • Salle des fêtes Maurice-Thorez, située au Modèle:1er de l’hôtel de ville – avenue Albert-Lebrun. La salle des fêtes de Villerupt a eu l'occasion d'accueillir de grands artistes tels que : Johnny Hallyday et Jimi Hendrix (Modèle:Date), Jean Ferrat (Modèle:Date), les Chœurs de l'Armée rouge (Modèle:Date) et beaucoup d'autres encore.
  • Ancien château seigneurial, première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, pour François Joseph de Hunault.
  • Mur alvéolé (rue Gambetta) de l'ancienne usine sidérurgique d'Aubrive (les alvéoles étaient des « caisses à mine »).
  • Cage à laminoir provenant du site de l'usine de Micheville et vieille locomotive servant à l'époque pour le transport du minerai de fer.
  • Les cités de Butte, site unique en Lorraine. Une des caractéristiques de la géographie urbaine de Villerupt est sans aucun doute la présence d'un quartier de cités ouvrières construites dès 1908 en suivant les courbes de niveau du relief.
  • L'exposition Guerino Angeli (né à Villerupt en 1926) visible au rez-de-chaussée et au deuxième étage de l'hôtel de ville.

Édifices religieux

Fichier:Ancienne eglise Villerupt.jpg
Ancienne église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge.
Fichier:Eglise de Villerupt.jpg
Nouvelle Église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge.
Fichier:Chapelle de Cantebonne.jpg
Chapelle Sainte-Croix de Cantebonne.
Fichier:Villerupt Oratoire à la Vierge.JPG
Oratoire à la Vierge.
  • Ancienne église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge, construite en 1736, agrandie en 1844, fermée en 1905, détruite après 1905, autel en marbre. Une nouvelle église ayant été construite 200 mètres au nord, à la suite de l'augmentation de la population liée à l'essor de la sidérurgie. Elle se situait au-dessus du monument aux morts.
  • Nouvelle église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge, construction début 1902 fin 1907. L'orgue de l'église datant du milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, réparé en 1947, grâce aux dommages de guerre et restauré et classé monument historique en 2012.
  • Chapelle Sainte-Croix de Cantebonne, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Chapelle construite et bénite en 1913, en remplacement d'une petite chapelle devenue fort vétuste et insuffisante ; clocher reconstruit après la guerre 1939-1945.
  • Croix Monumentale, située 1 rue Carnot. Croix élevée en 1630 (date portée) aux frais de Gérard Villiribus et de son épouse Catherine. Remployée dans une façade de maison.
  • Oratoire à la Vierge, ce monument à la Vierge Immaculée a été élevé en reconnaissance de la protection reçue pendant la guerre 1939-1945.

Personnalités liées à la commune

Héraldique, devise et logotype

Blason

Modèle:Blason commune

Logotype

La forme rouge symbolise la vie, l'énergie. Après une période de déclin (usine), la courbe remonte pour créer un ensemble proche de la lettre V de Villerupt.

Les rayures bleues dans une forme carrée symbolisent un proche passé où l’on a vu une industrie stagner puis s’effondrer.

Les rayures vertes et la partie blanche du cercle permet de mettre en évidence le virage opéré par le cheminement de la vie. En opposition au passé symbolisé par le bleu.

Pour approfondir

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

Modèle:Références

Références

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