Cossé-le-Vivien
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Cossé-le-Vivien est une commune française située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.
La commune fait partie de la province historique de l'Anjou (Haut-Anjou).
Géographie
Cossé-le-Vivien est situé à Modèle:Nombre de Craon, à Modèle:Nombre de Laval et à Modèle:Unité de Château-Gontier. La commune de Cossé-le-Vivien, dans le Haut-Anjou, fait partie de la Mayenne angevine.
Communes limitrophes
Géologie
Le territoire, au sous-sol de schistes précambriens<ref>Daniel Œhlert</ref>, forme une vaste plaine sillonnée par le cours de l'Oudon et des affluents multiples qu'il y reçoit, formés pour la plupart dans les limites communales. La vallée de l'Oudon n'accuse pas une profondeur de Modèle:Unité sur les plus hautes altitudes, cotées de 75 à Modèle:Unité. Les autres vallonnements sont encore moins sensibles.
Voies
Une ancienne voie, venant du gué d'Entrammes par la limite nord de Quelaines, abordait directement le bourg. Le grand chemin de Château-Gontier, distinct de la route actuelle qu'il longe suivant une orientation nord-est, est reconnaissable. Hubert Jaillot fait se croiser au bourg une route directe de Château-Gontier à Vitré et celle de Craon-Laval, sans compter un chemin de la Gravelle et un autre allant à Nuillé-sur-Vicoin.
La carte de Cassini trace la route rectifiée de Craon à Laval, celle de Cossé à la Guerche-de-Bretagne, et celle de Craon à Vitré par Cossé et la Gravelle. Les habitants, décidés sur les conseils de leur curé, à réparer « les rues du bourg aussi bien que les entrées et sorties » qui n'étaient plus praticables, obtinrent en 1733, un règlement de police ordonnant que « les levées des chemins qui ont été autrefois pavées, seront repavées, et que les autres seront au moins accommodées avec terre et cailloutage. » Le grand chemin de Cossé au Pertre est mentionné en 1598, 1611.
La traversée de Cossé était le plus mauvais passage du chemin de Craon à Laval en 1747 ; elle n'avait que la largeur d'une voiture, pleine de trous et de rocailles, creusée de 4, 5 et 10 pieds au-dessous des marges étroites qui donnaient accès aux maisons, suspendues de la sorte sur de vrais précipices. On n'améliora cette chaussée qu'un an après la réfection de la route de Craon à Laval, en 1756<ref>Ernest Laurain, Le chemin de Laval à Craon, 1905, Modèle:P..</ref>.
Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la route de Laval à Craon est nationale ; celle de Château-Gontier à la Guerche, départementale ; des chemins de grande communication ou d'intérêt commun et quelques chemins vicinaux complètent le réseau qui relie ce gros bourg percé de rues en partie montueuses, et dont on mentionne au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle les hôtelleries de la Sirine, du Plat-d'Étain, du Lion d'Or, du Dauphin, etc., avec Quelaines (Modèle:Nombre à l'est) ; Cosmes (Modèle:Nombre au sud-est) ; Craon (Modèle:Nombre au sud); Athée (Modèle:Nombre au sud-ouest, vicinal) ; Ballots (Modèle:Nombre au sud-ouest) ; Méral (Modèle:Nombre à l'ouest) ; Montjean (Modèle:Nombre au nord) ; Loiron (Modèle:Nombre au nord) ; Courbeveille (Modèle:Nombre au nord) ; Astillé (Modèle:Nombre au nord-est). La voie ferrée de Laval à Nantes a une gare à Modèle:Unité du bourg.
Superficie
La superficie, cadastrée en 1817 par Modèle:M. Faverie, est de Modèle:Unité. Elle a été recalculée lors de la rénovation du cadastre à Modèle:Unité.
La paroisse était autrefois divisée en deux cantons : celui du bourg comprenant 83 métairies, « en terres labourables très bonnes et en prés » (1696) ; celui du Ressort, au-delà de l'Oudon et du Pont-Randon, « fonds médiocre, Modèle:Nobr, Modèle:Unité, dont : 750 en terres labourables, 250 en pâture, 210 en prés, 97 en bois, 90 en landes et terres ingrates ». Le Ressort payait la taille à Craon dont il dépendait judiciairement ; la chapelle du Boulay servait pour une partie des villages. Louis-Julien Létard voulait en 1788 établir une paroisse dans ce canton, et le seigneur des Alleux offrait provisoirement sa chapelle et, de plus, donnait à titre définitif le terrain pour l'église, le cimetière, une maison et un domaine pour le curé.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1939 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Urbanisme
Typologie
Cossé-le-Vivien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Cossé-le-Vivien, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), zones urbanisées (4,4 %), cultures permanentes (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom des villages homonymes Cossé-en-Champagne et Cossé-d'Anjou - tous deux situés également dans la région Pays de la Loire, Cossé-d'Anjou se situant plus au sud, sur l'autre rive de la Loire, à proximité d'Angers - procèderaient tous deux d'un toponyme gallo-romain Cocciacum- de Coceio, Cocaium, Cozaiacum, ensuite Cossay puis Cossé. Le terme désigne le domaine d'un certain Coccius. Cette hypothèse peut aussi s'appliquer à Cossé-le-Vivien.
Le gentilé est Cosséen.
Histoire
Protohistoire et Antiquité
En 2019, des fouilles préventives ont permis de mettre au jour des vestiges d'habitats gaulois<ref>francebleu.fr, En Mayenne, des vestiges gaulois découvert lors des travaux du contournement routier de Cossé-le-Vivien, 4 novembre 2020.</ref> à proximité du village, aux lieux-dits La Gauleyère, le Plessis et Melleray<ref>actu.fr, Contournement. Les fouilles archéologiques à Cossé-le-Vivien livrent leurs trésors, 25 octobre 2020.</ref>. Plus au sud, au lieu dit Pont Randou, une voie romaine a été mise en évidence<ref>https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cosse-le-vivien-53230/cosse-le-vivien-des-fouilles-mettent-au-jour-une-ancienne-voie-6434614 ouest-france.fr, À Cossé-le-Vivien, des fouilles mettent au jour une ancienne voie, 07 juillet 2019.</ref>.
Enfin, une fouille archéologique antérieure a révélé, au lieu-dit Guinefolle, des vestiges des Ier et IInd siècles de notre ère, interprétés comme la pars rustica d'une villa gallo-romaine<ref>https://www.inrap.fr/le-site-gallo-romain-de-cosse-le-vivien-en-mayenne-3469 Inrap.fr, Le Site Gallo-romain de Cossé-le-Vivien en Mayenne, 08 octobre 2012</ref>. Le site était à l'époque proche des frontières de plusieurs civitates gauloises, notamment celles des Andécaves, des Namnètes, des Riedones et des Diablintes. On peut également mentionner la proximité des Cénomans.
Féodalité et Ancien Régime
Modèle:Article détaillé La seigneurie de Cossé est vendue vers 1574, par Raphaël de Maillé de la Tour-Landry.
Les deux cantons de la paroisse avaient leur mouvance distincte.
Sous l’Ancien Régime :
- le canton du bourg relevait du comté de Laval. La paroisse<ref>Abbé Angot, Armorial monumental de la Mayenne, Laval, 1913.</ref> appartient au comté de Laval. ;
- la canton du « Ressort » était en litige :
- Selon les uns le « Ressort » serait passé des d'Anthenaise aux Chamaillard, aux Cheorchin, aux Quatrebarbes<ref>Jeanne de Quatrebarbes en rend aveu à Jean de Couesmes, seigneur de Montjean. L'aveu en est rendu au seigneur de Montjean, 1384</ref>, enfin aux La Tour-Landry et aux barons de Terchant. Modèle:Souverain3, seigneur de Montjean, 1407, et Jean de Landivy, son successeur en 1444, relevaient de Laval pour leurs terres et châteaux de Montjean et de Cossé. Ils se prétendirent à la fois suzerains et propriétaires.
- Selon les autres, le « Ressort » était une partie du fief de la baronnie de Craon<ref>Il dépendait de la sénéchaussée principale d'Angers et du pays d'élection de Château-Gontier.</ref>. Christophe de la Tour, en Anjou, de Clervaux, de Bourmont, protesta, prétendant que ses ancêtres, seigneurs de la Motte-Sorchin, étaient fondateurs du prieuré et de l'église, et qu'il avait droit à y mettre « ses armes en litre ».
Modèle:Souverain2, les renvoya devant la cour du Mans, tandis qu'André de Laval voulait que l'affaire fût jugée en cour de Laval<ref>Dont les officiers étaient pensionnaires du seigneur de Laval, son frère.</ref>. André de Laval fit peindre sa litre autour de l'église.
Vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Charles-Claude Goyon, seigneur de Terchant, proteste contre la démolition de poteaux à ses armes, à Cossé et à Ruillé. La rivalité durait encore au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les comtes de Laval et les barons de Terchant, au {{#switch: et au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et au|-| – | et au }}Modèle:S mini- siècle
}}, eurent de longues rivalités au sujet de leurs droits réciproques.
Le duc de la Trémoille comprend la ville et la prévosté de Cossé dans son aveu de Laval, 1674 ; il y a un fermier des droits de coutume et étalage, 1724 ; il prend le titre de seigneur patron dans la cérémonie de bénédiction et même dans l'inscription d'une cloche, 1749. Le Clerc de Terchant se plaint en 1743 de ce que les officiers du comté fassent lever la billette au bourg de Cossé, les jours de foires et de marché, et de fait les halles lui appartenaient.
Notes historiques
La paroisse était constituée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, puisque les Actus pontificum Cenomannis indiquent les redevances dont elle était chargée envers l'église du Mans. En 832, Louis le Pieux ordonna que le bourg public de Cossé payât exactement les dîmes, nones et prémices à la cathédrale. Il renouvela ce décret en 840. Cossé, dans l'intervalle, était devenu bourg canonial.
Les noms anciens de localités les mieux caractérisés sont : Melleray, Thuré, Levaré, Bordé, Bapeaume, Neuville, les Alleux, Romfort, Montsion, Ligneux, Vaujoie, Montbron, Villamis, Saint-Bômer, Sainte-Plaine.
Les Anglais de Buckingham, qui venaient en traversant la France depuis Calais au secours du duc de Bretagne et qui avaient passé la Sarthe à Noyen le jour même de la mort de Charles V (Modèle:Date), séjournèrent quatre jours à Cossé.
Nous connaissons un trait de la vie locale de Cossé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La communauté, communitas villae, possédait un troupeau de porcs que gouvernait un porcher. Celui-ci ayant laissé vaguer ses bêtes dans les blés de Jean de Boschet qui les mit en fourrière, le porcher vint les reprendre subrepticement. Mal lui en prit. L'autre lui courut sus et le tua. Ceci se passait en 1354<ref>Archives du Maine, t. V, Modèle:P..</ref>.
Le Modèle:Date, Brandelis de Champagne logea « au village de Quossé », avec sa troupe, entre la prise du château de la Patrière et celle du château du Coudray.
Le Modèle:Date et le Modèle:Date, orage et grêle qui dévastent une partie de la paroisse.
Révolution française
Le cahier de 1789 demande l'établissement à Cossé d'une brigade de maréchaussée, la création d'un hôpital et d'un bureau de charité aux dépens des biens du prieuré. Sous l'influence du curé Louis-Julien Létard et de quelques meneurs, l'esprit révolutionnaire se fit sentir dès la première heure. « Le bourg », écrit le brigadier de maréchaussée de Craon, « est en complète anarchie au mois d'octobre 1789 ». On doit envoyer de Laval pour arrêter les pillards, des troupes qui sont reçues à coups de fusil.
Le Modèle:Date, la municipalité demande l'établissement d'une brigade de gendarmerie. En juillet 1791, il n'y a plus de sécurité pour les châteaux. La garde nationale désarme et pille les paroisses d'Astillé, Ahuillé et Nuillé sur Vicoin, septembre 1792.
Le Modèle:Date, Cossé est pris par les Vendéens qui marchaient sur Craon ; la garnison, forte de six cents hommes et de deux canons, se retira sans combattre sur la Guerche. Dès le mois de décembre 1793 un poste militaire est établi à Cossé, qui ne cesse pendant toute la Révolution d'être, au centre d'un pays où les Chouans étaient les maîtres, le boulevard des républicains ; mais au milieu de quelles alarmes ! Les rues furent fermées de portes ; le pont sur la route de Laval fut défendu par un retranchement et quelques pièces de marine. La commune, le Modèle:Date est au nombre de celles qui, à l'apparition des Chouans à Cuillé et à Gennes (Ille-et-Vilaine), sera imposée d'un poste de cinquante homnies, livrera tous ses grains, et fournira des otages.
Il y a un manque absolu de subsistances : on donne aux pauvres le pain pourri abandonné par la troupe, le Modèle:Date. Ordre est donné de couper les genêts et « hudins » où se retirent les Chouans, Modèle:Date. Mais les Chouans tiennent toutes les campagnes, et cernent la ville (décembre 1794). Les Chouans enlèvent les essieux des voitures, Modèle:Date. Le commandant Bochonnier, de Craon, envoie ses « colonnes agissantes » pour parer à une attaque de huit cents Chouans qu'on redoute, 28 février. Giraud. commandant du cantonnement, avait écrit dans ce sens au général Duhesme dès le 21 février, dénonçant spécialement les habitants d'Ahuillé.
« Il semble qu'on n'ait plus aucun reproche à faire aux Chouans ». Quand ces derniers rendent les armes, en mai 1796, ils « semblent faire grâce au lieu de la recevoir ».
Dès janvier 1797, les inquiétudes renaissent. L'arbre de la liberté, « dont la vigueur et la beauté expriment si bien, dit Létard, nos sentiments patriotiques », n'est plus en sûreté. « L'esprit public s'anéantit ;... les Chouans continuent à régner (24 septembre). Le 26 et le 29 fructidor an V, le commissaire du directoire exécutif, avec sept citoyens, le juge de paix et ses assesseurs, envoient au Directoire une adresse de félicitation pour le coup d'État du 18 fructidor ». « On craint une reprise d'armes (Modèle:Date). Le feu semble se rallumer de toutes parts (22 septembre). Le danger et la terreur font chaque jour des progrès effrayants (Modèle:Date) ». Le Modèle:Date, il faut réparer les fortifications. Les Mécontents enrôlent les jeunes gens, arrêtent les récoltes. « Nous voilà encore cernés », écrit Létard. Le prieuré est fortifié. C'est là que les postes doivent se replier en cas d'invasion. Le Modèle:Date, le général royaliste Louis d'Andigné envoie à trois heures du soir une sommation de se rendre dans un quart d'heure. Mais douze cents hommes sont repoussés après un combat de fusillade qui dure jusqu'à dix heures et se retirent à la Chapelle-Craonnaise et à Denazé. Les républicains de Cossé disent avoir eu affaire le Modèle:Date à Modèle:Nombre de M. d'Andigné ; or celui-ci n'en avait que 400 à l'affaire de Noyant qui avait lieu le 21 ; il y a donc là l'exagération ordinaire. D'après d'Andigné<ref>Mémoires, t. I, Modèle:P..</ref> son échec vint de l'obligation que lui firent ses officiers d'envoyer une sommation. Son aide-major, d'après le correspondant du général Jacques Darnaud, était Alexandre. Le 27 et le 28, Cossé craint un retour offensif et demande des munitions. Le 30, le général Darnaud prépare une expédition vers Cossé, et l'on se propose de demander le concours de la garnison de Craon. Malgré cela, le [[1er octobre|Modèle:Abréviation discrète octobre]], toutes les administrations et même les citoyens demandent des secours ou des moyens de se replier sur Craon. « Il faut un secours important pour rompre ce torrent dévastateur » des Chouans. On sait que la retraite se fit sur Laval.
Pendant la suspension d'armes (décembre 1799), Saint-Robert avec ses Chouans a son quartier général à Cossé, perçoit les fermages des biens nationaux et fait des réquisitions dans les paroisses voisines. Le Modèle:Date, 300 hommes commandés par Saint-Robert, La Houssaie, dit Boucanneur, ancien gendarme, et Legerot, occupaient Cossé ; il n'y avait plus qu'une quinzaine de cavaliers de l'escorte de Saint-Robert le 4 janvier 1800. Le 3 janvier 1800, ils mettent le feu au clocher, et ne quittent qu'après la pacification complète. La soumission ne se fit dans le canton que le Modèle:Date<ref>Correspondance. Darnaud.</ref>.
Restauration
Le Modèle:Date, d’Andigné s'empara avec Modèle:Unité du bourg, où il fut surpris dans la nuit du 28 au 29 par un détachement de grenadiers. Il y eut un combat sanglant sous les halles. L’un des chefs royalistes, Henri de Saint-Sauveur, est assassiné.
L'étang de la Tannerie, près de Cossé-le-Vivien, donne, chaque fois qu'on le vide, des épidémies de fièvres typhoïdes ou palustres ; celle de 1865, qui fut observée par de Montozon, fut particulièrement sérieuse.
Politique et administration
Administration ancienne
- Notaire royal et du comté de Laval ; un préposé, un lieutenant et quatre gardes de gabelle ; préposé des vingtièmes pour les impôts fonciers ; receveur et contrôleur des traites et des aides.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
- Justice de paix, notaire, huissier ; bureau de perception pour Cossé, Cosmes, Peuton, Quelaines, Simplé, La Chapelle-Craonnaise ; enregistrement, par décret du : Modèle:Date ; gendarmerie depuis l'an II. Bureau de poste depuis 1843 ; télégraphe, 1874 ; caisse d'épargne, 1899.
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous. Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Enseignement
Écoles
Jean Courtais, clerc, étudie à Cossé en 1599. René Herrier est maitre d'école au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Le pouillé du diocèse et Thomas Cauvin mentionnent un petit collège, dont en effet Herrier en 1734 et Julien Faguer en 1754 sont principaux. René Ricoul, père de famille, greffier de la justice de paix, ayant « le talent de l'écriture et du calcul », fut élu comme instituteur le 16 vendémiaire an V et remplacé, le 11 thermidor an VII, par Charles Petit, ex-curé de Bouessay.
Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, école communale laïque et école libre congréganiste fondée en 1876 par Modèle:Mlle Collet et la famille de Bodard. — Pour les filles, l'existence d'une maîtresse d'école, dotée même d'une petite rente de 20 livres, est attestée avant 1765. Le 14 juillet de cette année, le clergé, les principaux propriétaires et les plus notables habitants réunis en corps politique, considérant le manque d'instruction « faute d'école de charité propre à instruire les jeunes filles », décident d'accepter un legs de Modèle:Nombre fait par des personnes pieuses et d'appeler trois sœurs de l'institut de Saint-Vincent-de-Paul, auxquelles on accorderait comme logement la maison dite du Grand-Saint-Jacques, don de François Chauvin, prêtre. Une des sœurs s'occupait des malades et même, en cas d'épidémie, toutes soignaient ceux qui en avaient besoin. Modèle:Mlle de la Corbière laissa en 1787 une rente de 165 livres à distribuer en remèdes et bouillons. Pendant la Révolution, l'ex-ursuline Marie Pauvert, qui s'était sécularisée avec enthousiasme, vint tenir l'école des filles qu'on voit prendre part à toutes les fêtes républicaines par des récitations, des dialogues, des danses. Les sœurs d'Évron sont installées à Cossé depuis 1817. Les classes sont complétées par une salle d'asile depuis 1842.
Écoles communales primaire et maternelle, tenues par les sœurs d'Évron, laïcisées par arrêté préfectoral du Modèle:1er septembre 1904 ; — remplacées par des écoles chrétiennes libres. — École primaire chrétienne, libre, pour les garçons, tenue par des séculiers, remplaçant l'école tenue par les frères de la Doctrine Chrétienne.
Manifestations culturelles et festivités
Sports
Médias
Économie
Le commerce du fil et de la toile était très étendu avant la Révolution française.
Foires et marchés
Foires et marchés créés au profit du seigneur de Torchant par lettres patentes de 1570, demeurées sans effet et caduques, disent les officiers de Laval en 1743, qui reconnaissent toutefois que les halles appartiennent à M. Le Clerc de Terchant.
Le marché du jeudi et six foires tous les ans sont mentionnés dans le Mémoire sur le Comté de Laval de Julien Le Clerc du Flécheray (1680). Le boisseau de Cossé contenait un boisseau et demi de Laval. En 1752, marché le jeudi, quatre foires, toutes le jeudi : seconde semaine de carême, après la Pentecôte, la Saint-Augustin et la Saint-Denis. « Ces foires sont célèbres », dit Pierre-François Davelu, « et les halles assez commodes. » Les droits d'entrée pour les bœufs ou vaches étaient de 40 sols, pour les veaux 12 sols, pour les moutons ou chèvres de 4 sols, et de 2 deniers par livre de viande. M. de Terchant les affermait 60 livres par an, à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
On mentionne au bourg, en 1750, la maison de la Fontaine-Houdion. « À Cossé », écrit Jul. Le Clerc du Flécheray (1689), « il y a plusieurs rues champêtres, le bourg contient environ cent maisons. Il y a bureau des traites, et huit à dix maîtres tissiers qui peuvent avoir, l'un portant l'autre, cinq à six mille livres de biens, dont ils font faire des toiles par les maîtres tissiers pour les vendre aux marchés de Laval ou à ceux de Château-Gontier dont ils ne sont guère plus éloignés<ref>(Comté de Laval, Modèle:P.)</ref> ».
Les paroissiens disent en 1789 qu'ils sont seuls soumis à ces droits dans l'élection de Laval, et demandent, si on ne les supprime pas, qu'ils soient appliqués pour la moitié « aux travaux de nécessité si essentiels et si multiples du bourg ». Malgré les douze foires par an et les deux marchés par décade décrétés par la République, personne ne pouvait se rendre au bourg, cerné par les Chouans. — Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, foires le 9 janvier (1884), le deuxième jeudi de carême, jeudis après la Quasimodo et après la Pentecôte, derniers jeudis de juillet et d'août, deuxième jeudi d'octobre ; marché de denrées, et de grains (1841), tous les vendredis.
Religion
Paroisse
Paroisse autrefois du diocèse du Mans, de l'archidiaconé et du doyenné de Laval, de l'élection de Laval pour le canton du bourg, de Château-Gontier pour le Ressort, du ressort judiciaire et du grenier à sel de Laval Modèle:Incise de la Mission de Laval en 1797, érigée en cure et doyenné par décret du 5 nivôse an XIII, de l'archiprêtré de Château-Gontier ; deux vicariats, érigés par décret du Modèle:Date. Jusqu'en 1897, il y eut un troisième vicaire rétribué par la fabrique.
Église
L'ancienne église, dédiée à saint Gervais et saint Protais se trouvait sur la place centrale du bourg, notablement agrandie par sa disparition. Construite à diverses époques, en grande partie au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle avait des bas-côtés et cinq autels : ceux du Sacré-Cœur et de la Sainte Vierge aux côtés du maître-autel et, adossés aux piliers du bas du chœur, les autels de saint Louis et de saint Sébastien. Elle était « petite mais assez belle » au jugement de Pierre-François Davelu (1780).
En 1500, les paroissiens « tant d'Église, nobles que layz », avaient demandé à l'abbé de Saint-Florent de « l'accroistre de Modèle:Rom-maj pieds ou environ sur la court du prieuré, la tierce partie des paroissiens n'y pouvant entrer ». On laissait au prieur son « guischet et ses bancs au chœur et chanzeau ». Ce travail fut exécuté. L'église possédait des orgues dont, dit le curé Louis-Julien Létard, « le buffet a été dévalisé par les soldats de l'armée révolutionnaire » (Modèle:Date).
La nouvelle église romane, construite de 1866 à 1876 sur les plans de Modèle:M. Lemesle, est un peu en dehors de l'agglomération, dans l'axe d'une rue neuve. Intérieurement, pour l'abbé Angot, c'est un vaisseau majestueux, d'aspect grandiose avec ses trois nefs, son immense transept, ses arcatures multiples, la richesse de ses sculptures, exécutées par M. Blusseau, enfant de la paroisse. Le chœur, riche et pieux, est orné de belles verrières et de cinq grandes compositions sur fond d'or, exécutées par M. Vivet d'après Flandrin, Johann Friedrich Overbeck, etc., représentant quatre scènes de la vie de la Vierge et, au centre, le Sauveur bénissant entre saint Gervais et saint Protais. Aucune église du diocèse ne présente un aspect plus imposant. L'abbé Angot se demande pourquoi faut-il qu'à vingt-cinq ans d'âge ce monument soit déjà réduit à perdre sa flèche en pierre et sa tour qui menaçaient ruine ! La consécration fut faite le Modèle:Date.
L'église d'une beauté majestueuse intérieurement, n'a pas été construite malheureusement dans les conditions voulues de solidité. On a dû démolir la flèche et, travail plus délicat, reprendre les bases insuffisantes d'une partie des murs (avril 1903). L'inventaire de 1906 eut lieu dans la première quinzaine de février, après la promesse non tenue par l'agent d'insérer la protestation commune du clergé et des fabriciens, et en présence des paroissiens. Ceux-ci, invités au calme, priaient pendant la durée de l'acte qui les révoltait.
Chapelles
- Chapelle du Bois-Ragot, fondée à l'autel de Notre-Dame par Philippe de Thuré et décrétée le Modèle:Date, dotée du lieu de la Guinemalière ; parmi les titulaires :
- Jean de Lancrau, 1560 ;
- Pierre de Lancrau, abbé de Saint-Jean d'Orbestier, évêque de Lombez, 1565, 1577;
- Jean de Lancrau, le jeune, 1589 ;
- Mathurin Cibille, 1589 ;
- noble François Le Prévost, du diocèse de Rennes, 1600 ;
- noble Paul-Jérôme du Feu, de Saint-Marc-sur-Couesnon, 1664 ;
- noble Julien Bocquet, curé de Saint-Aubin-du-Cormier, 1679 ;
- Jean-Baptiste de Meaulne, curé de Houssay, 1696 ;
- Charles de la Barre, 1708 ;
- Claude du Plessis-Montgenard, 1721 ;
- Louis de Seillons, curé de Cuillé, 1748;
- Chapelle des Bonnets, de trois messes par semaine, dont l'une dans la chapelle Saint-Catherine, au cimetière, dotée de diverses pièces de terre par André Dormet, prêtre ;
- Chapelle de la Normandière, fondée le Modèle:Date par M. Jagu, curé. La Normandière fut vendue nationalement, le Modèle:Date, pour 2.250 livres ;
- Chapelles des Courtois et de la Herbretière ;
- À Modèle:Unité sur la route de Cosmes, chapelle de Notre-Dame du Mont-Carmel bâtie en 1818 à l'occasion de l'érection de la confrérie du Scapulaire ;
- Non loin, chapelle ogivale de Notre-Dame du Sacré-Cœur (architecte Delarue), 1872.
Confréries
La confrérie de Notre-Dame existait en 1463. — Celle du Saint-Sacrement fut érigée et enrichie d'indulgences par bulle d'Innocent X, du Modèle:Date, avec règlement approuvé par Philibert-Emmanuel de Beaumanoir et prescrivant une confession générale. Deux sœurs s'occupaient des pauvres et recueillaient les aumônes. La confrérie. qui possédait entre autres biens le lieu de la Frenouse, paya en 1689 la somme de 691 livres pour amortissements et nouveaux acquêts.
Presbytère
Le curé fut autorisé, en 1407, à abattre l'ancien presbytère, à condition d'en élever un nouveau, long de 35 pieds, large de 18, bâti en pierre jusqu'à la hauteur de 13 pieds et surmonté d'un étage en bois, avec deux pignons et deux cheminées, l'une au rez-de-chaussée, l'autre dans la chambre, et un portail d'entrée. Le presbytère, « un peu éloigné », dit Davelu, était occupé par la gendarmerie en 1802. Le presbytère actuel a été bâti en 1828.
Cimetières
Le petit cimetière environnait l'église. Le grand, au-dessus du bourg, avait une chapelle dédiée à sainte Catherine, et dans laquelle André Dormet, prêtre, élit sa sépulture en 1521, et fonde une messe par semaine. En 1823, à la suite d'une mission, on y construisit une chapelle du Calvaire.
Prieuré
Le prieuré Saints-Gervais-et-Protais, relevant de l’abbaye Saint-Florent de Saumur, avait son manoir, nommé l’Abbaye, joignant l'église, avec un « guichet » ou porte spéciale. Le titulaire fut assigné aux assises du Mans pour le mettre en état de réparation, en 1457. En 1756, on y fit des travaux.
Un prieur et deux moines résidaient, en 1271. La conventualité s'y maintint, au moins jusqu'au commencement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, car un religieux y fait son vœu de stabilité en 1500. Louis XI, par lettre datée de Beaugency, le Modèle:Date, sanctionna un règlement qui donnait au prieur la faculté de dire les deux premières messes des services solennels, le curé n'ayant droit qu'à la troisième. Vers 1150, Guillaume de Passavant avait attribué au curé un tiers des offrandes aux sept grandes fêtes, la moitié aux dimanches et autres fêtes, un setier par muid sur la dîme des moines, tout le produit de la fête des morts, des mariages, des relevailles, la moitié des duels judiciaires. Tout le reste appartenait aux Bénédictins, qui étaient curés primitifs non seulement de Cossé mais d'Ampoigné. Les charges étaient au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle de trois messes par semaine et de 104 boisseaux de seigle du poids de 50 livres à distribuer aux pauvres.
Par bulle de 1186, Urbain III confirma le prieur dans la possession des chapelles de Saint-Germain, de Saint-Bomer et de Sainte-Plaine. Celle de Saint Julien-de-Bapeaume était reconnue aussi, plus tard, comme dépendante du prieuré. La chapelle de Saint-Germain était sur le chemin de Cossé au moulin de Melleray ; le prieur de la Barre de Cosmes y bénit deux croix de bois en 1575, avec accompagnement « de chanterie et de banquet ». En 1621, le curé se fit maintenir dans la possession des offrandes, à charge d'entretenir la chapelle ; mais, par accord du Modèle:Date entre le procureur syndic et le prieur, les habitants étaient autorisés à jouir des deux chapelles de Saint-Julien et de Saint-Germain, et même à les « retrancher » sans réclamation des prieurs. Aucun vestige ne reste, aucun souvenir même, de la chapelle de Saint-Bômer, qui était sans doute au village de ce nom.
La maison priorale et trois métairies vendues nationalement le [[1er février|Modèle:Abréviation discrète février]] 1791 pour Modèle:Nombre, font partie en 1797 de la succession de Pierre Thoreau-Touchardière, officier de santé, mari de Perrine Louveau. Le temporel comprenait la Moisandière, les Rainières, l'Étrumière, Courcelles et le Plessis ; les dîmes des gros grains (Modèle:Nombre), du sarrasin (627 livres), du lin (670 livres), en 1792.
Institutions
Hospice
Hospice de vingt-quatre lits fondé en 1833 par Modèle:M. Davost, curé, reconnu par ordonnance royale du 5 septembre 1836. Il doit être tenu par des religieuses, chargées en même temps, par l'acte de fondation, d'instruire les petites filles pauvres de la paroisse. Les sœurs d'Évron, depuis l'origine, assurent ce double service.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Musée Robert-Tatin (à la Frénouse),
- Le château des Alleux (Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- parc éolien<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Patrimoine culturel
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- Constantin Chauvin (1859-1930), religieux, évêque.
- Joseph Gemain (1882-1939), dirigeant et journaliste sportif.
- Ernest Houssay alias l'Abbé Julio (1844 à Cossé-le-Vivien - 1912), religieux et guérisseur.
- Louis-Julien Létard (1750 - 1814 à Cossé-le-Vivien), religieux, curé.
- Suzanne Pérois, épouse Mazé (née en 1902 à Cossé-le-Vivien), modiste et écrivain<ref>Elle est l'auteur avec la collaboration de Maurizio Catani de l'ouvrage Tante Suzanne ou l'histoire de vie sociale et du devenir d'une femme qui fut d'abord modiste dans la Mayenne à l'époque de la Première Guerre mondiale et ensuite l'épouse d'un horloger à Paris, mère de deux enfants et propriétaire d'un jardin en grande banlieue, sans jamais nier ses origines.. Elle raconte dans ce livre son histoire de vie sociale.</ref>.
- Aimable Roussel, né à Neuilly-le-Vendin en 1845, mort à Cossé-le-Vivien en 1882, vicaire à Cossé-le-Vivien où se trouve encore sa tombe au centre du cimetière.
- Michel Sorin (né en 1961 à Cossé-le-Vivien), footballeur professionnel puis entraîneur.
- Robert Tatin (1902 - 1983) peintre et sculpteur mort à Cossé-le-Vivien.
- Stanislas Daniel de Vauguyon (1823 - 1871), maire de Cossé-le-Vivien, député
Héraldique
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Sources
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du Modèle:1er mars 2015)
Bibliographie
- Registre paroissial depuis 1594 ;
- M. Galland a publié<ref>Bull.. t. XX, Modèle:P..</ref> une étude sur l'administration municipale de Cossé sous le Directoire ;
- Archives municipales ;
- Chronique paroissiale du curé Davost, restée manuscrite ;
- Archives départementales de la Mayenne, B. 61, 215, 227, 587, 652, 660, 681, 691, 705, 940, 948, 2.270, 2.821 ; C. 139; E. 37, L. 49. ;
- Bibliothèque nationale, fds. lat., 5.441, tit. d'Origné ;
- Archives départementales de Maine-et-Loire. Cart. de Méral et fds. de Saint-Florent. ;
- Bulletin de la Commission historique de la Mayenne, t. V, Modèle:P., 36 ; Modèle:2e, t. IX, Modèle:P.. ;
- Chartrier de M. le duc de la Trémoille ;
- Archives nationales, Q/3. 78 : Iti5. 383 ; F/7. 3.211 ; F/1c III, Mayenne, 8. ;
- Célestin Port, Dictionnaire de Maine-et-Loire, t. I. Modèle:P.. ;
- Revue du Maine, t. III, Modèle:P. ; t. XXII, t. XXIII, Modèle:P.. ;
- De Bodard, Chroniques craonnaises ;
- Archives départementales de la Sarthe, I. 517. ;
- Annuaire de la Mayenne, 1852.
- Modèle:AbbéAngot, tome I et IV (supplément) ;
- Abbé Angot, Armorial monumental de la Mayenne, Laval, 1913.
Notes et références
Notes
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