Courrières

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Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Courrières est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Courriérois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe Modèle:EPCI-pop1 communes et compte Modèle:Nombre en Modèle:EPCI-pop1.

La commune est connue pour la catastrophe de Courrières survenue dans les charbonnages de la Compagnie des mines de Courrières qui exploite alors ses fosses Modèle:Nos1 et 8 - 16. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Au cœur du bassin minier, Courrières est à proximité immédiate de Carvin (Modèle:Unité), Lens (Modèle:Unité), Arras (Modèle:Unité) et Lille (Modèle:Unité) grâce à un important réseau autoroutier. Elle est enserrée sur trois côtés par le canal de Lens et le canal de la Haute-Deûle.

Modèle:Carte interactive

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes : Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Modèle:Article connexe Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par deux canaux :

La commune est également drainée par les Préaux, petit cours d'eau de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Carvin et se jette dans le canal de la Deûle au niveau de la commune de Courrières<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Modèle:Article détaillé Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »<ref group=Note>Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).</ref>, selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.

Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Urbanisme

Fichier:Jules Breton - L'arc-en-ciel à Courrières - PPP647 - Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.jpg
L'arc-en-ciel à Courrières de Jules Breton.

Typologie

Courrières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), zones urbanisées (33,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,5 %), forêts (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Voies de communication

Modèle:Article connexe La commune est desservie par les routes départementales D 46 et D 919 et est proche (Modèle:Unité) de la sortie Modèle:N° de la rocade minière reliant l'A26 au niveau de Bully-les-Mines à l'A2 au niveau de Douchy-les-Mines<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Transport ferroviaire

Modèle:Article connexe La commune se trouve à Modèle:Unité, au nord, de la gare de Dourges, située sur la ligne de Lens à Ostricourt et desservie par des trains TER Hauts-de-France<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune était située sur la ligne d'Hénin-Beaumont à Bauvin - Provin, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1879 à 1970, Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) à Bauvin (Nord).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Currierum (1024) ; Coureriæ (1070) ; Coreriæ (1119) ; Cureriæ (1129) ; Coreres (1162) ; Corieres (1223) ; Kourieres (1229) ; Couriers (1240) ; Chourieres (1254) ; Courieres (1310) ; Courrierez (1330) ; Courierez (1336) ; Courriers (1638) ; Courrières (1766)<ref name="Dico">Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.</ref>.

Le nom de la ville aurait pour origine, corulus ou corylus : coudrier (ancien nom du noisetier) ce qui aurait dérivé en Coorerise puis, Currierum, Courieraie et enfin Courrières<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Moyen Âge

En 1002, Anselme {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, Comte de Lens et de Saint-Pol, fit construire à Courrières, un château-fort.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Courrières était dans la dépendance des ducs de Bourgogne.

Époque moderne

En 1532, Jean de Montmorency, seigneur de Courrières et chambellan de Charles Quint, chevalier de la Toison d'Or, gouverneur du château de la Motte-au-Bois en 1525<ref>Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 33, lire en ligne</ref>, fit édifier l’église Saint-Piat dont le clocher et le côté gauche de la nef subsistent. Faisant partie des Pays-Bas espagnols, Courrières fut rattachée à la France en 1659 par le traité des Pyrénées.

En 1665, Courrières est une baronnie appartenant à François Alexandre d'Oignies, marié à Angéline de Bryas. Angéline hérite de son frère Albert de Bryas une seigneurie située dans la châtellenie de Bourbourg.

En 1724, la baronnie de Courrières est toujours aux mains de la famille d'Oignies : François Joseph d'Oignies, dont un fils François Joseph est baron de Robecq et un autre fils Louis Théodore, baron d'Oignies, est prêtre à l'église Saint-Donat de Bruges<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

À côté de la seigneurie de Courrières, le lieu comprend différents fiefs donnant à leur possesseur le titre de seigneur. Ainsi au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Ernest-Joseph Cardon (1722-1772) est seigneur du Rotoy à Courrières. Fils d'Ignace-Joseph, seigneur du Jardin, bourgeois de Lille, et de Marguerite-Thérèse Dancoisne, dite Le Cocq, il est baptisé à Lille le Modèle:Date. D'abord novice jésuite à Tournai, on le retrouve échevin de Lille, administrateur de la Charité générale, marguillier de La Madeleine. Mort le Modèle:Date, il est inhumé dans la collégiale Saint-Pierre de Lille. il épouse le Modèle:Date, Catherine-Françoise Desruelles (1734-1791), fille de Pierre-Antoine-Constantin et de Marie-Françoise-Prevost, née en 1734, morte le Modèle:Date, enterrée au cimetière de Fives<ref>Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 674-675, lire en ligne.</ref>.

Époque contemporaine

L'histoire de la région reste marquée par une catastrophe minière improprement appelée catastrophe de Courrières, par référence au nom de la compagnie minière concernée. Ce dramatique accident fit 1099 morts le Modèle:Date. Il ne se déroula pas sur le territoire courriérois mais sur celui des communes de Billy-Montigny, Méricourt et Sallaumines.

Exploitation Charbonnière

Modèle:Article détaillé

Fichier:Courrières - Fosse n° 1 des mines de Courrières (A).jpg
La fosse Modèle:N°1 en 1899.

Courrières est le nom d'une des plus importantes compagnies minières de France. Cependant, peu d'activités minières étaient situées sur le territoire communal, au regard de l'importance de la compagnie qui doit son nom à la création de son premier puits sur le territoire de Courrières.

En Modèle:Date, Vincent van Gogh après avoir été « mineur parmi les mineurs » et « pauvre parmi les pauvres », sa descente à Modèle:Unité dans le puits B du charbonnage de Marcasse, sa mission d'évangéliste non reconduite décide de venir à Courrières rencontrer Jules Breton qu'il avait déjà croisé à Paris à la galerie Goupil. Il prend le train de Mons à Valenciennes continue son voyage à pieds par un temps détestable. Arrivé à Courrières, Jules Breton n'est pas présent. Découvrant son atelier de briques, colonnades et statues, il le trouve certainement luxueux par rapport à ces conditions de prêtres-ouvriers.

Désemparé, il passe par l'église ou il regarde un tableau (copie) de Jules Breton la mise au tombeau de Titien, découvre Don Quichotte au café des Beaux-Arts. Il s'en retourne à Cuesmes dans le Borinage à pieds avec un voyage pénible dormant dans de la paille, vendant quelques dessins pour subsister, et prend alors la décision de vouer sa vie à la peinture. Il lui reste dix ans de vie et 2 000 œuvres à réaliser<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le 24 septembre 1880, il écrit à son frère Théo : « Il s’agit pour moi d’apprendre à bien dessiner, à être maître soit de mon crayon, soit de mon fusain, soit de mon pinceau, une fois cela obtenu je ferai de bonnes choses presque n’importe où, et le Borinage est tout aussi pittoresque que le vieux Venise, que l’Arabie, que la Bretagne, la Normandie, Picardie, ou Brie »<ref> Modèle:Lien web.</ref>,<ref> Modèle:Ouvrage.</ref>.

Fosse 1 de Courrières

Mis en service en 1849, d'un diamètre de Modèle:Unité, ce puits fut le Modèle:1er du département du Pas-de-Calais. C'est grâce au personnel de la compagnie de Douchy que fut réalisé ce fonçage à l'entrée de Courrières sur la route d'Hénin-Beaumont. La fosse exploite un gisement de charbons maigres mais très grisouteux. La fosse est terminée en 1851 et le puits atteint Modèle:Unité en 1952. Cette fosse fut vite surnommée Poussière. Le houiller est atteint à Modèle:Unité. Le cuvelage est fait en bois de 8 à Modèle:Unité de profondeur. Des accrochages sont réalisés à -184,-211 et -Modèle:Unité. La Fosse est arrêtée vers 1900, son gisement étant trop accidenté. Le puits servira aux recherches de gisement et à l'aérage pour être remblayé en 1914. En 2009 ne subsiste qu'un ancien atelier transformé en brasserie.

Fichier:Courrières - Fosse n° 8 - 16 des mines de Courrières (D).jpg
La fosse Modèle:N°8 - 16 de Courrières en 1920.

Fosse 8 de Courrières

Elle a été fondée en 1889 au diamètre de Modèle:Unité sur la commune de Courières en bordure du canal pour exploiter un gisement de charbons maigres. Le houiller est atteint à Modèle:Unité et les premiers accrochages à 153,188 et Modèle:Unité de profondeur. Le puits jumeau no 16 sera ajouté en 1906. Le chevalement est démoli en 1958 pour être remplacé par une tour de béton de Modèle:Unité. une installation de dégazage est installée en 1967. Le puits 16 (Modèle:Unité) est remblayé en 1963, le 8 (Modèle:Unité) l'est en 1974. Les ventilateurs seront démontés et réinstallés au 9 de Lens.

Centrale de Courrières

Fichier:Centrale de Courrières en 1980..jpg
Centrale de Courrières en 1980.

Troisième supercentrale des HBNPC (Houillères du Bassin du Nord - Pas-de-Calais), comme appelée à l'époque. Elle est mise en service en 1962. Jumelle des centrales de Violaines et d'Hornaing, Elle alimente les derniers sièges et la cokerie de Drocourt. Elle brûle les bas produits ainsi que les produits huileux, avant sa fermeture. Les Houillères décident l'implantation sur le site de SOTRENOR, incinérateur industriel des huiles et produits polluants, qui reprendra cette activité de la Centrale après son arrêt, qui interviendra en 1992. Elle est ensuite totalement détruite. Il ne subsiste que les murs et grilles d'entrée et d'enceinte, la fondation d'un des réfrigérant, intégré à un parc, le terril à cendres, en exploitation et le hangar des bulldozers, à proximité du terril.

Seconde Guerre mondiale

Pendant la Seconde Guerre mondiale, au cours de la bataille de France, l'armée allemande mit le feu au village qui fut détruit à 90 %. Elle exécuta sommairement 45 otages. Après la guerre, la croix de Guerre 1939-1945 avec palme fut attribuée à Courrières, en tant que ville martyre.

Politique et administration

Découpage territorial

Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais depuis 1962, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Béthune<ref name="Cassini" />.

Commune et intercommunalités

Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin.

Circonscriptions administratives

Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton de Carvin.

Circonscriptions électorales

Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la onzième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Modèle:Article connexe

Élections municipales 2020

Résultats des municipales de 2020 à Courrières
Fichier:Conseil municipal Courrières.svg
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | Christophe Pilch<ref>Modèle:Article.</ref> PS 2 598 75,94 29 5
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| Patricia Rousseau<ref name=sortants group="Note">Liste du maire sortant ou de la maire sortante</ref> DVG 823 24,06 4 0
Votes valides 3 421 97,50
Votes blancs 30 0,85
Votes nuls 58 1,65
Total 3 509 100 33 5
Abstention 4 225 54,63
Inscrits / participation 7 734 45,37

Liste des maires

En 2014, le maire sortant Christophe Pilch (LUG) est le seul à se présenter à sa succession. L'abstention s'élève alors à 46,97%<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Modèle:Article connexe Modèle:Jumelages

Équipements et services publics

La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,58 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Vie associative

La commune dispose de deux harmonies héritées du temps des mines : l'harmonie Union Fait la Force et l'harmonie Hilariter.

Cultes

Fichier:Chapelle Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus (Courrières)1.JPG
Chapelle Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus.
  • l'église Saint-Piat (voir Monuments historiques). Elle est rattachée au diocèse d'Arras, à la paroisse Saints Pierre et Paul aux Portes du Nord qui regroupe Carvin, Courrières, Estevelles, Libercourt et Oignies, et au doyenné d'Hénin-Carvin.
  • la chapelle Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus
  • la mosquée Ennasr la plus proche située rue d'Harnes à Hénin-Beaumont.

Économie

Emploi

Statistiques de l'INSEE<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Courrières
Emploi total (salarié et non salarié) au lieu de travail en 2014 2 588
dont part de l'emploi salarié au lieu de travail en 2014, en % 88,8
Variation de l'emploi total au lieu de travail : taux annuel moyen entre 2009 et 2014, en % 0,6
Taux d'activité des 15 à 64 ans en 2014 68,7
Taux de chômage des 15 à 64 ans en 2014 17,6
Établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Courrières
Nombre d'établissements actifs au 31 décembre 2015 566
Part de l'agriculture, en % 0,9
Part de l'industrie, en % 4,9
Part de la construction, en % 11,5
Part du commerce, transports et services divers, en % 66,1
dont commerce et réparation automobile, en % 21,9
Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en % 16,6
Part des établissements de 1 à 9 salariés, en % 23,5
Part des établissements de 10 salariés ou plus, en % 9,2

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine mondial

Modèle:Article connexe Depuis le Modèle:Date-, la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les Modèle:Nobr, répartis sur Modèle:Nobr inclus dans le périmètre du bassin minier, le site Modèle:N° de Courrières est formé par le monument commémoratif à la catastrophe de Courrières<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Saut

Monument historique

Modèle:Saut

Autres lieux et monuments

Modèle:Article détaillé

Personnalités liées à la commune

Fichier:Jules Breton - Autoportrait (KMSKA).jpg
Le peintre Jules Breton.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail