Jean-Louis Bianco

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Modèle:Homon Modèle:Infobox Personnalité politique

Jean-Louis Bianco, né le Modèle:Date de naissance à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un homme politique français.

Il est successivement secrétaire général de l'Élysée (le plus jeune à ce poste, 39 ans, ainsi que durant la plus longue période sous la {{#ifeq:République | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:République| République }} }}, neuf ans), sous la présidence de François Mitterrand, ministre des Affaires Sociales et de l'Intégration, puis ministre de l'Équipement, du Logement et des Transports.

Durant sa carrière politique, il exerce les fonctions de maire de Digne-les-Bains, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, président du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence et député. En Modèle:Date, il annonce l'abandon de ses mandats électifs.

Au sein de la direction du Parti socialiste, il défend la candidature de Ségolène Royal à la primaire citoyenne de 2011 organisée par le PS et le PRG, après avoir été son codirecteur de campagne lors de l'élection présidentielle de 2007. À la suite de sa défaite en 2011, il s'engage en faveur de François Hollande.

Par ailleurs, il est ancien conseiller du premier secrétaire du Parti socialiste pour les questions européennes et est longtemps membre du bureau national du parti.

Par décret en date du Modèle:Date-, il est nommé président de l'Observatoire de la laïcité et renouvelé par décret du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son mandat prend fin le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Biographie

Études

Ancien élève du lycée Janson-de-Sailly, dans le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:|  }} }} arrondissement de Paris, Jean-Louis Bianco intègre l'École des Mines après deux années de classe préparatoire. Pendant sa scolarité, il passe une licence de sciences économiques, puis entre en deuxième année à l'Institut d'études politiques de Paris dans le but de préparer l'École nationale d'administration. Après avoir créé un groupe de travail avec Jacques Attali, il intègre l'école (promotion Thomas More), où il est élu président des élèves. Le jour de la rentrée, le directeur de l'ENA le convoque pour lui dire qu'il n'a Modèle:Citation<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref> et qu'il ne doit pas croire qu'il va atteindre les Grand corps de l'État. Il sort deuxième de sa promotion.

Carrière professionnelle

Il entre au Conseil d'État en 1971 en tant qu'auditeur. En 1978, il devient maître des requêtes. Il deviendra conseiller d'État en 1994.

De 1979 à 1981, il est chargé de mission au syndicat intercommunal de développement des vallées de la Durance et de la Bléone. Il projette de s'installer dans la région pour y vivre et d'enseigner à Sciences Po Aix, mais abandonne cette idée lorsqu'il est appelé pour travailler auprès du président François Mitterrand en mai 1981<ref name=":0" />. Le Modèle:Date-, il annonce qu'il renonce à son mandat de conseiller général et à sa fonction de président du conseil à compter du Modèle:Date-<ref>Voir sur dici.fm.</ref>.

En Modèle:Date-, il est missionné par le Premier ministre et le ministre délégué aux Transports, à la Mer et à la Pêche, Frédéric Cuvillier, sur le rapprochement entre la SNCF et Réseau ferré de France (RFF), puis, en Modèle:Date-, est nommé par le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, au conseil supérieur de la Cour des comptes.

Secrétariat général de la présidence de la République

En Modèle:Date, il est appelé pour travailler auprès du président de la République François Mitterrand.

À partir de 1982, il devient secrétaire général de la présidence de la République de François Mitterrand jusqu'en 1991. Il est le plus jeune à ce poste et y détient le « record de longévité » (9 ans, sans compter sa première année auprès du Président en tant que chargé de mission) sous la Cinquième République. Le plus jeune secrétaire général de l'Élysée de l'histoire est Emmanuel d'Harcourt : secrétaire général de Mac-Mahon sous la Troisième République, il avait tout juste 30 ans<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Il refuse en mai 1988 un poste de Ministre du Cadre de vie que lui propose le président Mitterrand<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Présidence de l'Office national des forêts (ONF)

De 1983 à 1991, Jean-Louis Bianco préside l'Office national des forêts (ONF). À cette occasion, il écrit un rapport au Premier ministre, intitulé La Forêt : une chance pour la France<ref>Rapport La Forêt : une chance pour la France.</ref>.

Mandats électifs et ministères

En 1991, Jean-Louis Bianco se voit confier le ministère des Affaires sociales et de l'Intégration dans le gouvernement d'Édith Cresson. À cette occasion, il permet la régularisation des sans-papiers. En Modèle:Date, 10 000 des Modèle:Nombre déboutés de droit d'asile qui l'avaient demandé ont vu leur situation régularisée, conformément à la procédure mise en place par une circulaire de Modèle:Date-.

En 1992, il est élu conseiller régional de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

En 1992, il intègre le gouvernement de Pierre Bérégovoy en qualité de ministre de l'Équipement, du Logement et des Transports. À ce titre, il est l’auteur d’une circulaire (la « circulaire Bianco » du Modèle:Date) qui préfigure la création de la Commission nationale du débat public. Par ailleurs, il permet la mise en œuvre du permis à points qui entre en vigueur le Modèle:Date-.

En 1994, il est élu conseiller général des Alpes-de-Haute-Provence dans le canton de Digne-les-Bain<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1995, il devient maire de Digne-les-Bains<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est élu député depuis le Modèle:Date dans la [[Première circonscription des Alpes-de-Haute-Provence|Modèle:1re des Alpes-de-Haute-Provence]]. Il est réélu le Modèle:Date, pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature 2002-2007, en obtenant 50,79 % des voix face au candidat UMP. Le Modèle:Date, il est réélu député pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} législature en obtenant au second tour 52,32 % des suffrages face à Éliane Barreille (UMP).

Il siège dans le groupe Socialiste, radical et citoyen, est membre de la commission des Affaires étrangères et président de la mission parlementaire sur l'Iran.

Il est également le président du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence depuis 1998 (réélu en 2001, 2004 et 2008) et a renforcé sa majorité à chaque réélection. Depuis 2010, le budget départemental est adopté à l'unanimité. Le Modèle:Date-, à Digne-les-Bains, il annonce renoncer à son mandat de conseiller général et à sa fonction de président du conseil général, et ce à compter du Modèle:Date-. Il souhaite se consacrer à sa famille. En Modèle:Date-, Jean-Pierre Bel a nommé Jean-Louis Bianco comme « personnalité qualifiée » au Conseil supérieur de la Cour des Comptes.

De 1999 à 2001, il préside l'Institut François-Mitterrand.

Orientations politiques au sein du PS

En 2005, il est le cofondateur avec Gaëtan Gorce du groupe «Nouvelle voix» au sein du Parti socialiste, sensibilité de la motion majoritaire du Congrès de la même année.

En décembre 2006, « Nouvelle voix » s'est transformé en club de réflexion et en lieu de débat, fusionnant avec le club « Témoins », présidé par Jean-Pierre Mignard. Ils signeront la même contribution (« Combattre et proposer », de Ségolène Royal) et la même motion (« Fier(e)s d'être socialistes, l'espoir à gauche ») à l'occasion du congrès de Reims.

À la suite du congrès de Reims de 2008, il est un des chefs de file de la sensibilité issue de la motion E « l'espoir à gauche » (dont les principaux acteurs sont Ségolène Royal, Vincent Peillon, François Rebsamen et Patrick Mennucci).

En 2009, il devient membre du Secrétariat national du PS (en tant que coprésident du Forum des Territoires, avec Marylise Lebranchu) et du Conseil national du PS.

Le mercredi Modèle:Date, il est également devenu le responsable et principal rédacteur du projet des socialistes pour les élections régionales de 2010.

En Modèle:Date-, il préside une réunion du courant « motion E, l'espoir à gauche » à Marseille (ouverte par Michel Vauzelle) en présence de plusieurs sensibilités de toute la gauche (socialistes, radicaux, communistes, écologistes avec notamment Daniel Cohn-Bendit, altermondialistes, syndicalistes) et également d'élus du MoDem dont Marielle de Sarnez et Jean-Luc Bennahmias.

Le Modèle:Date-, Jean-Louis Bianco présente à la convention nationale du Parti socialiste le « contrat socialiste de nos régions » (c'est-à-dire le programme du PS pour les élections régionales de mars 2010), dont il a coordonné les travaux. Ce programme est particulièrement bien reçu par les présidents de régions sortants et par les militants et contribuera au succès du PS aux élections régionales.

Fin Modèle:Date-, à la suite de la rupture politique entre Ségolène Royal et Vincent Peillon au sein de « l'espoir à gauche » et de la création par ce dernier du « rassemblement social, écologique et démocrate » dont Jean-Louis Bianco s'éloigne car trop peu conforme à « l'alliance arc-en-ciel » (Modèle:Quoi Modèle:Refsou) qu'il défend, il appelle avec Najat Vallaud-Belkacem et Gaëtan Gorce (et avec le soutien de Ségolène Royal) à « transcender les courants » et à « dépasser les clivages corporatistes à l'intérieur du PS<ref>Message de Jean-Louis Bianco, Gaëtan Gorce et Najat Vallaud-Belkacem.</ref> ».

En 2010, il est membre des commissions de travail sur les différentes conventions nationales du PS : « nouveau modèle économique, social et écologique », « rénovation », « international ». Il y défend la vision de sa sensibilité politique.

Fin Modèle:Date-, il publie un livre d'entretiens Si j'étais président… Que faire en 2012 ? dans lequel il livre sa vision de l'état actuel de la France, revient sur son parcours politique et livre ses projets quant aux attentes des Français pour 2012. Sans toutefois se déclarer candidat aux primaires du Parti socialiste. Néanmoins, il déclare en Modèle:Date- sa possible candidature si Ségolène Royal ne s'y présente pas ou si certaines idées ne sont pas portées.

En 2015, il publie un livre sur ses années aux côtés du président de la République François Mitterrand, intitulé Mes années avec Mitterrand<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Primaires socialistes de 2006 et 2011, élections présidentielles de 2007 et 2012

Modèle:Article détaillé En Modèle:Date, Jean-Louis Bianco soutient Ségolène Royal pour l'investiture socialiste de novembre à l'élection présidentielle de 2007 et est ensuite son porte-parole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Pendant l'élection présidentielle de 2007, au sein de l'équipe de la candidate, il est codirecteur de campagne avec François Rebsamen jusqu'au Modèle:Date, jour du second tour de l'élection présidentielle.

Aux primaires socialistes de 2011, Jean-Louis Bianco soutient à nouveau la candidature de Ségolène Royal pour l'élection de cette première primaire « citoyenne » organisée par le PS et le PRG les 9 et Modèle:Date-. Il devient membre de l'équipe de campagne et est chargé des sujets régaliens (« sherpa », institutions, Europe, relations internationales).

À la suite de la défaite de Ségolène Royal au premier tour de la primaire citoyenne (6,9 % des voix), comme elle, il s'engage en faveur de François Hollande, qui l'emporte au second tour avec 56,57 % des suffrages et devient ainsi le candidat officiel du PS et du PRG à l'élection présidentielle de 2012.

Après l'élection présidentielle de 2012

Il annonce le Modèle:Date qu'il ne se représentera pas aux élections législatives<ref>Modèle:Article.</ref>.

En Modèle:Date-, le Premier ministre et le ministre délégué aux Transports, à la Mer et à la Pêche, Frédéric Cuvillier, lui confient la mission gouvernementale sur la réforme du secteur ferroviaire, actuellement en cours de préparation et qui doit aboutir à un rapprochement entre la SNCF et Réseau ferré de France (RFF). Le Modèle:Date-, le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, le nomme au Conseil supérieur de la Cour des comptes.

Le Modèle:Date-, Jean-Louis Bianco est nommé conseiller spécial auprès de Ségolène Royal, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie<ref>Voir sur developpement-durable.gouv.fr.</ref>. Le Modèle:Date-, il est également nommé représentant spécial pour les relations avec l'Algérie de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il exerce ces fonctions à titre bénévole<ref>Ivan Valerio, « Économies : un député PS propose qu'aucun fonctionnaire ne gagne plus que le chef de l'État », lefigaro.fr, 17 avril 2014.</ref>.

Président de l'Observatoire de la laïcité

Par décret en date du Modèle:Date-, il est nommé président de l'Observatoire de la laïcité. Il déclare la même année que Modèle:Citation bloc

Critiques et controverses

Dans le cadre de ses fonctions à l'Observatoire de la laïcité, il est critiqué en interne début 2015 par trois membres de l'Observatoire (sur vingt-trois) Modèle:Incise, lui reprochant d'imposer sans débat une ligne « trop angélique »<ref>« Flop - Jean-Louis Bianco », Le Figaro Magazine, semaine du 23 janvier 2015, page 27.</ref>,<ref>Bernard Gorge, « Les tensions montent au sein de l’Observatoire de la Laïcité », la-croix.com, 19 janvier 2015.</ref>,<ref>« Après les attentats : la laïcité, jusqu'où ? », lepoint.fr, 19 janvier 2015.</ref>. Cela conduit ces trois membres à décider de Modèle:Cita

En tant que président de l'Observatoire depuis 2013, il a concentré sur sa personne diverses critiques, notamment de la part du Premier ministre Manuel Valls qui lui reproche d'avoir co-signé une tribune dans la presse, au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, avec 80 personnalités et associations : « On ne peut pas signer des appels, y compris pour condamner le terrorisme, avec des organisations que je considère comme participant du climat que l'on a évoqué tout à l'heure, ça, ce n'est pas possible », déclare-t-il en parlant d'un « climat nauséabond »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Manuel Valls vise notamment le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF)<ref>Modèle:Article</ref> ou Nabil Ennasri, un proche des Frères musulmans<ref>« Ramadan, VRP de luxe », Willy Le Devin, liberation.fr, 26 avril 2013.</ref>. La ligne suivie par l'Observatoire est également reprochée à Jean-Louis Bianco. Manuel Valls affirme que Modèle:Cita Jean-Louis Bianco répond à Manuel Valls par un communiqué<ref>Modèle:Lien web.</ref>, rappelant, entre autres, la présence parmi les 80 co-signataires de Modèle:Cita

Le 5 janvier 2016, il déclare à l’antenne de France Culture que Charlie Hebdo a pu dire pire que le rappeur Médine<ref>Modèle:Lien web.</ref> à propos « des catholiques, des musulmans, des intégristes » mais que ce que dit le chanteur « ne [lui] plaît pas, [le] choque ».

Ses prises de position lui valent les critiques des trois membres de l'Observatoire cités précédemment. Tous les trois avaient déjà contesté les positions de Jean-Louis Bianco en janvier, lors de la polémique sur les déclarations d'Elisabeth Badinter à propos de l'islamophobie. Rappelant le contexte des attentats, ils affirment que Modèle:Citation

Après ces remises en cause, Jean-Louis Bianco reçoit le soutien de 200 universitaires et chercheurs, dont Jean Baubérot (fondateur de la sociologie de la laïcité), Esther Benbassa, Jean-Claude Kaufmann, Laurent Mucchielli, Pierre Rosanvallon, Olivier Roy ou encore Benjamin Stora par le biais d'une « lettre de soutien » publiée dans le quotidien Libération le Modèle:Date-<ref name="Libération">Lettre de soutien à Jean-Louis Bianco dans Libération.</ref>. Dans cette lettre, les signataires estiment notamment que Jean-Louis Bianco a su, avec son rapporteur général Nicolas Cadène, Modèle:Citation bloc

En revanche, les journalistes Judith Waintraub (journaliste politique au Figaro) et Vincent Nouzille (journaliste d’investigation spécialisé dans les domaines de la sécurité et du renseignement) estiment que Jean-Louis Bianco Modèle:Citation

L'essayiste Caroline Fourest critique pour sa part le fait que Jean-Louis Bianco ne vienne pas à certains grands évènements laïcs, comme le prix annuel du Comité Laïcité République mais aille à des évènements politico-religieux, comme à Mulhouse, invité pour parler de laïcité par l'Académie Langues et Cultures<ref>Modèle:Lien web</ref>, association qui propose des cours de langue arabe en intensif pour les enfants à partir de six ans, ainsi que des cours de sciences islamiques et d'études coraniques<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle lui reproche également de s'être moqué de la polémique autour des cafés sans femmes, celui-ci estimant : Modèle:Citation, ou d'être proche de l'association Coexister, dont les comités locaux encouragent des jeunes à tenir des stands de voiles lors de la journée mondiale du hijab. Elle juge enfin que Modèle:Citation à la tête de l'Observatoire de la laïcité, notant la démission de plusieurs de ses membres, ajoutant qu'Modèle:Citation<ref>Caroline Fourest, « À quoi sert Jean-Louis Bianco ? », Marianne, semaine du 2 au 8 mars 2018, page 49.</ref>. Modèle:Refins<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2018-2019, le gouvernement du président Emmanuel Macron travaille à mettre en place un service national universel. L'Observatoire de la laïcité s'attire des critiques de la part du ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer en expliquant que le droit positif ne permet pas que les signes religieux ostensibles y soient proscrits dans la phase d'internat sur les temps libres<ref>Judith Waintraub, « Laïcité : Jean-Louis Bianco dans la tempête », Le Figaro Magazine, semaine du 18 janvier 2019, p. 34.</ref>. Jean-Michel Blanquer saisit le Conseil des sages de la laïcité, instance qu'il a créée en janvier 2018 pour préciser la position de l'institution scolaire en matière de laïcité. Dans un document du 4 février 2019, le secrétaire général du conseil des sages contredit l'étude de l'Observatoire. Mais l'Observatoire rappelle que la loi du 15 mars ne s'applique bel et bien pas pour des publics qui ne sont pas élèves d'établissements scolaires publics<ref>Modèle:Article</ref>.

En juin 2021, l'Observatoire de la laïcité est remplacé par un Comité interministériel de la laïcité<ref>Modèle:Article</ref>.

Décoration

Détail des mandats et fonctions

Mandats électifs

Député
  • 01/06/1997 - 18/06/2002 : député de la [[Première circonscription des Alpes-de-Haute-Provence|Modèle:1re des Alpes-de-Haute-Provence]]
  • 18/06/2002 - 19/06/2007 : député de la Modèle:1re des Alpes-de-Haute-Provence
  • 20/06/2007 - 19/06/2012 : député de la Modèle:1re des Alpes-de-Haute-Provence
Conseiller régional
  • 23/03/1992 - 10/06/1997 : membre du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur
  • 16/03/1998 - 03/04/1998 : membre du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Conseiller général
  • 27/03/1994 - 27/03/1998 : membre du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence
  • 27/03/1998 - 18/03/2001 : président du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence
  • 18/03/2001 - 01/10/2012 : président du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence (réélu le 20/03/2008)
Conseiller municipal, adjoint au maire, maire

Fonctions gouvernementales

Fonctions à la présidence de la République

Autres fonctions

Publications

Fichier:Jean-Louis Bianco à la foire du livre 2010 de Brive la Gaillarde.JPG
Signature à la foire du livre de Brive-la-Gaillarde en 2010.
  • La Forêt, une chance pour la France, 1998
  • Trans-Europe-Express, Plon, 1992
  • Si j'étais président…, livre d'entretiens, Albin Michel, 2010
  • 2012. La démocratie jusqu'au bout, essai, Fondation Jean-Jaurès, Modèle:Date-
  • Mes années avec Mitterrand, Fayard, 2015
  • La France est-elle laïque ?, éditions de l'Atelier, 2016

En collaboration

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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