Résultats électoraux de l'extrême gauche en France

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Cet article fournit diverses informations sur les résultats électoraux obtenu par l'extrême gauche en France.

Régionales de 1998

Les régionales 1998 préfigurent le système d'alliance entre Lutte ouvrière et la Ligue communiste révolutionnaire, puisqu'ils présentent dans un certain nombre de départements liste commune. Cependant, les accords restent très localisés : ainsi, en Limousin, un département ne dispose d'aucune liste d'extrême gauche (la Corrèze), un autre de la seule LCR (la Creuse), et le dernier d'une liste LO et d'une autre LCR (la Haute-Vienne).

Alsace
Département Parti Voix %
Bas-Rhin LO 11 647 3,42
Haut-Rhin LO 10 483 4,40
Aquitaine
Département Parti Voix %
Dordogne Aucune liste
Gironde LO 14 487 3,15
LCR 4,275 0,93
PT 1 911 0,42
Landes PT 2 500 1,64
Lot-et-Garonne Aucune liste
Pyrénées-Atlantiques PT 4 122 1,62
Auvergne
Département Parti Voix %
Allier Aucune liste
Cantal
Haute-Loire
Puy-de-Dôme LO 11 904 4,78
LCR 2 945 1,18
Basse-Normandie
Département Parti Voix %
Calvados Aucune liste
Manche LO 9 312 4,81
Orne LO 4 160 3,41
LCR 2 322 1,90
Bourgogne
Département Parti Voix %
Côte-d'Or LO 6 153 3,49
LCR 1 727 0,98
Nièvre LO 4 687 4,82
Saône-et-Loire LO 10 346 4,76
Yonne LO 4 396 3,45
Bretagne
Département Parti Voix %
Côtes-d'Armor LO 13 017 5,15
Finistère LO 12 402 3,45
Ille-et-Vilaine LO 14 860 4,81
LCR 4 811 1,56
Morbihan LO 12 520 4,48
Centre
Département Parti Voix %
Cher LO 8 440 6,62
Eure-et-Loir LO 7 835 4,80
Indre Aucune liste
Indre-et-Loire LO 11 196 5,68
Loir-et-Cher LO 7 757 5,77
Loiret LO 10 693 4,83
Champagne-Ardenne
Département Parti Voix %
Ardennes LO 5 476 5,08
Aube LO 5 234 4,91
Haute-Marne LO 5 435 6,84
Marne LO 9 721 6,14
Corse
Département Parti Voix %
Corse-du-Sud Aucune liste
Haute-Corse
Franche-Comté
Département Parti Voix %
Doubs LO 6 963 3,60
Haute-Saône LO 6 149 5,92
Jura LO 3 676 3,61
Territoire de Belfort LO 3 659 7,36
Guadeloupe
Département Parti Voix %
Guadeloupe LO 919 0,70
Guyane
Département Parti Voix %
Guyane Aucune liste
Haute-Normandie
Département Parti Voix %
Eure LCR 7 094 3,51
Seine-Maritime LO 27 658 5,94
LCR 8 045 1,73
Île-de-France
Département Parti Voix %
Essonne LO 15 819 4,37
Hauts-de-Seine LO 15 819 4,37
Paris LO 16 975 2,93
Seine-et-Marne LO 18 462 5,12
Seine-Saint-Denis LO 22 410 6,83
LCR 4 446 1,36
Val-d'Oise LO-LCR 17 018 4,82
Val-de-Marne LO 13 912 3,85
LCR 9 770 2,70
Yvelines LO 15 692 3,53
Languedoc-Roussillon
Département Parti Voix %
Aude Aucune liste
Gard
Hérault LO 9 544 2,70
Lozère Aucune liste
Pyrénées-Orientales LO 4 574 2,88
Limousin
Département Parti Voix %
Corrèze Aucune liste
Creuse LCR 3 620 5,90
Haute-Vienne LO 6 960 4,45
LCR 4 045 2,58
Lorraine
Département Parti Voix %
Meurthe-et-Moselle LO 12 271 5,10
Meuse LO 4 689 5,76
Moselle LO 13 622 4,00
Vosges LO 7 415 4,76
Martinique
Département Parti Voix %
Martinique LO 3 245 3,16
Midi-Pyrénées
Département Parti Voix %
Ariège LO 3 352 5,04
Aveyron Aucune liste
Gers
Haute-Garonne LO 18 004 4,64
LCR 21 387 5,52
Hautes-Pyrénées LO 5 058 5,13
Lot LO 2 315 2,82
Tarn LO 6 862 4,12
Tarn-et-Garonne LO 3 937 4,22
Nord Pas de Calais
Département Parti Voix %
Nord LO 48 026 5,12
Pas-de-Calais LO 38 861 6,35
Pays de Loire
Département Parti Voix %
Loire-Atlantique LO 17 603 4,19
Maine-et-Loire LO 11 806 4,47
Mayenne Aucune liste
Sarthe LO 12 137 5,85
Vendée Aucune liste
Picardie
Département Parti Voix %
Aisne LO 16 706 7,73
Oise LO 17 409 6,15
Somme LO 16 569 6,81
Poitou-Charentes
Département Parti Voix %
Charente LO 6 899 4,97
PT 1 565 1,13
Charente-Maritime Aucune liste
Deux-Sèvres
Vienne LO 8 759 5,39
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Parti Voix %
Alpes-de-Haute-Provence Aucune liste
Alpes-Maritimes LO 9 539 2,62
Bouches-du-Rhône LO 19 769 3,24
Hautes-Alpes Aucune liste
Var
Vaucluse
Réunion
Département Parti Voix %
Réunion LO 4 567 2,05
Rhône-Alpes
Département Parti Voix %
Ain LO 6 811 4,26
Ardèche Aucune liste
Drôme LO 6 902 4,24
Haute-Savoie LO 5 350 2,83
Isère LO 17 218 4,95
Loire LO 10 537 4,18
Rhône LO 17 099 3,61
LCR 8 801 1,86
Savoie LO 5 132 3,97

Européennes de 1999

La liste LO/LCR était la seule liste représentant l'extrême-gauche lors de ce scrutin. Elle a rassemblé 914 680 voix, soit 5,18 % des suffrages exprimés, et a envoyé cinq élus siéger au Parlement européen : Arlette Laguiller (LO), Alain Krivine (LCR), Armonia Bordes (LO), Roseline Vachetta (LCR) et Chantal Cauquil (LO).

Municipales de 2001

En 2001, la LCR avait présenté 93 listes autonomes et obtenu 50 élus dans 40 villes. LO en avait constitué 129 et obtenu, de son côté, 33 élus dans 22 villes<ref>Figaro, 26 novembre 2007</ref>.

Présidentielle de 2002

Trois candidats d'extrême gauche se présentaient au premier tour de l'élection présidentielle du Modèle:Date, obtenant en tout un peu plus de 10 % des suffrages exprimés :

Législatives de 2002

Les législatives 2002 contrastent avec l'élection présidentielle, notamment en raison du « vote utile », mais également pour des raisons structurelles (l'extrême gauche est statistiquement moins présente sur les élections locales que sur les élections nationales, régionales ou européennes) :

  • LO : 301 984 voix, soit 1,20 % des suffrages exprimés.
  • LCR : 320 467 voix, soit 1,27 %.
  • Divers extrême gauche (dont PT) : 81 558 voix, soit 0,32 %.

Régionales de 2004

Les élections régionales de 2004 ont été marquées par un accord électoral entre les deux principaux mouvements trotskistes, Lutte ouvrière et la LCR (Ligue communiste révolutionnaire). L'enjeu était de confirmer leur performance présidentielle, où l'ensemble des candidats d'extrême gauche avaient totalisé 10,6 %, ou de perdre tous les conseillers régionaux qu'ils avaient pu obtenir aux élections régionales de 1998 alors que les sièges étaient attribués à la proportionnelle, et qu'ils avaient obtenu 4,83 % des voix.

La réforme du mode de scrutin régional, défavorable aux petits partis, a poussé ces deux formations à présenter des listes communes dans toutes les régions. Pour conserver des élus, les listes d'extrême gauche se devaient de franchir la barre des 10 % des suffrages exprimés, régions par régions, condition pour se maintenir au second tour et obtenir des élus. Cette barre de 10 % semblait être un challenge à leur portée au moins dans les 9 régions où l'extrême gauche dans son ensemble avait dépassé les 12 % au premier tour de la présidentielle. Avec un résultat national à 4,95 %, cette stratégie a semble-t-il été un échec, avec en sus la remontée du PCF dans les régions où il avait fait une liste à part.

Dans la semaine précédant les élections Arlette Laguiller avait déclaré de façon prémonitoire : « Le plus décevant serait qu'il y ait une poussée à gauche et que nous n'en profitions pas ».

Total, par région, de toutes les listes d'extrême gauche
Région Voix %
Alsace 20 004 3,03
Aquitaine 55 074 4,11
Auvergne 25 389 4,28
Bourgogne 26 193 3,92
Bretagne 64 805 4,78
Centre 55 620 5,61
Champagne-Ardenne 25 240 5,00
Corse - -
Franche-Comté 22 062 4,71
Guadeloupe 1 759 1,18
Guyane 1 687 6,55
Île-de-France 146 143 3,99
Languedoc-Roussillon 50 070 4,70
Limousin 22 529 6,61
Lorraine 40 716 4,69
Martinique 3 866 3,13
Midi-Pyrénées 58 661 4,88
Nord-Pas-de-Calais 82 853 5,11
Basse-Normandie (2 listes) 45 173 7,55
Haute-Normandie 40 434 5,59
Pays de la Loire 84 567 6,07
Picardie 50 329 6,57
Poitou-Charentes 34 220 4,52
Provence-Alpes-Côte d'Azur 48 676 2,69
Réunion 4 249 1,55
Rhône-Alpes 95 524 4,47

Présidentielle de 2007

Comme en 2002, trois candidats se présentaient au premier tour de l'élection présidentielle du Modèle:Date sous les couleurs de l'extrême gauche, Arlette Laguiller (Lutte ouvrière) participant pour la sixième fois et Olivier Besancenot (Ligue communiste révolutionnaire) pour la deuxième fois. Il s'agissait de la première participation de Gérard Schivardi, soutenu par le Parti des Travailleurs. Lui-même ne se qualifie pas d'extrême gauche et encore moins révolutionnaire. Avec la très forte participation et l'importance de l'effet "vote utile" particulier à ce scrutin, l'extrême gauche montre un net recul par rapport aux présidentielle de 2002. Besancenot gagne 288 019 électeurs, seul son score en pourcentage baisse légèrement, ce qui est dû à l'importance de la participation contrairement à 2002. Arlette Laguiller fait son plus mauvais score pour une présidentielle avec 1,33 % des voix, elle perd plus d'un million d'électeurs. L'extrême gauche prise en globalité retrouve à peu près le même nombre d'électeurs qu'à la présidentielle de 1995. Les scores cumulés donnent 5,75 % des voix pour l'extrême gauche, soit un recul de plus de 4 points par rapport à 2002.

Scores des trois candidats d'extrême gauche au premier tour de la présidentielle de 2007 (évolution par rapport à 2002) :

  • Olivier Besancenot (LCR) : 1 498 835 voix (288 019), soit 4,08 % des suffrages exprimés (−0,17) ;
  • Arlette Laguiller (LO) : 488 119 voix (−1 140 000), soit 1,33 % (−4,39) ;
  • Gérard Schivardi (Comité national pour la reconquête des services publics, soutenu par le PT) : 123 711 voix (−9 000), soit 0,34 % (−0,13).

Législatives de 2007

Les résultats des candidats de l'extrême-gauche au premier tour des élections législatives de 2007 ont été répertoriés par le ministère de l'intérieur dans un seul et unique score global : 887 887 voix (183 878), soit 3,41 % des suffrages exprimés (+0,62).

Municipales et cantonales de 2008

L'ensemble des listes d'extrême-gauche capitalise au premier tour des élections municipales 289 193 voix, soit 1,80 % des suffrages exprimés et 96 élus. Les listes qui se maintiennent au second tour obtiennent un score national de 15 215 voix, soit 0,20 % des suffrages exprimés pour un total de 118 élus<ref>« [1] »</ref>. Ces données ne concernent que les listes autonomes et ne tiennent pas compte des candidats élus sur des listes d'union de la gauche.

  • La LCR présentait des listes indépendantes, parfois en alliance avec des partis et regroupements locaux de la gauche antilibérale, dans 36 des 37 villes de plus de 100 000 habitants<ref>Modèle:Lien web</ref>. N'acceptant la fusion avec la gauche institutionnelle au second tour qu'avec la garantie que ses élus ne participeront pas aux exécutifs municipaux<ref>Modèle:Lien web</ref>, la LCR ne parvient à un accord que dans trois des communes dans lesquelles elle obtient entre 5 et 10 % des suffrages exprimés : au Haillan (Gironde) avec le PS, à Morlaix avec le PCF et à Montpellier avec les Verts. Les listes LCR obtiennent également plus de 10 % des suffrages exprimés, seuil minimum pour se maintenir au second tour, dans 11 villes. Elles se maintiennent dans tous les cas, obtenant notamment 15,34 % des voix à Clermont-Ferrand. Finalement, ce sont 74 élus comme conseillers municipaux LCR.

Au premier tour des élections cantonales, les candidats étiquetés extrême-gauche ont rassemblé 50 047 voix, soit 0,37 % des suffrages exprimés. Les candidats qui sont parvenus à se maintenir au second tour ont pour leur part rassemblé un total de 7 825 voix, soit 0,11 % des suffrages exprimés et aucun n'a été élu<ref>Résultats publiés par le Ministère de l'intérieur [2]</ref>.

Européennes de 2009

Lutte ouvrière et le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA, successeur de la LCR) ont présenté des listes dans toutes les circonscriptions à l'exception de l'outre-mer. Le Parti ouvrier indépendant (POI, successeur du PT) n'a pas participé au scrutin. Le ministère de l’Intérieur établit un score national global de 1 050 016 voix, soit 6,10 % des suffrages exprimés<ref>« Résultats des élections Européennes 2009 FRANCE ENTIERE », sur le site du Ministère de l'intérieur</ref>. Ces suffrages se sont répartis de la manière suivante<ref>Données basées sur les résultats par circonscription rendus publics par le Ministère de l'intérieur</ref> :

  • Listes NPA : 840 833 voix, soit 4,88 % des suffrages exprimés.
  • Listes LO : 205 975 voix, soit 1,20 % des suffrages exprimés.
  • Autres listes : 3 208 voix, soit 0,02 % des suffrages exprimés.

Les listes Lutte ouvrière sont conduites par<ref>« Conférence de presse de Nathalie Arthaud. Présentation des candidats et des axes de campagne », Portail de Lutte ouvrière, 16 février 2009.</ref> :

  • Jean-Pierre Mercier (ouvrier dans l'automobile) et Sophie Robin (factrice) dans la région Île-de-France ;
  • Eric Pecqueur (ouvrier dans l'automobile) et Anne Zanditenas (enseignante) dans la région Nord-Ouest ;
  • Valérie Hamon (conductrice de train) et Eddy Le Beller (technicien chantier naval) dans la région Ouest ;
  • Claire Rocher (infirmière) et Thomas Rose (enseignant) dans la région Est ;
  • Sandra Torremocha (enseignante) et Guillaume Perchet (électrotechnicien) dans la région Sud-Ouest ;
  • Nathalie Arthaud (enseignante) et François Roche (ouvrier) dans la région Sud-Est ;
  • Marie Savre (formatrice) et Eric Bellet (ouvrier dans l'industrie pneumatique) dans la région Massif central - centre.

Régionales de 2010

Lutte ouvrière et le NPA ont présenté des listes dans pratiquement toutes les régions, avec des stratégies d'alliance différentes. LO a présenté dans toutes les régions métropolitaines et dans deux régions d'outre-mer des listes autonomes qui ont capitalisé un score de 1,1 % des suffrages exprimés. Le NPA a présenté des listes d'union avec le Front de gauche en Languedoc-Roussillon, Limousin et Pays de la Loire, trois listes d'union avec le Parti de gauche et d'autres formations plus petites en Bourgogne, Champagne-Ardenne et Basse-Normandie et des listes autonomes dans toutes les autres régions dans lesquelles il était présent.

Le Ministère de l'intérieur établit un score national global de 662 161 voix pour les listes d'extrême-gauche, soit 3,40 % des suffrages exprimés, ce résultat ne prenant pas en compte les listes auxquelles a participé le NPA en Champagne-Ardenne, Languedoc-Roussillon, Limousin et Pays de la Loire. Les deux seuls conseillers régionaux d'extrême-gauche élus à l'issue du scrutin l'ont été dans la région Limousin, où la liste NPA-Front de gauche s'est maintenue au second tour.

Présidentielle de 2012

Deux candidats d'extrême gauche se présentent à l'élection présidentielle française de 2012. Ils font à eux deux moins de 2 % des voix. Nathalie Arthaud succède à Arlette Laguiller comme candidate de Lutte ouvrière et Philippe Poutou à Olivier Besancenot comme candidat du Nouveau Parti anticapitaliste, parti successeur à la Ligue communiste révolutionnaire créé en 2009.

Score des deux candidats d'extrême gauche au premier tour :

Municipales de 2014

Modèle:...

Aux élections municipales de 2014, l'extrême gauche réunit Modèle:Unité au premier tour, soit 0,60 %, et 4 544 au second tour, soit 0,05 %. Elle bénéficie de Modèle:Unité dans les différents conseils municipaux de France.

Européennes de 2014

Modèle:...

Au niveau national, l'extrême gauche fait moins de 2 % aux élections européennes de 2014. Aucun candidat n'est élu.

Score des différents partis d'extrême gauche au niveau national (évolution par rapport à 2009) :

Départementales de 2015

Modèle:...

Régionales de 2015

Modèle:...

Présidentielle de 2017

Deux candidats d'extrême gauche se présentent à l'élection présidentielle française de 2017. Ils font à eux deux moins de 2 % des voix.

Score des deux candidats d'extrême gauche au premier tour (évolution par rapport à 2012) :

Législatives de 2017

Au premier tour des élections législatives de 2017, l'extrême gauche recueille au niveau national Modèle:Unité, soit 0,77 % (0,2 point de moins qu'en 2012). Elle n'est pas représenté au second tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les Modèle:Unité présentés par Lutte ouvrière réunissent Modèle:Unité (0,50 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Parti ouvrier indépendant démocratique présentait seulement Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le Nouveau Parti anticapitaliste une quarantaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Seule LO parvient à franchir le seuil des 1 % des suffrages exprimés pour au moins 50 de ses candidats, obtenant ainsi un financement public<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Parti ouvrier indépendant soutenait de son côté La France insoumise<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Européennes de 2019

Le Nouveau Parti anticapitaliste ne se présente pas aux élections européennes de 2019, faute de moyens financiers, et soutient la liste de Lutte ouvrière, conduite par Nathalie Arthaud<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Parti révolutionnaire Communistes, anciennement Communistes, présente une liste conduite par Antonio Sanchez<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cofondateur du parti d’extrême gauche Démocratie représentative, le militant communautariste Hadama Traoré est à la tête d’une liste homonyme<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Présidentielle de 2022

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Législatives de 2022

Modèle:Section vide ou incomplète

Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Portail