Jean-Jacques Henner

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2

Jean-Jacques Henner est un peintre français, né à Bernwiller (Haut-Rhin) le Modèle:Date, et mort à Paris 9e le Modèle:Date.

Auteur d’une œuvre abondante présentée dans de nombreux musées, il a une réputation de portraitiste et de dessinateur apprécié de son vivant. Il est surtout connu pour ses nombreux nus féminins aux chairs pâles, à la chevelure rousse et aux poses alanguies. Il est resté toute sa vie à l’écart des évolutions artistiques de son époque. Ses tableaux les plus connus, L’Alsace. Elle attend ou Fabiola, datent des années 1870 à 1890. En 1889, il est élu membre de l'Académie des beaux-arts.

Biographie

Années d’études

Fils de paysan sundgauvien, ses premiers tableaux sont des portraits et des scènes de la vie quotidienne des habitants de sa région traitées dans un réalisme parfois naïf. Henner suit ses premiers cours de dessin au collège d’Altkirch auprès de Charles Goutzwiller de 1841 à 1843 puis entre dans l’atelier de Gabriel-Christophe Guérin à Strasbourg. Grâce à l’octroi de plusieurs bourses du conseil général du Haut-Rhin, il poursuit dès 1848 ses études à Paris à l'École des beaux-arts et fréquente l’atelier de Michel Martin Drolling puis, à la mort de celui-ci, celui de François-Édouard Picot en 1851. À cette époque, il réalise de nombreuses copies d’après des chefs-d’œuvre de Titien, Raphaël ou Poussin exposés au musée du Louvre. Ingres, Pierre-Paul Prud’hon et Corot comptent parmi les peintres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qu’il apprécie par ailleurs<ref name="musée de la Vie romantique">Rodolphe Rapetti, Daniel Marchesseau, Isabelle Delannoy, Claire Bessède, Isabelle Collet, Émilie Vanhaesbroucke, Face à l’impressionnisme, Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, catalogue d’exposition du musée de la vie romantique, Paris, Éd. Paris-Musées et RMN, 2007, Modèle:P..</ref>.

Le prix de Rome

En 1858, année de la mort d’Ary Scheffer, et après deux tentatives infructueuses, le jury de l’École des beaux-arts composé de trente-et-un membres, parmi lesquels Abel de Pujol, Jean-Victor Schnetz, François-Joseph Heim, Picot, Jacques Raymond Brascassat, Hippolyte Flandrin, Eugène Delacroix et Léon Cogniet, lui décerne le prix de Rome pour sa composition Adam et Eve trouvant le corps d’Abel, ce qui lui ouvre les portes de la villa Médicis à Rome pendant cinq ans de 1858 à 1864. Henner décrit lui-même son œuvre en ces termes : Modèle:Citation<ref>Cité par Pierre-Alexis Muenier, La Vie et l'œuvre de Jean-Jacques Henner Peintures et dessins, Paris, Flammarion, 1927, Modèle:P..</ref>. Ce tableau est conservé à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il en existe une esquisse peinte à Paris au musée national Jean-Jacques Henner, ainsi qu’une seconde au musée des beaux-arts de Mulhouse. Une autre equisse ou répétition appartient à une collection privée parisienne réunissant une série d’esquisses pour le concours de Rome constituée de Picot, dont Henner fut élève<ref>Philippe Grunchec, Les Concours des prix de Rome de 1797 à 1863, Paris, École nationale supérieure des Beaux-arts, 1983, Modèle:P..</ref>.

L’Italie

Fichier:Elle attend, JJ Henner 1871.jpg
L'Alsace, elle attend (1871), musée national Jean-Jacques Henner, Paris.

Après l’obtention de son prix de Rome, Henner part à la villa Médicis en 1858. Sur les conseils de Jean-Victor Schnetz, alors directeur de l’académie de France à Rome, Henner visite l’Italie : Rome, Florence, Venise, Naples, etc. dont il peint des paysages sur le motif et découvre le pittoresque. Il étudie les grands maîtres et travaille à ses envois annuels. Attiré par Le Caravage et Raphaël à Rome, il se tourne ensuite vers le Corrège et Titien après avoir parcouru le nord du pays de juin à Modèle:Date-.

Le voyage d’Italie (ou « Grand Tour ») est capital pour la suite de son œuvre, sa palette s’éclaircit, son trait s’assouplit et il abandonne la raideur de ses débuts. À Rome, Henner se fait de nombreuses relations utiles pour la suite de sa carrière. En 1870, il sera à l’origine de la création des Caldarrosti, groupe d’anciens élèves de Rome qui se réunissent régulièrement à Paris autour de Louis Hector Leroux et d’Ernest Hébert.

Henner ne retournera que deux fois en Italie, en 1888 et 1891<ref name="musée de la Vie romantique"/>.

Succès au Salon

De retour en France en 1864, Henner s’établit définitivement à Paris et emménage dès 1867 dans un atelier place Pigalle, où il côtoie Pierre Puvis de Chavannes, installé dans le même immeuble. Il entame alors sa carrière au Salon avec succès, cumulant commandes de portraits et achats de l’État. Au Salon de 1865, Henner est médaillé avec son dernier envoi de Rome, La Chaste Suzanne.

Il devient connu et populaire grâce à son tableau patriotique L'Alsace, elle attend, peint en 1871 après la défaite française. De nombreuses gravures sont diffusées et frappent le public : Modèle:Citation<ref>Louis Louviot, Jean-Jacques Henner et son œuvre, Paris, 1912.</ref>

Il expose régulièrement au Salon des artistes français jusqu’en 1903, deux ans avant sa mort. À partir de 1876, ses tableaux sont également appréciés dans les expositions du Cercle artistique et littéraire de la rue Saint-Arnaud, puis de la rue Volney à Paris où il présente des œuvres aux côtés d’autres artistes renommés avant l’ouverture du Salon<ref>ibid. (à préciser), Modèle:P..</ref>.

Œuvre

Style

Fichier:Jean Jacques Henner - Reclining Nude.jpg
Nu allongé, Washington, National Gallery of Art.

Tout d’abord tenté par les tendances modernes, Henner s’oriente ensuite vers une esthétique personnelle éloignée de la peinture académique et du naturalisme en vogue. Très marqué par la guerre de 1870, il exprime sa douleur de la perte de l’Alsace dans L’Alsace. Elle attend. Henner entretient en effet des liens constants avec sa région natale, où il retourne chaque année malgré son annexion par l’Empire allemand en 1871. À partir de L’Idylle exposée au Salon de 1872, aujourd’hui à Paris au musée d’Orsay, l’art de Jean-Jacques Henner devient surtout emblématique par ses représentations de femmes rousses, nues, situées dans des paysages à peine esquissés comme Les Naïades, L'Églogue' ou encore sa Nymphe endormie.

Modèle:Citation bloc

Les grandes figures religieuses, comme sa série sur les Madeleines, ainsi que les têtes idéales, sont d’autres caractéristiques de son art et qui, au vu de leur succès commercial, ont été multipliées par l'artiste au risque de parfois tomber dans la répétition stéréotypée. La poésie qui se dégage de ses œuvres embrumées d’un subtil sfumato valorisant les chairs blanches des figures, a contribué au succès de Henner auprès des collectionneurs de tous horizons, promu par des marchands d'art, tels Knoedler et Bernheim, qui diffusent ses œuvres en Amérique<ref>Rodolphe Rapetti, Daniel Marchesseau, Isabelle Delannoy, Claire Bessède, Isabelle Collet, Émilie Vanhaesbroucke, Face à l’impressionnisme, Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, [catalogue d’exposition du musée de la vie romantique], Paris, Éd. Paris-Musées et RMN, 2007, Modèle:P..</ref>.

La reconnaissance

Outre son prix de Rome en 1858, la carrière de Henner est celle d’un peintre reconnu du Second Empire et de la [[Troisième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} république]]. Médaillé de nombreuses fois aux Salons, comme au Salon de 1865 et aux Expositions universelles, il est élu en 1889 membre de l’Académie des beaux-arts, en remplacement d’Alexandre Cabanel. En 1903, il devient grand officier de la Légion d'honneur après avoir reçu les différentes distinctions honorifiques de l’État français depuis 1873.

Henner entretient par ailleurs une vie sociale importante. Outre les clubs alsaciens auxquels il participe, il est membre de plusieurs associations d’artistes, d’écrivains et d’hommes politiques, habitant souvent le quartier parisien de la Nouvelle Athènes, dont l’influence n’est sans doute pas étrangère à ses succès et à ses commandes. Il entre ainsi, en 1872 à « La Macédoine », structure organisée par ses amis Jules Claretie, auteur d’une première monographie sur le peintre publiée anonymement en 1878, et par Carolus-Duran. En 1876, il intègre parallèlement une association importante, « La Marmite »<ref name="ibid">ibid. (à préciser), Modèle:P..</ref>.

Henner et l'impressionnisme

Fichier:Domicile de Jean-Jacques Henner, rue La Bruyère à Paris.jpg
Domicile de Jean-Jacques Henner, rue La Bruyère à Paris.

Contrairement à certains de ses artistes contemporains opposés à l’impressionnisme, comme Jean-Léon Gérôme, Henner les côtoie volontiers. Il est invité à leurs expositions par Georges Charpentier et sa femme Marguerite Charpentier dont il est un proche. Membre en 1881 de la nouvelle Société des artistes français qui organise le Salon, Henner vote avec Carolus-Duran en faveur de l’attribution d’une médaille à Édouard Manet. Reconnu par le monde de l’art et la société de son temps, Henner meurt à Paris le Modèle:Date- à son domicile situé au no 41 rue La Bruyère<ref name="ibid"/>. Il est inhumé à Paris au cimetière Montmartre (Modèle:5e).

Ses élèves

Henner a de nombreux élèves et organise avec Carolus-Duran, de 1874 à 1889, ce qu’il appelle « l’atelier des dames » destiné comme son nom l’indique, aux femmes qui n’avaient pas le droit de suivre l’enseignement de l’École des beaux-arts. Certaines lui servent aussi de modèles<ref>Isabelle de Lannoy, préface de Rodolphe Rapetti, J. J. Henner catalogue raisonné, vol. 1, Paris, musée Jean-Jacques Henner, 2008, Modèle:P..</ref>.

Ses modèles

Contrairement à de nombreux artistes de l’époque qui lui sont contemporains<ref>Comme Eugène Delacroix, Alexandre Cabanel, Jean-Léon Gérôme, Gustave Moreau, Edgar Degas, Gustave Courbet…</ref>, Henner ne semble pas avoir exploité la photographie de nus pour composer ses œuvres. Attaché à l’emploi du modèle vivant, il fait poser régulièrement, comme l’attestent ses agendas. Il conserve cependant pour mémoire quelques reproductions photographiques découpées dans certaines revues ou albums qui paraissent alors, comme Les Classiques de l’art publiées en 1865<ref>Par son ami le philosophe Félix Ravaisson-Mollien, président de la commission du ministère de l’Instruction publique et des Cultes et futur conservateur du département des Antiquités au musée du Louvre, dont il fait un portrait datant de 1889 aujourd’hui conservé au Petit Palais (voir : Rodolphe Rapetti, Daniel Marchesseau, Isabelle Delannoy, Claire Bessède, Isabelle Collet, Émilie Vanhaesbroucke, Face à l’impressionnisme, Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, catalogue d’exposition du musée de la vie romantique, Paris, Paris-Musées et RMN, 2007, Modèle:P..)</ref>.

Outre les modèles de l’École des beaux-arts de Paris qui posent à partir de 1846 pour les académies dessinés, on recense après 1870 pas moins d’une cinquantaine de modèles professionnels, dont une dizaine de modèles masculins. Les plus connus sont Emma Dobigny, Camille Nerval, Lola Noyr, Juana Romani, et peut-être l’artiste et modèle Suzanne Valadon.

Henner demande parfois à ses amis et proches de poser pour lui, comme notamment le collectionneur Charles Hayem ou encore l’historien d’art Émile Durand-Gréville. Ses élèves posent parfois pour lui : Dorothy Tennant, Juana Romani, Germaine Dawis ou encore Virginie Porgès.

À partir 1890, alors qu’il séjourne de plus en plus en Alsace, il fait travailler les jeunes filles de son village<ref>Isabelle de Lannoy, préface de Rodolphe Rapetti, J. J. Henner catalogue raisonné, vol.1, Paris, musée Jean Jacques Henner, 2008, Modèle:P..</ref>.

Musées et expositions

  • Le musée national Jean-Jacques Henner se situe dans un hôtel particulier au no 43 avenue de Villiers dans le [[17e arrondissement de Paris|Modèle:17e arrondissement de Paris]], près du parc Monceau. Cet hôtel particulier fut l’atelier d’un autre peintre et grand décorateur, Guillaume Dubufe. Henner n’y a jamais vécu, son atelier, qu’il partageait avec le peintre Pierre Puvis de Chavannes, se situait à Pigalle. Trois étages du musée, rénovés en 2008 pour lui rendre un aspect aussi proche que possible de celui qu’il avait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont consacrés à l’œuvre de Henner. Une petite salle avec deux fenêtres à jalousies est consacré à des expositions temporaires.
    • Du Modèle:Date- au Modèle:Date-, l’exposition du musée de la vie romantique Modèle:Incise intitulée Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, invite à reconsidérer Modèle:Citation et met l’accent sur le puissant peintre religieux, le portraitiste pénétrant et le paysagiste à la sensibilité proche de celle de Corot<ref>Jean-David Jumeau-Lafond, dans La Tribune de l'Art, à propos de l'exposition Face à l'impressionnisme, Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, à Paris, Musée de la vie romantique, Du 26 juin 2007 au 13 janvier 2008 (en ligne).</ref>.
    • Du Modèle:Date- au Modèle:Date-, le musée national Jean-Jacques Henner a rendu hommage au talent de dessinateur du peintre à travers une exposition intitulée Regard sur… Henner dessinateur.
    • Du Modèle:1er février au Modèle:Date-, le musée national Jean-Jacques Henner présente l'exposition De l'impression au rêve. Paysages de Henner qui, avec plus de 90 peintures et dessins, met en lumière la place du paysage dans l’œuvre de Henner et la singularité de sa démarche artistique.
Fichier:Musée des Beaux-Arts de Mulhouse-Salle Henner.jpg
Salle Henner au musée des beaux-arts de Mulhouse.
  • Le musée des beaux-arts de Mulhouse est le second musée de France à posséder le plus grand nombre de tableaux de Jean-Jacques Henner, après celui de Paris<ref name="ISA">Isabelle de Lannoy, « La collection des tableaux de Henner du musée de Mulhouse », in « Le Musée des beaux-arts de Mulhouse », Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse, 1988, Modèle:P..</ref>. Il détient une quarantaine d'œuvres, réunies entre 1856 et 1985 grâce à plusieurs legs et dons. Une salle du premier étage de cet hôtel particulier du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est dédiée à l'artiste.
    • En 1989, une première exposition temporaire lui a été consacrée, J.J. Henner, la jeunesse d'un peintre : de 1847 à 1864, du Sundgau à la villa Médicis<ref>Isabelle de Lannoy, J.J. Henner, la jeunesse d'un peintre : de 1847 à 1864, du Sundgau à la villa Médicis, Éd. du Rhin, Steinbrunn-le-Haut, 1989, 102 p. Modèle:ISBN (catalogue)</ref>.
    • En octobre 2021, une deuxième exposition Henner dessinateur est proposée par le même musée tandis qu'au même moment, le musée des Beaux-Arts de Strasbourg propose La Chair et l'Idéal à ses visiteurs. À cette occasion, les quotidiens l'Alsace et les Dernières Nouvelles d'Alsace publient un numéro hors-série sur l'artiste dont la couverture représente une des Madeleine du peintre. Cette couverture est censurée par le réseau social Facebook car le buste de la dame est dénudé<ref>Modèle:Article</ref>.
  • Parmi les autres musées français qui possèdent des œuvres de Henner figurent, par ordre décroissant : le Petit Palais à Paris, le musée des Beaux-Arts de Dijon, le musée d'Orsay à Paris, le Musée sundgauvien d'Altkirch et le musée Unterlinden de Colmar<ref name="ISA"/>. Enfin, une quarantaine d'autres musées détiennent une ou deux toiles de l'artiste.

Œuvres dans les collections publiques

Fichier:Jean-Jacques Henner 001.jpg
Hérodiade (vers 1887), musée national Jean-Jacques-Henner, Paris.

Galerie

Philatélie

Fichier:Timbre henner.jpg
Timbre : La Jeune Fille se chauffant les mains à un poêle, Modèle:Unité.
  • Le Modèle:Date-, la poste française a émis un timbre d'une valeur de Modèle:Unité représentant La jeune fille se chauffant les mains à un poêle, tableau conservé au musée sundgauvien d'Altkirch.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Claude Vento (pseudonyme d’Alice de Laincel), Les Peintres de la femme, Paris, F. Dentu, 1888.
  • Samuel Rocheblave, La jeunesse d'Henner, dans La Revue de l'art ancien et moderne, 1906, Modèle:P., Modèle:P.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Monique Fuchs, « Jean Jacques Henner », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 16, 1982-2003, Modèle:P..
  • J.J Henner, la Jeunesse d’un peintre, de 1847 à 1864, du Sundgau à la Villa Médicis, Mulhouse, musée des beaux-arts, 1989 Modèle:ISBN.
  • Isabelle de Lannoy, Musée national Jean-Jacques Henner, catalogue des peintures, Paris, Réunion des Musées nationaux, 2003.
  • Isabelle de Lannoy, préface de Rodolphe Rapetti, J. J. Henner catalogue raisonné, vol.1 et 2, 2008.
  • Rodolphe Rapetti, Daniel Marchesseau, Isabelle de Lannoy, Claire Bessède, Isabelle Collet, Émilie Vanhaesbroucke, Face à l’impressionnisme, Jean-Jacques Henner, le dernier des romantiques, [catalogue d’exposition du musée de la vie romantique], Paris, Paris-Musées et RMN, 2007 Modèle:ISBN.
  • Claire Bessede, Guide de visite, Versailles, Artlys, 2009.

Liens externes

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