Philippe Henriot

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Philippe Henriot, né à Reims le Modèle:Date- et mort le Modèle:Date à Paris, abattu selon un plan concerté par la Résistance sous l'Occupation, est un homme politique français. Engagé à l'extrême droite et député dans l'entre-deux-guerres, il devient, pendant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation allemande, l'une des figures de la collaboration avec les nazis.

En tant qu'orateur sur Radio-Paris, Philippe Henriot est l'un des propagandistes les plus connus du collaborationnisme en France ; il rejoint en 1943, les rangs de la Milice française. En Modèle:Date-, dans les derniers mois de l'Occupation, il devient secrétaire d'État à l'Information et à la Propagande du gouvernement Laval ; sa nomination est l'un des signes de la radicalisation du régime de Vichy finissant.

Il est tué par un commando du comité d’action militaire de la Résistance<ref name="Azéma-Wieviorka_298">Modèle:Ouvrage, les auteurs écrivent « exécutait ».</ref>,<ref name=cointet478>Modèle:Ouvrage, l'auteur écrit « assassiné ».</ref>,<ref>Modèle:Harvsp, l'auteur utilise indifféremment « liquidé », « exécution/exécuté », « assassinat/assassiné ».</ref>,<ref>Modèle:Harvsp, l'auteur utilise indifféremment « abattu », « assassiné », « exécution/exécuté », « tué », « mort ».</ref>,<ref name="Brissaud_417">Modèle:Harvsp.</ref>,<ref name=cointet478/>. En représailles, la Milice se livre à des exactions meurtrières dans tout le pays occupé.

Biographie

Naissance et origines

Né à Reims le Modèle:Date, il a pour père Georges Henriot (1857-1930), officier d'infanterie<ref name="Brissaud_240-244">Modèle:Harvsp.</ref>,<ref name="Giolitto">Pierre Giolitto, Histoire de la Milice, Paris, Perrin, 1997, Modèle:P..</ref>, condisciple de Philippe Pétain<ref name="Brissaud_240-244"/> sur les bancs de Saint-Cyr. Sa famille originaire de Lorraine, s'installe en Champagne en 1640 et prospère à Reims dans le négoce du drap et des vins<ref name="HAL">Modèle:Lien web.</ref>. Progressivement, elle se constitue un vignoble avec Nicolas Henriot (1769-1805) et son épouse, Apolline Godinot (1775-1859) qui fonde en 1808 le Champagne Henriot<ref name="HAL"/>. Sa famille est de religion catholique et politiquement de droite<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, antimaçonnique et antisémite<ref name="Giolitto"/>.

Études et débuts politiques

Après ses études à l'Institut catholique de Paris<ref name="Brissaud_240-244"/>, il est nommé professeur de lettres dans l'enseignement privé, au collège catholique Charrier à Sainte-Foy-la-Grande, à la rentrée de 1909<ref name="Brissaud_240-244"/>, aux confins de la Gironde et de la Dordogne. Il épouse en 1914 la sœur d'un de ses élèves, Héliot, et assure, parallèlement à ses activités d'enseignement, la gestion du domaine viticole de son beau-père, le domaine de Château-Picon à Eynesse. En raison d'une affection pulmonaire, il n'est pas mobilisé lors de la Première Guerre mondiale.

Le Modèle:Date-, Philippe Henriot devient directeur du journal L'Action catholique à Bordeaux et adhère à la Fédération nationale catholique (FNC), présidée par le général de Castelnau<ref name="Brissaud_240-244"/>. À partir de Modèle:Date-<ref name="Brissaud_240-244"/>, il cesse d'enseigner pour se consacrer à la politique. Il révèle ses talents d'orateur en remplaçant au pied levé l'abbé Bergey, curé de Saint-Émilion et député conservateur de la Gironde, fondateur de l'Union populaire républicaine de la Gironde (UPR)<ref name="Brissaud_240-244"/>.

De 1925 à 1932, il participe avec le général de Castelnau et l'abbé Bergey à des conférences données dans toute la France par la Fédération nationale catholique<ref name="Giolitto"/> et publie des articles dans La Liberté du Sud-Ouest, dont il est un temps le directeur. Il est proche des Croix-de-Feu et des Jeunesses patriotes<ref name="Giolitto"/>. En 1928, il se présente aux élections législatives à Libourne<ref name="Brissaud_240-244"/>,<ref name="Giolitto"/> ; mis en ballottage, il se désiste au second tour en faveur du colonel Yves Picot, président des « Gueules cassées »<ref name="Brissaud_240-244"/>.

Député de 1932 à 1940

En 1932, il succède à l'abbé Bergey comme député de la Modèle:4e de Bordeaux<ref name="Brissaud_240-244"/>,<ref name="Giolitto"/>. Il devient ainsi le seul député de droite représentant de la Gironde à la Chambre des députés avec un député de centre-droit, Georges Mandel. Comme député, Henriot est antiparlementaire ; par exemple, en Modèle:Date-, lors d'un dîner des « Affinités françaises », il vitupère le Parlement, les députés, les électeurs et les modérés<ref>« Aux « Affinités françaises », Journal des débats, Modèle:N°, 9 décembre 1933, Modèle:P.. Sur ces dîners, où se rencontrent les personnalités du camp « national », voir la notice consacrée à son fondateur, Louis de Fraguier.</ref>.

Le Modèle:Date, lors de l'affaire Stavisky, il s'oppose au président du Conseil, Camille Chautemps, et participe à la chute de son gouvernement<ref name="Brissaud_240-244"/>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. En Modèle:Date, il fait partie, avec Adrien Marquet, Georges Scapini, Xavier Vallat et le colonel de Lattre de Tassigny, d'un groupe qui complote contre la République<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Il écrit un pamphlet, Le Modèle:Date- (Flammarion, 1934). Il adhère en 1935 au comité directeur de l'Union antimaçonnique de France, fondée par son collègue le docteur Georges Cousin<ref>« l'Union antimaçonnique de France », Journal des débats, Modèle:N°, 3 mars 1935, Modèle:P..</ref>.

En décembre 1935, il est vice-président du Parti national populaire, avatar des Jeunesses patriotes, qui devient, en juin 1936, le Parti national et social (PRNS) et a pour président Pierre Taittinger<ref name="Brissaud_240-244"/>. Élu vice-président de la Fédération républicaine, un parti conservateur qui se droitise dans les années 1930, il coordonne au plan national les Jeunesses de la Fédération (JFR), créées en 1935.

Réélu le Modèle:Date-<ref name="Giolitto"/>,<ref name="Brissaud_240-244"/>, il est député jusqu'en 1940.

Face à la montée de l'hitlérisme 1938-1940

Inscrit à la Fédération républicaine, il est anticommuniste, antisémite, antimaçon et antiparlementaire. Durant l'entre-deux-guerres, comme sa famille, il est anti-allemand. Mais, avec l'arrivée de Hitler au pouvoir, il devient partisan de l'entente avec l'Allemagne et défend vigoureusement, en 1938, le règlement de l'affaire des Sudètes par la négociation et approuve les accords de Munich<ref name="Brissaud_240-244"/>.

En 1939, il est pacifiste comme Pierre Laval et se montre favorable à un accord franco-allemand sur le modèle du Pacte germano-soviétique<ref name="Brissaud_240-244"/>,<ref name="Giolitto"/>. Cependant, dès que les hostilités commencent, il se meut en propagandiste des armes de la France, et multiplie à ce sujet les articles de presse et les déclarations radiodiffusées<ref name="Brissaud_240-244"/>.

En Modèle:Date, il est partisan de l'armistice et se rallie à Philippe Pétain, [[Vote des pleins pouvoirs constituants à Philippe Pétain|vote les pleins pouvoirs le Modèle:Date-]] et soutient la politique de la Révolution nationale<ref name="Brissaud_240-244"/> dans des organes comme Gringoire et Je suis partout.

Par anticommunisme, il devient très pro-hitlérien à partir du Modèle:Date, quand l'Allemagne envahit l'URSS<ref name="Giolitto"/>,Modèle:Sfn.

Collaboration

Henriot est très actif dans la collaboration, participe à la rédaction du manifeste du Service d'ordre légionnaire (SOL) au début de 1942<ref>Modèle:Harvsp.</ref> et s'engage dans la Milice en mars 1943.

Fichier:Henriot, Philippe (Documents maçonniques, 1944-06).jpg
Philippe Henriot.

Son timbre de voix caractéristique (il est surnommé l'« homme à la voix d'or »<ref name="Brissaud_423">Modèle:Harvsp.</ref>) est rapidement mis à profit par le régime de Vichy. Ainsi, le samedi Modèle:Date, Philippe Henriot prononce sa première allocution à la « Radio Nationale », puis y parle chaque dimanche jusqu'au Modèle:Date, date à laquelle, à la demande de Laval, il prend la parole deux fois par jour comme éditorialiste dans le Radio-Journal de France à l'antenne de Radio-Paris<ref>Éditorial prononcé par Philippe Henriot le 9 avril 1944 à Modèle:Heure sur Radio-Paris, sur youtube.com.</ref>,<ref>Philippe Henriot s'adresse aux Résistants en mai 1944 sur Radio-Paris, sur youtube.com.</ref>,<ref>Dernier éditorial de Philippe Henriot prononcé le 27 juin 1944 sur Radio-Paris, sur Dailymotion.com.</ref> pour défendre la collaboration, attaquer la Résistance<ref name="Kupferman_509">Modèle:Harvsp.</ref>, la France libre et les Français libres du général de Gaulle : Modèle:Citation. Ses émissions sont suivies par un immense public<ref name="Kupferman_509"/>. Orateur virulent, il participe à une guerre des ondes qui se déroule entre les radios de la France libre (Radio Londres) et les radios de la France occupée (Radio-Paris)<ref name="Brissaud_240-244"/>. Il se livre à des joutes verbales à distance contre Pierre Dac Modèle:Incise et Maurice Schumann. Sa forte présence sur les ondes lui vaut d'être surnommé le Modèle:CitationModèle:Sfn.

L'invasion de la zone libre, en novembre 1942, ne l'empêche pas de continuer sa propagande.

Sous la pression de Hitler, relayée par Otto Abetz et Carl Oberg<ref name="Kupferman_503-504">Modèle:Harvsp.</ref>, et malgré l'avis contraire de Pétain<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, il devient, le Modèle:Date, secrétaire d'État à l'Information et à la Propagande du gouvernement de Vichy<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,Modèle:Sfn,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, peu de temps après que Joseph Darnand a été nommé secrétaire-général au maintien de l’ordre, ce qui marque une étape dans l'arrivée au gouvernement des collaborationnistes<ref>Modèle:Harvsp.</ref> de la Milice à de très nombreux postes<ref>Modèle:Harvsp.</ref> et dans la dérive fasciste du régime<ref name="Kupferman_503-504"/>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,Modèle:Sfn. Laval est seul à signer le décret de nomination de Henriot, car Pétain a refusé de le faire, alors qu'il l'a fait pour Darnand Modèle:CitationModèle:Sfn et parce qu'il lui inspire confiance<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Cependant Pétain apprécie le talent oratoire et l'action de propagande de Henriot<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Il se rend en Haute-Savoie, fin Modèle:Date-, pour enregistrer ses chroniques après la fin des combats contre le maquis des GlièresModèle:Sfn. Du 5 au Modèle:Date-, il effectue une dernière visite en Allemagne, d'où ses éditoriaux radiophoniques sont diffusés ; il y prononce un discours devant des travailleurs français requis au STO et rencontre Ribbentrop et GoebbelsModèle:Sfn.

Il a reçu la Francisque<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:Date, Philippe Henriot, sur Radio-Paris, s'en prend à son adversaire privilégié Pierre Dac, en mentionnant les origines juives de ce dernier. Il s'écrie notamment : Modèle:Citation L'humoriste lui répond le lendemain sur Radio Londres par un éditorial qu'il baptise « Bagatelle sur un tombeau »<ref name="Bagatelle">« Bagatelle sur un tombeau », sur judaisme.sdv.fr.</ref> : Dac précise ce que signifie pour lui la France et termine en indiquant que son frère Marcel, tombé au front lors de la Première Guerre mondiale, a bien sur sa tombe l'inscription « Mort pour la France », tandis que celle d'Henriot portera la mention « Mort pour Hitler, fusillé par les Français »<ref name="Bagatelle"/>,<ref>Modèle:Vidéo « L'humoriste juif Pierre Dac cloue le bec au propagandiste de Vichy Philippe Henriot », sur youtube.com.</ref>.

La réponse de Dac s'avère prémonitoire, car Henriot sera abattu par la Résistance Modèle:Nobr plus tard. Le Modèle:Date-, Henriot avait fait interdire les représentations de la pièce de Racine Andromaque, déclarant au micro de Radio-Paris que « les poses plastiques prises par messieurs Jean Marais et Alain Cuny dans Andromaque nuisent plus à la France que les bombes anglaises. »

Fin de vie

En effet, la Résistance, jugeant l'effet de ses éditoriaux dévastateur sur l'opinion publiqueModèle:Sfn, donne l'ordre au COMAC d'enlever ou à défaut d'exécuter l'orateur<ref name=cointet478/>,Modèle:Sfn,<ref name="Brissaud_417-421">Modèle:Harvsp.</ref> collaborationnisteModèle:Sfn. Charles Gonard, dit Morlot, futur compagnon de la Libération, est chargé de la mission<ref name="Brissaud_417-421" />,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date<ref name="Azéma-Wieviorka_298" />,<ref>Modèle:Harvsp.</ref> à Modèle:Heure, muni de faux papiers de milicien, il s'introduit dans le ministère de l'Information, au 10 rue de Solférino, accompagné d'un groupe d'une quinzaine de résistants<ref name="Brissaud_417-421" />. Il convainc Philippe Henriot de lui ouvrir la porte de sa chambre<ref name="Brissaud_417-421" />. Face aux hommes armés qui se présentent, Henriot tente de se défendre<ref name="Brissaud_417-421" />. Il est alors abattu<ref name="Brissaud_417-421" /> à côté de sa femme qui hurle<ref name="Brissaud_417-421" /> mais est épargnée<ref name="Brissaud_417-421" />. L'un de ses fils, membre du NSKK (formation militarisée rassemblant les chauffeurs nazis), était reparti la veille pour le front en Italie<ref name="Brissaud_417-421" />.

L'exécution de Henriot avait été initialement prévue dans les locaux du laboratoire d'entomologie du Muséum national d'histoire naturelle de Paris ; ce n'est qu'au dernier moment que le COMAC décida de transférer l'action au ministère de l'Information<ref>G. Chr. Luquet, Alexanor – Revue française de lépidoptérologie, cinquantième anniversaire, Alexanor, 2009, 24 (1), Modèle:P..</ref>.

Après sa mort, se servant de son nom pour sa propagande, la Propaganda-Abteilung Frankreich couvre les murs d'affiches, avec sa photo, proclamant : Modèle:Citation<ref name="Grémy_7" />,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Depuis la mort de Philippe Henriot, l'officier Charles Platon craint pour sa vie et il sera capturé par les Francs-tireurs et partisans et fusillé à Valojoulx, le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'assassinat de Georges Mandel de seize balles de pistolet-mitrailleur dans le dos par Mansuy, membre de la Milice, fut présenté comme une mesure de représailles<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref> ; d'autres exactions meurtrières eurent lieu dans toute la France, notamment à Rillieux-la-Pape, près de Lyon, où le milicien Paul Touvier fit fusiller sept Juifs pour venger la mort de HenriotModèle:Sfn, et à Rennes, où trois personnalités hostiles au gouvernement de Vichy furent abattues.

Malgré le peu de réaction de Pétain à l'annonce de son décès<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref>Modèle:Harvsp : Modèle:Commentaire biblio</ref> (il adressa toutefois à sa veuve un message de condoléances<ref>Modèle:Harvsp.</ref> et assista, en civil, à un service funèbre à Vichy<ref>Modèle:Harvsp.</ref>), Henriot eut droit, le Modèle:Date-, à des obsèques nationales, organisées par l'État français vichyste, en présence des autorités allemandes<ref name="Kupferman_517">Modèle:Harvsp</ref>, de Laval et de membres du gouvernement et d'une cérémonie à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en présence du cardinal Suhard<ref name="Kupferman_517" />,<ref>Les funérailles nationales de Philippe Henriot, reportage des actualités de l'époque, disponible sur le site de l'Ina.</ref>.

Sa tombe se trouve dans le cimetière du hameau d'Appelles, en Gironde<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'entomologiste

Henriot s'intéressait aux lépidoptères, dont il constitua une collection.

Il prospectait principalement le département de la Gironde et, entre 1922 et 1944, il publia une vingtaine de travaux dans la revue L'Amateur de papillons, dont il devint membre du comité de lecture en 1938. Il décrivit en 1923 une variété nouvelle de Colostygia<ref>Philippe Henriot, « Description de deux aberrations inédites », L'Amateur de papillons, 1 (15) : 244, septembre 1923.</ref>. Les collections de Philippe Henriot et de son frère Robert sont au musée de Karlsruhe, en Allemagne.

Famille

Il eut trois enfants, deux garçons et une fille<ref>Christian Delporte, Henriot, p. 332.</ref>. Un fils, Jacques Henriot, est mort en juin 1940 durant la bataille de France. Un autre était parti en juin 1944 combattre avec les Allemands.

Son petit-fils, qui s'appelle également Jacques Henriot (né le 25 décembre 1940), a été, de 1988 à 2011, secrétaire départemental de la fédération du Front national des Pyrénées-Atlantiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Publications

Modèle:...

  • Les Méfaits de la Franc-maçonnerie (conférence à la salle Wagram), Ligue nationale anti-maçonnique, Paris 1934, 32Modèle:Nb p.
  • Le Modèle:Date-, Flammarion, 1934, 247Modèle:Nb p.
  • Comment mourut la paix — Le procès des responsables, Éditions de France, 1941, 53Modèle:Nb p.
  • Philippe Henriot vous parle au radio-journal de France, parution hebdomadaire, 1944.
  • Et s'ils débarquaient ? (allocutions radiophoniques de janvier à Modèle:Date-), préface d'Émile Vuillermoz, Éditions du Centre d'études de l'agence Inter-France, 1944, 304Modèle:Nb p.
  • Ici, Radio-France, ouvrage regroupant ses chroniques radiophoniques publié dans les années 1940.
Poèmes
  • La Clairière aux sources, Paris, éd. du Soleil Noir, 1946
Romans
  • La Prison du silence, Paris, Beauchesne, 1920
  • La Tunique de Nessus, Paris, Beauchesne, 1922

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

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