Nançay
Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Nançay est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
Géographie
Localisation
Le bourg est situé au sud de la Sologne, à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Vierzon.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Nançay est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), terres arables (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nançay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le département du Cher est moins exposé au risque de feux de forêts que le pourtour méditerranéen ou le golfe de Gascogne. Néanmoins la forêt occupe près du quart du département et certaines communes sont très vulnérables, notamment les communes de Sologne dont fait partie Nançay. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de Modèle:Unité des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risquefeux de forêts.</ref>.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 610 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Son nom apparaît la première fois en 1010 (actes de l'abbé Engilbert) sous la forme Nanciacos, puis Nanciacum en 1239<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989, page 489.</ref> (homonyme de la ville de Nancy). Il est construit sur le nom de personne gaulois Nantios avec le suffixe locatif d'origine gauloise -aco et signifie « le domaine de Nantios »<ref>Modèle:Ouvrage, page 203.</ref>.
Histoire
Le territoire appartient successivement à la mouvance des seigneuries de Vierzon et de La Ferté-Imbault, puis au comté de Sancerre jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Marie de Vierzon, † ap. 1283, dame de Souesmes, Neuvy, Nançay et Menetou-Salon, épouse en 1259 [[Jean Ier de Sancerre|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], comte de Sancerre), enfin au domaine de la maison de La Châtre. En effet, Marie de Sancerre-Sagonne, petite-fille du comte Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Sancerre, l'apporte à son mari Godemar {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} (1267-vers 1340/1342), baron de Lignières, dont elle était la Modèle:1re femme ; Nançay échoit ensuite à Godemar II, sire de Méréville, Aschères et Mennetou — fils de Godemar {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} et de sa Modèle:2e épouse Marguerite de Précigny-Laleu, dame de Bridoré — qui vend Nançay le 16 janvier 1371 à son beau-frère Guillaume de La Châtre<ref>Barral, André-Horace-François de (1743-1829). Notices sur les châteaux, abbayes et monuments du département du Cher, par le général Cte de Barral,... publiées avec des notes par son petit-fils, M. le Cte Edgard de Barral,... et M. l'abbé Adrien de Barral,.... 1898.</ref> ; en fait Nançay ne quittait pas la descendance de ses anciens maîtres car Guillaume de La Châtre était l'époux d'Agnès de Li(g)nières, demi-sœur de Godemar II, car fille de Godemar {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} et de Marie de Sancerre.
Jeanne d'Arc y passa, laissant son nom à la Fontaine pucelle.
Son château date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et a été reconstruit durant la Renaissance.
Le village est parfois appelé le Modèle:Citation de la Sologne, en référence à nombre de personnalités habitant dans ses environs<ref>Bardon G, La Sologne : un nid de "People" ?, Le Petit Solognot, été 2010, p4-11</ref>.
Selon la tradition, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous saint Louis, Ebbes de La Châtre, pour payer sa rançon lorsqu'il fut captif lors d'une croisade, dut vendre La Châtre (en fait, il n'est pas absolument certain que la famille de La Châtre tire son nom de la ville de la Châtre). Après lui, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Philippe de La Châtre († av. 1360) n'hérita que de Bésigny-en-Gâtinais (en Château-Landon) et n'était qu'un chevalier désargenté, mais son fils Guillaume de La Châtre devint donc seigneur de Nançay par acquisition sur les Li(g)nières en 1371 et par mariage dans cette famille ; il était qualifié de chambellan du comte de Poitiers Charles en 1358. Succédèrent à Nançay ses descendants<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- son fils aîné Jean († ap. 1413, date à laquelle il est autorisé à fortifier son château de Nançay, de même que son fils Pierre le sera en 1447. Ses deux frères cadets Guillaume et autre Jean sont seigneurs d'Etréchy qui serait Etréchy en Etampois. Maître d'Hôtel du duc de Berry, bailli de Gien et capitaine de Mehun, mari d'Huguette de Voudenay, Jean de Nançay est père de :
- Pierre († ap. 1457), capitaine de Mehun, gentilhomme du roi Charles VII et aussi maître d'Hôtel du duc de Berry, marié à Marie de Roüy de Menetou) ; Père de Jeanne de La Châtre, qui épouse en 1453 Jean Savary de Lancosme, et de :
- Claude, conseiller-chambellan du duc de Guyenne et de Berry et de son frère le roi Louis XI, capitaine des Gardes françaises en 1473, chevalier de St-Michel, combattant à Fornoue en 1495, marié en 1460 à Catherine de Menou de Villegongis — héritière avec son mari Claude des Graçay de La Maisonfort) ; Père d'Abel de La Châtre (aussi combattant à Fornoue ; prédécédé, c'est-à-dire † avant son père),
- et de Gabriel († 1538), capitaine des Gardes du corps, Maître d'Hôtel du roi et des Cérémonies de France, prévôt de l'Ordre de St-Michel, gouverneur des Enfants de France, capitaine de la Grosse Tour de Bourges, de Mehun et de Romorantin, fidèle des rois Louis XII et François, marié 1° en 1496 à Marie de St-Amadour, et 2° sans postérité à Jeanne Sanglier de Boisrogues. Père de :
- Claude ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de La Maisonfort), fils cadet, mari d'Anne Robertet, fille de Florimond {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Alluye au Perche-Gouët et veuve de Claude d'Estampes de La Ferté : souche de la branche cadette de La Maisonfort, père du maréchal Claude II (Postérité),
- et Joachim († 1546), fils aîné, conseiller-chambellan, maître d'Hôtel du roi et des Cérémonies de France, capitaine des Gardes du corps, prévôt de l'Ordre de St-Michel, capitaine de la Grosse Tour de Bourges, capitaine-gouverneur de Gien, gouverneur d'Orléans et du duché d'Orléans, maître des Eaux et Forêts de l'Orléanais, seigneur de Nançay, Sigonneau et Besigni, mari de Françoise Foucher de Thénie/Thémines/Lemantine/L'Ementruère), Joachim est père de :
- Gaspard († 1576). En 1561, sa tante Jeanne/Anne de La Châtre, sœur de Joachim de Nançay et Claude de La Maisonfort, lui légua Ternant qu'elle tenait de son Modèle:1er mari Jean de Graçay de Champ(e)roux. Gentilhomme de la Chambre, capitaine des Gardes, chevalier de St-Michel, marié en 1570 à Gabrielle, dame de Bridoré, fille de René de Batarnay du Bouchage — petit-fils d'Imbert de Batarnay — et d'Isabelle de Savoie-Villars-Tende, Gaspard est père de :
- - Madeleine de La Châtre, épouse de Charles III de Châtillon-(Porcien) d'Argenton, puis d'Henri de Bourdeilles d'Archiac (d'où Claude de Bourdeille) ; - Louise de La Châtre, femme de Louis de Voisins, vicomtre de Lautrec, puis de Martin du Bellay de Gizeux, prince d'Yvetot ; et de - Gasparde de La Châtre (1577-1616), femme de Jacques-Auguste de Thou ; et de :
- Henri (né en 1574), aussi seigneur de Sigonneau, Neuvy et Bridoré, Modèle:1er comte de Nançay en 1609/1610, par réunion des seigneuries de Nançay, Neuvy et Sigonneau<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il épouse 1° 1605 de Marie, fille du Procureur général et prévôt de Paris (1594) Jacques de La Guesle de/du Laureau/Loreau en Beauce (1557-1612) et de Marie de Rouville de Chars, et 2° sans postérité Gasparde, fille de Jacques Mitte de Chevrières de Miolans, veuve de Jean-Timoléon de Beaufort-Canillac et de Claude IV de l'Aubespine. Henri et Marie de La Guesle enfantèrent :
- Edme († 1645), Modèle:2e comte de Nançay, dit le marquis de La Châtre comme ses successeurs désormais, maître de la Garde-robe, colonel général des Suisses et Grisons, auteur de Mémoires, mari en 1632 de Françoise de Cugnac de Dampierre dame de Boucart, de Jars et de Mennetou, d'où : Louise-Antoinette-Thérèse de La Châtre, femme du maréchal-duc Louis de Crevant d'Humières,
- et de Louis (né vers 1634-† tué en Afrique à Gigery en 1664), Modèle:3e comte de Nançay, seigneur de Mennetou (qui passe avant 1662 à Henri de Saint-Nectaire, gendre de Claude II de La Châtre-La Maisonfort) et de Dou(l)çay, gouverneur de Bapaume. Il doit céder pour dette Jars et Boucart à son créancier, Navailles. Marié en 1658 à Charlotte-Louise, fille d'Henri d'Hardoncourt de Rozières, dont :
- Louis-Claude de La Châtre, fils puîné, abbé de St-Sever en 1685-1699, mort dans un accident de voiture qui le défenestra de son carrosse ;
- et Louis-Charles-Edme (né vers 1661-† 1730), fils aîné, Modèle:4e comte de Nançay, lieutenant-général en Orléanais, maréchal de camp. Epoux en 1694 de Marie-Charlotte, fille d'Henri-Charles de Beaumanoir de Lavardin, d'où :
- Claude-Louis de La Châtre (1698-1740), fils cadet, abbé du Tréport en 1717-1740, évêque d'Agde en 1726-1740
- Louis-Charles II (1695-1734), fils aîné, Modèle:5e comte de Nançay. Marié en 1723 à Marie-Elisabeth, fille de Jean-Emar de Nicolaÿ de Goussainville. Père de :
- Charles-Louis, Modèle:6e comte de Nançay, marié en 1744 à Elisabeth-Louise, fille d'Esprit-Constant de Jouvenel des Ursins d'Harville de Traînel et sœur de Claude-Constant, dont :
- Claude-Louis de La Châtre (1745-1824), Modèle:7e et dernier comte de Nançay, duc-et-pair de La Châtre en 1817 ; époux de Charlotte-Louise-Perrette-Aglaé Bontemps : Sans postérité survivante, leur fils Alphonse-Louis-Nicolas de La Châtre, né en 1779, étant † prédécédé en 1802 dans l'expédition de Saint-Domingue.Modèle:Boîte déroulante/fin
- Charles-Louis, Modèle:6e comte de Nançay, marié en 1744 à Elisabeth-Louise, fille d'Esprit-Constant de Jouvenel des Ursins d'Harville de Traînel et sœur de Claude-Constant, dont :
- et de Louis (né vers 1634-† tué en Afrique à Gigery en 1664), Modèle:3e comte de Nançay, seigneur de Mennetou (qui passe avant 1662 à Henri de Saint-Nectaire, gendre de Claude II de La Châtre-La Maisonfort) et de Dou(l)çay, gouverneur de Bapaume. Il doit céder pour dette Jars et Boucart à son créancier, Navailles. Marié en 1658 à Charlotte-Louise, fille d'Henri d'Hardoncourt de Rozières, dont :
- Edme († 1645), Modèle:2e comte de Nançay, dit le marquis de La Châtre comme ses successeurs désormais, maître de la Garde-robe, colonel général des Suisses et Grisons, auteur de Mémoires, mari en 1632 de Françoise de Cugnac de Dampierre dame de Boucart, de Jars et de Mennetou, d'où : Louise-Antoinette-Thérèse de La Châtre, femme du maréchal-duc Louis de Crevant d'Humières,
- Gaspard († 1576). En 1561, sa tante Jeanne/Anne de La Châtre, sœur de Joachim de Nançay et Claude de La Maisonfort, lui légua Ternant qu'elle tenait de son Modèle:1er mari Jean de Graçay de Champ(e)roux. Gentilhomme de la Chambre, capitaine des Gardes, chevalier de St-Michel, marié en 1570 à Gabrielle, dame de Bridoré, fille de René de Batarnay du Bouchage — petit-fils d'Imbert de Batarnay — et d'Isabelle de Savoie-Villars-Tende, Gaspard est père de :
- et de Gabriel († 1538), capitaine des Gardes du corps, Maître d'Hôtel du roi et des Cérémonies de France, prévôt de l'Ordre de St-Michel, gouverneur des Enfants de France, capitaine de la Grosse Tour de Bourges, de Mehun et de Romorantin, fidèle des rois Louis XII et François, marié 1° en 1496 à Marie de St-Amadour, et 2° sans postérité à Jeanne Sanglier de Boisrogues. Père de :
- Claude, conseiller-chambellan du duc de Guyenne et de Berry et de son frère le roi Louis XI, capitaine des Gardes françaises en 1473, chevalier de St-Michel, combattant à Fornoue en 1495, marié en 1460 à Catherine de Menou de Villegongis — héritière avec son mari Claude des Graçay de La Maisonfort) ; Père d'Abel de La Châtre (aussi combattant à Fornoue ; prédécédé, c'est-à-dire † avant son père),
- Pierre († ap. 1457), capitaine de Mehun, gentilhomme du roi Charles VII et aussi maître d'Hôtel du duc de Berry, marié à Marie de Roüy de Menetou) ; Père de Jeanne de La Châtre, qui épouse en 1453 Jean Savary de Lancosme, et de :
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.
La commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Vierzon, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée| au canton de Vierzon-2<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton d'Aubigny-sur-Nère.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes les Villages de la Forêt, créée en 1999.
Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt.
Au Modèle:Date-, la commune de Nançay rejoint la Communauté de communes Sauldre et Sologne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Distinctions et labels
Dans son palmarès 2016, le Conseil national des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.</ref>.
Démographie
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La station de radio-astronomie, avec le grand radiotélescope inauguré par Charles de Gaulle en 1965, le radiohéliographe<ref>radiohéliographe</ref> (47 antennes de 5 m de diamètre), le réseau décamétrique (144 antennes sur 10 000 m²), ainsi qu'une station LOFAR. Le terrain a été choisi en 1953 par l'École normale supérieure en raison de sa taille, de sa relative proximité de Paris et de l'absence de tissu industriel pouvant générer des parasites. Administrativement, l'observatoire de Nançay fait partie de l'Observatoire de Paris et est aussi partenaire de l'Université d'Orléans.
- Le Pôle des Étoiles accueille les visiteurs curieux d'en savoir plus sur l'astronomie. Le site comporte des installations pédagogiques, un planétarium de 40 places, des expositions et propose des visites guidées de la station de radioastronomie.
- L'église Saint-Laurian, construite en 1624, rebâtie au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle après qu'elle fut détruite par un incendie.
- Le château de Nançay. Château d'origine Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, rebâti sur des fondations du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour la famille de La Châtre, puis en 1855 pour Léon Pépin Le Halleur, manufacturier de porcelaine à Vierzon, qui entreprit une restauration néo Modèle:S mini, suivant les dessins exécutés par Georges Rouget au cours de sa démolition. Dans les bâtiments d'exploitation du château de Nançay, Galerie Capazza, galerie internationale d'art contemporain créée en 1975 par Gérard et Sophie Capazza. Les façade, côtés et toitures du château de Nançay et des communs, l’escalier intérieur monumental situé dans l’aile Sud du château, sont inscrits sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-.
- Dotée d'une grande notoriété, la galerie d'art contemporain Capazza créée en 1975 expose sur Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Claude-Louis de La Châtre (1745-1824), comte de Nançay avant la Révolution, puis duc de La Châtre, militaire et homme politique français des {{#switch: XIX
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}}.
- Alain-Fournier y vécut et décrit le village dans son roman Le Grand Meaulnes.
Gastronomie
- Les sablés, biscuits créés en 1953 sur une erreur de recette par Jacques Fleurier.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes