Saint-Brice-sous-Forêt
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Brice-sous-Forêt est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
Géographie
Localisation
À Modèle:Unité au nord de Paris, la commune de Saint-Brice-sous-Forêt est située à l'ouest de la plaine de France, à l'orée de la forêt de Montmorency.
Communes limitrophes
-
Carte de la commune. -
Occupation des sols
Voies de communication et transports
Saint-Brice est desservie :
- par l'ex-RN1 (actuelle RD 301) qui traverse la ville du nord (en direction de Beauvais) au sud (en direction de Paris) et la RD125 qui relie Montmorency à Sarcelles d'Ouest en Est au Sud de la ville. Elle est également à proximité de la RD11.
- les transports en commun suivants :
- La gare de Sarcelles - Saint-Brice située sur la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers et desservie par les trains de la ligne H du Transilien (Paris-Nord - Persan - Beaumont/Luzarches).
- Les bus RATP Modèle:Bus RATP/correspondances
- La ligne départementale Modèle:Bus IDFM/correspondance du Conseil Général du Val-d'Oise en provenance de Roissypôle et qui a pour terminus la gare de Sarcelles - Saint-Brice.
- La ligne Modèle:Bus IDFM/correspondance exploitée par Transdev Valmy en provenance de la Gare de Garges - Sarcelles et qui a pour terminus l'hôpital d'Eaubonne (arrêts: Charles de Gaulle, Rue de la Marlière, Gare)
- Les bus urbains Modèle:Bus IDFM/correspondance et Modèle:Bus IDFM/correspondance
- La ligne Modèle:Noctilien/correspondances du Noctilien en provenance de la Gare de Paris-Est à Paris et qui a pour terminus la gare de Sarcelles - Saint-Brice.
Morphologie urbaine
La ville de Saint-Brice-sous-Forêt peut être divisée en différents quartiers :
- Le centre-ville, qui constitue le cœur historique de la ville<ref name="sitewebville">Site municipal</ref>,
- Le quartier des Vergers, né vers 1975 pour répondre au manque de logements (les premiers logements furent habités dès 1974),
- Les Rougemonts,
- Le clos du château,
- La résidence de la Fontaine Saint-Martin,
- La résidence du Village, Cité Jaune
- Le K-ré,
- Le quartier de la Plante au Flamands.
Urbanisme
Typologie
Saint-Brice-sous-Forêt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Attestée sous la forme Sanctus Bricius en 1124 <ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1533.</ref>.
Le nom de la commune provient du saint éponyme, successeur de saint Martin à l'épiscopat de Tours en 397, ou de Bricta, déesse gauloise des sources.
Sous la Révolution, la commune prend le nom de Brice libre<ref name="Cassini"/>.
C'est dans un document de 1125, où Mathieu le Bel, futur seigneur de Villiers, énumère ses possessions, que le nom de Saint-Brice apparaît pour la première fois.
Histoire
Le village faisait partie de la seigneurie des Montmorency au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ils y ont droit de haute, moyenne et basse justice et aussi un droit de prélèvement sur les poissons de mer transitant par le bourg vers Paris, droit confirmé le Modèle:Date- par le parlement de Paris<ref>Cf Histoire de la maison de MontmorencyModèle:Référence non conforme.</ref>
Mais en 1632, Henri II de Montmorency, coupable d'avoir conspiré contre le roi Louis XIII, est décapité en place publique à Toulouse. Ses biens sont dévolus à sa sœur, Charlotte Modèle:Incise, puis du comte de Vienne, brigadier des armées du roi au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La communauté villageoise compte à cette époque environ 171 foyers c'est-à-dire Modèle:Nombre, vivant pour la plupart de l'agriculture et, en complément, de la fabrication de dentelle alors florissante dans la région. La vigne représentait la principale activité agricole. Saint-Brice présentait déjà son double aspect résidentiel et rural. Les belles propriétés jouxtaient des vignobles. Le travail à domicile de la dentelle constituait une importante source de revenus pour la commune.
La Révolution française amena son lot d'enthousiasme et également d'excès. Malgré les protestations des villageois, Jean-Louis Loiseau de Béranger, le propriétaire du château de Saint-Brice est guillotiné en tant que fermier général.
L'Empire, puis la Restauration, amenèrent un certain nombre de notables dans la commune. C'est ainsi que Talleyrand, ministre de Napoléon, fut propriétaire, du Modèle:Date- au Modèle:Date-, du château de Loiseau de Béranger où il séjourna avec la duchesse de Dino, épouse de son neveu (il n'en reste que les écuries, restaurées en 1975, et le parc).
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Brice, proche de Paris, devint un lieu de villégiature très recherché. À la fin du siècle, on comptait 27 belles propriétés. La plupart existent encore et donnent à la ville son charme et sa verdure. Saint-Brice devint alors une bourgade agricole et prospère et le restera jusqu'à la Première Guerre mondiale (1914-1918).
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, la commune, abandonnée par ses édiles, dut sa survie au dévouement sans faille et à la sagesse de son curé, l'abbé Louis Salati, qui, au péril de sa vie, assuma les fonctions de maire sans en avoir le titre.
Vers 1935, on observe une mutation agricole : les terres maraîchères laissent la place à l'arboriculture. On remarque alors que 80 % des terres disponibles sont plantées en poiriers dont les fruits étaient très prisés sur les marchés. La population à cette époque était de Modèle:Nombre environ. L'activité agricole demeurait importante, la région constituant une réserve maraîchère : choux-fleurs, petits pois, poires, pommes, fraises.
En 1877, la gare de Sarcelles - Saint-Brice est mise en service par la compagnie des chemins de fer du Nord sur la Ligne de Paris au Tréport - Mers. Elle s'appelle Sarcelles-Saint~Brice, malgré un usage qui donne à la commune propriétaire du terrain le droit de figurer en tête du nom. Le chemin de fer va révolutionner la vie du village : les Parisiens viennent de plus en plus nombreux passer le dimanche à la campagne et les cultivateurs ont de nouvelles possibilités pour expédier leurs fruits et légumes. En 1907, la seule gare de Sarcelles-Saint~Brice expédie 140 wagons de poireaux par mois dans les centres du Nord : Lille, Roubaix, Valenciennes, Cambrai…
Pendant la Première Guerre mondiale, Saint-Brice n'était pas très éloignée du front. Les grandes propriétés accueillaient des soldats pendant leurs permissions. Mais le village se trouvait sur la trajectoire de la Grosse Bertha. L'heure n'était plus à la villégiature. Les difficultés apparurent : réquisitions, restrictions, manque de main d'œuvre... Comme partout en France, les femmes et les enfants prirent la place des hommes dans les champs.
Cinquante-cinq Saint-Briciens périrent durant ce conflit. Après 1918, bien des fortunes locales s'étaient amoindries ou avaient changé de mains et de grandes propriétés furent morcelées pour laisser place aux premiers lotissements : le Clos du Château, le Parc de Mauléon, le Clos Béranger… Saint-Brice vécut sa première grande urbanisation juste après cette guerre. La commune comptait Modèle:Nombre en 1931.
Saint-Brice ne subit que deux brefs passages des armées allemandes : lors de la bataille de France en juin-Modèle:Date- et en Modèle:Date-. Les chars de la Modèle:2e de blindés, dirigés par le général Leclerc, traversèrent Saint-Brice par l'avenue du Général-de-Gaulle ; une plaque commémorative rappelle l'évènement.
C'est à partir des années 1960 que la commune va connaître un développement urbain régulier avec la multiplication des résidences et des lotissements, et l'aménagement de zones industrielles et commerciales.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Brice, avec ses Modèle:Nombre en 2010 garde son double visage de ville nouvelle très équipée et de village ancien soucieux de garder son patrimoine architectural, son âme, son histoire et sa verdure.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Pour l'élection des députés, la ville fait partie de la septième circonscription du Val-d'Oise.
Saint-Brice faisait partie de 1801 à 1964 du canton d'Écouen, année où il est rattaché au canton de Sarcelles-Centre de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise intègre en 1967 le canton de Domont, puis, en 1976, le canton de Sarcelles-Saint-Brice, et enfin en 1985 au canton d'Écouen<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie le canton de Deuil-la-Barre.
Saint-Brice-sous-Forêt fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en Modèle:Date-<ref>Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008</ref>), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise<ref>Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise</ref>,<ref>Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise</ref>.
Intercommunalité
Saint-Brice-sous-Forêt était membre fondateur de la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France (CCOPF) .
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du Modèle:Date-, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le Modèle:Date- pour former la Communauté d'agglomération Plaine Vallée, dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques et résultats
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Alain Lorand obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (68,79 %, 28 conseillers municipaux élus, dont 9 communautaires), devançant largement celle PS menée par Didier Arnal, qui a obtenu Modèle:Unité (31,20 %, 5 conseillers municipaux élus, dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 48,35 des électeurs se sont abstenus<ref>Résultats officiels pour la commune Saint-Brice-sous-Forêt</ref>.
Modèle:Article détaillé
Pour les municipales de 2020, le maire sortant Alain Lorand (RPR, puis UMP et enfin UDI, élu dès le Modèle:1er en 2014) avait dans un premier temps annoncé qu'il se représenterait malgré son âge avancé (82 ans en 2019), faute d'avoir trouvé un successeur Modèle:Incise puis annoncé son retrait au profit de Jean-Pierre Yalcin, ancien membre de LR<ref name="GBP29082019"/>.
La liste que ce dernier menait est arrivée légèrement en tête au premier tour, mais, avec 39,06 % des suffrages exprimés (Modèle:Unité), a été battue par celle menée par Nicolas Leleux (LREM) au second tour (44,05 %, Modèle:Unité), suivies par la liste menée par Marc Guyot (Div. C., 16,89 %, 508 voix).
Lors de ce scrutin, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 64,70 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Ces résultats, contestés par Jean-Pierre Yalcin, ont été confirmés en mars 2021 par le tribunal administratif de Cergy, qui a confirmé l'élection municipale de 2020<ref>Modèle:Article.</ref>. Modèle:Article détaillé
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Distinctions et labels
- Commune donneur
- Villes et villages fleuries
En 2011, la ville a reçu pour la première fois un prix pour sa participation au Concours départemental des villes, villages et maison fleuris : le prix de la protection des ressources naturelles. Ce prix récompense les personnes ayant travaillé pour une gestion économique de l’eau, une gestion intelligente de l’énergie et des déchets verts ainsi qu’une valorisation de la biodiversitéModèle:Référence nécessaire. En 2012, la ville a maintenu ce prix et en a reçu un second, celui du cadre végétal. En 2013, la Ville a reçu le prix d'excellenceModèle:Référence nécessaire. Elle a obtenu sa première fleur en 2014Modèle:Référence nécessaire. En 2021, Saint-Brice-sous-Forêt est couronnée d'une seconde fleur <ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Prix de l'éco-conception
- un format,
- une pagination et une périodicité adaptées,
- un papier respectueux de l’environnement (recyclé ou PEFC),
- le choix d’une imprimerie répondant à tous les éco-labels existants (voir encadré),
- une distribution sans film plastique.
- etc.
- Ville active et sportive
Politique de développement durable
Modèle:Section à actualiser En 2011, après avoir signée la charte de la Biodiversité, la Ville s’est engagée dans l’élaboration d’Agendas 21 et 22. Il s’agit d’un programme d’actions locales visant le développement durable sur 2013-2020.
Jumelages
La commune est jumelée avec le quartier de Devínska Nová Ves, de la ville de Bratislava, en Slovaquie.
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Enseignement
Modèle:Section à sourcer L'enseignement à Saint-Brice dépend de l'académie de Versailles.
Il y a 9 établissements scolaires sur le territoire de la commune :
- 4 écoles maternelles
- 4 écoles élémentaires
- 1 collège : l'Ardillière de Nézant
Les écoles maternelles portent les noms d'Alphonse Daudet, Charles Perrault/Hans Andersen, Jean Charron et Léon Rouvrais.
Les écoles primaires portent quant à elles les noms d'Antoine de Saint-Exupéry, Jean de La Fontaine, Jules Ferry, Pierre et Marie Curie.
Le collège L'Ardillière de Nézant accueille les élèves de Saint-Brice et parfois ceux de Groslay, commune proche de l'établissement. Le collège est situé dans le quartier du clos du château. Il touche la D 125. Il compte environ 700 élèves.
La commune ne possède pas de lycée sur son sol. Les lycées les plus proches sont le lycée Camille Saint-Saëns situé à Deuil-la-Barre (rue Guynemer), le lycée Jean-Jacques Rousseau situé à Montmorency (2, rue Jaigny) ou le lycée-collège Le Saint Rosaire situé à Sarcelles.
L'établissement supérieur privé Compta-Sup Marketing/C.E.F.I.G.O, situé à côté du collège de Nézant, propose quant à lui des formations permettant d'obtenir le bac STG, les BTS NRC, MUC, Professions Immobilières, Assistant de Manager, Assistant de gestion PME/PMI, Notariat (Bac+2), un cursus comptable complet : DCG (Bac+1), BTS Comptabilité et Gestion des Organisations (Bac+2), le DEES (Bac+3), le Master (Bac +5).
Culture
- Théâtre de l'ouest de la Plaine de France (TOPF) Silvia-Monfort
Le théâtre de l'ouest de la Plaine de France Silvia Monfort, d'une capacité d'accueil de 460 places, propose une programmation pluridisciplinaire qui s’adresse à tous les publics. Il est situé à l'intérieur du Centre culturel et sportif Lionel Terray mais dépend de la communauté d'agglomération Plaine Vallée.
- Centre culturel et sportif Lionel Terray
Ce centre comprend :
- un gymnase
- le point lecture et le lieu d'accueil enfants parents
- le hall-bar Edith Wharton et l'espace Paul Eluard pour les expositions temporaires d'œuvres d'art (tableaux, sculptures, photographies…)
- le conservatoire de musique et l'espace Berlioz où des scènes ouvertes ont lieu régulièrement
- La ludothèque
La municipalité de Saint-Brice a ouvert une ludothèque dans le quartier des Vergers.
- La bibliothèque
Située dans le quartier des Vergers, la bibliothèque propose de nombreuses animations comme le Festival du conte, le club lecture, l'apéro-graines…
Santé
Sports
Modèle:Section à sourcer Des locaux sont présents dans la ville pour permettre la pratique des sports. La municipalité a inauguré en Modèle:Date- une salle multisports Colonel-Arnaud-Beltrame qui permet la pratique des arts martiaux<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Arts martiaux
Liste des arts martiaux sur la ville :
- Aïkido (Ringenkaï<ref>Modèle:Lien web.</ref>)
- Bokaïdo
- Judo
- Karaté
- Kenjutsu (Hyoho Niten Ichi Ryu<ref>Modèle:Lien web.</ref>)
- Krav Maga
- Taïchi Chuan
- Viet Vo Dao, école Kim Long et école Tigre Jaune
La ville compte un dojo au COSEC.
Sur l'impulsion du maire, la ville accueille dès 2004<ref>Modèle:Lien web.</ref> des maîtres japonais venus enseigner l'art du sabre (kenjutsu) de Miyamoto Musashi aux pratiquants français et européens de 10 nationalités. Le Grand-maître Iwami Toshio revient en 2005<ref>Modèle:Lien web.</ref> et 2011<ref>Modèle:Lien web.</ref> pour des stages internationaux. Depuis, des cours de Hyoho Niten Ichi Ryu ont régulièrement lieu sous l'autorité de Nguyen Thanh Thien, représentant pour la France<ref>Modèle:Article.</ref> de cette école traditionnelle japonaise. La ville est le berceau du développement français et européen de l'art du sabre du plus fameux samouraï du Japon.
En Modèle:Date-, la Ville organise un Gala des Arts Martiaux qui a été l'occasion d'unir les membres des associations d'arts martiaux présents à Saint-Brice-sous-Forêt en une soirée qui a réuni un public de plus de cinq cents personnes.
- Sports Collectifs
- Sports individuels
Manifestations culturelles et festivités
Modèle:Section à sourcerLa brocante annuelle de Saint-Brice se déroule le dernier week-end de juin. Cette brocante est organisée par le club de football de la ville.
La Ville organise tous les ans son marché de Noël. Il est toujours le deuxième week-end de décembre et dure deux jours.
Religion et lieux de culte
Plusieurs communautés religieuses sont présentes à Saint-Brice. La ville possède des lieux de cultes différents pour les catholiques et les israélites.
Les israélites disposent de deux synagogues : La synagogue Ohel Abraham<ref>Modèle:Lien web.</ref> et le Beth Habad<ref>Modèle:Lien web.</ref> ainsi que d'un centre communautaire<ref>Modèle:Lien web.</ref> et d'un mikvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le cimetière de Saint-Brice se trouve rue de Paris au nord de la ville, près de la ZAC des Perruches.
Économie
La population active en 2015 est de Modèle:Nombre, dont 6 343 actifs ayant un emploi<ref name="RGP">Recensement général de la population 2015, document listé en miens externes, INSEE.</ref>.
La ville compte plus de 3000 emplois en 2015<ref name="RGP"/> :
- employés (37,3 %),
- professions intermédiaires (26,6 %)
- ouvriers (14,3 %)
- cadres et professions intellectuelles supérieuses (13,6 %)
- artisans, commerçants, chefs d'entreprise (8,6)
En 2015, la commune compte Modèle:Unité dont<ref name="RGP"/> :
- 75,5 % dans le commerce, transport et services divers,
- 12,4 % dans l’administration publique, enseignement, santé et action sociale,
- 8 % dans la construction,
- 3,8 % dans l’industrie.
Revenus de la population et fiscalité
Modèle:Section à actualiser En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 38 137 €, ce qui plaçait Saint-Brice-sous-Forêt au 3 659e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Modèle:Section à sourcer Saint-Brice-sous-Forêt dispose de trois zones d'activités commerciales et d'artères commerçantes dans la rue de Paris, rue de Montmorency, place de la Gare.
- La ZAC des Perruches située au nord de la ville. C'est la zone économique la plus ancienne de Saint-Brice.
- La ZAC des Vergers, situé à l'est de la ville. Cette ZAC est voisine du parc Georges-Brassens qui est le plus grand parc de la ville.
- La ZAC de la chapelle Saint-Nicolas, au sud de la ville.
Il existe également un marché couvert, près de l'église sur la place Gallieni.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Saint-Brice-sous-Forêt compte trois monuments historiques sur son territoire : Modèle:Article détaillé
- Église Saint-Brice, rue de Paris (chapelle accolée à la face nord du clocher et clocher classés monument historique par arrêté de 1964<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) :
- La fondation de la paroisse remonte au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et c'est dans la seconde moitié du même siècle que commence la construction de l'église actuelle, par le clocher central qui subsiste à ce jour. Il est de style gothique primitif. Au second quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'église est complétée par les bras du transept et des chapelles latérales, qui annoncent le style gothique rayonnant.
- Seul le croisillon nord a été préservé. L'église gothique étant devenue trop petite au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sa nef et son chœur sont dédoublés par un long vaisseau de style gothique flamboyant, accompagné d'un collatéral au sud. Ce vaste complexe, dédicacé en 1525, a entièrement disparu. En effet, le chœur empiète sur le tracé rectifié de la route royale de Paris à Amiens, et sa démolition est pour les habitants l'occasion de décider la construction d'une nouvelle église.
- Elle se fait dans un bref délai de Modèle:Date- à Modèle:Date-, qui explique sans doute la facture rustique de l'édifice, dont seule la façade néo-classique donnant sur la rue a été soignée. Tout ce qui reste de l'ancienne église est démoli au plus tard au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à l'exception du clocher et de l'ancien croisillon nord.
- À l'occasion d'une grande campagne de rénovation entre 1886 et 1889, l'intérieur subit une transformation néo-gothique pour lui donner un caractère plus solennel. Moins d'un siècle plus tard, ce décor ne donne plus satisfaction, et toute trace en est effacé lors de la restauration des années 1980.
- Depuis, l'église Saint-Brice se présente comme une grande salle rectangulaire sans marque particulière d'architecture religieuse. La vocation de l'édifice n'est soulignée que par le mobilier liturgique et les vitraux hagiographiques<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref group=b>Modèle:P.232-233.</ref>.
- Maison de l'Escuyer, 34 rue de Paris (inscrite monument historique en 1976<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Cette propriété du Modèle:S mini- et du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle tient son nom de Nicolas Vincent du Trou, héritier du domaine en 1730 et écuyer du roi.
- Du Trou fait agrandir l'habitation par une aile en retour d'équerre. La façade principale, de style classique, comporte un rez-de-chaussée aux hautes fenêtres, et un étage beaucoup plus bas, sous un toit à faible pente. La façade s'articule autour d'une tour carrée, précédée par une demi-tour cylindrique<ref group=b name="p. 234">Modèle:P.234.</ref>. Après une longue période d'abandon, la restauration de la demeure commence enfin en 2012Modèle:Référence nécessaire.
- Pavillon Colombe, rue Edith-Wharton (classé monument historique en 1993<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Folie édifiée par l'architecte François-Joseph Bélanger vers 1770 ou bien par Firmin Perlin vers 1778 pour Jean-André de Vassal de Saint-Hubert, riche receveur des finances qui l'offre à sa maîtresse Marie-Catherine Riggieri (1751-1830), actrice de la Comédie-Italienne dite « Mademoiselle Colombe »<ref>Modèle:Article.</ref>.
- André Vassal y fait également travailler l'architecte Trou dit Henry, et peut-être Guillaume Trepsat, de sorte qu'il est difficile de déterminer ce qui revient auquel de ces architectes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Des fresques sont réalisées par Hubert Robert, et des sculptures par Jean-Baptiste Pigalle et Jean-Antoine Houdon. La maison est dépouillée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de presque tout son décor intérieur, dont les boiseries à décor de colombes se becquetant et le portrait de Modèle:Mlle Colombe lâchant des colombes par Fragonard, qui ornait un trumeau<ref group="Note">Intitulé Mademoiselle-Marie-Catherine Colombe en Vénus glorieuse (ancienne collections Rothschild et Wildenstein, aujourd'hui au Los Angeles County Museum of Art)</ref>.
- Elle est habitée avant la Première Guerre mondiale par la cantatrice Felia Litvinne, puis par la veuve d'un médecin qui lui donne le prénom de son mari, Jean-Marie. En 1919, la romancière américaine Edith Wharton s'y installe. C'est elle qui donne à la propriété le nom de « Pavillon Colombe » sous lequel elle est connue aujourd'hui. Elle y fait réaliser des travaux par les architectes Charles Moreux et Henri Gonse et le major Lawrence Johnston, qui y crée un jardin de buis à la française. Edith Wharton est morte au Pavillon Colombe en 1937 après y avoir écrit plusieurs de ses romans (plaque commémorative près de la porte). La maison est alors achetée par Hélie de Talleyrand-Périgord (1882-1968), Modèle:7e et dernier duc de Talleyrand, duc de Sagan et de Dino. Ce dernier la restaure et y « disposa une magnifique collection de meubles, de portraits et de souvenirs de famille »<ref>Voir Modèle:Référence non conforme, et Claude Frégnac, L'Île-de-France des châteaux, Hachette Réalités, Paris 1977, Modèle:P..</ref>. C'est sous sa direction que le jardin est repris par l'architecte-paysagiste anglais Russell Page entre 1938 et 1941 et de nouveau en 1949Modèle:Référence nécessaire.
-
Église Saint-Brice.
-
Façade de 1778-80.
-
Pavillon Colombe.
-
Portail sur la rue.
On peut également signaler :
- Propriété Jacquin, à l'angle avenue du Général de Gaulle / boulevard de la Gare : Elle fut longtemps habitée par M. Montmirel, maire de Saint-Brice de 1929 à 1935. Une partie du parc est occupée maintenant par les immeubles du clos Béranger<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Villa Sainte-Beuve, 8 rue de Paris : la propriété appartenait à la famille Sainte-Beuve. Elle fut la résidence de l'actrice Armande Cassive, puis de la famille Driancourt, distillateur à Saint-Denis<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Hôtel Mauléon, 15 rue de Paris : il appartenait à la famille Gary depuis 1648. À la mort du notable Pierre Gary, le domaine revient à sa sœur Catherine qui devint Dame de Mauléon<ref group=b>Modèle:P.233.</ref>.
- Propriété Daval : elle est située à côté de la mairie. Cette demeure a été transformée en appartements.
- Balustrade de la rue Edith-Wharton : Elle constitue probablement un vestige de la terrasse du château de la famille Braque, construit en 1670. La résidence des seigneurs de Saint-Brice était doté d'un vaste parc<ref group=b name="p. 234"/>.
- Fontaine Saint-Martin, rue Edith-Wharton : cette fontaine de 1686 environ, modifiée par la suite au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, amenait vers la ville l'eau potable depuis la source Saint-Martin, en lisière de la forêt de Montmorency. La construction de la fontaine intervient en même temps avec la canalisation du cours d'eau à ciel ouvert, ayant traversé le domaine du château. La fontaine a servi à de nombreux habitants jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref group=b name="p. 234"/>. Elle est aujourd'hui hors service.
- Chalet suisse, 20-22 rue de Montmorency : cette maison de 1909, dessiné par l'architecte A. Abbet, suit le modèle du pavillon de la Suisse de l'Exposition universelle de 1900<ref group=b>Modèle:P.239.</ref>.
- Vierge à l'Enfant, 19 rue de Montmorency : cette petite statue en plâtre dans une niche à l'angle d'une maison était, jusqu'en 1939, le but de la procession de l'Assomption<ref group=b name="p. 237">Modèle:P.237.</ref>.
- Presbytère, 59 rue de Paris : Il est installé depuis les années 1920 dans cette ancienne propriété bourgeoise du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, entourée par un mur de clôture avec une porte cochère à l'angle des rues<ref group=b name="p. 237"/>.
-
Balustrade de la rue Edith-Wharton.
-
Fontaine Saint-Martin.
-
Chalet rue de Montmorency.
-
Vierge à l'Enfant.
-
Presbytère
-
Ancienne mairie.
-
Calvaire de 1895.
-
Ancienne laiterie.
-
Mur d'enceinte.
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Maison de campagne de 1823.
- Ancienne mairie, 63 rue de Paris : la maison date de 1872. Elle servit d'école jusqu'en 1896 puis la mairie s'y installa de 1896 à 1970, date à laquelle elle fut transférée à son adresse actuelle<ref group=b name="p. 237"/>,<ref name="Parcours 1">Modèle:Lien web.</ref>. L'ancienne mairie ne fut pas démolie mais réaménagée en banque. Le propriétaire actuel des lieux est la banque LCL.
- Calvaire, rond-point de la rue des Écoles / rue Jules-Ferry : Il a été érigé en 1895 grâce à une souscription publique<ref group=b name="p. 238">Modèle:P.238.</ref>.
- Ancienne laiterie, 80 rue de Paris : l'implantation de cet établissement à Saint-Brice témoigne du caractère rural qu'avait encore la commune à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, lors de la construction. Le comptoir commercial avec ses fenêtres gémellées en plein cintre est d'inspiration style néo-byzantine, alors que le toit débordant à demi-croupe évoque la ruralité<ref group=b name="p. 238"/>.
- Maison de campagne, 89 rue de Paris : de nombreux Parisiens fortunés achètent des maisons de campagne à Saint-Brice, à l'instar de Jean-Baptiste Ernest Salel de Chastanet, conseiller à la Cour des Comptes et conseiller municipal de Saint-Brice de 1852 à 1875. En rachetant des terrains limitrophes parcelle par parcelle, il parvient à constituer un parc de Modèle:Unité, devenu plus récemment le parc municipal Marie-Dominique Pfarr. Pendant longtemps, une fête champêtre très populaire s'est annuellement déroulé dans le parc. La maison est léguée aux Sœurs de la Charité de Saint Joseph en 1917, qui travaillaient comme aide-soignantes à la maison de convalescence de l'hôpital Saint-Joseph<ref name="Parcours 1"/>.
- Anciennes écuries, 39 rue Eugène Châtenay : elles dépendaient du château construit par Loiseau de Béranger, fermier général guillotiné durant la Révolution. Le maréchal Mac-Donald et Talleyrand furent propriétaires du château (il n'en reste que les écuries, restaurées en 1975, et le parc).
- Mur d'enceinte, rue des Marais : l'appareil en moellons de calcaire et meulière ainsi que la forme des contreforts indiquent le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle comme période de construction, mais une datation précise reste problématique. Le mur est trop bas et pas assez solide pour constituer une enceinte pour servir efficacement de rempart, mais toujours est-il qu'il représente exactement l'ancienne limite nord de la ville<ref group=b name="p. 234"/>.
Personnalités liées à la commune
- La famille Bazin est originaire de la commune. Ernest Bazin, professeur de dermatologie à Paris, est le fils de Pierre-Elisabeth Bazin<ref>Modèle:Lien web.</ref>, docteur en médecine, nommé membre du conseil municipal de Saint-Brice le Modèle:Date-<ref name="SB">Modèle:Lien web.</ref> et de Anne Rose Gault<ref>Base Léonore 1</ref>. Ernest Bazin est le frère d’Antoine Bazin, sinologue, et de Pierre Alphonse Bazin, docteur en médecine, successeur de son père à Saint-Brice<ref name="SB"/>.
- Lise Deharme a vécu de 1926 à 1939 dans une maison, construite en contrebas de la Tour de Nézant. Femme de lettres, elle recevait beaucoup d’artistes dont les surréalistes. Son mari, Paul Deharme, fut un des pionniers de la radio naissante.
- L'écologue et agronome René Dubos est né à Saint-Brice le Modèle:Date- au 75, rue de Paris et meurt le Modèle:Date- à New York. Il devient rédacteur, en 1923, à l'institut international d'agriculture à Rome puis quitte l'Europe pour poursuivre une carrière de biologie et de chercheur aux États-Unis.
- Paul Éluard vint s'installer à Saint-Brice<ref>Modèle:Article.</ref> et y accueillit dans sa maison les futurs surréalistes : Max Ernst, André Breton, Robert Desnos, René Crevel, Max Morise, Georges Ribemont-Dessaignes, Jean Paulhan, Benjamin Péret, Philippe Soupault, Roger Vitrac, Jacques Rigaut, Jean Arp, Louis Aragon et Francis Picabia.
- Le maréchal Mac-Donald, puis Talleyrand furent propriétaires du château construit par Loiseau de Béranger, fermier général guillotiné durant la Révolution (il n'en reste que les écuries et le parc).
- L'artiste peintre Pablo Picasso séjourne également à Saint-Brice avec Salvador Dalí, Lise Deharme, Paul Éluard, André Breton, Jean-Louis Barrault et Gala. Ils se réunissent à la tour de Nézant. En 1939, la maison appartient à Henri Jeanson, scénariste <ref group="Note">La tour de Nézant date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et était un moulin. Elle se situe près du collège du même nom et du club d'athlétisme de la ville</ref>.
- Edmond Rostand y séjourne<ref>L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains</ref>.
- L'historien Henri Sée y nait le Modèle:Date-.
- Madame de Staël (1766-1817), romancière et essayiste a séjourné à Saint-Brice-sous-Forêt.
- Edith Wharton, romancière américaine, vit au Pavillon Colombe, situé au 3/5 de la rue qui porte depuis son nom, de 1919 à sa mort en 1937 .
Saint-Brice et le cinéma
Le scénariste et dialoguiste Henri Jeanson a vécu à la Tour de Nézant à partir de 1939 avec la comédienne Marion Delbo. Il y fut arrêté par la Gestapo en 1942. Son épouse, Marion Delbo, comédienne, y résida jusqu’en 1961. Elle y reçut Marie-Laure de Noailles, Georges Auric, Jean Cocteau, Léonord Fini… Hélène Duc, la célèbre Mahaut d’Artois de la série télévisée « Les rois maudits », inspirée de l’ouvrage de Maurice Druon, y séjourna aussi de 1952 à 1958.
L'actrice Gisèle Casadesus était, par ailleurs, mariée à Lucien Pascal, originaire de Saint-Brice-sous-Forêt.
Plusieurs films ont été tournés à Saint-Brice. On peut citer notamment :
- Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch. C'est dans l'hôtel Le Bel-Air qu'une partie du film a été tournée.
- Vendeur de Sylvain Desclous avec Gilbert Melki et Pio Marmai. Quelques ont été tournées dans l'hôtel Le Bel-Air.
- Cette musique ne joue pour personne de Samuel Benchetrit. Il a choisi de tourner au centre commercial Carrefour de la ville avec Ramzy Bedia, François Damiens et Valeria Bruni Tedeschi.