Marpiré
Modèle:Infobox Commune de France
Marpiré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année, légale en {{#expr:Modèle:Population de France/dernière année+3}}.</ref>.
Géographie
Situation
Marpiré est situé dans le centre-est du département d'Ille-et-Vilaine.
Relief
Le finage communal présente une ligne de hauteurs, des crêtes appalachiennes, d'altitude légèrement supérieure à Modèle:Unité (le point le plus haut étant à Modèle:Unité à la Haute Noë), orientées ouest-est dans sa partie nord et des altitudes moindres dans sa partie sud, s'abaissant jusqu'à Modèle:Unité d'altitude dans son angle sud-est. Le nord du territoire communal est en partie couvert de bois et forêts (partie orientale de la forêt de la Corbière, elle-même prolongement oriental de la forêt de Chevré, Bois de la Lisière et ses prolongements (Bois de la Herlisse à l'ouest, Bois de Briérue à l'est). Le bourg est vers Modèle:Unité d'altitude.
Le finage est drainé par plusieurs modestes affluents (qui tous prennent leur source dans la partie nord du territoire communal) de rive droite du ruisseau de Palet, lui-même affluent de rive droite de la Cantache ; l'un d'entre eux, le ruisseau des Landes de Marpiré, délimite même pendant une partie de son cours le sud-est du territoire communal. À l'ouest, le ruisseau de la Gaillardière est un affluent du ruisseau de la Vallée, lui-même affluent de rive droite de la Vilaine. Plusieurs étangs ont été aménagés le long de leur cours, notamment l'étang de la Baluère au sud de la commune, l'étang de la Corbière à l'ouest dans la forêt du même nom, ou encore le Plan d'eau de l'Orée du Bois, à la limite méridionale du Bois de la Lisière.
Le paysage rural traditionnel est le bocage avec habitat dispersé en de nombreux hameaux et fermes isolées.
Géologie
Faisant partie du Massif armoricain, la commune, située à la limite nord-est du bassin de Rennes est traversée par des crêtes appalachiennes orientées ouest-nord-ouest - est-sud-est, correspondant aux restes érodés de deux plis anticlinaux et de synclinaux, dits de La Bouëxière et d'Izé, datant du plissement hercynien, formés de roches précambriennes, ordoviciennes, siluriennes, et dévoniennes, des grès et des schistes d'Angers, ardoisiers, pour la bande de la Corbière, des schistes de Saint-Lô et des grauwackes quartzeux pour la bande de la forêt de Chevré<ref>Charles Barrois, Le bassin du Ménez-Bélair, "Annales de la Société géologique du Nord ", 1894, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57748152/f327.image.r=Marpir%C3%A9 et A. Bigot, Observations géologiques sur la feuille de Laval, "Bulletin de la Société Linnéenne de Normandie", 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5817987d/f141.image.r=Marpir%C3%A9?rk=665239;2</ref>
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Marpiré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,4 %), terres arables (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), prairies (19,2 %), zones urbanisées (5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Marpireium en 1157 et capella Marpireii en 1213<ref>Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de archevêché de Rennes, volume 5, 1880, consultable [1]</ref>.
Le gentilé est Marpiréen.
Histoire
Moyen Âge
En 1157, Étienne, évêque de Rennes, confirma Guillaume, abbé de Saint-Melaine, dans la possession de tout le territoire de Marpiré que le baron de Vitré avait donné à son monastère ; cette donation est confirmée en 1213 par Pierre, un autre évêque de Rennes, à Geffroy, autre abbé de Saint-Melaine. Mais, selon Amédée Guillotin de Corson, rien ne prouve que Marpiré était alors une paroisse<ref>Amédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de archevêché de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f142.image.r=marpir%C3%A9</ref>. Un aveu rendu au prieur de Notre-Dame-de-Vitré (ce prieuré dépendait de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes) datant de 1399 concernant le fief de Marpiré a été conservé<ref>Chronique d'histoire et de littérature de la Bretagne, revue "Annales de Bretagne", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115319g/f176.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4</ref>.
Époque moderne
Selon un aveu de 1546, les habitants de Marpiré devaient fournir un garde forestier et un cheval aux seigneurs de Gazon en Pocé-les-Bois pour la garde des parties de la forêt de Chevré et de l'étang de Chevré qui leur appartenaient<ref>M. Etasse, Documents inédits concernant la baronnie de Vitré, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207795g/f103.image.r=Marpir%C3%A9</ref>. Selon un autre aveu daté du Modèle:Date, le seigneur de Gazon, possédait dans la paroisse de Marpiré le domaine et la métairie de Mainbert [ou Mainberte, ou Mauberte] « maisons, court [cour], (...), issues, fuyes, garennes, bois de haute fustaye, viviers, etc. Comme propriétaires dudit lieu, les Beaumanoir ont droit de prééminence en l'église de Marpiré, droit d'enfeu, (...), bancs à accoudoirs à queue, écussons d'armes et armoiries, tant au dedans qu'au dehors d'icelle église »<ref>Édouard Frain, "Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux «Familles de Vitré»", 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54086453/f132.image.r=marpir%C3%A9</ref>
Selon Amédée Guillotin de Corson, il est probable que la paroisse de Marpiré n'aurait été créée que dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, son premier recteur ayant été Mathurin Nicolas, cité en 1664, même si les registres de baptême de Marpiré remontent à 1601. Elle aurait été précédemment l'équivalent d'une trève dépendant du prieuré Notre-Dame de Vitré, lui-même dépendant de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les moines bénédictins de Vitré abandonnèrent pour portion congrue toutes les dîmes levées dans la paroisse au bénéfice du recteur de Marpiré, parfois appelé à tort "prieur" ; ces dîmes étaient levées à la onzième gerbe « dans toute l'étendue de la paroisse sur les froment, seigle, avoine, sarrasin, lins et chanvres »<ref name="r4TDPKX">Amédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de archevêché de Rennes", volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f143.image.r=marpir%C3%A9</ref>.
En raison de la présence de bois et forêts, une verrerie a existé à Marpiré à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, créée à l'initiative du duc de la Trémoille, baron de Vitré, et dirigée par des membres de la famille de Cacqueray<ref>"Armorial général de France", volume 1, consultable https://books.google.fr/books?id=YiRJAAAAcAAJ&pg=PA112&lpg=PA112&dq=maire+Marpir%C3%A9&source=bl&ots=-6nhpQZCxe&sig=YPNgxnB8TFgUPAA716Vi7_3jMeo&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjIhMnUzJjRAhUDrRoKHWCPBEA4UBDoAQgkMAI#v=onepage&q=maire%20Marpir%C3%A9&f=false</ref> (ou Caqueray)<ref>Louis de Caqueray, né en 1644, marié le Modèle:Date à Aubermesnil-aux-Érables (Seine-Maritime), sieur du Coudray en Marpiré, est décédé le Modèle:Date à Marpiré ; Charles de Cacqueray est maître-verrier à Marpiré en 1690, Alexandre de Cacqueray (sieur des Landes, décédé le Modèle:Date à Bézancourt (Seine-Maritime ; une de ses filles Servane-Antoinette de Cacqueray des Landes, née le Modèle:Date à Marpiré, fut religieuse, voir Fleury Vindry, "Les demoiselles de Saint-Cyr (1686-1793)", 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6374926f/f111.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1072966;4) et Antoine de Cacqueray le sont en 1700, voir http://amisverriers.e-monsite.com/pages/histoire/maitres-verriers-de-haute-bretagne.html</ref>, issus d'une famille normande de maîtres-verriers<ref>René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne". Livre premier, Les bretons. 7,BROU-CARN, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58176362/f402.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4</ref>.
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Marpiré vers 1778 : Modèle:Citation bloc
Révolution française
Julien Lemarchant fut le délégué de la paroisse de Marpiré à la réunion du tiers état de la sénéchaussée de Rennes lors de la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux de 1789.
Jean-Baptiste Gendrot, qui était curé de Marpiré avant la Révolution française, prêta le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, mais la paroisse de Marpiré étant alors supprimée, il fut nommé curé constitutionnel de Moulins<ref>E. Sevestre, Le clergé breton en 1801, revue "Annales de Bretagne", 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115324x/f135.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1051507;2</ref>. La paroisse de Marpiré fut rétablie en 1803 par [[Jean-Baptiste-Marie de Maillé de La Tour-Landry|Modèle:Mgr de Maillé]], puis fut à nouveau réunie à celle de Champeaux en 1806, avant d'être à nouveau rétablie par ordonnance royale le Modèle:Date<ref name="r4TDPKX" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Le cadastre de 1813 montre un bourg formé seulement de quelques maisons, qui ne se distingue des autres hameaux que par la présence de l'église<ref>http://archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr/thot_internet/FrmLotDocFrame.asp?idlot=19995&idfic=0202520&resX=1600&resY=900&init=1</ref>.
Marpiré vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Marpiré vers 1845 : Modèle:Citation bloc
En 1851, le journal La Presse écrit : Modèle:Citation bloc
En 1874, Modèle:Nombre des communes de Taillis, Champeaux, Marpiré, Saint-Christophe et Eancé signent une pétition à l'Assemblée nationale suppliant les députés de proclamer comme roi légitime Henri V<ref>"France. Assemblée nationale (1871-1875)", Modèle:N° du 5 août 1874, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64989074/f9.image.r=Marpir%C3%A9?rk=42918;4</ref>.
Les nouvelles école, église et routes
En 1859, l'école de Marpiré est « provisoirement fermée » et la commune fait partie de six communes du département « dépourvue de tout moyen d'instruction »<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1859, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5565199w/f228.image.r=marpir%C3%A9?rk=729617;2</ref>. En 1875, l'école de Marpiré est décrite ainsi : « La classe dans laquelle sont reçus les enfants de la commune de Marpiré est située au premier étage d'une maison bordant le cimetière ; sa superficie n'est que de Modèle:Unité, sur une hauteur de Modèle:Unité Modèle:Unité. C'est dans cette pièce, tenue à loyer par la commune, qu'on entasse, depuis plusieurs années, environ Modèle:Nombre, tant filles que garçons (...). L'institutrice est également logée dans un local insuffisant, loué par la commune. Le conseil municipal, reconnaissant la nécessité de remédier à cette situation des plus défectueuses, a conçu le projet d'approprier l'ancienne église pour l'installation du service de la mairie et de l'instruction primaire »<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1875, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6125450t/f339.image.r=marpir%C3%A9</ref>. Mais finalement une construction neuve fut projetée.
En 1879, la commune de Marpiré demande une subvention au Conseil général d'Ille-et-Vilaine pour le solde des travaux de construction de la nouvelle église paroissiale ; « la commune de Marpiré ne possède, il est vrai, aucune ressource et elle réserve tous ses fonds pour la construction d'une maison d'école » déclare le rapporteur<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5569883p/f208.image.r=marpir%C3%A9?rk=128756;0</ref>. L'année suivante, la commune de Marpiré demande une subvention au Conseil général d'Ille-et-Vilaine afin de construire une maison d'école<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58677391/f172.image.r=marpir%C3%A9?rk=64378;0</ref>. La nouvelle église paroissiale, construite à l'initiative de l'abbé Jean Royer, recteur de Marpiré à partir de 1856, pour remplacer l'ancienne église en partie ruinée depuis la Révolution française, fut consacrée par [[Charles-Philippe Place|Modèle:Mgr Place]], archevêque de Rennes, le Modèle:Date, mais la première messe y fut célébrée dès le Modèle:Date<ref name="r4TDPKX" />.
En 1846 le Conseil général d'Ille-et-Vilaine adopte le tracé du chemin de grande communication Modèle:N° [actuel CD 106] « en exprimant le désir qu'en quittant Vitré, il suive la route royale Modèle:N° jusqu'au pont de Cantache, pour de là, passer par Marpiré (...) »<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5565227r/f139.image.r=marpir%C3%A9?rk=343349;2</ref>. En 1882 le tracé du chemin de grande communication Modèle:N° [actuel CD 29] venant de Vitré via Champeaux et se dirigeant, après avoir traversé Marpiré, vers Servon-sur-Vilaine, est adopté<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", avril 1882, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55799268/f24.image.r=marpir%C3%A9?rk=21459;2</ref>.
Les grottes dédiées à Notre-Dame de la Salette
En 1885, l'abbé Cochet, recteur de la paroisse, fit élever une butte rocheuse, une rocaille, au sommet de laquelle fut aménagée une représentation des apparitions de Lourdes, et sous laquelle se trouvent trois grottes dédiées à Notre-Dame de La Salette. Dans l'une, consacrée spécialement à Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, on célébrait parfois la messe. « Les paroissiens ont une grande dévotion à Notre-Dame de la Salette ; ils se réunissent souvent à la grotte pour réciter le Rosaire et chanter des cantiques, principalement pendant les mois de mai et (...) d'octobre. Les habitants de la contrée viennent en pèlerinage à Marpiré et les parois de la grotte sont recouvertes d' ex-voto »<ref>Henri Chasle, Le culte de la Sainte Vierge dans le diocèse de Rennes pendant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, "Revue de Bretagne de Vendée & d'Anjou", volumes 45 et 46, consultable https://books.google.fr/books?id=uJAVAAAAYAAJ&pg=PA107&dq=Marpir%C3%A9&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Marpir%C3%A9&f=false</ref>. De nos jours encore, « le sommet de la butte offre une scénographie "aérienne", avec la Vierge de Lourdes et Bernadette visibles du passant de tous les coins de la place, tandis que trois alvéoles aménagés dessous en chapelles/grottes, et accessibles par des portes, offrent une représentation en quelque sorte chtonienne de La Salette. La grande liberté prise avec les représentations topographiques à le mérite de placer la scène de Lourdes au-dessus de celle de La Salette »<ref>François Angelier et Claude Langlois, "La Salette, Apocalypse, pèlerinage et littérature (1856-1896)", éditions Jérome Million, consultable https://books.google.fr/books?id=OkfEqK6wgUEC&pg=PA167&dq=Marpir%C3%A9&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Marpir%C3%A9&f=false</ref>.
Trois institutrices
Le journal Ouest-Éclair évoque en 1913 trois institutrices de Marpiré : d'abord Julie Posson<ref>Julie Posson, née le Modèle:Date à Cornillé, décédée le Modèle:Date au bourg de Marpiré, déclarée comme tricoteuse sur son acte de décès</ref> (« Cette bonne demoiselle, très forte pour son temps et très à la hauteur de sa tâche puisqu'elle savait lire et écrire et qu'elle osait parfois affronter la multiplication, n'était pas riche et ne recevait pas de traitement fixe. De temps en temps, les familles lui témoignaient leur reconnaissance par quelques subsides en nature : une pannerée de choux, trois bouts de saucisse ou un morceau de lard salé. Plus tard, le Conseil municipal, d'accord avec les propriétaires les plus imposés, remédia royalement à cette situation précaire en mettant à sa disposition un coin de lande qui lui permit de nourrir une chèvre ») ; puis Perrine Viel<ref>Perrine Viel, née le Modèle:Date à Marpiré, décédée le Modèle:Date au bourg de Marpiré</ref>, fille du maire de l'époque, à partir de 1863 (elle « obtint son brevet et fut nommée institutrice dans sa propre commune. Elle était intelligente et avait le don de communiquer la science »), décédée en 1892 ; enfin Marie-Rose Fougères<ref>Marie-Rose Fougères, née le Modèle:Date (et non le Modèle:Date comme indiqué dans l'article du journal) à Cornillé</ref>, orpheline dès son enfance et élevée par Julie Posson, qui commença à enseigner à Marpiré en 1867 comme aide de mademoiselle Viel (« adjointe volontaire et sans traitement »<ref>Journal des débats politiques et littéraires, n° du 28 novembre 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4851161/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=107296;4</ref>) sans être rétribuée pendant Modèle:Nobr jusqu'à la mort de celle-ci et fut ensuite directrice de l'école jusqu'à 1913 au moins, année où elle obtint un prix de vertu décerné par l'Académie française<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 28 novembre 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6438239/f1.image.r=Marpir%C3%A9?rk=2854091;2</ref> ; « très pieuse (...), Modèle:Nobr qu'elle enseignait les enfants de cette commune et son école est une des plus florissantes et des plus justement réputées de l'arrondissement »<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 5 décembre 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k643830h/f4.image.r=Marpir%C3%A9?rk=193134;0</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
En Modèle:Date-, une tempête provoqua de nombreux dégâts à Marpiré ; « on ne se souvient pas à Marpiré avoir vu pareille tempête »<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 4 janvier 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k639477q/f3.image.r=Marpir%C3%A9?rk=214593;2</ref>.
En 1904 est envisagé la création d'une ligne téléphonique desservant Marpiré<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", août 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5568502w/f489.image.r=marpir%C3%A9?rk=278971;2</ref>.
Le Modèle:Date, un habitant de la commune, Louis Fougères, est condamné à Modèle:Nombre de prison et Modèle:Unité d'amende par le tribunal correctionnel de Vitré pour insultes à l'encontre d'un gendarme de Châteaubourg lors de l'inventaire des biens d'église à Marpiré<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 5 avril 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k641029j/f3.image.r=Saint-Aubin-des-Landes?rk=2424904;4</ref>. Un décret en date du Modèle:Date- du ministre de l'intérieur et des cultes Aristide Briand attribue à la commune de Marpiré « à défaut de bureau de bienfaisance, les biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Marpiré »<ref>"Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 4 septembre 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64567084/f8.image.r=marpir%C3%A9?rk=64378;0</ref>, ce qui est confirmé par un autre décret du Modèle:Date, les biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Marpiré, qui étaient placés sous séquestre, sont à nouveau attribués à la commune<ref>"Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 9 juin 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6254539w/f4.image.r=saint-jean-sur-vilaine?rk=107296;4</ref>.
En 1909, la Ligue patriotique des Françaises organisa un pèlerinage à Marpiré à l'occasion de la bénédiction d'une statue de Notre-Dame-de-Lourdes, érigée en reconnaissance de la guérison miraculeuse de l'abbé Cochet, recteur de Marpiré, qui souffrait d'un lupus de la face, lors d'un pèlerinage à Lourdes<ref>Journaux La Croix , n° du 21 juillet 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k257429v/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=21459;2 et n° du 3 mai 1911, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k257985z/f2.image.r=marpir%C3%A9?rk=128756;0</ref>. Celui-ci se présenta le Modèle:Date au bureau des constatations des miracles à Lourdes et fit le récit de sa guérison, selon lui miraculeuse, survenue en Modèle:Date-<ref>Journal L'Univers, Modèle:N° du 5 mai 1905, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k714467q/f5.image.r=Marpir%C3%A9?rk=171674;4</ref>. Précédemment, une habitante de Marpiré, Félicité Hamon<ref>Probablement Félicité Hamon, née le Modèle:Date à Vitré</ref>, aurait elle aussi bénéficié d'une guérison miraculeuse (une carie d'un os d'un pied) lors d'un pèlerinage à Lourdes en Modèle:Date-<ref>Georges Bertrin, "Lourdes, apparitions & guérisons : ouvrage présenté au Congrès marial de Rome au nom de Modèle:Mgr l'évêque de Tarbes", 1905, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5478315v/f484.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1030048;0</ref>.
Des charbonniers exerçaient alors leur activité dans la forêt de la Corbière<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 13 juillet 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k642589f/f3.image.r=Marpir%C3%A9?rk=2703876;0</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Marpiré porte les noms de Modèle:Nombre morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref>http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=11194</ref>. Parmi eux, trois (Joseph Beaugendre<ref>Joseph Beaugendre, né le Modèle:Date à La Bouëxière, soldat au [[76e régiment d'infanterie territoriale|Modèle:76e d'infanterie territoriale]], tué à l'ennemi le Modèle:Date à Boesinghe (Belgique), décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze</ref>, François Fauvel<ref>François Fauvel, né le Modèle:Date à Marpiré, marsouin au 1er régiment d'infanterie coloniale, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Rossignol (Belgique)</ref>, Prosper Legré<ref>Prosper Legré, né le Modèle:Date à Marpiré, soldat au 136e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Falisolle (Belgique)</ref>) sont morts en Belgique et tous les autres sur le sol français dont Alphonse Fauvel<ref>Alphonse Fauvel, né le Modèle:Date à Marpiré, maître pointeur au 7e régiment d'artillerie de campagne, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Bitry (Oise)</ref>, frère de François Fauvel (fils de Pierre Fauvel et Marie Rose Savinel), et trois frères (André<ref>André Viel, né le Modèle:Date à Marpiré, caporal au 2e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Charleville (Marne)</ref>, Isidore<ref>Isidore Viel, né le Modèle:Date à Marpiré, caporal au Modèle:2e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Roclincourt (Pas-de-Calais)</ref> et Pierre Viel<ref>Pierre Viel, né le Modèle:Date à Marpiré, caporal au 94e régiment d'infanterie, mort le Modèle:Date à l'hôpital de Fougères des suites de maladie contractée en service</ref>), fils d'André Viel et Perrine Gadebois qui habitaient Maison Neuve en Marpiré.
Le Modèle:Date, un soldat de Marpiré, T. Coché [en fait probablement Cochet, nom de famille alors présent à Marpiré<ref>Par exemple, Pierre Cochet épousa le Modèle:Date Marie Rose Poirier à Marpiré ; il pourrait s'agir d'un de leurs fils</ref>], envoya un ex-voto en remerciement à sainte Thérèse de Lisieux (un calepin dans lequel se trouvait une image de la sainte, perforé par une balle), car il pensait avoir été sauvé grâce à elle<ref>Thérèse de l'Enfant-Jésus (1873-1897), "Pluie de roses. 5. Conversions, guérisons, interventions de Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus pendant la guerre", consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5558437g/f480.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2</ref>.
L'Entre-deux-guerres
Une école publique existait alors à Marpiré, ainsi qu'une école libre (catholique).
Une agence postale ouvre à Marpiré le Modèle:Date<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 5 octobre 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6575968/f4.image.r=Marpir%C3%A9?rk=1502153;2</ref>. La commune commence à être électrifiée en 1932<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 1er septembre 1932, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659023q/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=4678134;4</ref>. Dans la décennie 1930, une ligne d'autobus allant de Liffré à Vitré passait par La Bouëxière, Marpiré et Champeaux<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 22 septembre 1932, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659044s/f7.image.r=marpir%C3%A9?rk=4699594;0</ref>.
Un entrepreneur d'origine espagnole, José Buil, exploitait alors des carrières à la Briheu en Marpiré et à Montreuil-des-Landes et employait notamment un certain nombre de ses compatriotes<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 8 mai 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658176m/f7.image.r=marpir%C3%A9?rk=4785431;2 et Modèle:N° du 2 novembre 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658354s/f12.image.r=marpir%C3%A9?rk=4742512;4</ref>. Une autre carrière était exploitée à La Corbière et des accidents survenaient fréquemment<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 11 avril 1934, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6596103/f11.image.r=marpir%C3%A9?rk=6223206;4</ref>.
En Modèle:Date- un incendie dévasta le bois de la Corbière (un quadrilatère vaste de Modèle:Unité), qui appartenait à M. de Chappelaine, brûlant Modèle:Unité de bois et de landes, dont Modèle:Unité de pins<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 13 avril 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659247j/f7.image.r=Marpir%C3%A9?rk=4613756;4 et journal Le Populaire, n° du 13 avril 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8211614/f3.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2</ref>. Un autre incendie, moins grave, était déjà survenu dans le même bois en Modèle:Date-<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 28 mars 1931, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6585005/f7.image.r=marpir%C3%A9?rk=5343374;0</ref>. Des charbonniers y faisaient encore à l'époque du charbon de bois<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du Modèle:Date-, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658414q/f15.image.r=marpir%C3%A9?rk=6266125;2</ref>. Des battues aux sangliers étaient aussi à l'époque régulièrement organisées<ref>Voir par exemple les journaux Ouest-Éclair Modèle:N° du 20 décembre 1931, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658767h/f9.image.r=marpir%C3%A9?rk=5686723;2 et Modèle:N° du 27 mars 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658134g/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=5493589;2</ref>.
Un certain Eugène Grenard, surnommé "La Terreur de Marpiré" aurait pendant cette période « rançonné et rossé les trois-quarts de la population » de la commune, et fit l'objet de nombreuses condamnations<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 18 avril 1920, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6577910/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=5021484;0</ref>.
La Seconde Guerre mondiale
Marpiré n'a eu aucun mort par faits de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale.
L'après Seconde Guerre mondiale
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Économie
Transports
La commune est desservie par la ligne de bus n°2 de Vitré Communauté. Modèle:Article détaillé
Lieux et monuments
- Ancienne église Saint-Pierre, édifice roman du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : elle se compose d'une simple nef terminée par une abside semi-circulaire et était précédée d'un arc de triomphe ; mais elle fut tellement remaniée au fil des siècles qu'elle n'a plus guère de style. Transformée en maison d'habitation et ferme habitée par le sacristain après la construction de la nouvelle église, elle échappa de peu à la destruction. La charpente de la nef, qui date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, a conservé sa disposition d'origine<ref name="r51L2FQ">Modèle:Lien web.</ref>.
- Nouvelle église Saint-Pierre, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : cette église, dédiée à Modèle:Page h', de style ogival a un plan en forme de croix, avec abside à pans coupés, fut construite à l'initiative de l'abbé Jean Royer par l'architecte vitréen Audrouing ; sa façade « surmontée d'un joli petit clocher, offre dans le tympan de la porte un (...) bas-relief représentant saint Pierre délivré de prison par un ange »<ref name="r4TDPKX" />. Sa première pierre fut posée le Modèle:Date et la première messe y fut célébrée le Modèle:Date ; son clocher fut achevé en 1875<ref name="r51L2FQ" />.
- Le rocher de la Salette.
- Le calvaire du cimetière, érigé en 1899<ref name="r51L2FQ" />.
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L'ancienne église paroissiale Saint-Pierre.
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La nouvelle église paroissiale Saint-Pierre.
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L'église paroissiale Saint-Pierre : tympan du portail principal, saint Pierre délivré par un ange.
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L'église paroissiale Saint-Pierre : vue intérieure, la chaire à prêcher.
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L'église paroissiale Saint-Pierre : un des vitraux de la nef, Flagellation et agonie au mont des Oliviers.
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Marpiré : le rocher de la Salette.
Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)