Thierry Groensteen

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Thierry Groensteen, né le Modèle:Date de naissance à Uccle (Bruxelles), est un historien et théoricien de la bande dessinée de nationalité belge et française.

Il contribue dans les années 1980 au développement de la théorie de la bande dessinée en dirigeant Les Cahiers de la bande dessinée, puis en travaillant pour Le Monde.

À travers missions institutionnelles<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>, publications, expositions, enseignement<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref> et conférences<ref name=":1" />, il poursuit depuis ses travaux de théorisation et légitimation de la bande dessinée.

C'est l'un des théoriciens francophones de la bande dessinée les plus visibles avec Benoît Peeters, Pierre Fresnault-Deruelle et Harry Morgan. Il écrit également de la fiction.

Biographie

Formation (1960-1970)

Thierry Groensteen naît le Modèle:Date de naissance à Uccle, une des dix-neuf communes de la région bruxelloise<ref name ="GroensteenBDGest">Modèle:Lien web.</ref>. De 1960 à 1975, Thierry Groensteen est élève de l'École européenne de Bruxelles<ref name="bioofficielle">Modèle:Lien web.</ref>. Au début des années 1970, il suit des cours de théâtre, tout en dirigeant Buck, le journal de son école, qu'il transforme progressivement en fanzine de bande dessinée<ref name ="Buck13Lastdodo">Modèle:Lien web.</ref>. Tome y publie ses premières planches<ref name ="GroensteenBDGest" />, Numa Sadoul et Didier Pasamonik rédigent des articles.

Après son baccalauréat, il étudie à partir de 1975 le journalisme à l'IHECS (Institut des hautes études des communications sociales), à Tournai, dont il sera diplômé en 1979<ref name="bioofficielle" />. Après avoir été stagiaire pour Le Soir<ref name ="Cavarroc">Modèle:Harvsp.</ref> en 1978, il travaille comme stagiaire à la Direction générale de l'Information de la Commission des Communautés européennes pendant cinq mois<ref name="bioofficielle" />. Puis en journaliste indépendant, il rédige un bulletin hebdomadaire intitulé Eurofocus<ref group="Note">Eurofocus est publié dans toutes les langues de la Communauté européenne.</ref>,<ref name="bioofficielle" />. Au cours de cette période, il collabore aussi à 30 Jours d’Europe, Euroforum et aux Dossiers de l’Europe jusqu'en 1983. Cependant, dès cette époque, il s'oriente avant tout vers la bande dessinée, tout en se produisant comme comédien amateur dans plusieurs troupes bruxelloises<ref group="Note">La biographie de son site officiel cite l'Union dramatique et philanthropique de Bruxelles.</ref>,<ref name="bioofficielle" />.

Publications et théorie de la bande dessinée (année 1980)

En 1980, ses amis Didier et Daniel Pasamonik, qui viennent de fonder Magic Strip, publient son premier livre, une monographie consacrée à Jacques Tardi<ref name ="GroensteenBDGest" />,<ref name="Giret29122009" />. L'ouvrage délaisse la biographie pour une approche analytique de l'œuvre et a l'aspect d'un livre d'art. Il publie comme scénariste de bande dessinée en 1981 chez Glénat L'Ingénue et le dictateur<ref name ="AntoineBDGest">Modèle:Lien web.</ref>, premier volet des aventures africaines d'Antoine et Victor, avec le dessinateur Jean Lucas. Le deuxième épisode, Les Compagnons du Mashamba, est prépublié dans Circus et ne connaît pas d'album<ref name ="Groensteencircus">Modèle:Lien web.</ref>, mais la trilogie projetée reste inachevée. Toujours en 1981, il collabore régulièrement au rédactionnel d'(À suivre)<ref name ="GroensteenAsuivre">Modèle:Lien web.</ref> jusqu'en Modèle:Date. En 1983, il rédige des articles rédactionnels de Spirou et y crée, avec Glem, le personnage éphémère de Freddy Guidon (1983-1985)<ref name ="GroensteenSpirou">Modèle:Lien web.</ref>. Il mène également d'autres projets scénaristiques avec Séraphine et Philippe Wurm mais ceux-ci n'aboutiront pas<ref name="bioofficielle" />.

En Modèle:Date, il prend en main Les Cahiers de la bande dessinée<ref name="Giret29122009" />, l'ancien fanzine de Jacques Glénat qui était en perte de vitesse après cinquante-cinq numéros. Distribuée en kiosque, tirée à Modèle:Nombre avec des ventes de 6 à Modèle:Nombre<ref name="bioofficielle" />, la revue propose, sous la direction de Groensteen, une approche critique très poussée de la bande dessinée. Elle contribue à faire reconnaître la bande dessinée comme art véritable auprès du grand public et de l'université. Groensteen abandonne son rôle de rédacteur en chef en Modèle:Date, après vingt-huit numéros. La revue ne survit que quelques mois à son départ<ref>Modèle:Article.</ref>. De 1986 à 1990, Groensteen assure également la chronique mensuelle de bande dessinée du supplément littéraire du Monde<ref name="Pasamonik2021">Modèle:Article.</ref>,<ref name ="Mondediplomatique">Modèle:Lien web.</ref>. De Modèle:Date- à Modèle:Date-, il enseigne à l’Institut des hautes études des communications sociales à Mons<ref name ="novanima">Modèle:Lien web.</ref> le langage de la bande dessinée, d'abord seul, puis aux côtés de Thierry Smolderen. C'est sa première expérience de l'enseignement.

En 1987, il organise le colloque « Bande dessinée, récit et modernité », qui se tient du Modèle:1er au Modèle:Date à Cerisy<ref name="Oury">Modèle:Article.</ref>,<ref name="=Douhaire">Modèle:Article.</ref>. Jean-Christophe Menu y fait la connaissance de Lewis Trondheim<ref name="=Douhaire" />. Les actes du colloque sont publiés par les éditions Futuropolis.

En Modèle:Date, le Centre national de la bande dessinée et de l'image (CNBDI) d'Angoulême le recrute comme « conseiller scientifique ». Groensteen s'installe à Angoulême l'année suivante. En parallèle à ses missions pour le CNBDI, il enseigne l'histoire et la théorie de la bande dessinée à l'École supérieure de l'image et deviendra par la suite en 2007 un intervenant régulier au sein de son Master Bande Dessinée<ref name ="novanima" />. Il monte au Centre d’action culturelle de la ville sa première exposition en 1990, Little Nemo et autres songes de Winsor McCay<ref name="Sabourin2017" />. À Angoulême, il revient également à ses premières amours théâtrales<ref name="bioofficielle" />, jouant Marivaux (La Dispute), Jean-Claude Grumberg (Rixe) ou encore Martial Courcier (L'Opposé du contraire<ref name="CarteblancheBDzoom">Modèle:Article.</ref>).

Études et directions de publications (années 1990)

En 1991, il publie chez Casterman L'Univers des Mangas : une introduction à la bande dessinée japonaise<ref name="Rouyet1991">Modèle:Article.</ref>, premier ouvrage de langue française entièrement consacré à la bande dessinée japonaise<ref name="Giret29122009" />, et ce avant l'arrivée massive des mangas sur le marché francophone.

En 1992, il démissionne du CNBDI<ref name="Sabourin2017">Modèle:Article.</ref> et soutient à Toulouse-Le Mirail un mémoire de DEA, Le système spatio-topique de la bande dessinée, afin de faire valider par l'université ses acquis professionnels. En 1996, il y soutient sa thèse en Lettres modernes, Système de la bande dessinée, devant Mireille Dottin-Orsini, Pierre Fresnault-Deruelle, Bernard Magné et Pascal Ory<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle obtient la mention « très honorable » avec les félicitations du jury. Elle est publiée aux Presses universitaires de France en 1999, sous le même titre. L'ouvrage, assez complexe, propose une approche sémiotique de la bande dessinée. Il sera traduit dans de nombreux pays<ref group="Note">L'ouvrage Système de la bande dessinée est traduit aux États-Unis, Japon, Italie, République tchèque, Chili.</ref> et sera complété en 2011 par un tome 2 intitulé Bande dessinée et narration chez le même éditeur <ref name="Hypothèses1268">Modèle:Article.</ref>.

En 1993, il est un des membres fondateurs de l’Oubapo<ref name ="Cavarroc" />, Ouvroir de bande dessinée potentielle, groupe fondé sur le modèle de l'Oulipo. Il contribue en 1997 à la première publication du groupe, l’Oupus 1, publié par L'Association, avec un texte fondateur recensant les contraintes formelles spécifiques à la BD. Il se met en congé du groupe en 1999. Fin 1993, il réintègre le CNBDI comme directeur du musée<ref name="Sabourin2017" />. En 1994, il crée et dirige, avec Henry Dougier, la collection « Histoires graphiques » aux éditions Autrement. Cinq titres sont publiés jusqu'en 1997<ref name ="novanima" />. La même année, il rédige avec Benoît Peeters un ouvrage sur Rodolphe Töpffer, dont il fait rééditer les histoires en estampes aux éditions du Seuil.

En 1996, alors que Groensteen vient d'obtenir la nationalité française<ref name="bioofficielle" />, paraît le premier numéro de la revue du musée de la bande dessinée, Neuvième Art, qu'il dirige. Reprenant l'héritage des Cahiers de la bande dessinée, Neuvième Art<ref name="Oury" />, édité par le CNBDI, est un annuel luxueux portant un regard critique avancé aussi bien sur le patrimoine de la bande dessinée que sur ses manifestations les plus contemporaines<ref>Modèle:Article.</ref>.

Multipliant ses participations institutionnelles, Groensteen entre au Centre d’Étude de l’Écriture (groupe de recherche Paris VII-CNRS) comme chercheur associé en 1997 jusqu'en 2002<ref name="Oury" />,<ref name ="novanima" />, et tient à partir de 1999 la chronique de bande dessinée de Vient de paraître, publié par l'Association pour la diffusion de la pensée française (ministère français des Affaires étrangères)<ref name="bioofficielle" />.

Activités diverses (années 2000)

En 2001, il démissionne de son poste de directeur du musée de la bande dessinée<ref name="Sabourin2017" />. Durant ses années à ce poste, il a organisé ou participé à de nombreuses expositions, souvent assorties de catalogues, qui ont donné des ouvrages sur George Herriman, Caran d'Ache, Alberto Breccia, Alex Barbier ou encore Popeye. Il monte également des expositions en Allemagne (à Hambourg et à Hildesheim<ref name ="Hildesheim">Modèle:Lien web.</ref>) et est le commissaire de « Maîtres de la bande dessinée européenne », que la Bibliothèque nationale de France présente à l'automne 2000.

Recevant une bourse dite « d'année sabbatique » du Centre national du livre en Modèle:Date-, il se consacre à l'écriture. En 2002 paraît un ouvrage sur La Cage de Martin Vaughn-James<ref name="Latxague">Modèle:Article.</ref> et l'année suivante un autre, Lignes de vie<ref name="Herbez2003">Modèle:Article.</ref>, consacré au visage dans la bande dessinée.

Maison d'édition

En 2002, après être devenu administrateur de la Maison des Auteurs<ref name="Sabourin2017" /> où il assure la fonction de secrétaire avant d'en devenir président<ref name ="novanima" />, il crée, toujours à Angoulême, sa structure d'édition, les Éditions de l'An 2<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref name="Eynard2003">Modèle:Article.</ref>. Son objectif étant d'allier intransigeance éditoriale avec rentabilité économique<ref name ="Dony p167">Modèle:Harvsp.</ref>. Sa politique éditoriale étant basée sur une voie médiane entre l'édition alternative et les gros éditeurs<ref name ="Dony p168-169">Modèle:Harvsp.</ref>. Il publie des bandes dessinées contemporaines (révélant Jens Harder, Olivier Schrauwen, Anthony Pastor ou encore Florent Grouazel et Younn Locard), crée une collection militante « Traits féminins » avec Barbara Yelin, réédite des grandes œuvres du passé dans la collection « Krazy Klassics »<ref name ="Dony p170">Modèle:Harvsp.</ref> (A. B. Frost, Fletcher Hanks, Guido Crepax, H. M. Bateman, Antonio Rubino, Ernie Bushmiller, Cliff Sterrett...), et propose divers ouvrages critiques, écrits par Groensteen ou par Harry Morgan. L'An 2 coédite les numéros 8 à 13 de Neuvième Art, devenu semestriel. Cependant, Jean-Marie Compte, alors directeur du CNBDI, décide de dématérialiser la revue, qui devient un site en ligne. En 2006, Groensteen publie un nouvel ouvrage critique, consacré au comique chez Hergé<ref name="Langlois">Modèle:Article.</ref> et l'essai Un objet culturel non identifié<ref name="Ratier2008">Modèle:Article.</ref>, qui fait le bilan de trente années de légitimation progressive de la bande dessinée, tout en expliquant pourquoi certains clichés perdurent. Mais le Modèle:Date, L'An 2 dépose le bilan après Modèle:Nobr publiés, la prise de risques étant trop importante, le pari étant perdu<ref name ="Dony p172">Modèle:Harvsp.</ref>. Dès l'année suivante, Groensteen dirige pour Actes Sud la collection « Actes Sud-L'An 2 », poursuivant son travail d'éditeur en faisant l'économie d'une structure autonome<ref name="Giret29122009">Modèle:Article.</ref>. En 2008, avec Patrice Cablat (fondateur du collectif d'auteurs Coconino), Groensteen signe en tant que scénariste un album sur le fanatisme religieux au Yémen : Les Pierres aveugles, publié aux éditions Actes Sud<ref name="Taugis">Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. En 2009, il publie La Bande dessinée, son histoire et ses maîtres, volumineux ouvrage qui sert de catalogue au nouveau musée de la Bande dessinée, désormais implanté dans les Chais Magelis<ref name="LObs">Modèle:Article.</ref>. Il prend la rédaction en chef de la revue numérique NeuvièmeArt2.0<ref name="Oury" /> jusqu'en Modèle:Date-<ref name="bioofficielle" /> et lance en Modèle:Date- son propre blog, Neuf et demi<ref name="blog">Modèle:Lien web.</ref>, où, pendant un an, il publie de nombreux billets critiques. La médiathèque François Mitterand de Poitiers lui consacre une exposition : Une vie pour la bande dessinée<ref name="CarteblancheBDzoom" />,<ref name="Giret29122009" />. En 2010, avec Gilles Ciment et d'autres collaborateurs est publié 100 cases de maître : un art graphique, la bande dessinée (éd. La Martinière), qui analyse l'œuvre de cent auteurs<ref name="Tallet">Modèle:Article.</ref>.

Il participe à l'ouvrage collectif L'Art de la bande dessinée<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>, ouvrage qui institue définitivement la bande dessinée en art, publié chez Citadelles & Mazenod (2012) et qui sera censuré par l'éducation nationale en 2014<ref>Modèle:Article.</ref>.

À partir de 2012, il devient chargé de mission au Conseil départemental détaché auprès de la Cité internationale de la BD (CIBDI)<ref name="Sabourin2017" />, pour laquelle il monte de nouvelles expositions (Parodies, Nocturnes, Mode et bande dessinée...). Il s'intéresse encore à la folie des Réthoré dans La Mercerie : une folie charentaise en 2013<ref name="Guibert">Modèle:Article.</ref>. 2014 voit la parution de M. Töpffer invente la bande dessinée (éd. Les Impressions nouvelles), ouvrage sur les origines de la bande dessinée<ref>Modèle:Article.</ref> et entame ainsi une polémique avec son ami Smolderen<ref name ="Garric p149-165">Modèle:Harvsp.</ref>. Il participe au conseil scientifique des « États généraux de la bande dessinée » en 2015<ref name="Étatsgeneraux">Modèle:Lien web.</ref> et la même année, il publie Un art en expansion : Dix Chefs-d'œuvre de la bande dessinée moderne<ref name="Perroud2015">Modèle:Article.</ref> (éd. Les Impressions nouvelles) et signe la saison 2 de Phylactère du réalisateur Marc Faye qui comporte Modèle:Nobr<ref name ="novanima" />. Il monte l'exposition Un siècle d'affiches politiques et sociales en bande dessinée avec Michel Dixmier au Musée de la bande dessinée d'Angoulême<ref name="Potet">Modèle:Article.</ref> qui se tient d'octobre à Modèle:Date-.

Temps de l'écriture

À l’occasion de ses soixante ans, Thierry Groensteen fait don de ses archives à la bibliothèque de la Cité <ref name="Fonds">Modèle:Lien web.</ref>. C'est également en 2017 qu'est publié La bande dessinée au tournant (éd. Les Impressions nouvelles), portant sur les évolutions du statut et du marché de la bande dessinée<ref name="Barroux">Modèle:Article.</ref>,<ref name="Frigerio">Modèle:Article.</ref>. Avec un très court essai L’Excellence de chaque art dans la « Iconotextes » aux éditions Presses universitaires François-Rabelais, il fait le point sur la question du parallèle des arts en 2018<ref name="Fièvre">Modèle:Article.</ref>.

En début d'année 2019, il publie une monographie en hommage à Marcel Gotlib Gotlib Un abécédaire (éd. Les Impressions nouvelles)<ref name="Perroud2019">Modèle:Article.</ref> puis c'est sous le nom de plume de Noé Sergent qu'il publie le polar Écran noir sur Angoulême aux éditions La Déviation la même année<ref name ="Rietsch">Modèle:Harvsp.</ref>. Pourtant rétif à l'exercice Lewis Trondheim se confie dans Entretiens avec Lewis Trondheim publiés à L'Association<ref name="Machado">Modèle:Article.</ref>.

Approchant de la retraite, Groensteen écrit son autobiographie qu'il fait illustrer par François Ayroles dans la collection « Mémoire vive » aux éditions PLG en 2021<ref name ="Cavarroc" />. Depuis septembre, il désigné comme membre du jury désignant les artistes qui créeront des fresques pérennes pour les gares du Grand Paris Express<ref name="GPE">Modèle:Lien web.</ref>. Tandis qu'en novembre de la même année, il reprend l'écriture de billets sur son blog<ref name="blog" />. En 2022, Groensteen commence par compléter son Système de la bande dessinée avec le troisième tome La Bande dessinée et le temps dans lequel il démontre l'importance majeure de la représentation du temps dans les littératures en images<ref name="Goudmand">Modèle:Article.</ref> (éd. Presses universitaires François-Rabelais) et il publie aussi quelques mois plus tard La Bande Dessinée en France à la Belle Époque : 1880-1914 (éd. Les Impressions nouvelles) et défriche un pan méconnu de l'histoire du Modèle:9e Art<ref name="Pasamonik2022">Modèle:Article.</ref>.

Conférences

En outre, Groensteen donne des conférences publiques notamment à Aix, Angoulême<ref>Modèle:Article.</ref>, Bastia<ref name ="BDBastia19">Modèle:Lien web.</ref>, Barcelone, Berlin<ref name ="Berlin2001">Modèle:Lien web.</ref>, Berne, Bruxelles<ref name="ConfBruxelles">Modèle:Lien web.</ref>, Charleroi, Coblence<ref name="ConfCoblence">Modèle:Lien web.</ref>, Genève<ref name="UnifGenève">Modèle:Lien web.</ref>, Hanoï<ref name ="CVN">Modèle:Article.</ref>, Helsinki<ref name ="NNCORE">Modèle:Lien web.</ref>, Landerneau<ref name="ConfLanderneau">Modèle:Lien web.</ref>, Lausanne<ref name="ConfLausanne">Modèle:Lien web.</ref>, Liège<ref name="ConfLiège">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>, Londres<ref name="ConfLondon">Modèle:Lien web.</ref>, Lyon<ref name="ConfLyon">Modèle:Lien web.</ref>, Mégève<ref name="ConfMégève">Modèle:Lien web.</ref>, New York, Paris<ref name="SoBD">Modèle:Lien web.</ref>, Prague, Saint-Pétersbourg, Toronto<ref name="ConfToronto">Modèle:Lien web.</ref>, Valence<ref name="ConfValencia">Modèle:Lien web.</ref>, Växjö<ref name ="Metabunker">Modèle:Lien web.</ref> et Washington<ref name ="novanima" />.

Parallèlement, Thierry Groensteen est le traducteur, le préfacier et rédige les dossiers pour des intégrales de nombreux albums de bande dessinée<ref name ="GroensteenBDGest" />. Il collabore occasionnellement aux revues Le Débat, Esprit, Genesis, Livres Hebdo<ref name ="BNFnotice">Modèle:Lien web.</ref>.

Vie privée

Il demeure en Charente depuis 1989<ref name ="résidence">Modèle:Lien web.</ref>, il a une fille Audrey, née en Modèle:Date- et un fils Léo, né en Modèle:Date-<ref name="bioofficielle" />.

Œuvres

Publications

Ouvrages sur la bande dessinée

  1. Système de la bande dessinée, 1999 Modèle:ISBN.
  2. Bande dessinée et Narration : Système de la bande dessinée 2<ref name="Saint-Gelais">Modèle:Article.</ref>,<ref name="Hypothèses1268" />, 2011 Modèle:ISBN.

Bandes dessinées

Modèle:Bibliographie bande dessinée Modèle:Bibliographie bande dessinée

Direction d'ouvrages sur la bande dessinée

Catalogues d'exposition

Romans

Autres essais

Publications dans des revues et journaux

Vidéographie

Commissariat d'expositions

Modèle:Section à sourcer

Expositions

Prix

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Annexes

Bibliographie

Livres

Modèle:Légende plume

Autobiographie

Modèle:Bibliographie bande dessinéeModèle:Commentaire biblio

Périodiques

Articles

Émissions de radio

Podcasts

Liens externes

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