Charles Beigbeder

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Homon Modèle:Avantage non déclaré Modèle:Infobox Biographie2

Charles Beigbeder, né le Modèle:Date de naissance à Neuilly-sur-Seine, est un entrepreneur et investisseur français, fondateur notamment de Selftrade, de l'opérateur d'électricité Poweo et de AgroGeneration. Il fut candidat sans succès à la présidence du MEDEF et fut membre de son conseil exécutif.

Engagé activement en politique à partir de 2009, il milite à l'Alternative libérale, au Parti radical, à l'Union pour un mouvement populaire, au Parti libéral démocrate et est conseiller d'arrondissement divers droite de Paris de 2014 à 2021. Par la suite proche de l'extrême droite, il s'engage en faveur de l'union des droites et d'un rapprochement avec le Front national<ref>[1], Public Sénat, 24 aout 2017 </ref>.

Il est également l'un des principaux financiers du site d'actualités Atlantico et actionnaire du magazine L'Incorrect.

Modèle:Sommaire

Biographie

Origines, études et début de carrière professionnelle

Fils de l'homme d'affaires et chasseur de têtes Jean-Michel Beigbeder (1938-2023<ref>Modèle:Lien web</ref>) et de son épouse, la comtesse Marie-Christine Chasteigner de la Rocheposay, Charles Beigbeder est né dans une famille catholique d'origine béarnaise, descendant du Roi Hugues Capet du côté maternel<ref> Christine, l’affranchie, Le Monde, 27 juillet 2012</ref>. Ses parents divorcent en 1973 et Charles et son frère sont ensuite élevés par leur mère<ref>Dans la famille Beigbeder, le père, Le Point, 7 juin 2012</ref>.

Après des études au lycée Montaigne, puis au lycée Louis-le-Grand à Paris, il intègre l'École centrale Paris en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> où il obtient un diplôme d'ingénieur<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Il commence sa carrière professionnelle chez Matra Marconi Space, avant de rejoindre le monde de la finance, occupant successivement plusieurs postes chez Paribas Affaires industrielles (1990-1991), Crédit Suisse First Boston (1991-1994) et MC-BBL Securities (1994-1997)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Entrepreneur et investisseur

En 1997, il fonde la première société française de courtage en Bourse, Selftrade<ref>Charles, l'autre Beigbeder, Anne Fulda, Le Figaro, 3 octobre 2009 /ref>. En 2000, il cède l'entreprise à DAB Bank et la quitte en 2002</ref>.

En juin 2002, avec la fin du monopole d'EDF en France, il lance l'opérateur d'électricité Poweo qui deviendra le troisième groupe d'énergie français. En 2009, il cède pour 44 millions d'euros<ref name="LeMONDE09">Modèle:Article</ref>. les 13,4 % du capital qu'il détient via sa holding industrielle, Gravitation, dans Poweo à Verbund et en devient le président non exécutif<ref>Armelle Bohineust, « Charles Beigbeder passe le relais chez Poweo », Le Figaro, 3 juin 2009.</ref>.

En 2006, il se lance dans l'« asset management » et la création d'entreprise via sa holding dont il détient 80 % du capital<ref name="Charles Beigbeder, créateur d'entrepreneurs">Modèle:Lien web</ref> (et dans lequel il est associé avec le Groupe de Bernard Arnault, Ernest-Antoine Sellière ou encore la famille Rothschild). Dans la foulée de la loi Tepa, il fonde alors AUDACIA capital<ref>Modèle:Lien web</ref> qui permet de défiscaliser les investissements dans les PME<ref name="Charles Beigbeder, créateur d'entrepreneurs" />.

En 2007, il crée AgroGeneration avec la première coopérative céréalière française, Champagne Céréales afin de remettre en culture des terres en friches dans d'anciens kolkhozes ukrainiens<ref>Jean-Luc Porquet, « Le blé qui rapporte du blé », Le Canard enchaîné, 7 juillet 2010.</ref>, une pratique alors assimilée à du Modèle:Cita par Jacques Diouf, le directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture ce dont il se défend<ref name="LeMONDE09"/>. Il cède l'entreprise en mai 2013 à un concurrent<ref>Voir lemonde.fr.</ref>.

Il fonde Happytime, une société de coffret-cadeaux, dont la liquidation judiciaire a été prononcée par jugement du tribunal de commerce de Paris, le Modèle:Date.

Il détient des participations minoritaires dans d'autres sociétés, parmi lesquelles la biotech Pharnext, la société de transport par autocar Starshipper (via la holding Carlib)<ref>Charles Beigbeder, via la holding Carlib, prend 30% du capital de Starshipper, L'Express, 24 décembre 2015 </ref> ou le site d'informations Atlantico.

En 2014, il rachète, avec un groupe d'amis et d'entrepreneurs (notamment Gilles Lellouche, Jacques-Antoine Granjon ou Thierry Coste), le club Castel de la rue Princesse dans le Quartier Saint-Germain-des-Prés<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Castel 2014, le mystère de la porte rouge, Le Figaro, 6 octobre 2014</ref>,<ref>Nuits parisiennes: Castel revient sur le devant de la scène, BFMTV, 23 septembre 2014</ref>.

Depuis 2017, il est président du conseil de surveillance du constructeur de véhicules autonomes Navya<ref>Navya, la navette autonome qui voulait avancer trop vite, Les Echos, 10 février 2023</ref>.

En 2018, il est l'un des quatre fondateurs de Quantonation, un fonds d'investissement de 91 millions d’euros, visant à soutenir le développement des start-ups spécialisées dans les technologies quantiques<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Activités syndicales et politiques

Syndicalisme et association patronale

De juin 2004 à juillet 2005, Charles Beigbeder préside l'association CroissancePlus<ref>Modèle:Lien web</ref>, un réseau français de dirigeants de petites et moyennes entreprises et d'entreprises de taille intermédiaire.

En 2005, il est le plus jeune et aussi le moins connu des candidats à se porter candidat à la présidence du MEDEF pour succéder à Ernest-Antoine Seillière, face notamment à Laurence Parisot, Yvon Jacob, Francis Mer et Guillaume Sarkozy, avant de se déclarer forfait<ref>Présidence du Medef: Beigbeder déclare forfait, 20 minutes, 30 mai 2005</ref>. Il est membre du conseil exécutif du MEDEF sous la présidence de Laurence Parisot<ref>Charles Beigbeder déclare sa flamme au Front national : pas si étonnant, Denis Demonpion, Le nouvel Obs, 30 juillet 2015</ref>.

Engagements politiques

Ses premiers engagements politiques datent de 1981 quand il milite pour Valéry Giscard d'Estaing et est présent à son QG de campagne lors de l'annonce de sa défaite<ref name="AFULDA">Charles, l'autre Beigbeder, Anne Fulda, Le Figaro, 3 octobre 2009</ref>. Après avoir été membre d'alternative libérale<ref>La droite libérale tient son candidat, L'Obs, 29 septembre 2006</ref>, il décide en 2009 de s'engager plus activement en politique à côté de ses activités professionnelles<ref name="AFULDA"/>. Ses modèles sont alors Jean-Jacques Servan-Schreiber, Charles de Gaulle, Édouard Balladur, Raymond Barre mais aussi Karl-Theodor zu Guttenberg, devenu ministre allemand de l'économie à 37 ans<ref name="AFULDA"/>.

Vice-président de la Fondation pour l'innovation politique, que préside alors Nicolas Bazire, ami de Jean-François Copé et de Grégoire Chertok, Charles Beigbeder devient pour la fédération de Paris, le porte-parole du Parti radical, un parti dont il dit apprécier les valeurs de liberté, d'égalité et de laïcité<ref name="ref_auto_1">Anne Fulda, ibid</ref>. Il fait aussi passer quelques-unes de ses idées sur les banlieues à Valérie Pécresse, alors tête de liste UMP aux élections régionales en Ile-de-France<ref name="ref_auto_1" />.

En 2011, il est nommé secrétaire national de l'UMP chargé de la pédagogie de la réforme<ref>Municipales à Paris: qui est Charles Beigbeder, l'homme qui s'oppose à NKM ?, L'Express, 21 décembre 2013</ref>.

En janvier 2012, Charles Beigbeder se déclare candidat investi par l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP) à la députation dans la [[Huitième circonscription de Paris de 1988 à 2012|Modèle:8e de Paris]] lors des élections législatives de juin 2012, face notamment à Sandrine Mazetier, la député sortante, qui obtient au second tour 61,51 % contre 38,49 % des suffrages exprimés sur son nom<ref>Résultats de la Modèle:8e de Paris lors des élections législatives françaises de 2012, Ministère de l'Intérieur, le 18 juin 2012.</ref>.

En 2012, il soutient Jean-François Copé pour la présidence de l'UMP face à François Fillon<ref>Entretien choc avec Charles Beigbeder, Contrepoints.</ref>. Il est alors aussi membre et responsable national du Parti libéral démocrate<ref>Le Parti libéral passe à l'offensive, Le Figaro, 15 octobre 2012 </ref> où il côtoie Gaspard Koenig et Arnaud Dassier<ref>Les ultralibéraux français sont déjà dépassés, Slate, 5 janvier 2013</ref>.

Opposé au mariage homosexuel, il participe en 2013 à une université d'été de La Manif pour tous<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans la course à la mairie de Paris, il entre en dissidence le Modèle:Date- en lançant avec Serge Federbusch une liste concurrente de celle de Nathalie Kosciusko-Morizet intitulée Paris Libéré<ref>Municipales à Paris: Charles Beigbeder constitue une liste dissidente de droite , L'Express.fr, le Modèle:Date-.</ref>,<ref> Municipales à Paris: "l'équipée sauvage" de Charles Beigbeder, Caroline Moréteau, L'Express, 5 mars 2014</ref>. Cela lui vaut d'être exclu de l'UMP et de perdre son poste de secrétaire national. Il fonde alors le mouvement « Paris libéré » et présente vingt listes pour les municipales à Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Se présentant lui-même dans le [[8e arrondissement de Paris|Modèle:8e]], il parvient à accéder au second tour, mais n'est pas élu conseiller de Paris, devenant toutefois conseiller divers droite du 8ème arrondissement.

En mars 2015, il fonde avec Charles Millon le collectif « Phénix », un think-tank libéral-conservateur, afin de contribuer au programme du futur candidat de la droite à l'élection présidentielle de 2017<ref>Eugénie Bastié, « Charles Millon et Charles Beigbeder lancent un "Terra Nova de droite" », lefigaro.fr, 12 mars 2015.</ref>. Au bout de quelques mois, ils fondent le collectif dans un nouveau mouvement intitulé l'Avant-Garde<ref>Deux Charles à l'Avant-Garde, Agnès Laurent, L'Express, 3 novembre 2015</ref>.

En juillet 2015, au sujet de l'élection présidentielle de 2017, il affirme dans un entretien au Scan du Figaro : Modèle:Citation<ref>Voir sur Europe 1, 29 juillet 2015.</ref>,<ref name="FrancoisKrug"> La croisade de Charles Beigbeder, François Krug, Le Monde, 15 octobre 2016</ref>. Une partie de la presse (Le Monde, Le Nouvel Obs notamment) mentionne alors qu'il se rapproche ou flirte avec le Front national<ref>Charles Beigbeder déclare sa flamme au Front national : pas si étonnant, Le Nouvel Obs, 31 juillet 2015</ref>,<ref name="FrancoisKrug"/>. Beigbeder revient ensuite sur cette déclaration pour souligner sa fidélité à sa famille politique, son soutien à celui qui reprendra ses propositions, mentionnant que Modèle:Cita, et annonce son soutien au candidat du parti Les Républicains qui sortira vainqueur de la primaire en 2016<ref> Charles Beigbeder prêt à soutenir le FN ? Finalement, non, Le Point, 1er aout 2015</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Référence insuffisante.

En mai 2016, dans un entretien au journal Le Figaro, il se déclare héritier de la pensée d'Edmund Burke, bouleversé par la lecture de ses Réflexions sur la Révolution française<ref>Le Figaro, Modèle:Date-</ref> et se réfère aux écrits de Maurice Barrès, Charles Péguy, Bernanos, Eric Zemmour, Natacha Polony ou Philippe de Villiers<ref>Modèle:Article</ref>. Il déclare vouloir compléter la Constitution pour y inscrire une mention sur la « tradition chrétienne » de la France et consacrer la prééminence des « lois non écrites »<ref>François Krug, ibid</ref>. Il participe à un colloque organisé par le maire de Béziers Robert Ménard appelé « Oz ta droite » visant à l'« union des droites »<ref>Modèle:Article</ref>. En octobre 2016, il signe la pétition initié par d'anciens militants de la Manif pour tous appelant à l'union des droites derrière huit figures politiques (Marion Maréchal, Philippe de Villiers, Laurent Wauquiez, Hervé Mariton, Henri Guaino, Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dupont-Aignan et François Fillon)<ref>«Vos couleurs», le collectif qui prône l'union des droites en 2017, Le Figaro, 4 octobre 2016</ref>. Lors de l'élection présidentielle française de 2017, il apporte son soutien à François Fillon, le candidat des Républicains choisi à l'issue des primaires de la droite française<ref>Charles Beigbeder : il faut soutenir Fillon « jusqu’à la mort, jusqu’à la victoire », Public Sénat, 4 mars 2017</ref>,<ref>D'Afflelou à Beigbeder, ces patrons qui continuent à soutenir Fillon, Marianne, 5 mars 2017</ref>.

Courant 2018, l'entrepreneur soutient l'initiative de Marion Maréchal de créer une école de Sciences Politiques (l'ISSEP) et lui présente des entrepreneurs pour la financer<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il déclare à cette occasion à Challenges Modèle:Cita tout en affirmant qu'il n'a Modèle:Cita<ref>Modèle:Lien web</ref>. Également en 2018, il participe à la création de la Fondation du Pont-Neuf, dont il deviendra le président<ref name="mediap">Modèle:Lien web</ref>, et qui a pour ambition une diffusion d'idées conservatrices, un rapprochement des droites, et de fournir des notes à des proches de Marion Maréchal et Laurent Wauquiez<ref>Modèle:Article</ref>. Mediapart estime que la fondation a vocation à aider une réunion « de l’extrême droite et de la droite dure »<ref name="mediap" />.

Il est mentionné par les médias comme Modèle:Cita ou Modèle:Cita de la Modèle:Citation, son ambition est alors de faire émerger, en dehors de LR et du RN, une Modèle:Cita pour espérer l'emporter lors des élections présidentielles de 2022<ref>Laurent Wauquiez et Marine Le Pen se disputent l’électorat de la droite dure, Le Monde, 14 octobre 2017 </ref>,<ref>“L’Incorrect”, nouveau mensuel à droite toute pour “réinventer son logiciel”, Public Sénat, 24 aout 2017</ref>,<ref>"L’Incorrect", un nouveau mensuel à droite toute qui se veut rock’n’roll, Ouest France, 24/8/2017</ref>. Pendant la campagne électorale correspondante, il soutient Michel Barnier<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Investissements dans les médias

En 2011, il contribue au financement du site d'actualités Atlantico au côté de Xavier Niel et de Marc Simoncini<ref>Modèle:Article</ref>.

En septembre 2017, il participe à la fondation du magazine L'Incorrect, dont il devient l'un des deux principaux actionnaires, avec Laurent Meeschaert. Ce magazine, créé après le retrait de la vie politique de Marion Maréchal, prolonge l'objectif de cette dernière visant à créer un pont entre Les Républicains et le Rassemblement national : le magazine veut réunir toutes les droites et être une « passerelle » entre droite et extrême-droite. Des anciens proches de Marion Maréchal figurent dans la rédaction avec des identitaires comme Damien Rieu et Charlotte d'Ornellas qui ont participé à la création du magazine au côté du réseau « L’Avant-garde », créé par Charles Millon et Charles Beigbeder. Il est décrit comme conservateur, entre droite et extrême-droite à ses débuts<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> et plus tard d'extrême-droite<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Divers

En janvier 2011, après avoir essuyé plusieurs refus d'autres personnalités, la ministre des Sports Chantal Jouanno nomme Charles Beigbeder pour prendre la présidence du Groupement d’intérêt Public (GIP) pilotant la candidature de la ville d'Annecy aux Jeux olympiques d'hiver de 2018. Il a alors notamment le soutien de Laurence Parisot et du président du Conseil général de Haute-Savoie, Christian Monteil qui espère Modèle:Cita et avoir quelqu'un Modèle:Cita. Cette nomination ne soulève cependant pas d'enthousiasme dans le monde sportif et suscite des critiques : Qualifié d'Modèle:Cita par Reporterre, il lui est reproché notamment d'avoir été nommé sans concertation avec les équipes locales travaillant à la candidature d'Annecy ni avec la Région présidée par le socialiste Jean-Jack Queyranne<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Si il parvient à faire augmenter l'enveloppe budgétaire allouée au dossier de 18 millions d'euros à 30 millions d'Euros, le budget reste le plus faible des trois villes en compétition avec le coût estimé des travaux le plus élevé. La candidature échoue six mois plus tard avec le choix de Pyeongchang (Corée du Sud) par Modèle:Nb, contre Modèle:Nb Munich et Modèle:Nb Annecy<ref>Annecy, autopsie d'un échec, L'Equipe, 8 juillet 2011.</ref>.

En 2023, Charles Beigbeder crée un prix littéraire de vulgarisation scientifique<ref>Modèle:Lien web </ref>, le Prix Bourrienne dont le premier récipiendaire est le livre de Laurent Tillon, Les Fantômes de la nuit, des chauves-souris et des hommes<ref>Modèle:Lien web </ref>.

Distinctions

Modèle:Décoration

Vie privée

Charles Beigbeder est le frère de Frédéric Beigbeder.

Il s'est marié le 1 septembre 1995 avec Carine Anne Sophie James<ref>Modèle:Lien web</ref>, Modèle:Refsou. Il est père de 3 filles.

Catholique pratiquant<ref>Charles Beigbeder, l’ultra-convervateur, ultra-libéral, ultra-ambitieux, Les Inrockuptibles, 27 septembre 2015</ref>, il est membre de l'Académie catholique de France<ref>Charles Beigbeder, Académie catholique de France</ref>, du Rotary Club (ex-président de celui de Dax)<ref>Modèle:Lien web</ref> et de l'Opus Dei<ref>Modèle:Article.</ref>.

Ouvrages

  • La crise de l’énergie est-elle une chance pour l’avenir ? JC Lattès, 2008
  • Énergie positive, Les éditions du Toucan, 2008
  • Puisque c’est impossible, faisons-le, JC Lattès, 2012
  • Merci Patrons ! créer son entreprise, c’est créer des emplois, Librio, 2015.
  • Charnellement de France, en collaboration avec Benoît Dumoulin, éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016.

Références

Modèle:Références Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Portail