Yellowknife

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Municipalité du Canada

Yellowknife (Modèle:MSAPI<ref group=note>Prononciation en anglais canadien standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.</ref> ; en tlicho : Sǫ̀mbak’è<ref>Modèle:Lien web.</ref>) est la capitale ainsi que la plus grande ville des Territoires du Nord-Ouest, au Canada. Située, à l'embouchure de la rivière Yellowknife, sur les rives de la côte nord du Grand Lac des Esclaves, elle se trouve à Modèle:Unité au sud du cercle Arctique<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>. Son nom vient des couteaux (Modèle:Langue en anglais) de cuivre utilisés par les Couteaux-jaunes, une population autochtone résidant dans la région où se situe la ville. Yellowknife est une ville ethniquement diversifiée. Les onze langues officielles du territoire y sont parlées dans une certaine proportion, en plus des langues des populations immigrantes. Le nom en langue tlicho de la ville signifie « endroit où se trouve l'argent ».

Histoire

Le site de Yellowknife est situé dans le territoire traditionnel de chasse des Chipewyans<ref group="p" name="p3">Modèle:P.</ref>. Peter Pond est probablement le premier Blanc à atteindre le site de la ville, vers 1785 ; il est en tout cas le premier à l'identifier sur une carte la même année<ref name="encyclopedie" />. L'année suivante, il établit l'ancien fort Providence à Modèle:Unité au sud-est (à ne pas confondre avec l'actuel Fort Providence)<ref name="encyclopedie" />. Ce fort sert jusqu'en 1823 d'avant-poste au fort Athabasca, situé dans le nord de l'Alberta<ref name="encyclopedie" />. À l'époque, la seule ville de la région est Dettah, située à 5 kilomètres au sud-est et peuplée par les Dénés<ref name="encyclopedie" />. Des trappeurs, des chasseurs et des prospecteurs campent toutefois à la baie de Yellowknife<ref name="encyclopedie" />. En 1789, à la recherche du fleuve Mackenzie, Alexander MacKenzie visite le fort Providence<ref name="encyclopedie" />. Le site de Yellowknife est peuplé au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par les Couteaux-jaunes, une population désormais incluse dans les Chipewyans<ref group="p" name="p3" />. Les Couteaux-jaunes se déplaçaient beaucoup pour le commerce<ref name="encyclopedie" />. John Franklin campe près du site de la ville en 1820<ref name="encyclopedie" />. La population des Chipewyans décline à la même époque et le site de la ville est repeuplé par les Tlichos<ref group="p" name="p3" />.

En 1898, un prospecteur trouve de l'or à Yellowknife durant la ruée vers l'or du Klondike<ref name="encyclopedie" />. Un premier gisement d'or à l'état natif est découvert en 1934 et une première mine ouvre ses portes en 1936<ref name="encyclopedie" />. Le district administratif de Yellowknife est créé en 1939; la ville est alors située dans le district de Mackenzie<ref group="p" name="p3" />. La ville prend rapidement de l'expansion et sa population atteint 1000 personnes en 1940<ref name="encyclopedie" />. L'extraction minière est interrompue durant la Deuxième Guerre mondiale, sauf à la mine Con<ref name="encyclopedie" />. Après la guerre, la réouverture des mines et l'ouverture de la nouvelle mine Giant cause un développement si important que la Nouvelle-ville (New Town) est fondée en 1947<ref group="p" name="p3" />. Une centrale hydroélectrique est bâtie au lac Snare en 1948<ref group="p" name="p3" />. Yellowknife devient un district municipal en 1953 et les premières élections municipales ont lieu<ref name="encyclopedie" />.

Fichier:Yellowknife in 40s-50s.jpg
Yellowknife durant les années 1940 ou 1950.
Fichier:Mine Building Giant Mine Yellowknife Northwest Territories Canada 12.jpg
Les ruines de la mine Giant, en 2008.

Une route est construite en 1960 ; jusque-là, la ville était uniquement accessible en avion ou par une route de glace durant l'hiver sur le Grand lac des Esclaves<ref name="encyclopedie" />. En 1967, la ville devient la capitale des Territoires du Nord-Ouest lorsque le gouvernement du Canada y déplace les commissaires des Territoires du Nord-Ouest et du gouvernement territorial d'Ottawa, contribuant à l'économie de la ville<ref name="encyclopedie" />. En 1970, Yellowknife est constituée en ville, la seule à ce jour dans les territoires<ref name="encyclopedie" />. En 1986, la mine Giant est l'une des dix plus productive au monde<ref name="encyclopedie" />. En 1992, durant une grève, un mineur fait exploser une bombe dans un tunnel, causant 9 morts ; c'est le plus important crime de l'histoire industrielle canadienne<ref name="encyclopedie" />. Durant les années 1990, l'économie de la ville souffre des compressions budgétaires du gouvernement fédéral. Le premier avril 1999, le Nunavut est formé à partir de l'est des Territoires du Nord-Ouest, et le tiers des fonctionnaires y sont déplacés, nuisant davantage à l'économie de la ville<ref name="encyclopedie" />. À la suite de l'épuisement de la ressource, de l'augmentation des coûts et du bas prix de l'or, la mine Con ferme en 2003, suivie par la mine Giant en 2004<ref name="encyclopedie" />.

Des diamants sont découverts en 1991<ref group="p" name="p3" />. La première mine au pays, la mine Ekati, est inaugurée en 1998<ref group="p" name="p3" />. La mine Diavik ouvre en 2003, la mine de Snap Lake ouvre en 2007 pour fermer en 2016, et la mine Gahcho Kué ouvre en 2016<ref group="p" name="p3" />. Ces mines vivent en autarcie la majeure partie de l'année jusqu'à ce que les lacs gèlent pour que des routes soient fabriquées sur les glaces afin que des semi-remorque y transportent du matériel.

En août 2023, tous les habitants de la ville reçoivent l'ordre d'évacuer avant midi le 17 août, en raison des feux de forêt<ref>Modèle:Article</ref>. L'ordre d'évacuation s'applique également aux communautés de Ndılǫ, Dettah et de la route Ingraham Trail<ref>Modèle:Article</ref>.

Géographie

Climat

Yellowknife bénéficie d'un climat subarctique, caractérisé par des hivers longs et froids et des étés courts et frais. Le mois le plus chaud a une température moyenne de Modèle:Tmp et le plus froid une température de Modèle:Tmp<ref name="meteo">Modèle:Lien web.</ref>. La ville reçoit Modèle:Unité de précipitations annuellement dont Modèle:Unité de neige<ref name="meteo" />. La journée la plus chaude fut le Modèle:Date-, avec Modèle:Unité et la plus froide fut le Modèle:Date-, avec Modèle:Unité<ref name="meteo" />. La journée ayant eu le plus de précipitations fut le Modèle:Date-, avec Modèle:Unité de pluie<ref name="meteo" />. Le Modèle:Date- a le record de neige, avec 23,7 centimètres, alors que la plus importante accumulation a eu lieu en Modèle:Date-, avec Modèle:Unité<ref name="meteo" />. Yellowknife est la ville la plus ensoleillée du Canada durant l'été, avec Modèle:Unité en moyenne<ref name="encyclopedie">Modèle:EC.</ref>.

Modèle:Relevé météo

Démographie

La ville comptait Modèle:Nombre en 2006, soit une augmentation de 13,1 % en 5 ans<ref name="population">Modèle:Lien web.</ref>. Il y avait en tout 6 630 ménages dont 5 025 familles<ref name="familles et ménages">Modèle:Lien web.</ref>. Les ménages comptaient en moyenne 2,8 personnes tandis que les familles comptaient en moyenne 3,1 personnes<ref name="familles et ménages" />. Les ménages étaient composés de couples avec enfants dans 36,2 % des cas, de couples sans enfants dans 25,3 % des cas et de personnes seules dans 19,6 % des cas alors que 18,8 % des ménages entraient dans la catégorie autres (familles monoparentales, colocataires, etc.)<ref name="familles et ménages" />. 60,2 % des familles comptaient un couple marié, 24,1 % comptaient un couple en union libre et 15,7 % étaient monoparentales<ref name="familles et ménages" />. Dans ces dernières, une femme était le parent dans 70,3 % des cas<ref name="familles et ménages" />. L'âge médian était de 32,2 ans, comparativement à 31,2 ans pour le territoire<ref name="population" />. 78,5 % de la population était âgée de plus de 15 ans, comparativement à 76,1 % pour le territoire<ref name="population" />. Les femmes représentaient 49,1 % de la population, comparativement à 48,8 % pour le territoire<ref name="population" />. Chez les plus de 15 ans, 45,7 % étaient célibataires, 42,2 % étaient mariés, 3,0 % étaient séparés, 7,4 % étaient divorcés et 1,7 % étaient veufs<ref name="population" />. De plus, 16,1 % vivaient en union libre<ref name="population" />.

{{#invoke:Démographie|demographie}}

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En 2006, les autochtones représentaient 22,2 % de la population<ref name="peuples autochtones">Modèle:Lien web.</ref> et 9,9 % des habitants faisaient partie d'une minorité visible<ref name="minorité visible">Modèle:Lien web.</ref>. Les immigrants représentaient 11,6 % de la population et 1,2 % des habitants étaient des résidents permanents<ref name="immigration et citoyenneté">Modèle:Lien web.</ref>. 4,6 % des habitants n'étaient pas citoyens canadiens et 72,2 % des habitants âgés de plus de 15 ans étaient de la troisième génération, ou plus, de leur famille au Canada<ref name="immigration et citoyenneté" />. En date du Modèle:Date, 75,2 % des gens avaient la même adresse depuis au moins un an mais seulement 42,0 % des gens avaient la même adresse depuis au moins cinq ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La population actuelle est ethniquement mélangée et le gouvernement du territoire recense six langues parlées en nombre significatif : le chipewyan, l’esclave du Nord, l’esclave du Sud, le tlicho, l'anglais et le français.

Toujours en 2006, la langue maternelle était l'anglais chez 80,9 % des habitants, le français chez 3,8 % et les deux langues chez 0,1 % alors que 15,3 % étaient allophones<ref name="langue">Modèle:Lien web.</ref>. Les deux langues officielles au niveau fédéral<ref group="note">Le Canada est officiellement bilingue, c'est-à-dire que l'anglais et le français ont un statut égal. Le territoire compte quant à lui onze langues officielles.</ref> étaient comprises par 14,0 % de la population alors que 0,2 % des habitants étaient unilingues francophones, que 85,3 % étaient unilingues anglophones et que 0,4 % ne connaissaient ni l'anglais ni le français<ref name="langue" />. L'anglais était la langue la plus utilisée à la maison par 91,2 % des gens, le français par 2,0 %, les deux langues officielles par 0,1 %, l'anglais et une langue non officielle par 0,7 % et une langue non officielle seule par 6,1 %<ref name="langue" />. L'anglais était utilisé au travail par 98,0 % des travailleurs et le français par 1,3 % alors que 0,2 % des travailleurs utilisaient les deux langues officielles, que 0,2 % utilisaient l'anglais et une langue non officielle et que 0,4 % utilisaient uniquement une langue non officielle<ref name="langue de travail">Modèle:Lien web.</ref>.

Évolution des langues maternelles (en %) Légende
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Modèle:Légende/Début Modèle:Légende Modèle:Légende Modèle:Légende Modèle:Légende Modèle:Légende/Fin

Sources<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="langue" />:

Économie

Fichier:Ekati mine 640px.jpg
La mine Ekati.

Les gouvernements locaux, territoriaux et fédéraux sont les plus grands employeurs, devant l'industrie minière.

Pour sa part, la Chambre de commerce de Yellowknife est un organisme qui depuis 1946 œuvre au sein de la municipalité afin d'être un chef de file dans l'amélioration et le développement de la communauté économique de Yellowknife<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>http://www.ic.gc.ca/app/ccc/srch/nvgt.do;jsessionid=0001SURrU9sIcP7Kfrx_fYdCNib:-AE3TF8?lang=fre&prtl=1&sbPrtl=&estblmntNo=234567056803&profile=cmpltPrfl&profileId=21&app=sold&searchNav=F</ref>.

Le recensement de 2006 de Statistique Canada fournit aussi des données sur l'économie. Chez les habitants âgés de plus de quinze ans, le taux d'activité était alors de 84,2 %, le taux d'emploi était de 79,4 % et le taux de chômage était de 5,8 %; à titre de comparaison, ceux du territoire étaient respectivement de 76,5 %, 68,6 % et 10,4 %<ref name="travail">Modèle:Lien web.</ref>.

Évolution du taux de chômage à Yellowknife

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Sources<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="travail" />:

On dénombrait 8,2 % des emplois dans l'agriculture, la pêche et les autres ressources, 4,6 % dans la construction, 2,0 % dans la fabrication, 1,6 % dans le commerce de gros, 9,7 % dans le commerce de détail, 3,8 % dans la finance et l'immobilier, 8,5 % dans la santé et les services sociaux, 5,3 % dans l'éducation, 22,3 % dans les services de commerce et 34,0 % dans les autres services<ref name="travail" />.

Chez les personnes âgées de 15 ans et plus, 12 790 ont déclaré des gains et 14 030 ont déclaré un revenu en 2005<ref name="revenu et gains">Modèle:Lien web.</ref>. 92,2 % avaient aussi déclaré des heures de travail non rémunérées<ref name="travail" />. Le revenu médian s'élevait alors à Modèle:Unité avant et à Modèle:Unité après impôt, comparativement à la moyenne provinciale de Modèle:Unité avant et Modèle:Unité après impôt; les femmes gagnaient en moyenne Modèle:Unité de moins que les hommes après impôt, soit Modèle:Unité<ref name="revenu et gains" />. En moyenne, 91,9 % du revenu provenait de gains, 4,1 % de transferts gouvernementaux et 4,0 % d'autres sources<ref name="revenu et gains" />.

Parmi la population active occupée, 3,8 % des gens travaillaient à domicile, aucun ne travaillait en dehors du pays, 6,9 % étaient sans lieu de travail fixe et 89,2 % avaient un lieu de travail fixe<ref name="lieu de travail">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi les travailleurs ayant un lieu de travail fixe, 93,5 % travaillaient en ville, 5,9 % travaillaient ailleurs dans la même division de recensement, aucun ne travaillait dans une autre division de recensement et 0,7 % travaillaient dans une autre province ou territoire<ref name="lieu de travail" />.

Administration

Conseil municipal

Fichier:Yellowknife City Hall - panoramio.jpg
L'hôtel de ville de Yellowknife.

Le conseil municipal est formé d'un maire et de huit conseillers. Le mandat des élus dure trois ans<ref name="conseil">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>.

Mandat Fonctions Nom(s)<ref>Modèle:Lien web</ref>
2015 - en cours Maire Mark Heyck
Conseillers R. Alty, A. Bell, L. Bussey, N. Konge, S. Morgan, J. Morse, S. Payne, R. Silverio
Liste des maires successifs de Yellowknife
Parti Mandat indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1953 John G. « Jock » McNiven

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1954-1955 Gordon A. Allen

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1956-1957 Fred W. Henne

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1958-1963 Ted Horton

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1964-1967 John Parker

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1967 C.M. « Chet » Wilkinson

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1968-1973 Fred W. Henne

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1974-1975 Robert M. Findlay

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1976-1979 Fred W. Henne

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1980-1983 Michael A. Ballantyne

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1984-1985 Don G. Sian

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1986-1987 Michael McGrath

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1988-1994 Pat McMahon

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 1994-2000 David Lovell

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 2000 - 2012 Gordon Van Tighem

Modèle:Infobox Parti politique canadien/couleurs

Indépendant 2012 - en cours Mark Heyck

Gouvernement territorial

Fichier:Northwest Territories Legislative Building.jpg
L'édifice de l'Assemblée législative des Territoires du Nord-Ouest

Yellowknife est la capitale des Territoires du Nord-Ouest. La ville est donc le siège de l'Assemblée législative des Territoires du Nord-Ouest, des différents ministères, de la Cour d'appel des Territoires du Nord-Ouest, de la Cour suprême des Territoires du Nord-Ouest et de la Cour territoriale des Territoires du Nord-Ouest.

Vivre à Yellowknife

Fichier:RCMP Headquarters Yellowknife Northwest Territories Canada 01.jpg
Le quartier général de la GRC.

Transport

Yellowknife Transit est la société qui exploite le transport en commun. Il y a trois lignes d'autobus régulières, deux lignes express et un service de transport adapté, le Modèle:Langue (YATS).

Éducation

La ville compte trois commissions scolaires. La Commission scolaire francophone gère deux écoles publiques francophones, l'une à Yellowknife et l'autre à Hay River. La Commission scolaire numéro 1 de Yellowknife (Modèle:Langue) gère sept écoles en ville et une à Dettah. Les Écoles catholiques de Yellowknife (Modèle:Langue) gèrent trois écoles publiques catholiques en ville. La ville bénéficie aussi d'un campus du collège Aurora.

Écoles anglophones publiques

  • École J.H. Sissons, de la maternelle à la Modèle:5e année ;
  • École élémentaire Mildred Hall, de la maternelle à la Modèle:8e année ;
  • École NJ Macpherson, de la maternelle à la Modèle:5e année ;
  • École Range Lake North, de la maternelle à la Modèle:8e année ;
  • École William McDonald, de la Modèle:6e à la Modèle:8e année ;
  • École Sir John Franklin, de la Modèle:9e à la Modèle:12e année ;
  • École K’alemi Dene, de la maternelle à la Modèle:3e année ;

Écoles francophones publiques

  • École Allain St-Cyr, de la maternelle à la Modèle:12e.

Écoles catholiques publiques

  • École catholique Weledeh, de la maternelle à la Modèle:8e année ;
  • École St-Patrick, de la Modèle:9e à la Modèle:12e, programme d'immersion française ;
  • École St-Joseph, de la maternelle à la Modèle:8e, programme anglophone, francophone et d'immersion française ;

Écoles anglophones privées

  • École Montessori, maternelle.

Autres services publics

Le recyclage est possible à Yellowknife<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>. La ville a également un système de compostage depuis 2009<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>. La municipalité a la responsabilité du déneigement<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>. La municipalité projette d'utiliser la chaleur émanant de l'ancienne mine Con pour chauffer les édifices du centre-ville<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>.

Médias et communications

Le Modèle:Langue est un journal bi-hebdomadaire publié le mercredi et le vendredi. Modèle:Langue est un hebdomadaire distribué le lundi dans tout le territoire. Tous deux sont la propriété de Modèle:Langue. L'Aquilon est l'hebdomadaire de langue française, publié tous les vendredis.

Trois journaux sont publiés en ville et les magazines Modèle:Langue, Modèle:Langue et Modèle:Langue sont distribués à l'échelle du pays. Deux journaux publiés au sud sont aussi distribués quotidiennement en ville. Il y a quatre stations de radio. Trois stations de télévision, Modèle:Langue, Modèle:Langue et le Réseau de télévision des peuples autochtones (RTPA, ou APTN en anglais) ont aussi un bureau en ville. La télévision par satellite et Internet complètent l'offre médiatique.

Fichier:Ruth Inch Memorial Pool.JPG
La Ruth Inch Memorial Pool.

Sport

Il y a une piscine intérieure, la Ruth Inch Memorial Pool.

Organisations sportives

Les organisations sportives de la ville sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Colonnes

Religion

Yellowknife compte quatorze lieux de culte chrétiens, soit l'église Calvary Community, l'église baptiste Central Arctic, l'Alliance chrétienne et missionnaire, l'église pentecôtiste Cornerstone, l'église Glad Tidings, l'église luthérienne Holy Family, l'église anglicane Holy Trinity, l'Armée du salut, l'Église adventiste du septième jour, la cathédrale catholique romaine St. Patrick's, l'église du Christ de Yellowknife, l'église Yellowknife First Assembly, l'église unie de Yellowknife et l'église Vineyard de Yellowknife.

La cathédrale St. Patrick's est le siège du diocèse de Mackenzie-Fort Smith, suffragant de l'archidiocèse de Grouard-McLennan. L'église Holy Trinity est également le siège du diocèse anglican de l'Arctique depuis 1996<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>; il fait partie de la province ecclésiastique de la Terre de Rupert.

Culture

Bibliothèque publique

La bibliothèque publique de Yellowknife dessert les citoyens depuis 1949. La bibliothèque travaille afin de soutenir les besoins éducatifs et récréatifs de lecture de même que les besoins visuels et d'écoute de ses usagers.

La collection de la bibliothèque regroupe Modèle:Nombre variés. Des ressources en ligne sont aussi disponibles.

Enfin la bibliothèque offre un espace confortable dans ses bâtiments<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités

Architecture et monuments

Fichier:Wildcat Cafe Yellowknife Northwest Territories Canada 01A.jpg
Le café Wildcat.
Fichier:Prince of Wales Museum Yellowknife Northwest Territories Canada 05.jpg
Le Musée Prince of Walles.

Yellowknife compte plusieurs bâtiments de grande hauteur, le plus grand édifice étant une tour d'habitation de 19 étages<ref name="encyclopedie" />. Il y a de nombreuses maisons modernes avec fondation mais aussi des maisons mobiles. En effet, le pergélisol n'est pas toujours continu, rendant certains terrains instables<ref name="encyclopedie" />. La situation de la ville et la nature du sol rendent aussi l'usage d'explosifs courant dans la construction<ref group="m">Modèle:Lien web.</ref>. Le vieux quartier de la ville, ou Old Town, compte toujours plusieurs cabanes de pionniers, toujours habitées car moins dispendieuses<ref name="encyclopedie" />. Ce quartier compte neuf lieux historiques municipaux.

Héraldique

Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Les armes de Yellowknife se blasonnent ainsi :

D'azur au bâtiment d'extraction minière d'argent issant d'une couche de déchets d'extraction au naturel elle-même posée sur une couche d'or, à la rivière formée de sept fasces ondées d'azur et d'argent en pointe [portant un bateau minier d'argent], accompagné en chef d'une feuille d'érable d'or à dextre et un trophée en sautoir formé d'une pelle et d'une pioche d'or à senestre, le tout surmonté d'une aurore boréale d'argent.

Jumelages

Yellowknife est jumelée à trois villes:

Tourisme

L'Association des visiteurs du nord de la frontière (Northern Frontier Visitors Association) est l'organisme qui agit à titre d'office de tourisme pour la ville de Yellowknife. L'organisme a été fondé en 1983. Sa mission est de se consacrer à la promotion et au maintien du tourisme dans la région de la ville de Yellowknife<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>http://spectacularnwt.com/operators/northern-frontier-visitors-association</ref>.

La ville de Yellowknife publie de son côté un guide des visiteurs pour ceux qui voudraient visiter la ville<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Municipalités limitrophes

Rose des vents Behchokǫ̀
Fort Smith (territoire non organisé)
Fort Smith (territoire non organisé) Fort Smith (territoire non organisé) Rose des vents
Fort Smith (territoire non organisé) Modèle:Abréviation discrète Fort Smith (territoire non organisé), Grand lac des Esclaves, Łutselk'e
Modèle:Abréviation discrète    Yellowknife    Modèle:Abréviation discrète
Modèle:Abréviation discrète
Fort Smith (territoire non organisé)
Grand lac des Esclaves
Fort Providence, Kakisa
Fort Smith (territoire non organisé)
Grand lac des Esclaves
Enterprise, Hay River, Fort Resolution
rivière Yellowknife
Dettah{{#if:Ndilǫ|
Enclave : Ndilǫ}}

Notes et références

Notes

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Références

Site officiel de la municipalité

Modèle:Références

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Autres références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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