67e régiment d'infanterie

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Titre mis en forme Modèle:Infobox Unité militaire Le Modèle:67e d'infanterie (Modèle:67e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment de Languedoc, un régiment français d'Ancien Régime.

Création et différentes dénominations

Colonels/chef-de-brigade

. .

  • 1880-1883 : colonel Fradin de Linière ;
  • 1939 : colonel Sallant ;
  • Modèle:Date : lieutenant-colonel Dupret ;
  • ...
  • ...
  • 1957-1959 : colonel Roudière
  • 1968-1970 : colonel de Montferrand
  • 1970-1972 : colonel Jacques Lemaire
  • 1972-1974 : colonel Lombard
  • 1974-1976: colonel Perchet
  • 1976-1978 : colonel Yves Puget
  • 1978-1980 : colonel J. Bérenger
  • 1980-1982 : lieutenant-colonel J. Appolinaire
  • 1982-1984 : colonel D. de Bégon de Larouzière de Montlosier
  • 1984-1986 : colonel Richez
  • 1986-1988 : colonel J Baptiste Charpentier
  • 1988-1990 : colonel André Bach
  • 1990-1992 : colonel Richou
  • 1992-1993 : lieutenant-colonel Saliard
  • 1994-1998 : colonel Marc Bréhon

Historique des garnisons, combats et bataille du Modèle:67e RI

Ancien régime

Modèle:Loupe

Modèle:67e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Languedoc (1791-1793)

[[Réorganisation des corps d'infanterie français (1791)|L'ordonnance du Modèle:1er janvier 1791]] fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le terme ci-devant, comme Modèle:67e d'infanterie ci-devant Languedoc.
Chaque régiment n'eut plus qu'un drapeau aux couleurs rouge, blanc et bleu, ayant d'un côté cette inscription : Obéissance à la Loi et de l'autre le numéro du régiment et les noms des actions éclatantes où il s'était trouvé.

Guerres de la Révolution

67e demi-brigade de première formation (1793-1796)

En 1793, lors du premier amalgame la [[Réorganisation des corps d'infanterie français (1793)#67e demi-brigade|Modèle:67e de première formation]] est formée avec les :

  • Modèle:1er du [[34e régiment d'infanterie|Modèle:34e régiment d'infanterie de ligne]].
  • [[2e bataillon de volontaires de Paris|Modèle:2e des volontaires de Paris]].
  • [[11e bataillon de volontaires de la Manche|Modèle:11e des volontaires de la Manche]].

Guerres de la Révolution

Lors du second amalgame, la Modèle:67e de première formation est incorporée dans la [[58e demi-brigade de deuxième formation|Modèle:58e]] de deuxième formation.

67e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)

La [[Deuxième amalgame de l'armée sous la Révolution#67e demi-brigade|Modèle:67e de deuxième formation]] est formée le Modèle:Date républicaine par l'amalgame des :

Guerres de la Révolution et de l'Empire

Modèle:67e d'infanterie de ligne (1803-1815)

Par décret du Modèle:Date républicaine, le Premier Consul prescrit une nouvelle réorganisation de l'armée française. Il est essentiel de faire remarquer, pour faire comprendre comment, souvent le même régiment avait en même temps des bataillons en Allemagne, en Espagne et en Portugal, ou dans d'autres pays de l'Europe, que, depuis 1808, quelques régiments comptaient jusqu'à 6 bataillons disséminés, par un ou par deux, dans des garnisons lointaines et dans les diverses armées mises sur pied depuis cette date jusqu'en 1815.
Ainsi, le Modèle:67e d'infanterie de ligne est formé à 3 bataillons avec la [[Deuxième amalgame de l'armée sous la Révolution#67e demi-brigade|Modèle:1er, Modèle:2e et Modèle:3e de la Modèle:67e de deuxième formation]].

Guerres de l'Empire

Lützen
Bautzen
16-19 octobre : Bataille de Leipzig
batailles de Mâcon
Lyon


Colonels tués ou blessés en commandant le régiment pendant cette période

Officiers blessés ou tués en servant au Modèle:67eR.I. entre 1804 et 1815 :

  • Officiers tués: 22
  • Officiers morts de leurs blessures: 10
  • Officiers blessés: 124

Après la seconde abdication de l'Empereur, Louis XVIII réorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire du Premier Empire.
A cet effet une ordonnance du Modèle:Date licencie l'ensemble des unités militaires françaises.

Le régiment n'est pas recréé, le numéro devient vacant.

Modèle:67e d'infanterie de ligne (1831-1882)

De 1831 à 1848

Le Modèle:67e d'infanterie de ligne est formé à Alger par ordonnance du Modèle:Date-, des volontaires parisiens du régiment de la Charte<ref>Mémoire au roi, présenté par les officiers du Modèle:1er de la charte.</ref>.

Rattaché à l'armée d'Afrique, le Modèle:67e de ligne participe aux campagnes de 1831 à 1835 de la conquête de l'Algérie par la France. En 1831, le régiment s'illustre durant l'expédition de Médéa, le combat sur le plateau d'Ouara, le Modèle:Date-, le combat de Bouffarick, le Modèle:Date-, l'affaire du défilé de Bouffarick, les 3 et Modèle:Date-, les combats sous les murs de Bougie, les 5 et Modèle:Date- et l'expédition contre les Hadjoutes en janvier 1835.

En mars 1846 il intervient lors de la grève des mineurs à Saint-Étienne.

En 1848 et 1849, il est affecté à l'armée des Alpes.

Second Empire

1859 : Un bataillon est en garnison à Reims<ref>Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio </ref>


Modèle:Loupe

De 1871 à 1914

Du 21 au 28 mai 1871, le régiment participe à la Semaine Sanglante

En 1873, le "six-sept" prend pour la première fois garnison à Soissons.

Lors de la réorganisation des corps d'infanterie de 1887, le Modèle:1er forme le 146e régiment d'infanterie

En 1914 le Modèle:67e d’infanterie part de Soissons dans le cadre de la Modèle:23e d’infanterie de la [[12e division d'infanterie (France)|Modèle:12e Division d'Infanterie]]

67e régiment d'infanterie

Première Guerre mondiale

Fichier:Caserne du 67e RI.JPG
intérieur de la caserne Charpentier Modèle:67e rentrant de marche Soissons
1914

Du 2 au Modèle:Date-, la Modèle:130e ([[65e division d'infanterie (France)|Modèle:65e D.I.]]) est à la disposition de la [[12e division d'infanterie (France)|Modèle:12e D.I.]].

1915

Du 17 au Modèle:Date-, violents combats aux Éparges. Sur ordre du Général Dubail, l'attaque commence le Modèle:Date-. Quatre mines de 1500 kilos sautent ; l'attaque française est lancée par les sapes de l’Ouest que l'on a fait exploser. Après une importante préparation d'artillerie, les éléments de la [[12e division d'infanterie (France)|Modèle:12e Division d’Infanterie]] s’engagent. En riposte, l'état-major allemand décide de reprendre les positions concédées. Entre le 18 et le Modèle:Date-, attaques et contre-attaques se succèdent sous un bombardement permanent et d'une violence inouïe.

Fichier:Infanterie-béret.gif
Insigne de béret de l'infanterie

Le Modèle:Date- au matin, un bataillon du [[106e régiment d'infanterie|Modèle:106e Régiment d'Infanterie]] (à droite), un bataillon du Modèle:67e (au centre), et un bataillon du 132e (à gauche), après une très rapide préparation d'artillerie, s'élançaient sur les tranchées allemandes et s'en emparaient. Au centre, le Modèle:67e dépassait même la fameuse crête et dévalait sur les pentes qui descendent vers Combres. Les Allemands qui, pendant la nuit, avaient massé, dans cette région des forces importantes, se lancèrent aussitôt à la contre-attaque et rejetèrent nos troupes sur leurs positions de départ. Le Modèle:67e, descendant vers Combres, est pris entre des barrages et, décimé, se replie ; Seul le bataillon du Modèle:132e put se maintenir, pendant quelques heures, dans un petit bois qu'il avait réussi à conquérir.

Au cours de ces rudes journées du 17 au Modèle:Date-, nos troupes n'avaient pu s'emparer de leur objectifs. . Les Bavarois ont perdu Modèle:Nombre tués, blessés ou prisonniers, mais von Strantz a décidé de tenir coûte que coûte; il fait creuser des abris-cavernes ainsi que des galeries boisées, à Modèle:Unité sous terre<ref>Histoire illustrée de la guerre 1914, Gabriel Hanotaux de l’Académie Française. Édition française illustrée, Paris. 1922 vol 13. Modèle:P.212-213.</ref>,<ref>Le calvaire des Eparges, H. Raymondaud, in "Almanach du Combattant", 1970. Souvenirs février – avril 1915.</ref>. Extrait de l'ordre général no 137 de la I° Armée no 5 106 du Modèle:Date-. 17 au Modèle:Date- — cite à l’ordre de l’armée, unités ou fractions d'unités : Les mérites du [[106e régiment d'infanterie|Modèle:106e Régiment d'Infanterie]], du Modèle:1er du Modèle:67e R.I, de la compagnie 14/15 du [[4e régiment du génie|Modèle:4e Régiment du Génie]] et de la Modèle:4e de la Modèle:9e du [[25e régiment d'artillerie|Modèle:25e Régiment d'Artillerie de Campagne]] sont consacrés par les textes qui suivent : Modèle:1er du Modèle:67e Régiment d’Infanterie : Sous un feu d’une extrême violence, s’est élancé à l’assaut d’une crête transformée par l’ennemi en véritable forteresse et s’en est rendu maître.

Modèle:Date-Modèle:Date- – Engagé sur place dans la Modèle:1re bataille de la Woëvre :

Fichier:Monument du Coq.JPG
Au Point C, crête des Eparges

En date du Modèle:Date- : la Modèle:12e D.I est aux ordres du Gal PAULINIER Objectif primaire : S’emparer de l’éperon Est afin d’avoir des vues directes sur les secondes lignes allemandes. Objectif secondaire : s’emparer du bastion Ouest et de la courtine reliant les deux bastions

En date du Modèle:Date- : Ordre à la Modèle:12e D.I : Objectif : Partant de la base B, Sape 11, N et O, atteindre le Mamelon C et la crête D – X où ils s’installeront. Ces régiments auront en outre à assurer la garde des tranchées de première ligne. Limite droite : boyau T et le point K zéro, Limite Gauche : Corne Sud-est du bois. Limite de l’attaque : au-delà de la dernière tranchée jusqu’à la crête militaire, afin de battre les pentes sur Combres.

Unités concernées : Modèle:24e (106e et Modèle:132e R.I ). Aux ordres du Gal Cdt la Modèle:12e D.I : les deux bataillons restants du Modèle:67e R.I (tranchée de Calonnes) et le Modèle:25e B.C.P (Rupt en Woëvre)

Appui : La Modèle:24e sera renforcée d’un bataillon du Modèle:67e R.I, en réserve à Montgirmont, du groupe d’artillerie de campagne du Modèle:46e R.A de la côte des Hures, et des Cies du Génie 6/4, 6/4 bis, 6/5 et 4/13.

Articulation: 106e R.I à droite, formation triangle pointe en avant, de B et Sape 11, ayant pour objectif du Mamelon C au Point D, crête militaire incluse. 132e R.I à gauche, même formation, à partir de la ligne N, i et O’, ayant pour objectif les points E’, K et X (point X en deuxième objectif). Pivot des 106 et Modèle:132e R.I : point D2.

En date du Modèle:Date- : Modèle:Heure : les Modèle:11e et Modèle:12e Cies du Modèle:67e R.I renforcées à gauche par la Modèle:7e Cie du Modèle:132e R.I s’appuyant sur le Modèle:1er du 132 (Cdt Rayer), traversent les positions tenues et partent à l’assaut des Points X et I. Les Modèle:6e et Modèle:8e Cies (132e R.I) attaquent sur I, E et D. L’attaque est clouée par des tirs de mitrailleuse allemandes venant des Points X et K. Les 2 cies du Modèle:67e RI qui attaquèrent le point X le Modèle:Date- à Modèle:Heure faisaient partie du Modèle:3e Bataillon (Bn Arth). La compagnie de droite (Cie Thil = Modèle:12e Cie) marche vers les points S.F La compagnie de gauche (Cie Duval = ? Cie, certainement Modèle:11e) progresse vers la tranchée alpha.

Modèle:Heure : Les unités françaises étant maintenues sur leurs lignes, violente contre-attaque allemande sur le Mamelon C et le Point D2 (jonction des Modèle:106e et Modèle:132e R.I). Le rapport de force étant trop inégal, les Allemands, au combat au corps à corps, reprennent le Mamelon C. Modèle:Heure : Violents tirs de barrage de l’artillerie française sur les Points C, D, E. Modèle:Heure : Contre-attaque française. Le Modèle:106e R.I reprend le Mamelon C, le Modèle:132e R.I (renforcé du Modèle:1er (Cdt Duffié) du Modèle:67e R.I reprend la ligne D, E, puis la ligne I, S. L’ennemi recule, le Modèle:132e R.I avance jusqu’à D2. Le bataillon Rayer et les Modèle:6e et Modèle:8e Cies du Modèle:132e atteignent le versant Sud. Le Modèle:1er du Modèle:67e (Bn Duffie) marche à Modèle:Heure sur X.I. puis sur XK appuyé par les 2 Cies du Bn Arth.

Fichier:Insigne du 67e Régiment d’Infanterie, losange de bras, Caporal.jpg
Insigne de bras gauche du grade de caporal du Modèle:67e R.I

En date du Modèle:Date- : Modèle:Heure : Violentes contre-attaque allemande. Les deux R.I ne peuvent plus bénéficier de l’appui de l’artillerie française (les lignes de front sont trop imbriquées). Modèle:Heure : Les Unités françaises sont contraintes au repli. Modèle:Heure : ordre est donné au Modèle:25e B.C.P de monter en ligne. Modèle:Heure : Tirs de barrage de l’artillerie allemande suivi, dans la foulée, d’une contre-attaque allemande face au Modèle:106e et Modèle:132e R.I. Débordé, le Modèle:106e R.I perd à nouveau le Mamelon C. Mais la contre-attaque est enrayée. Modèle:Heure : les 106 et Modèle:132e R.I reçoivent l’ordre de repartir à l’assaut appuyés par le Modèle:25e B.C.P plus toutes les réserves des Modèle:106e, 132e et Modèle:67e R.I. Modèle:Heure : le L-cl Barjonnet, commandant le Modèle:106e R.I est blessé au combat. Modèle:Heure : l’heure de l’assaut est reporté. Modèle:Heure : le Cdt Rayer est blessé au combat. Modèle:Heure : l’assaut est définitivement reporté au lendemain. Modèle:Heure : les Français, le Modèle:Date-, ont été presque ramenés sur leurs bases du Modèle:Date-. Modèle:Heure : le Modèle:106e R.I tente des contre-attaques, sans succès<ref>de Fériet (commandant R.), La Crête des Éparges, 1914-1918, Payot, Paris, 1939, 210 pages</ref>. Le 5 avril, par un temps exécrable, la Modèle:12e DI du Général Paulinier, sans relève envisagée, poursuit la mission de reprise des Éparges, entamée depuis le Modèle:Date-. La Modèle:24e du Colonel Gramat se lance à l’assaut de la crête. Le Modèle:106e RI doit s’emparer du mamelon C à droite, et le Modèle:132e RI du point X à gauche. Trois bataillons ont été placés en réserve sur Rupt-en-Woëvre et la tranchée de Calonne. Malgré la boue, les Français s’emparent du point C mais n’empêchent pas les renforts ennemis d’arriver au point X. En soirée, les Français tiennent la crête, mais le Modèle:Date- au matin, les Allemands les submergent et reprennent le point C. Avec l’aide de l’artillerie, les Français sont de retour sur le point C en fin de journée avec d’importantes pertes de part et d’autre. Le mauvais temps ayant empêché les réglages d’artillerie, la plaine de la Woëvre transformée en marécage, force est de constater qu’au soir du Modèle:Date-, « la manœuvre en tenaille » a échoué. Les Éparges restent donc le seul point d’ancrage de l’effort destiné à briser le front ennemi.

La tâche, si ardue, se termine dans la période du 5 au Modèle:Date-, par l’encerclement du point X., clef de la position de cette crête des Éparges d’où chacun veut dominer et arrêter son adversaire. L’honneur de l’enlèvement de cette position revient à 4 compagnies du Modèle:132e et à 2 compagnies du Modèle:67e. C’est le Modèle:Date- qu’une fraction de la Modèle:7e (compagnie de gauche) du Modèle:132e a atteint, au prix d’efforts inouïs, le but de sa mission et s’est jetée sur les derrières de la défense ennemie du point X., prenant pied dans les boyaux de communication menant à Saulx à leur intersection avec le boyau de Combres. Ces braves étaient au nombre de 40<ref>Les grandes heures de 1915 – la guerre des tranchées, Général Mordacq, PLON, 1939</ref>.

Du Modèle:Date- au Modèle:Date-, la Modèle:6e ([[3e division d'infanterie (France)|Modèle:3e D.I.]]) est à la disposition de la Modèle:12e D.I.
Du Modèle:Date- au Modèle:Date-, la Modèle:48e ([[24e division d'infanterie (France)|Modèle:24e D.I.]]) est à la disposition de la Modèle:12e D.I.
Le Modèle:Date-, la Modèle:2e coloniale ([[15e division d'infanterie coloniale|Modèle:15e D.I.C.]]) est à la disposition de la Modèle:12e D.I. )

1916

Modèle:1er - Modèle:Date- – Retrait du front ; repos au nord de Châlons-sur-Marne. À partir du 10, transport par V.F. dans la région de Laheycourt. Repos vers Vaubécourt.

Engagé, à partir du Modèle:Date-, vers la ferme de Bois-l'Abbé, dans la bataille de la Somme : Attaques françaises des Modèle:Date-, 7 et Modèle:Date-.

1917

À partir du 16 avril, il est engagé dans la [[Bataille du Chemin des Dames|Modèle:2e Bataille de l'Aisne]] : progression, en Modèle:2e, à l'ouest de Craonne.

1918

Modèle:Date-Modèle:Date- – transport par V.F. dans la région de Montdidier. Engagé, vers Braches, à partir du 26, dans la bataille de l'Avre (Modèle:2e de Picardie). À la fin d'août, Engagé dans la poussée vers la ligne Hindenburg : À partir du Modèle:Date-, Engagé dans la bataille de la Lys et de l'Escault (Modèle:2e de BELGIQUE) : Combats et progression jusque dans la région d'Eyne.

Entre-deux-guerres

Fichier:Insigne en tissu de le 8e division d'infanterie.jpg
Insigne de bras droit de la Modèle:8e d'infanterie

Modèle:...

Seconde Guerre mondiale

Drôle de guerre

Modèle:Article connexe Le Modèle:67e d'infanterie est l'un des trois régiments d'infanterie de la [[3e division d'infanterie (France)|Modèle:3e d'infanterie motorisée]], cette division est placée en réserve de la [[2e armée (France)|Modèle:2e]]<ref name="JYM 443">Modèle:Ouvrage.</ref> qui doit en premier lieu protéger la ligne Maginot d'une manœuvre de contournement.

Bataille de France

Modèle:Article connexe Le Modèle:67e se bat avec les soldats des 51e et [[91e régiment d'infanterie (France)|Modèle:91e R.I]] en Modèle:Date- notamment sur Stonne (le Verdun de 1940) et le Mont-Dieu. Les dernières unités combattantes sont capturées le Modèle:Date-, après de violents combats et une retraite difficile.
Son chef de corps, le lieutenant-colonel Dupret, est lui aussi capturé.
Le régiment est dissous lors de l'armistice et ses éléments d'active sont versés au Modèle:150e R.I.

De 1945 à nos jours

  • Fin 1944 le Modèle:67e RI est reformé à 3 bataillons avec des cadres en majorité FFI et des hommes provenant du maquis. De février à Modèle:Date-, il participe à la réduction de la poche de Dunkerque et de celle de Saint-Nazaire. Le Modèle:Date-, le régiment est dissous
  • En Modèle:Date-, un bataillon du [[43e régiment d'infanterie|Modèle:43e RI]] s'installe au quartier Gouraud à Soissons et prend le nom de Modèle:67e BI. 4 ans plus tard il devient le Modèle:67e bataillon d'infanterie portée, au sein du GB 9 de la [[6e division blindée (France)|Modèle:6e DB]] et part le Modèle:Date- pour sa troisième campagne d'Afrique. Il s'installe dans le Sud Constantinois.
  • De 1955 à 1960 - Algérie - La Meskiana - Constantinois
  • De 1960 à 1962 - Algérie - Presqu'île de Collo
  • De 1962 à 1963 - Algérie - Camp de Nouvion Oued Melha anciennement occupé par la Légion étrangère dissous en 64 une partie des effectifs iront au 30 BCP à Arzew .
  • En Modèle:Date-, une autre partie des effectifs du 67 RI prennent garnison à Lille sous le nom de Modèle:43e RI
  • Le 67 est recréé à Soissons le Modèle:Date sous les ordres du colonel de Montferrand, comme régiment motorisé de la Modèle:4e brigade motorisée de la Modèle:8e division
  • En 1977, il fut le Modèle:1er à disposer du VAB (véhicule de l'avant blindé) et à défiler sur les Champs-Élysées lors de la fête nationale
  • Dans les années 1980, le Modèle:67e RI de Soissons appartenait à la [[8e division d'infanterie (France)|Modèle:8e d'infanterie]]. (QG à Amiens) du Modèle:3e corps d’armée (QG à Saint-Germain-en-Laye)
  • Le Modèle:67e régiment d'infanterie à Soissons est dissous en 1993
  • Le 67e régiment d'infanterie est recréé en 1994 à Saint-Omer sous la forme de régiment inter-arme divisionnaire composé uniquement de réservistes.
  • Le 67e régiment d'infanterie de Saint-Omer est dissous en 1998.

Drapeau

Fourragère aux couleurs de la Médaille militaire
Fourragère aux couleurs de la Médaille militaire

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes<ref> Décision Modèle:N° du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, Modèle:N°, 9 novembre 2007</ref> :

Fichier:67e régiment d'infanterie de ligne - drapeau.svg

Décorations

Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 Fichier:Croix de guerre 1914-1918 française.jpgavec quatre citations à l'ordre de l'armée.

Il a le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire décernée le Modèle:Date-.

Personnalités

Devise

Bec et ongle

Sources et bibliographie

Notes et références

<references />

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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