Fresnes-Tilloloy
Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Fresnes-Tilloloy (ou Fresne-Tilloloy<ref name="Cassini"/> comme l'indique le panneau à l'entrée du village) est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Ce village se trouve dans le Vimeu, en Picardie-Maritime<ref>Chambre des commerces et de l'Industrie</ref>.
Implanté à l'ouest du département, au croisement de l'axe nord-sud reliant Abbeville à Senarpont (la route départementale 25 « RD 25 » traversant le village en est aussi la rue principale) et celui, plus virtuel, allant du Tréport à Amiens, Fresnes-Tilloloy est juste à mi-chemin entre Gamaches et Airaines.
Par la route, Oisemont se trouve à Modèle:Unité, Abbeville à Modèle:Unité (Modèle:Unité), et Amiens à Modèle:Unité (Modèle:Unité)<ref>Via Michelin.</ref>.
Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts
Selon la carte de Cassini<ref name="GenCom_1">Détail de la Carte de Cassini</ref> publiée en 1757, deux hameaux se succédaient du nord au sud : « Fresnes » et « Tilloloy ».
Aujourd'hui, on trouve les désignations suivantes dans la commune :
- au nord : Au Bout de Fresne ;
- à l'est : le Village ; la Vallée de Vaux ; Au bout de la rue Neuve ;
- au sud : les Quarante ; Au Chemin de l'Hôpital ; les Vingt-Quatre ;
- à l'ouest : le Fief ; les Dix-Sept ;
- au nord-ouest : la vallée de Saint-Maxent ; Au Chemin de Saint-Maxent ;
- lieu-dit le Fief<ref>Extrait de Book.Google.com de Mémoires, par la Société des Antiquaires de Picardie, publication 1878, imprimeur LEMER Aîné [1]</ref> : aussi appelé le Malacquis, la légende raconte qu'à l'Époque féodale, un seigneur « profita » d'une jeune habitante du village et que de cette aventure naquit un enfant. Il fut considéré comme « un mal-acquis »<ref>Source : légende évoquée par Gérard Houbart, maire de la Commune.</ref> ;
- la rue Principale : comme beaucoup de villages dits longilignes, la rue Principale est la Grande rue autour de laquelle ont été construites la majeure partie des habitations ;
- la rue d'Abbeville : cette rue ne va pas à Abbeville mais vers Cerisy-Buleux. Elle porte néanmoins ce nom car avant la construction de la route départementale, les marchands de bestiaux passaient par cette voie pour emmener leur bétail au marché d'Abbeville. À l'époque, certains chemins étaient plus praticables que d'autres ;
- au chemin de l'Hôpital : cette voie menait vers la maladrerie édifiée à Oisemont par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Communes limitrophes
Le territoire est borné par six communes : Doudelainville (Modèle:Unité au nord), Vaux-Marquenneville (Modèle:Unité au nord-est), Neuville-au-Bois (Modèle:Unité au sud-est), Oisemont (Modèle:Unité au sud), Cerisy-Buleux (Modèle:Unité à l'ouest) et Saint-Maxent (Modèle:Unité au nord-ouest).
Données climatiques
Voici les données climatiques comparatives de Fresnes-Tilloloy avec d'autres villes françaises caractéristiques<ref>Météo France Somme, Abbeville (record) et records entre 1961 et 1990 [2]</ref>. Modèle:Météo France
Urbanisme
Typologie
Fresnes-Tilloloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,5 %), prairies (8 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Morphologie urbaine
La majorité des habitations se sont implantées le long d'un axe principal. Fresnes-Tilloloy a les caractéristiques d'un village-rue.
Logements
Modèle:Section à actualiser En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 73<ref>LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie sur la fiche Insee de la commune, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Parmi ces logements, 80,1 % étaient des résidences principales, 15,6 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98 % d'entre eux des maisons individuelles et il n'y avait pas d'appartements<ref>LOG T2 - Catégories et types de logements sur la fiche Insee de la commune, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 79,73 %<ref>LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation sur la fiche Insee de la commune, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Toponymie
La graphie « Fresnum » est attestée en 1207. Cependant, le village est aussi appelé Fraisneium en 1232 et Fresne-en-Vimeu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
La graphie « Tilleloy » est, elle, attestée en 1237 puis transformée en Tilloloy-en-Vimeu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Le Courrier picard du 8 juin 2008">Le Courrier Picard du 8 juin 2008.</ref>.
Le village a pu être noté parfois Fresne-Tilloloy (sans « s ») (comme en 1753, contrairement à la « carte de Cassini » de 1757, ou plus récemment, en 1933, dans l' « annuaire administratif et statistique de la Somme »). Le « s » serait dû à une erreur administrative du département. L'erreur a été reproduite au bulletin des lois de 1801<ref name="Cassini"/>.
Il est à noter que Tilloloy s'écrivait aussi en 1373 : Thillolay<ref>Autre écriture de Tilloloy, source books.google.comModèle:Source insuffisante.</ref> et ensuite Thilloloy dans d'autres textes ; ce, jusqu'à l'approche de la Révolution française.
Étymologiquement, Fresnes et Tilloloy étaient probablement des lieux plantés de frênes et de tilleuls.
Dans la langue picarde, Fresne-Tilloloy s'écrit : Fréné Tilloloè.
Histoire
Des origines à la chute de l'Ancien-Régime
- Fresnes-Tilloloy doit être d'origine gauloise et gallo-romaine puisqu'y furent trouvés des débris de fondations, des pierres de taille, attestant de constructions ayant existé jadis le long de la voie romaine dite chaussée Brunehaut qui sépare aujourd'hui la localité du bourg d'Oisemont<ref name="ReferenceA">Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Fresnes-Tiloloy, M. Pruvot, 10 juin 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens. [3]</ref>.
- En Modèle:Date-, Édouard III, roi d'Angleterre, après avoir quitté l'hospice d'Oisemont où il était logé, a dû traverser Fresnes-Tilloloy, accompagné du traître Gobin Agache qui le conduisit au gué de Blanquetaque, avant de remporter la bataille de Crécy<ref>Magazine Baie de Somme Syndicat mixte côté picardeModèle:Source insuffisante.</ref>.
- En 1459, Fresnes et Tilloloy avaient chacun un vicaire qui dépendait de l'église paroissiale d'OisemontModèle:Refnec.
- Au commencement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Jean de Béthencourt aurait été seigneur de Fresnes<ref name="ReferenceA"/>.
- Selon l'aveu de 1660, la seigneurie de Fresnes consistait en « un château, avec haute et basse cour, colombier, écuries, granges, bergeries, jardin, pourpris, bois, petite garenne et pâtures, le tout contenant Modèle:Unité, et Modèle:Unité de terre. Elle était mouvante de l'évêché d'Amiens. »<ref>René de Belleval, Les fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu - Essai sur leur transmission depuis l'an 1000 jusqu'en 1789. 352 p., In-4°, Paris, Dumoulin, 1870. (réédité en fac-similé, G. Montfort, 1975).</ref>.
De 1384 à 1701 | |||
Période | Identité | Qualité | |
1384 | … | Jean de Saint-Ouen | chevalier |
1516 | … | Antoine de Saint-Ouen | Écuyer |
1532 | … | Jacques de Saint-Ouen | Écuyer |
1605 | 1650 | Gilles de Belleval<ref name="Nobiliaire49" >René de Belleval, Nobiliaire de Ponthieu - Tome I (éd. Lemer, Amiens, 1861), Modèle:P. (mise en ligne sur genealogiequebec.info)</ref> | Écuyer |
1650 | 1701 | Joachim de Belleval<ref>René de Belleval, Nobiliaire de Ponthieu - Tome I (éd. Lemer, Amiens, 1861), Modèle:P. (mise en ligne sur genealogiequebec.info)</ref> | Écuyer, fils du précédent |
- La seigneurie de Thilloloy relevait, elle, de la châtellenie de Bailleul-en-Vimeu<ref name="la Somme, les 783 communes" />.
De 1259 à 1800 | |||
Période | Identité | Qualité | |
1259 | … | Hugues de Riencourt | Chevalier |
1279 | … | Raoul de Riencourt | Chevalier |
1337 | … | Draconnet de Riencourt | Chevalier |
1382 | … | Enguerran de Riencourt | gouverneur de Calais |
… | 1440 | Andrieu de Riencourt (dit Riou de Ricourt, ou Riolet)<ref>Sources: Opération charles VI ( no 1522) [4]</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> | Écuyer, Échanson du Roi et du Duc de Guyenne (1411 - 1440) |
1470 | 1527 | Thomas de Riencourt<ref>Genealogiequebec et Modèle:Lien brisé.</ref> | Écuyer, Sieur de Tilloloy et Vaux |
1527 | 1561 | Hugues de Riencourt | Écuyer |
1561 | 1589 | Christophe de Riencourt | Écuyer |
1589 | 1618 | Nicolas de Riencourt | Écuyer |
1618 | 1645 | François de Riencourt | Chevalier |
1645 | 1684 | Louis de Riencourt | Chevalier |
1684 | 1725 | Ferdinand-Laurent de Riencourt | Chevalier et Capitaine de cavalerie |
1725 | 1750 | Louis-Ferdinand de Riencourt | Chevalier et Officier au Régiment de Piémont (cavalerie) |
1750 | 1780 | Henri-Louis-Ferdinand de Riencourt <ref>[5] Voir aussi sur: Généalogie Hertault Mayeux</ref> | Chevalier, Sieur de Tilloloy-Vaux-Arleux et autres |
1789 | 1800 | François-Marie-Ferdinand de Riencourt | marquis |
- Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une épidémie de peste sévit dans le village. Sur les Modèle:Unité, seuls 69 survécurent à ce terrible fléau. Depuis, tous les ans, un pèlerinage était effectué au mois de mai en l'église de Notre-Dame-de-la-Délivrance à Blangy-sur-Bresle. Ce pèlerinage prit fin vers 1970. Seul, l'arbre à loques de Senarpont en rappelle le souvenir.
- 1757, publication de la carte de Cassini<ref name="GenCom_1"/>, les deux hameaux se succédaient du nord au sud : « Fresnes » et « Tilloloy ».
Depuis la Révolution de 1789
- Les communes de Thilloloy et de Fresnes, instituées lors de la Révolution française, fusionnent entre 1790 et 1794 pour former celle de Fresnes-Thilloloy<ref name="Cassini"/>.
- En 1797, création de l'école de Fresnes-Thilloloy.
- La commune ne paraît pas avoir été éprouvée pendant les invasions de 1814-1815. Durant la guerre franco-allemande de 1870, les Allemands occupèrent le village du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Leurs réquisitions, tant en nature qu'en argent, s'élevèrent à 7 500 francs de l'époque<ref name="ReferenceA"/>. On déplora une seule victime parmi les jeunes gens ayant combattu pendant cette année terrible : elle disparut sans qu'on sache où elle périt<ref name="ReferenceA"/>.
- La vieille église, enclose dans une propriété privée, a été démolie et rebâtie ailleurs entre 1860-1870. Une école neuve, construite en 1880, remplaça l'ancien local scolaire exigu et malsain. La plupart des anciennes chaumières disparurent pour faire place à des habitations « sinon élégantes, du moins confortables ». C'est ainsi qu'au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Fresnes-Tilloloy s'est beaucoup embelli, que le bien-être de ses habitants put s'accroître et que l'instruction s'est considérablement développée<ref name="ReferenceA"/>.
- En 1899, la commune comptait trois anciens militaires médaillés (qui avaient fait respectivement les campagnes de Crimée, d'Italie et du Mexique)<ref name="ReferenceA"/>.
- Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une usine de textile, forte d'une dizaine d'employés, avait pour activité principale le filage et le tissage de rideaux<ref name="Le Courrier picard du 8 juin 2008"/>. Cette entreprise n'existe plus.
- En 1936, on dénombrait 40 cultivateurs, puis 22 fermes jusqu'aux années 1980. En 2008, on ne comptera plus que deux fermes<ref name="Le Courrier picard du 8 juin 2008"/>.
- Lors de la Seconde Guerre mondiale, des bases de lancement de missiles V-1, basés à Vaux-Marquenneville et Neuville-au-Bois, se situaient à proximité du village. Le Modèle:Date-, le village sera touché par un bombardement qui les visait<ref name="Le Courrier picard du 8 juin 2008"/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouvait jusqu'en 2009 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. De 2009 à 2016, elle est intégrée à l'arrondissement d'Abbeville, avant de réintégrer le Modèle:Date- l'arrondissement d'Amiens<ref>Modèle:Article.</ref>. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Oisemont<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.
Fresnes-Tilloloy fait partie dans l'ordre judiciaire du ressort du tribunal d'instance d'Abbeville, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce d'Amiens, qui relèvent tous de la cour d'appel d'Amiens.
Dans l'ordre administratif, la commune relève du tribunal administratif d'Amiens et de la cour administrative d'appel de Douai<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Intercommunalité
La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au Modèle:Date-.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date-, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, la préfète de la Somme propose en Modèle:Date- un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de Modèle:Unité regroupant 120 communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>, la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion<ref>Modèle:Article.</ref>.
La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le traitement et la distribution de l'eau potable est assurée pal le SIAEP de Frucourt<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et la distribution d'électricité est assurée par la Fédération Départementale d'Énergie de la Somme, créée en 2015 et qui succède au SIER du sud-Vimeu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Section à actualiser Résultat de scrutins dans la commune :
- Élections présidentielles, résultats du deuxième tour
- Présidentielle de 2002<ref>Présidentielle de 2002, Sources: moteur-auracom</ref>, résultats du second tour : 77,9 % pour Jacques Chirac (RPR), 22,1 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 90,4 % de participation.
- Présidentielle de 2007<ref>Présidentielle de 2007, Sources : ministère de l'Intérieur [6] - Le Figaro [7]</ref>, résultats du second tour : 55,45 % pour Ségolène Royal (PS), 44,55 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 89,74 % de participation.
- Présidentielle de 2012<ref>Présidentielle de 2012, Sources : ministère de l'Intérieur [8]</ref>, résultats du second tour : 59,41 % pour François Hollande (PS), 40,59 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 91,53 % de participation.
- Élections législatives, résultats du deuxième tour
- Élections législatives françaises de 2002<ref name="interieur.gouv.fr">Élection législative 2002, Sources : ministère de l'Intérieur</ref>, résultats du second tour : 55,56 % pour Vincent Peillon (PS), 44,44 % pour Jérôme Bignon (UMP), 82,4 % de participation.
- Élection législative française de 2007<ref>législative de 2007, Source: 20 minutes</ref>, résultats du second tour : 52,08 % pour Jérôme Bignon (UMP), 47,92 % pour Vincent Peillon (PS).
- Élection législative française de 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref>, résultats du second tour : 50 % pour Jean-Claude Buisine (PS), 50 % pour Jérôme Bignon (UMP), 69 % de participation.
- Élections cantonales puis départementales
- Élections cantonales françaises de 2008<ref>Élections cantonales 2008, source : ministère de l'Intérieur
</ref>, 50 % pour Jérôme Bignon (UMP), 19,61 % pour Michel Quignon (DVG), 87,2 % de participation.
Administration municipale
Le nombre d’habitants de la commune étant compris entre 100 et 500, le nombre de membres du conseil municipal est de 11<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Ses habitants sont les Fresnois<ref name="la Somme, les 783 communes">Source : La Somme, les 783 communes, septembre 2004, aux éditions Delattre, Grandvilliers (60)</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 42,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Modèle:Section à sourcer Fresne-Tilloloy fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les villages de Forceville-en-Vimeu (maternelle), de Neuville-au-Bois (CP, CE1) et de Fontaine-le-Sec (CE2, CM1, CM2).
Ce regroupement scolaire faisait partie des treize sites (26 classes) gérés par la communauté de communes de la Région d'Oisemont (C.C.R.O.). Au Modèle:Date-, la compétence scolaire est du ressort de la communauté de communes Somme-Sud-Ouest.
Depuis Modèle:Date-, la classe de Fontaine-le-Sec a été rouverte. La réhabilitation a coûté Modèle:Unité, cette classe ayant été fermée en 2004/2005.
Une garderie ainsi qu'un club de jeux gratuits (deux soirs par semaine) sont organisés à Forceville-en-Vimeu, financés par la C.C.R.O..
Pour les écoles, un transport scolaire est effectué matin-midi-soir du lundi au vendredi, matin-midi les mercredis et samedis, et matin-soir du lundi au vendredi pour le collège d'Oisemont et le lycée d'Abbeville.
La cantine scolaire se trouve à Oisemont.
Manifestations culturelles et festivités
- La fête du village se déroule le premier dimanche du mois d'août, une réderie (brocante, vide-grenier) est organisée pour l'occasion.
- Des animations pour les enfants du village sont organisées, avec le concours de « l'Association des Jeunes », comme la remise des cadeaux pour Noël, Halloween, Pâques…
- Toutes les commémorations officielles sont célébrées.
Santé
Les centres hospitaliers d'Abbeville et d'Amiens accueillent les patients du secteur.
Sports
Les amateurs d'activités sportives se joignent aux clubs des environs comme Oisemont...
Médias
Le quotidien régional, Le Courrier picard et les hebdomadaires régionaux, L'Éclaireur du Vimeu et l'Informateur, relatent les informations locales.
La commune est en outre dans le bassin d’émission de la chaîne de télévision France 3 Picardie.
L'information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : le bulletin du conseil départemental de la Somme, Vivre en Somme.
Cultes
La commune fait partie de l'ensemble paroissial catholique d'Oisemont au sein du diocèse d'AmiensModèle:Refnec.
- Liste des ecclésiastiques catholiques liés à la commune
Modèle:Section à sourcer Modèle:Boîte déroulante/début
De 1696 à 1818 | |||
Période | Identité | Fonction | |
1696 | 1705 | Noel Alexcendre | Vicaire |
1737 | 1753 | Piédecocq | Vicaire |
1753 | 1767 | Magnier | Curé de Vaux |
1767 | 1771 | Parmentier | Vicaire |
1772 | 1773 | Duménil | vicaire |
1773 | 1774 | Boulard | Vicaire |
1774 | 1780 | Boucher | Vicaire |
1781 | 1786 | Dargnies | Vicaire |
1787 | 1789 | Hocquet | vicaire |
1790 | 1792 | Olive | Vicaire |
1792 | 1804 | Masson | Vicaire |
1804 | 1818 | Jean Olive | Abbé |
De 1818 à nos jours | |||
Période | Identité | Fonction | |
1818 | 1819 | Charles Toquesne | Abbé |
1819 | 1820 | Jean-François Lemere | Abbé |
1821 | 1832 | Alexandre Bacquet | Abbé |
1833 | 1859 | Jean-François Devauchelle | Abbé |
1859 | 1880 | Henri Belavoine | Abbé |
1880 | 1897 | Félix Dubois | Abbé |
1897 | 1906 | Charles Lévêque | Abbé |
1907 | 1920 | Valery Cuvillier | Abbé |
1921 | 1965 | François Gambier | Abbé (décédé le Modèle:Date-) |
1965 | 1969 | Dautuille | Abbé |
1970 | 1978 | Jean Becquet | Abbé, devenu Curé de Ault |
1978 (4 mois) | 1979 | Daboval | Abbé |
1979 | 1993 | Francis Dupire | Abbé, devenu Curé de Moislains |
1993 | 1994 | Savreux | Abbé |
1994 | 2006 | Noël Vanderlynden | Abbé |
2006 | … | André Odoux | Abbé |
Gendarmerie
Fresnes-Tilloloy relève de la gendarmerie d'Oisemont<ref>Gendarmerie d'OisemontModèle:Source insuffisante.</ref>.
Internet
Le village est connecté à l'ADSL et a pour réseau : Internet ADSL-Central Oisemont-Répartition 80606 OIS-OIS80Modèle:Refnec.
Économie
Revenus de la population
Modèle:Section à actualiser En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro<ref>http://www.statistiques-locales.insee.fr/FICHES/DL/DEP/80/COM/DL_COM80354.pdf</ref>.
Emploi
Modèle:Section à actualiser En 2009, la population de Fresnes-Tilloloy se répartissait ainsi : 79,8 % d'actifs et 20,2 % d'inactifs dont 11,5 % de retraités et 1,9 % d'élèves, d'étudiants et de stagiaires non rémunérés<ref>EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité sur la fiche Insee de la commune, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Le taux de chômage était de 10,8 %, supérieur à celui de 1999 (5,7 %)<ref>EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans sur la fiche Insee de la commune, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Entreprises et commerces
- En 2011, exercent un podologue, des maçons, un menuisier, une société d'ambulances, une assistante maternelle, deux cultivateurs-agriculteurs, mais il n'y a plus aucun commerce.
- Parc éolien : Fresne-Tilloloy héberge, avec les communes de Saint-Maxent et de Doudelainville, un parc de dix éoliennes de deux MégaWatts chacune et ayant une hauteur d'environ Modèle:Unité.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie
- La mairie, comme souvent en milieu rural, faisait aussi bien fonction de bâtiment administratif que d'école. L'école restera ouverte jusqu'en 1982<ref name="Le Courrier picard du 8 juin 2008"/>.
- L'église de Fresnes-Tilloloy
- L'église initiale, vouée à saint Ouen, fut construite au {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:s| s }} }} puis déplacée vers 1860-1870 et la nouvelle église a été inaugurée en 1887. Bâtie en pierre de taille et brique, couverte en ardoise, « elle renferme une belle contretable à deux piliers et corniches peintes de différentes couleurs, avec un dais en bois au-dessus, sur lequel est peint un Saint-Esprit ». Au-dessus du tabernacle se trouve un tableau sur lequel est représenté un crucifix et la Sainte-Vierge d'un côté, et de l'autre saint Ouen (sic).
- Près du maître autel, se tiennent deux statues : saint Ouen, en pierre, et saint Nicolas en bois. Le sanctuaire est fermé d'une balustrade de bois.
- D'après Me Dargnies, prêtre desservant en 1873, le chœur a 23 pieds de long sur 18 de large, « sans y comprendre deux places faites pour deux chapelles dont l'une sert de sacristie, lesquelles ont chacune six pieds de long sur 18 de large ». Trois messes sont alors dites par semaine<ref>Le pays du Vimeu, Ph. des Forts - R. Rodière : Extrait de la visite du jeudi 10 avril 1783.</ref>.
- En 1871, la cloche de l'église a été bénite par monsieur Bellavoine, curé de Doudelainville. Cette cloche porte les inscriptions suivantes : « Ma marraine est Henriette Josephine Sannier. Mon parrain est Firmin Renouard, doyen de Gamaches ». Son poids est de Modèle:Unité<ref>Source : Registre de fontes d'Alex Daperon, f°105</ref>. La couverture du clocher a été entièrement rénovée en 2008.
- Le cimetière communal
Le cimetière est situé à l'entrée du village, route principale, en provenance d'Abbeville. Le Modèle:Date-, monsieur Acutteler, doyen d'Hallencourt, bénit le cimetière communal en présence de monsieur Duvauchelle, curé de Doudelainville desservant la paroisseModèle:Refnec.
- Le monument aux morts
- Le monument aux morts <ref>Modèle:Lien brisé.</ref> fut construit entre les années 1920 - 1930.
- Il comporte douze noms de victimes de la Première Guerre mondiale<ref group="Note">Seuls les douze premiers noms de cette liste (sur fond vert). (Informations recueillies sur les sites Modèle:Lien brisé et Historique de Régiments 1914-1918) figurent sur le monument aux morts. Les deux derniers résidaient dans la commune lors de leur mobilisation. Il apparaît, au vu du tableau ci-dessous, que la majorité des tués avait entre 25 et 35 ans et que les années 1915 et 1916 ont été les plus meurtrières.</ref> :
Noms | |||||||||
Patronyme | né le | à | grade | Décédé le | à | À l'âge de | Cause | Inhumé à | Décorations |
Bellebouche Achille Anselme Louis | 21/04/1876 | Fresnes-Tilloloy | Sous-lieutenant au [[164e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:164e RI]] | 22/02/1916 | Bois de Ville Herbebois | 39 | tué au front | ||
Damis Alcide Gaston | 27/09/1889 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[151e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:151e RI]] | 03/07/1915 | au camp Vauban à Vienne-la-Ville (Marne) | 25 | tué au front | ||
Delhomel (Le) Alcide Gaston | 22/06/1883 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[128e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:128e R.I.]] | 05/07/1915 | à l'hôpital Excelmans de Bar-le-Duc (Meuse) | 32 | fièvre typhoïde | ||
Gaillard Vitalis Laure | 16/10/1892 | Cerisy-Buleux | Modèle:2e classe au [[4e régiment de cuirassiers (France)|Modèle:4e R.Cuirassiers]] - Modèle:5e Escadron | 08/07/1917 | à Vaulx (Marne) | 24 | tué au front | ||
Herlin Maurice | 20/04/1897 | [[Arrondissements de Paris|Paris Modèle:9e]] | Modèle:2e classe au [[129e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:129e R.I.]] | 10/07/1917 | à l'hôpital Temporaire Modèle:N° à Vadelaincourt (Meuse) | 20 | suite de blessures | ||
Houbard Georges Ernest | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe | 19/01/1916 | Bourges (Cher) | maladie | Fresnes-Tilloloy | Croix de guerre | ||
Houbard Léon René Elisée | 16/11/1888 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[328e régiment d'infanterie|Modèle:328e R.I.]] | 04/09/1914 | à l'ambulance Modèle:N° de Beaumont (Ardennes) | 25 | suite de blessures | ||
Lecul Aristide Georges | 31/08/1884 | Oisemont | Modèle:2e classe au [[272e régiment d'infanterie|Modèle:272e R.I.]] - Modèle:18e C | 30/01/1915 | à l'ambulance Modèle:N° de Sainte-Menehould (Marne) | 30 | maladie | ||
Locquette Joseph Eugène | 11/04/1871 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[33e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:33e R.I.T.]] | 10/02/1915 | à l'hôpital Mixte d'Auxerre (Yonne) | 43 | maladie | ||
Michaut Léon Alphonse | 02/08/1888 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[51e régiment d’infanterie de ligne|Modèle:51e R.I.]] | 19/08/1915 | à Mouilly (Meuse) | 27 | tué au front | ||
Ternois Paul Florent Joseph | 30/07/1887 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au [[251e régiment d'infanterie|Modèle:251e R.I.]] | 02/11/1914 | à Soupir (Aisne) | 27 | tué au front | ||
Varlet Joseph Norbert Amédée | 04/06/1876 | Fresnes-Tilloloy | Lieutenant au [[153e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:153e R.I.]] | 05/10/1916 | En mer | 40 | tué lors du torpillage du Gallia <ref>Site chtimiste.com</ref> | ||
Gaillard David | Fresnes-Tilloloy, n'est pas inscrit sur le monument aux morts<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> | Croix de guerre,
Médaille militaire, Légion d'honneur | |||||||
Calippe<ref>Inscrit sur le Monument aux morts de Fresneville (Somme)</ref> Marceau | 06/01/1883 | Fresneville | Sapeur [[3e Régiment du Génie|Modèle:3e R.G.]] | 04/07/1917 | à l'ambulance 3/64 de Ville-sur-Cousances (Meuse) | 34 | suite de blessures | Fresneville | |
Delarue<ref>Inscrit sur le monument aux morts de Neuville-au-Bois (Somme)</ref> Arthur Simon | 28/09/1884 | Fresnes-Tilloloy | Modèle:2e classe au Modèle:31e R.Z. (venait du [[72e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:72e R.I.]]) | 15/11/1916 | à Douaumont (Meuse) | 32 | tué au front |
- Les calvaires
- Ces calvaires sont dits « croix monumentales ». Il en existe trois : le long de la rue principale (à la limite avec Oisemont, au croisement de la rue Neuve et face à la mairie).
- Le château de Fresnes-Tilloloy
- C'est une grande demeure du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="la Somme, les 783 communes"/> faisant partie des jardins d'agrément du patrimoine<ref>jardins d'agrément du patrimoine</ref>.
-
Plaque de l'école communale.
-
Portail du cimetière.
-
Le monument aux morts de Fresnes-Tilloloy.
-
Le calvaire situé face à la mairie.
Héraldique
Fresne-Tilloloy n'a pas de blason, mais il se peut que le village ait été sous l'égide d'un des blasons d'Amiens<ref>Blason d'Amiens (anglais)</ref>, de la Somme<ref>Blason de la Somme (anglais)</ref> ou de la Picardie<ref>Blason de la Picardie (anglais)</ref> en plus des armoiries du royaume de France et des empires qui se sont succédé.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Somme
- Liste des anciennes communes de la Somme
- Un siècle (1851-1954) d'exode rural dans la Somme
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
Liens externes
Bibliographie
- Consultation de l'eau <ref>Consultation de l'eau: dossier de presse, (Fresnes cité Modèle:P.).</ref>.
- Fresnes-Tilloloy dans l'annuaire administratif et statistique de la Somme (1933-1936-1945) : Cet annuaire concerne l'administration, les communes et d'autres organismes dans la Somme (sociétés, instituts, associations…).
- Annuaire général de la ville d'Abbeville, 1924 : Cet ouvrage est l'ancêtre du bottin téléphonique actuel
- Service vicinal, annexes aux recueils des actes administratifs (1875/1876/1891-1900/1916) : Il contient les dépenses liées aux chemins.
- Modèle:Ouvrage.
- Extraits provenant de books.google.com :
- Mémoires, Société des antiquaires de Picardie, 1878.
- La voie paysanne dans la Révolution française (l'exemple de la Picardie), Florence Gauthier, Paris, Maspéro, 1977, un vol. in-8°, 242Modèle:Nb p.
- Enquête pontificale de 1373 sur l'Ordre des hospitaliers de St Jean de Jérusalem<ref>[9] [10]</ref> J.Glenisson & A.M..Legras, 1987 et France Royaliste: Prophétie de St Jean de Jérusalem <ref>France Royaliste: Prophétie de St Jean de Jérusalem</ref>.
- Bulletin de la section géographique, 1913.
- L'opéra de baucaireromans, J.Thieuloy, 1980.
- Guy d BrimeuDerBurgund (livre allemand), W.Paravicini, 1975.