Le Pré-Saint-Gervais

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Autre4 Modèle:Infobox Commune de France

Le Pré-Saint-Gervais (<templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France. Elle fait partie de la première couronne de l'agglomération parisienne. C'est la commune la plus proche du centre de Paris, distante de seulement Modèle:Unité.

Ses habitants, appelés les gervaisiens, l'appellent Modèle:Citation. Édifié sur une prairie au pied du Plateau de Romainville — soit la butte-témoin de Romainville qui est la prolongation des Buttes-Chaumont parisiennes. Le Pré-Saint-Gervais est réputé dès le Moyen Âge pour ses sources abondantes.

Devenue commune en 1793, Le Pré-Saint-Gervais, terre agricole et de villégiature, s'est totalement transformée au cours des {{#switch: XX

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}} pour devenir la banlieue ouvrière très densément peuplée et la ville telle que nous la connaissons aujourd'hui, conservant dans certains quartiers ce charme d'antan avec ses sentes et ses regards.

Le Pré-Saint-Gervais est situé sur un territoire de Modèle:Unité de superficie qu'elle a conquise en se rendant autonome de la ville de Pantin voisine, elle est la plus petite commune de Seine-Saint-Denis<ref group="Note">C'est la deuxième plus petite commune de la région Île-de-France. Seule, Vaudherland est plus petite avec seulement Modèle:Unité.</ref> tout en étant située au cœur de la plus grande agglomération d'Europe et limitrophe de Paris.

Modèle:Sommaire

Géographie

La ville est située à la rencontre des portes de Paris à l'ouest, de la plaine de l'Ourcq au nord et du plateau de Romainville au sud.

Localisation

Fichier:Le Pré-Saint-Gervais map.svg
Localisation du Pré-Saint-Gervais en région parisienne.

La commune du Pré Saint-Gervais est située en première couronne de l'agglomération parisienne, au nord-est de Paris, et au sud du département de la Seine-Saint-Denis. Elle est limitrophe au sud et à l'ouest de Paris, au nord et au nord-est de Pantin, et à l'est et au sud des Lilas. La commune est édifiée sur le flanc nord de la colline de Belleville.

Modèle:Référence nécessaire. Cependant, on observe récemment une légère décroissance de la population. Entre 2013 et 2019, le nombre d'habitants a baissé de 3,1 %<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune est longée par le boulevard périphérique de Paris et desservie par les sorties porte du Pré Saint-Gervais (sortie chaussée intérieure), porte des Lilas ou encore porte de Pantin.

De plus, la porte Chaumont lie Paris au Pré-Saint-Gervais mais sans accès au périphérique.

De même, le passage Brunet permet les accès piétons sous le périphérique au niveau de la porte Brunet.

Communes limitrophes

La commune est bornée :

Modèle:Communes limitrophes

La jonction la plus naturelle entre Le Pré-Saint-Gervais et Paris passe par le Parc de la Butte-du-Chapeau-Rouge. Modèle:Référence nécessaire.

À partir de ce parc, situé dans le quartier d'Amérique du [[19e arrondissement de Paris|Modèle:19e de Paris]], près du Boulevard périphérique de Paris ; une première possibilité d'accès à la ville est de suivre la pente naturelle du jardin, et de longer la fontaine monumentale surmontée d'une statue, Ève, de Raymond Couvègnes (1938), jusqu'à atteindre le passage Brunet, de traverser sous le périphérique, et de rejoindre l'avenue principale du Pré-Saint-Gervais (mairie, église, principaux commerces), l'avenue André-Joineau en empruntant la rue Émile-Augier ; la seconde est de suivre une perpendiculaire à cette pente et de rejoindre l'avenue André-Joineau en passant par la Porte du Pré-Saint-Gervais.

Le Parc, situé plus haut que la plaine du Pré-Saint-Gervais, offre un point de vue sur la ville.

Modèle:Article connexe

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; l'altitude varie entre 57 et Modèle:Unité<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>. Modèle:Référence nécessaire.

Modèle:Référence nécessaire.

Le plateau culmine a des altitudes différentes selon les communes — Modèle:Unité au Pré-Saint-Gervais.

Le relief de la ville va influencer son hydrographie, tandis que la présence de gypse va inciter à l'exploitation de carrières sur la commune du Pré-Saint-Gervais.

Les anciennes carrières

La ville a été le siège de plusieurs carrières :

Au cours du XIXe siècle les villes de Pantin, les Lilas, et le Pré Saint-Gervais ont été des zones d'exploitation de carrières, essentiellement d'extraction de gypse pour la production de plâtre.

Modèle:Article connexe

Hydrographie

La commune du Pré-Saint-Gervais n'est traversée par aucun cours d'eau.

Toutefois, le sol sablonneux des collines de Romainville et du Pré-Saint-Gervais recouvre une couche impénétrable de glaise imperméable à l’eau sur laquelle glissent les eaux de ruissellement et de pluie. Celles-ci suintaient à certains endroits. Les Parisiens ont depuis longtemps songé à tirer parti, pour leur consommation, de ces sources<ref name="Histoired'eau"/>.

Les sources du nord au Moyen Âge

Sur les collines du nord-est de Paris, à savoir, à l'ouest du plateau de Romainville, sur les hauteurs de Belleville, de Ménilmontant et du Pré-Saint-Gervais, des sources, désignées comme les « sources du Nord » alimentent la rue de Ménilmontant et sont, dès le Moyen Âge (à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) captées pour alimenter Paris en eau potable.

Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle se construisent ce qu'on appelle les « sources du Nord » : un réseau d'aqueducs destiné à dériver l'eau captée sur les collines du nord-est de Paris, où sont actuellement situés les quartiers de Belleville et de Ménilmontant ainsi que les villes du Pré-Saint-Gervais et des Lilas (93).

Ces « sources du Nord », font référence aussi bien aux eaux du Pré-Saint-Gervais qu'aux eaux de Belleville. Il s'agit d'un ensemble d'aménagements hydrauliques qui, dès le Moyen Âge, permit de drainer l'eau des hauteurs de Belleville et du Pré-Saint-Gervais vers Paris. Ces captages médiévaux aujourd'hui périmés ont alimenté fontaines publiques et abbayes pendant des siècles et constitué un moyen précieux d'alimentation en eau des Parisiens.

Modèle:Référence nécessaire.

Ensuite, l'histoire des « sources du Nord » se comprend dans le cadre des besoins nécessaires en eaux potable de la ville de Paris. À l'époque de la Lutèce gauloise, alors que Paris se réduit aux habitants des deux iles, l'île Saint-Louis et l'île de la Cité, les Parisiens puisent leur eaux dans la Seine. Le tout premier aqueduc est édifié par les Romains aux alentours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. pour alimenter en eau des thermes, situés dans le bas de la rue Saint-Jacques, à la place de l'actuel Collège de France.

Modèle:Référence nécessaire.

Modèle:Référence nécessaire.

Les abbayes parisiennes, qui y possédaient des terres (prieuré de Saint-Lazare, abbaye de Saint-Martin des Champs, commanderie du TempleModèle:Etc. organisent très tôt un réseau compliqué d'aqueducs afin de capter ces eaux à leur usage. À cette époque, l'approvisionnement en eau de Paris est essentiellement assuré par la Seine et quelques puits privés souvent peu salubres.

Ces sources du Nord sont alors constituées :

  • des « eaux de Belleville » qui étaient exploitées par les religieux de l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs et par les Templiers. Cet aqueduc acheminait l'eau du versant sud des collines vers des lieux situés à l'est de l'actuel boulevard Sébastopol ;
  • des « eaux du Pré-Saint-Gervais », un ensemble d'aménagements hydrauliques situés à Paris et au Pré-Saint-Gervais, qui dérivaient les eaux du versant nord des collines du Pré-Saint-Gervais, et desservaient les quartiers en contrebas, situés à l'ouest de l'actuel boulevard Sébastopol. L'aqueduc fut mis en service vers 1178 par les hospitaliers de Saint-Lazare<ref name="Histoired'eau">Modèle:Lien web</ref>.

Les zones de captage des eaux, puis de distribution, sont repérables par des « regards », petits bâtiments destinés à protéger les sources. Ce sont les derniers vestiges conservés de ces travaux. Ces ouvrages d'art sont depuis classés Monuments Historiques.

Ces « sources du Nord » ont eu une importance considérable dans le développement du Pré-Saint-Gervais.

L'urbanisation et l'assainissement a effacé presque toutes les traces du réseau des sources du Nord au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Seule la toponymie, et des regards rendent encore compte de ce réseau hydrographique oublié.

Modèle:Article connexe

Climat

Située dans le bassin parisien, la commune du Pré-Saint-Gervais bénéficie d’un climat semi-océanique — climat océanique avec été tempéré (classification de Köppen : Cfb).

Ce climat, semblable à toutes les communes d’Ile-de-France, découle à la fois de la situation géographique de la Région, à l’extrême Ouest de l’Europe, et de sa position au fond du creux central du Bassin Parisien. Il se caractérise par une température moyenne de Modèle:Tmp avec une amplitude thermique de Modèle:Tmp. Janvier est le mois le plus froid avec une température moyenne de Modèle:Tmp; juillet et août sont les mois les plus chauds avec une température moyenne de Modèle:Tmp.

Chaque année, il gèle 25 jours, tandis que la température dépasse le Modèle:Tmp pendant 43 jours, dont 9 jours où elle est supérieure à Modèle:Tmp.

Milieux naturels et biodiversité

Urbanisme

Fichier:Fortifications Paris et environs 1841.jpg
Plan des fortificvations de Paris en 1841, montrant la situation du Pré-Saint-Gervais.

Le Pré-Saint-Gervais, terre agricole et de villégiature, s'est totalement transformée au cours des {{#switch: XX

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}} pour devenir une ville de banlieue ouvrière très peuplée.

Son territoire se trouve dans l'ancienne Zone des fortifications de Paris qui ont défendu la capitale du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'entre-deux-guerres, c'est-à-dire la zone non ædificandi. Cette locution latine désigne une servitude qui interdit toute construction sur une zone dénommée.

Modèle:Référence nécessaire décrit une bande de terrains vagues qui s'est constituée tout autour de Paris près de l'emplacement des anciennes « fortifs' » et qu'occupa, au début du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:|  }} }} siècle, une population très pauvre. Elle prend alors le sens de « quartier pauvre » occupée par des habitations de fortune. En argot, elle caractérise extensivement la banlieue elle-même décrite (péjoratif) comme un environnement urbain en désordre « C'est la zone Pour autant zoner, activité attribuée aux gens de la zone c'est, en argot, flâner en ville. Modèle:Article connexe

Typologie

Le Pré Saint-Gervais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group="Note">Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group="Note">La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Morphologie urbaine

L'urbanisation au Pré Saint-Gervais se traduit par des formes très diversifiées. Dans la moitié Nord, un tissu urbain qui se compose d'un bâti diversifié et très imbriqué Modèle:Incise tandis que le Sud se caractérise par des formes bâties contrastées.

Immeubles de grande hauteur

Modèle:Section à sourcer La commune du Pré Saint-Gervais compte un certain nombre de gratte-ciel, mais leur nombre et leur taille reste très faible par rapport à l'ensemble des gratte-ciel de grande hauteur à travers le monde. À ce titre, selon la législation française, les immeubles de grande hauteur se recensent à partir de Modèle:Unité.

Quartiers

Modèle:Section à sourcer Modèle:Référence nécessaire. On distingue :

  • Le quartier du centre-ville :
    Situé à la porte du Pré Saint-Gervais non loin de l'hôpital parisien Robert-Debré, ce vieux quartier est bordé par le boulevard périphérique à l'ouest, et se confond parfois avec le quartier du Belvédère, qui le domine de la colline de Belleville. La place Anatole-France, avec sa mairie à l'architecture du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, son marché, son collège, sa fontaine ancienne et la rue commerçante André-Joineau, la maison des associations et ses nombreux commerces, a conservé tout le charme d'un vieux quartier de Belleville. Limites. — Le quartier jouxte les petites rues aux villas anciennes du quartier du Belvédère ainsi que l'église de la Sainte-Famille et la rue du 14-Juillet.
    Micro-quartier. — En plein cœur de son centre-ville, La Villa du Pré-Saint-Gervais, ensemble de rues privées ouvertes au passage du public, réserve une surprise de taille : véritable poumon vert au sein de la cité, la Villa du Pré-Saint-Gervais est composée de rues et ruelles étroites bordées d'arbres centenaires où cohabitent des maisons avec jardins. Ce micro-quartier est constitué d'un ensemble de rues composé de la Grande Avenue, l'avenue des Acacias, l'avenue des Marronniers, l'avenue de l'Aigle, l'avenue de Bellevue, l'avenue des Sycomores, l'avenue des Soupirs, l'avenue Beausoleil. La Villa du Pré-Saint-Gervais est gérée par l'ASA (association syndicale autorisée) Villa du Pré-Saint-Gervais financée par une taxe syndicale votée par le conseil syndical et payée par les propriétaires.
  • Le quartier du Belvédère :
    Il longe le boulevard périphérique à partir de la porte des Lilas. Un secteur sur le territoire de Paris qui lui est contigu est Modèle:Quand. Ce quartier contient la résidence Babylone (un ensemble dominant la porte des Lilas), et plus bas les grandes tours Les Marronniers, puis une longue barre de treize étages construite par Seine-Saint-Denis Habitat. Modèle:Quand. En contrebas, on y trouve également les vieux quartiers bourgeois de la ville, avec ses villas cossues et ses petites avenues pavées, bordées d'arbres centenaires.
  • Le quartier Jean-Jaurès :
    Situé au sud de la ville en limite des Lilas, ce quartier monte de la cité Gabriel-Péri jusqu'à la porte des Lilas.
    Il est le plus grand quartier HLM de la ville du Pré et contient la cité Jean-Jaurès ainsi que la cité-jardin Henri-Sellier, un ensemble de petits bâtiments de 1933 en brique rouge (du R+3 au R+5) de Modèle:Nombre conçue par Félix Dumail (1883-1953).
    La cité Jean-Jaurès est composée de 9 tours (de R+8 à R+10) construites dans les années 1960-1970 sur la colline de Belleville. Elle contient Modèle:Nombre qui s'ajoutent aux 1 256 des deux autres cités du quartier. Ce grand ensemble totalise Modèle:Nombre pour Modèle:Nombre environ dans le quartier le plus défavorisé de la ville. Mal reliée au centre-ville, mais bien desservie en transports en commun par les bus RATP 170 et 61. La cité-jardin Henri-Sellier contient quelques boutiques. En particulier, dans ce quartier, sur le place Séverine, sont installées de petites boutiques d'artisanat constituant un premier pôle d'artisanat dans la ville. D'autres boutiques d'artisanat sont par ailleurs disséminées rue de Stalingrad et rue Danton.
  • Le quartier Gabriel-Péri :
    Situé au nord-est de la ville, il est limitrophe de la ville de Pantin et longe le cimetière communal du Pré-Saint-Gervais. Plusieurs routes mènent au centre-ville, et à Paris par l'avenue Jean-Jaurès. Ce quartier est desservi par les transports en commun avec le bus 61 ou encore la ligne 5 du métro à Hoche. Il compte aussi la cité Gabriel-Péri, une HLM construite par l'OPHLM 93, qui compte plusieurs bâtiments en R+4 ainsi qu'une Tour en R+7 et R+15
  • Le quartier Rabelais & 7 Arpents, cité Rabelais :
    Située au nord-ouest de la commune à la limite entre la porte Chaumont Paris, la porte de Pantin et le quartier Hoche de Pantin, ce quartier est desservi par le bus 170 et la station de métro Hoche. Il n'est pas très éloigné du tramway t3b. Traversé du nord au sud par l'ancienne Grande Rue (rue André-Joineau) prolongée par la rue du Pré-Saint-Gervais à Pantin, c'est avec le centre-ville le quartier le plus vivant. Il est proche du centre commercial Verpantin, de boutiques et du marché sur la RN 3.
    Les vieux ateliers (Guitel) et les immeubles faubourg de style 1900 en font un exemple intéressent d’urbanisme notamment sur la rue du Modèle:Date- et la place de l'église. La cité Rabelais-7 Arpents s'étend sur trois communes (Le Pré, Pantin et Paris Modèle:19e).

Squares

Modèle:Section à sourcer La ville du Pré Saint-Gervais dispose de six squares, qui se répartissent sur le territoire communal. Ils sont plutôt de petite taille, allant de Modèle:Unité à Modèle:Unité. Cela s'explique par le manque d'espace disponible le territoire d'une si petite commune, si densément peuplé.

  • le « Square Allende » ;
  • le « Square Edmond-Pépin » ;
  • le « Square Feidherbe » ;
  • le « Square Henri-Sellier » ;
  • le « Square Jean-Moulin ».
  • le « Square Lucienne-Noublanche » ;

Du fait de la très petite taille de la ville, ses habitants peuvent profiter des parcs et des squares des communes voisines qui sont facilement accessibles.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 8 901, alors qu'il était de 8 680 en 2013 et de 8 642 en 2008<ref name="LogCom" group="I" />.

Parmi ces logements, 92,2 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 8,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 89,4 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Pré-Saint-Gervais en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) supérieure à celle du département (1,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 27,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (27,4 % en 2013), contre 38,8 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement au Le Pré-Saint-Gervais en 2018.
Typologie Le Pré-Saint-Gervais<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> Seine-Saint-Denis<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 92,2 93 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 1,1 9,7
Logements vacants (en %) 6,3 5,9 8,2

La ville dispose, proportionnellement à sa taille, d'un parc important de logements sociaux, avec Modèle:Unité, soit 41,3 % de son parc de résidences principales. Ce nombre a légèrement baissé pendant la période 2008-2018, puisqu'il n'est plus que de Modèle:Unité (38,7 %)<ref name="LogT7" group="I" />, mais continue à excéder très largement ses obligations légales issues de l'article 55 de la loi SRU de 2000.

Voies de communication et transports

Voies de communication

La ville est desservie par le Boulevard périphérique de Paris et est proche de la route nationale 3, qui passe à une centaine de mètres de la limite nord de son territoire. Aucune voie départementale n'y passe.

Les principales voies et places de la ville sont :

Modèle:Référence nécessaire. Aujourd’hui, dans ce quartier, il n’en reste que cinq : la sente des Marchais, des Lilas, du Clos-Lamotte, Geneste et du passage de la Mairie.

Transports en commun

Fichier:Metro de Paris - Ligne 7bis - Pre-Saint-Gervais 03.jpg
Plaque de la station Pré-Saint-Gervais du métro de Paris

Le Pré Saint-Gervais ne dispose d'aucune station de métro sur son territoire. Elle est parcourue par une ligne de bus municipale gratuite, le P'tit bus, et, cinq stations de métros sont disposées à proximité de la commune du Pré-Saint-Gervais :

Fichier:Travaux T3b - Station Hopital Robert Debre - Juillet 2012.jpg
Station de tramway Hôpital Robert Debré.
Fichier:Station Vélib' Gabriel Péri Francisco Ferrer Pré St Gervais 3.jpg
Station Gabriel Péri - Francisco Ferrer.

Modèle:Section à sourcer La commune dispose de stations Vélib situés au cœur du Pré depuis Modèle:Date :

  • la station Modèle:N° nommée Gabriel Péri - Francisco Ferrer située au carrefour des rues Gabriel-Péri et Francisco-Ferrer ;
  • la station Modèle:N° nommée Jean Jaurès - Jules Jacquemin fait face à l'école Jean-Jaurès ;
  • la station Modèle:N° nommée Square Edmond Pépin est située à côté de la mairie.

Les stations parisiennes à proximité du Pré sont :

Une station + (Modèle:N°) sera ouverte à la porte des Lilas en fonction de l'avancement des travaux de cette esplanade. D'autres stations sont disponibles à Pantin et aux Lilas, aisément accessibles pour les habitants.

Toponymie

Fichier:Panneau entrée Pré St Gervais Rue Gutenberg - Le Pré-Saint-Gervais (FR93) - 2020-02-08 - 1.jpg
Panneau d'entrée dans la commune.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le Pré Saint-Gervais s'appelle encore Leudelincourt<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Bouquet">Modèle:Ouvrage sur Google Books.</ref>.

La première mention du nom de « Pré Saint-Gervais » remonte à 1217 et provient du latin pratum, prairie, ainsi que de Gervasius, martyr et saint milanais dont une relique est offerte à l'église du lieu par l'abbaye de Saint-Denis.

Il existe en France un très grand nombre de localités nommées le Pré ; pour la plupart un surnom distinctif s'ajoute à ce vocable et c'est le cas pour cette commune du département de la Seine-Saint-Denis.

Le nom du lieu y est toujours orthographié au singulier : le Pré, ce qui prouve que la notation parfois employée les Prés, comme dans l'édition de 1876 du Dictionnaire des Postes, est fautive. La nomenclature adoptée par le ministère de l'Intérieur à la même époque n'admet elle que la forme : le Pré-Saint-Gervais.

C'est dans la plaine que se trouve la principale agglomération d'habitants, d'où le nom du lieu. Quant au surnom, Saint-Gervais, il est certainement dû au don par l'abbaye de Saint-Denis d'une relique de ce saint à la chapelle qu'elle avait fondée en ce lieu.

Selon Édouard Fournier, les religieuses hospitalières Saint-Gervais possédaient, entre Belleville et Romainville, de vastes prairies dans lesquelles elles exploitèrent les eaux pour irriguer leurs dépendances du Marais<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

La commune est instituée par la Révolution française sous le nom de Les Prés-le-Peletier, puis, en 1793, Le Pré Pelletier en 1794 en hommage au révolutionnaire Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau assassiné pour avoir voté la mort du roi et dont la propriété était voisine du village ; elle reprend son nom d'origine en 1801.. Après la tourmente révolutionnaire, la commune devient Pré Saint-Gervais avant de prendre sa toponymie actuelle Le Pré Saint-Gervais<ref name="Cassini"/>.

Micro-toponymie

Modèle:Section à sourcer Divers lieux-dits sont ou étaient référencés au Pré-Saint-Gervais :

  • Les Sept Arpents, qui a donné son nom à la rue des Sept-Arpents.
  • Les Baronnes (rue Franklin).
  • La Glacière (rue du Modèle:Date-).
  • Les Mosnys (rue Henri-Martin).
  • Les Hauts Mosnys (rue Henri-Martin).
  • La Leu (rue Louis-Blanc).
  • Les Marchais (sente des Marchais).
  • Les Blancs Murs ou les Hauts Murs (rue Baudin).
  • Le Clos Lamotte (sente du Clos-Lamotte).
  • Le Louvetières (résidence Jean-Jaurès).
  • Les Cornettes (sente des Cornettes).
  • La Fontaine Saint-Pierre (avenue Faidherbe).
  • Les Vignes (avenue du Belvédère).
  • Les Graviers, Les Fonds des Marchais, Le Trou-Morin, La Fontaine Saint-Pierre.

Lieux-dits annexés par la ville de Paris

Modèle:Section à sourcer Des parties de la commune du Pré-Saint-Gervais ont été annexés par la ville de Paris en 1860 ou en 1932 :

Les indications entre parenthèses donnent la situation des lieux-dits par rapport aux voies actuelles, sous réserve de vérification. Modèle:Article connexe

Histoire

Modèle:Section à sourcer

Moyen Âge

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le Pré-Saint-Gervais est un hameau propriété de l'abbaye de Saint-Denis, qui lui avait été cédé par Charles le Chauve<ref name="Bouquet"/>.

Le hameau s'appelle encore Leudelincourt<ref name=":1" />,<ref name="Bouquet" />.

Les habitants doivent se rendre à Pantin pour assister à la messe, lieu situé assez loin. Ils demandent donc la fondation d'un édifice religieux au sein du hameau. L'abbé de Saint-Denis accède à cette demande en 851 et une chapelle est bâtie (en 1588).

À cette époque, la notoriété du village, bâti sur une prairie au pied de la colline de Belleville, repose sur ses sources abondantes.

Plusieurs sites archéologiques sont repérés au Pré-Saint-Gervais : quatre sont situés dans le centre-ville (le village, l’église médiévale, une fontaine et la croix de chemin) et une fontaine est repérée comme tel dans le Sud de la commune.

Époque moderne

Le village est longtemps resté une simple dépendance de Pantin, jusqu’en 1787, tant sur le plan administratif que spirituel, ce qui fut à l'origine du combat des habitants, dès le début du XVIIe siècle, pour obtenir l'indépendance de leur paroisse dès 1588 par la construction d'une chapelle (consacrée en 1613). Celle-ci ne fut obtenue qu'en 1787.

Ses sites champêtres et ses haies de lilas, détruites en grande partie ensuite par les fortifications, y attiraient, les jours de fêtes, une foule de promeneurs parisiens, qui y venaient jusqu'au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour s'y livrer à la danse.

On connaît ce charme des champs, qu'y venaient goûter les Parisiens, par quelques extraits d'ouvrages datant de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : « Ce Hameau est environné de coteaux, chargés de vignes & de vergés, entourés d'une infinité de chemins étroits, mais ombragés & bordés de haies, dont l'ensemble offre une promenade pleine d'agrémens (sic) pour l'homme qui préfère un air pur & embaumé, la vue des fruits, des fleurs, un site varié, & la nature dans sa plus simple beauté, aux promenades de la Capitale, où l'on respire un air crasse, où les yeux, fatigué d'une infinité d'objets pour trop en voir, n'en distinguent aucunModèle:Refnec ».

Dans les Environs de Paris de Charles Nodier et Louis Lurine, Maurice Alhoy a consacré aux « Prés-Saint-Gervais » plusieurs pages véritablement lyriques :

Modèle:Vers

Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, écrivain et botaniste louait « la quantité de fruits, de racines, de légumes, d'herbes et de graines qu'on recueille toute l'année et en tout temps sur le terrain des environs de Paris appelé Le Pré-Saint-Gervais, dont le fonds, d'ailleurs médiocre, est situé à mi-côte et exposé au nord<ref>Modèle:Ouvrage sur Google Livres.</ref> ».

II parait qu'on y élevait aussi des dindons fort estimés des gourmets.

Révolution française et Empire

En 1787, grâce à une récente réorganisation administrative, les Gervaisiens créent leur propre municipalité, malgré tout dépendante de la paroisse de PantinModèle:C'est-à-dire. Pour manifester leur autonomie, ils déposent en 1789 un cahier de doléances, dont une copie est toujours disponible à la bibliothèque de la ville.

« Le Pré » est décrit par Jacques-Antoine Dulaure en 1786 comme « presque entièrement composé de guinguettes ». Elles sont dites « fort fréquentées, pendant la belle saison, par les habitans (sic) de la capitale ». C'est dans les mêmes termes qu'il décrit la commune de Belleville de l'époque qu'il associe toutes deux en raison de leur proximité. Avant l'agrandissement de Paris en 1860 qui absorbe un certain nombre de petites localités voisines, un grand nombre de guinguettes se trouvent juste au-delà des barrières, pour échapper à l'octroi sur les vins.

En 1790, un nouveau découpage administratif sépare le Pré-Saint-Gervais de Pantin

En 1814, lors de la bataille de Paris, à la fin de l'épopée napoléonienne, le Pré est ravagé par les combats que le général Compans y livra contre les troupes wurtembergeoises. Modèle:Article connexe

Époque contemporaine

De la Restauration à la commune de Paris

Sous la Restauration et la monarchie de Juillet, la ville connaît une période paisible. Les Parisiens viennent y flâner ou se divertir dans ses guinguettes. Charles Nodier, Bernardin de Saint-Pierre et Jacques Offenbach, parmi tant d’autres, participent à ces excursions campagnardes.

En 1840, la construction de l'Enceinte de Thiers l'isole de Belleville. Le Modèle:Date-, en application de la loi du Modèle:Date-, la commune, déjà exiguë, perd vingt-sept hectares annexés par la ville de Paris au-delà des fortifications de Paris. Sa superficie est alors réduite à Modèle:Unité, avant d'être encore limitée à 72 hectares en 1870 après l'annexion par Paris des terrains militaires.

Les premières plaques de rue sont apparues dans la commune du Pré-Saint-Gervais en 1881.

Encore en 1816, les productions du Pré sont agricoles et consistent en vins, fruits, légumes et fleurs, tous objets qui ne produisent pas un gros revenu. Le voisinage de Paris fait seul la richesse de ce village.

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Un omnibus au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le Modèle:Date-, le conseil municipal autorise une souscription volontaire des habitants destinée à payer l'indemnité demandée par Modèle:M. Marmillion, entrepreneur de voitures à Pantin, pour créer un service public d'omnibus, à raison de quatre départs et quatre retours en été, deux départs et deux retours en hiver. Le service commence le Modèle:Date-Modèle:Refnec.

En 1840, le conseil municipal achète au plâtrier Jean-Baptiste Robert une ancienne maison bourgeoise pour en faire une école ainsi que le logement de l'instituteur-secrétaire de mairie. Elle deviendra la mairie du Pré.

De la Belle Époque à la Seconde Guerre mondiale

En 1894, une ligne de tramway reliant la porte de Pantin est créée par la compagnie des tramways de Paris et du département de la Seine (TPDS), suivie par la ligne du tramway de Romainville, qui avait son origine place de la République à Paris, empruntait l'Avenue de la République puis l'Avenue Gambetta, franchissait la Porte des Lilas puis desservait Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas et Romainville Ces lignes contribuent à désenclaver la commune, et la seconde cessera son service le Modèle:Date-, à l'époque où l'ancien réseau de tramway parisien est supprimé.

En 1914, c'est à la veille de la Première Guerre mondiale que Jean Jaurès donne son célèbre discours sur la paix au Pré, sur la colline du Belvédère<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Il était déjà intervenu au balcon de la mairie en Modèle:Date- contre le passage du service militaire à 3 ans, qui préparait ce qui allait être la Grande Guerre<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La ville participe cependant à l'effort de guerre, grâce à l'usine Rateau (turbocompresseurs pour l'aviation).

Modèle:Article connexe

Histoire économique du Pré-Saint-Gervais

Le Pré-Saint-Gervais a longtemps connu une forte activité industrielle. Dans les années 1950, ces industries ont commencé à décliner au profit du secteur tertiaire. Modèle:Quand, on ne compte plus que 5,3 % d'activités industrielles.

Industries et commerces

Modèle:Section à sourcer Le Pré-Saint-Gervais, qui, au point de vue territorial est la plus petite du département, n'est d'autre part desservie directement par aucune ligne de chemin de fer ni par aucune voie navigable. Dans ces conditions, elle n'a pas connu, au point de vue industriel et commercial, un très grand développement. Toutefois, sans présenter une importance de premier ordre, elle n'a pas manqué, de ce point de vue, de connaître un développement assez honorable. La faible étendue de son territoire permet de la considérer comme un faubourg de Pantin, et, comme cette dernière commune est remarquablement desservie, tant par le chemin de fer que par le canal, elle a profité dans une large mesure de ces facilités de transport dont ont joui les industriels et commerçants pantinois. En somme, on peut dire que Le Pré-Saint-Gervais marque, au nord-est, la limite extrême de la vaste région industrielle comprise entre Levallois-Perret et Pantin, où des villes de l'importance de Clichy, Saint-Ouen, Saint-Denis, et Aubervilliers forment comme une chaîne ininterrompue de cité ouvrière.

On peut signaler :

  • Les exploitations de gypse :
    Depuis l'époque gallo-romaine, le gypse, pierre dont est tiré le plâtre, est exploité à Paris. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les filons parisiens ne suffisent plus et les carrières s’installent en banlieue. On peut estimer qu'entre 1782 et 1850 une quinzaine de sites sont en service. La ville souhaitant récupérer une partie de l'argent dégagé par cette activité, une taxe sur le plâtre gervaisien est prélevée en 1829.
  • Les plâtrières du Pré-Saint-Gervais.
  • La petite industrie est notamment marquée par :
    • « Petit Jean », une conserverie de petits pois ;
    • « Les Couleurs de Paris », une fabrique de couleurs ;
    • « Tête et Leroy », fabricant de cafetières et autres plats. Aucune de ces entreprises n'a survécu au plan d'urbanisation élaboré dans la deuxième moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
    • la manufacture de pianos Focké, fondée à Paris en 1860, transférée au Pré-Saint-Gervais en 1902 au 27 rue Danton. Activité terminée en 1909 ;
    • les « Savonneries d'Alesia », fondée en 1875, 46 rue Charles-Nodier. Une partie de cette rue étant devenue la rue de Stalingrad, l'ancien site est désormais le 46 rue de Stalingrad. Elle fut agrandie en 1888. « Quand il pleuvait, ça sentait le savon dans toute la ville avec l'usine Alésia »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Pierre Bailly, maire du Pré-Saint-Gervais, fut directeur des Savonneries d’Alésia à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Activité terminée en 1980.

Sur le territoire du Pré-Saint-Gervais se situaient un certain nombre d'industries culturelles aujourd'hui disparues, en particulier des cinémas de quartier aujourd'hui tous disparus. Les cinéma les plus proches de la ville se situant désormais à Pantin (ciné 104), Les Lilas (Théâtre du Garde Chasse), et Paris Modèle:20e arrondissement (CGR Paris LIlas).

L'ancien cinéma du Pré-Saint-Gervais était le Cinéma-Théâtre situé 36 rue de Pantin.

Modèle:Référence nécessaire

Quelques grandes entreprises

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un mouvement industriel s'amorce, qui voit nombre d'usines s'implanter. N'étant desservie par aucune voie ferrée ou navigable, la commune du Pré-Saint-Gervais n'a connu qu'un développement modeste de son industrie. On peut signaler :

  • les « Aux Jambons français », spécialisés dans les salaisons, fondé au 10 rue de Pantin, désormais 8 rue Gabriel-Péri au Pré-Saint-Gervais ;
  • à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Le Pré-Saint-Gervais, commune essentiellement rurale, entre dans l'ère industrielle avec l'implantation d'une usine de cycle, le constructeur de cycles et d'automobiles « Gladiator ». Le nom Gladiator fait référence à un cheval de course français « Gladiateur ». Premier cheval étranger à s'imposer en Grande-Bretagne, pur sang le plus titré de l'histoire des courses de galop. L'entreprise édifie dans la ville ses premiers ateliers entre 1891 et 1920. En quelques années, Gladiator ne cesse de croître. Elle passe de Modèle:Unité en 1905 à Modèle:Unité en 1905. L’entreprise possède un bureau d’études très performant installé au 5, rue François-Henri (aujourd’hui, rue Jean-Baptiste-Sémanaz). De nombreux prototypes de bicycles, tricycles et quadricycles à moteurs à essence et électriques y sont créés. Sous l'impulsion des entrepreneurs Alexandre Darracq et Jean Aucoc, les fondements de l'industrie automobile française sont posés. Lorsque éclate la guerre en 1914, l'usine qui produit une gamme très étendue de vélos, motos et voitures, commence à fabriquer des fusils mitrailleurs pour l'armée : le fameux fusil Chauchat. L'usine sera détruite à la fin des années 1950 pour faire place à un marché couvert inauguré en 1960. La partie basse du marché qui recevait les fleuristes et les poissonniers, deviendra la P'tite crée, aujourd'hui dédiée aux manifestations culturelles ;
  • depuis 1909, sont installés les ateliers du fabricant de literie haut de gamme, « Le lit national » ;
  • l'usine Rateau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis Guitel et Étienne<ref>Modèle:Lien web.</ref>, fondée en 1917, qui fabriquait de la quincaillerie, rare témoin industriel sur la commune du Pré-Saint-Gervais.

Ancrage politique

Première ville du département de la Seine (à l'époque) à posséder, dès 1904, une mairie socialiste, la commune participe à l'histoire ouvrière de la région parisienne. Ainsi, accueille-t-elle Jean Jaurès qui prononce au balcon de la mairie, en 1913, un discours contre le passage du service militaire à trois ans. L'année suivante, à la veille de la Première Guerre mondiale, l'homme politique prononce depuis la colline du Belvédère un autre discours, tout aussi fameux, sur la Paix. Il s'inspire alors du livre de 1905 L'Armée nouvelle, ce qu'elle pense, ce qu'elle veut du capitaine Mordacq pour la rédaction de son propre livre, L'Armée nouvelle, où il lui répondra.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Jusqu’à la loi du Modèle:Date-<ref>Journal Officiel, Loi Modèle:N°-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne</ref>, la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis à la suite d'un transfert administratif effectif le Modèle:Date. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la neuvième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

Rattachements électoraux

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Pantin. Dans le cadre de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la commune devient en 1967 le chef-lieu du canton du Pré-Saint-Gervais.

Celui-ci est démembré en 1976 pour permettre la création des cantons de Pantin-Ouest et des Lilas où est rattaché la commune<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre à nouveau le canton de Pantin.

Modèle:Article connexe

Intercommunalité

Avant 2016

À la suite des élections municipales de 2008, les villes de Bagnolet, Bobigny, Bondy, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Le Pré-Saint-Gervais, Pantin, Romainville et Rosny-sous-Bois ont entamé des réflexions en vue de la création d'une intercommunalité dans le centre du département de la Seine-Saint-Denis. Cette réflexion succède à un projet avorté en 2005, qui aurait pu réunir Bagnolet, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas et Romainville.

La communauté d'agglomération Est Ensemble, créée par arrêté préfectoral du Modèle:Date- qui prend effet le Modèle:Date-, regroupe les 9 villes du centre-ouest du département qui s'étaient réunies pour former le projet de la communauté d'agglomération (sauf Rosny-sous-Bois).

Comptant Modèle:Nombre en 2012, elle est alors la deuxième intercommunalité à fiscalité propre d'Île-de-France par sa population après la communauté d'agglomération Plaine Commune, située dans le même département.

Depuis 2016

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- (Loi NOTRe) prévoit également la création le Modèle:Date- d'établissements publics territoriaux (EPT), qui sont des EPCI sans fiscalité propre et à statut particulier et regroupent l'ensemble des communes de la métropole (à l'exception de Paris), et remplacent les anciennes intercommunalités à fiscalité propre de leur territoire.

La commune fait donc également partie depuis le Modèle:Date- de l'établissement public territorial Est Ensemble, qui est créé par un décret du Modèle:Date-<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref> et qui succède à la communauté d'agglomération éponyme, avec les mêmes communes.

L'établissement public territorial exerce les compétences qui lui sont assignées par la loi, et qui relèvent essentiellement de la politique de la ville, de la construction et de la gestion d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs d'intérêt territorial, de l'assainissement et de l'eau, de la gestion des déchets ménagers et assimilé et de l'action sociale d'intérêt territorial, ainsi que de compétences non exercées par la Métropole. Il a également la charge d'élaborer un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi). Il exerce également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.

Tendances politiques et résultats

La commune est administrée par des maires SFIO puis PS depuis 1904<ref>Modèle:Chapitre, sur HAL (archive ouverte).</ref>.

Au premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Gérard Cosme remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (50,45 %, 26 conseillers municipaux élus dont 6 conseillers communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Le Pré-Saint-Gervais</ref> :
- Thu Van Blanchard (UMP, Modèle:Unité, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Catherine Sire (DVG, 762 voix, 18,93 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Patrice Zahn (LO, 191 voix, 4,74 %, pas d'élus),
lors d'un scrutin marqué par 50,83 % d'abstention Modèle:Article connexe

Au premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste PS - PCF - PRG - GÉ - AÉI menée par le maire sortant Laurent Baron Modèle:Incise remporte de 7 voix la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (50,19 %, 26 conseillers municipaux élu dont 1 conseiller à la métropole du Grand Paris), devançant respectivement celles menées par<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Grégoire Roger (DVG, 708 voix, 19,66 %, 3 conseillers municipaux élus),
- Mariama Lescure (DVG - EÉLV, 370 voix, 10,27 %, 2 conseillers municipaux élus),
- Alexandre Saada (LREM - MoDem - UDI, 360 voix, 10,00 %, 1 conseiller municipal élu),
- Delphine Debord (LFI - GRS - RDG, 260 voix, 7,22 %, 1 conseiller municipal élu)
- Patrice Zahn (LO, 95 voix, 2,63 %, pas d'élus),
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 57,96 %des électeurs se sont abstenus.

Politique locale

La liste menée par le maire sortant Laurent Baron a remporté l'élection municipale de 2020 dès le premier tour en dépassant seulement de 7 voix la majorité absolue des suffrages exprimés. Cette élection a été contestée par la candidate Delphine Debord, dont 42 bulletins de vote ont été invalidés pour ne pas avoir mentionné la nationalité étrangère de l'un des candidats Modèle:Incise.

Le Tribunal administratif de Montreuil a annulé les élections municipales le Modèle:Date-, qui a jugé que « l'invalidation des 42 bulletins en cause […] a été, eu égard à leur incidence sur le calcul de la majorité absolue faisant obstacle à l'élection de la liste de M. Baron dès le Modèle:1er et en l'absence de toute manœuvre, de nature à altérer la sincérité du scrutin »<ref>Modèle:Article.</ref>. Le Conseil d'État, saisi par le maire invalidé afin d'éviter qu'une délégation spéciale ne gère la commune pendant la « crise sanitaire » de la pandémie de Covid-19 en France<ref>Modèle:Article.</ref> a confirmé le Modèle:Date- cette annulation<ref>Modèle:Article.</ref>. Le second tour de ces élections municipales partielles, qui s'est tenu le Modèle:Date-, a vu la victoire de la liste PS menée par le maire invalidé, qui a obtenu Modèle:Unité (56,91 % des suffrages exprimés), devançant très largement celles menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref> :

  • Grégoire Roger (929 voix, 26,86 %) ;
  • Delphine Debord (458 voix, 14,23 %).

Lors de ce scrutin, marqué par une participation plus faible de 2 % de celle de 2020, 64,46 % des électeurs se sont abstenus. Laurent Baron est donc réélu maire lors du conseil municipal du Modèle:Date-<ref name="CRCM17122021"/>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

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Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Modèle:Article connexe

Modèle:Article connexe

Jumelages

La ville est jumelée avec Modèle:Jumelage<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Site de Giengen an der Brenz</ref>.

Équipements et services publics

Équipements scolaires

Modèle:Quand quatre écoles maternelles, trois écoles élémentaires, un collège, une école privée Montessori (maternelle) et un établissement privé (maternelle, élémentaire, collège).

  • Écoles maternelles :
  • Écoles primaires :
  • Collèges :
    • le collège public Jean-Jacques-Rousseau<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
    • le collège privé Saint-Joseph<ref name="joseph" />.

Équipements sportifs

Modèle:Section à sourcer

  • Un stade, le « Stade Leo-Lagrange » ;
  • Deux gymnases, le « Gymnase Séverine » et le « Gymnase Charles-Nodier » ;
  • Une piscine, la « Piscine Fernand-Blanluet » ;
  • Deux courts de tennis municipaux non couverts.

La piscine « Fernand-Blanluet », du nom du Modèle:22e maire du Pré-Saint-Gervais, a été inaugurée le Modèle:Date-. Elle a été dans le contexte sportif des Jeux Olympiques d'été de 1968, au cours desquels les résultats de l'équipe de France furent catastrophiques. Le Secrétariat d'État à la Jeunesse et aux Sports lança donc en 1968 un projet national d'équipement en piscines municipales.

La piscine est située en bordure de la commune, en face du périphérique. Le territoire de la commune étant exigu la piscine est construite pour partie sur celui de Paris (Modèle:Unité), le reste (Modèle:Unité) au Pré-Saint-Gervais.

Marché

Modèle:Section à sourcer Le marché du Pré-Saint-Gervais est un marché couvert qui a lieu toute l'année les mardi, jeudi et samedi entre 8 h et 12 h. Il fut inauguré le Modèle:Date-. Outre le commerce alimentaire organisé les mardi, jeudi et samedi matin, il s'agit du principal espace culturel de la ville où sont organisés toute l'année des concerts et des expositions dans un espace aménagé, appelé « la petite criée ».

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à aujourd'hui (2013), la population est en croissance continue passant de 223 habitants (1821) à 18 075 (2011), sauf entre 1841 et 1846 où l'on peut supposer que l'épidémie de choléra est en partie responsable de la perte de 615 habitants.

Cultes

Modèle:Section à sourcer La ville compte plusieurs lieux de culte :

La commune dispose du cimetière communal du Pré-Saint-Gervais, et partage le cimetière intercommunal de Bondy.

Économie

Chiffres clés

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:Section à actualiser En 2010, le revenu net déclaré moyen est de Modèle:Unité, et 54 % de la population est imposable<ref>http://insee.fr/fr/themes/dossier_complet.asp?codgeo=COM-93061</ref>.

Emploi

Modèle:Section à actualiser En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on comptait 77,5 % d'actifs dont 64,0 % ayant un emploi et 13,6 % de chômeurs<ref group="a">EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.

On comptait Modèle:Nombre dans la zone d'emploi, contre 3 354 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 8 104, l'indicateur de concentration d'emploi<ref group="Note">L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.</ref> est de 42,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un peu moins d'un emploi pour deux habitants actifs<ref group="a">EMP T5 - Emploi et activité.</ref>.

Secteurs d'activité

Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019<ref group="I">Source : Insee, Répertoire des entreprises et des établissements (Sirene) en géographie au 01/01/2021.</ref>
Nombre %
Ensemble 1 933 100,0 %
Industrie manufacturière, industries extractives et autres 90 4,7 %
Construction 323 16,7 %
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration 535 27,7 %
Information et communication 134 6,9 %
Activités financières et d'assurance 30 1,6 %
Activités immobilières 46 2,4 %
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien 459 23,7 %
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale 165 8,6 %
Autres activités de services 150 7,8 %
Champ : activités marchandes hors agriculture.

À titre de comparaison, au Modèle:Date-, Le Pré-Saint-Gervais comptait Modèle:Nombre : 2 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 70 dans l'industrie, 174 dans la construction, 925 dans le commerce-transports-services divers et 108 étaient relatifs au secteur administratif<ref name="CEN T1" group="I">CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010</ref>.

Nombre d'établissements par secteur d'activité
Nombre
au 31 décembre 2019 1 933
au 31 décembre 2010 1 279
Établissements actifs employeurs par secteur d'activité agrégé et taille fin 2019<ref group="I">Source : Insee, Flores (Fichier Localisé des Rémunérations et de l'Emploi Salarié) en géographie au 01/01/2022.</ref>
Total % 0 salarié 1 à 9 salarié(s) + de 10
Ensemble 472 100,0 % 70 348 54
Agriculture, sylviculture et pêche 0 0,0 % 0 0 0
Industrie 15 3,2 % 2 10 3
Construction 74 15,7 % 6 61 7
Commerce, transports, services divers 348 73,7 % 58 263 27
dont commerce et réparation automobile 75 15,9 % 3 64 8
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 35 7,4 % 4 14 17
Champ : hors secteur de la défense et hors particuliers employeurs.

Sièges d'entreprises

En 2017, la fondation WWF France installe son siège d'une centaine de salariés dans les anciens locaux de MBK rue Baudin<ref name=":0">'Modèle:Lien web.</ref>.

Médias

Modèle:Section à sourcer Un studio de télévision de Modèle:Unité, appartenant à la société Amp visual studio, est situé en sur la commune du Pré-Saint-Gervais. Il s'agit du Studio des Lilas, qui malgré son nom n'est pas situé dans la commune voisine des Lilas, mais bien sur le territoire gervaisien. De nombreuses émissions de télévision y sont, ou y ont été tournées, comme c'est le cas de :

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Marie de la ville du Pré-Saint-Gervais 01.jpg
La mairie du Pré-Saint-Gervais, à son fronton la devise de la République : Liberté, Égalité, Fraternité.
Fichier:Rue André Joineau (Pré Saint-Gervais) 03.JPG
Place du Général-Leclerc
Fichier:Eglise de la Sainte-Famille - Pre-Saint-Gervais - 002.jpg
Église de la Sainte-Famille - Pré-Saint-Gervais - 002.

Modèle:Section à sourcer Douze bornes touristiques ont été installées dans la ville. Elles constituent un « chemin historique » qui permet une première découverte de la ville pour des touristes et des Gervaisiens, ses particularités, ses attraits et une partie de son histoire.

  • La Mairie :
    D'abord une maison bourgeoise construite par une famille anglaise qui recherchait un lieu de villégiature non loin de Paris. Une belle bâtisse, située à l'époque au « 50 grande avenue » et entourée d'un parc d'un hectare et demi. En 1815, la propriété est vendue à Jean-Baptiste Robert, plâtrier de profession. Le conseil municipal en quête d'une maison commune la rachète en 1840.
    Les édiles décident que le bâtiment servira d'abord à loger une école et l'instituteur-secrétaire de mairie.
    En face, la place du Général-Leclerc et sa fontaine médiévale.

Modèle:Article connexe

  • Les eaux du Pré-Saint-Gervais :
    Les eaux du Pré-Saint-Gervais sont un ensemble d'aménagements hydrauliques, faisant partie des « sources du Nord » construit au Moyen Âge, situés à Paris et au Pré-Saint-Gervais, permettant de conduire les eaux des sources des collines du Pré-Saint-Gervais vers les zones en contrebas.
    Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, son réseau des eaux compte vingt-et-un regards — c'est-à-dire des dispositifs maçonnés permettant d'inspecter une canalisation.
    Aujourd'hui il n'en reste que quatre, dont deux situés au Pré-Saint-Gervais un premier regard dits de la « fontaine du Pré-Saint-Gervais » (place du Général Leclerc, 48° 52′ 59″ nord, 2° 24′ 13″ est), un second regard le « regard du Trou Morin » (sente des Cornettes, 48° 52′ 53″ nord, 2° 24′ 37″ est) et les deux autres situés sur le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:|  }} }} arrondissement de Paris : le « regard des Maussins » (boulevard Sérurier, 48° 52′ 39″ N, 2° 24′ 25″ E) et le « regard du Bernage » (avenue du Belvédère, 48° 52′ 53″ N, 2° 24′ 12″ E).

Modèle:Article connexe

  • La cité jardin :
    La cité-jardin est un concept théorisé par l'urbaniste britannique Ebenezer Howard en 1898, dans son livre To-morrow : A peaceful path to real reform. C'est une manière de penser la ville qui s'oppose à la ville industrielle polluée et dont on ne contrôle plus le développement pendant la révolution industrielle et qui s'oppose également à la campagne (considérée comme trop loin des villes).
    En France, le livre d'Ebenezer Howard a un important retentissement. Georges Benoit-Lévy (1880-1970), juriste et journaliste de métier, à la suite d'un séjour en Angleterre à la demande du Musée social, publie son ouvrage fondateur La Cité-jardin, en 1904, préfacé par le théoricien du coopératisme Charles Gide. Il fonde la même année l'« Association des cités jardin de France ».
    La cité-jardin du Pré-Saint-Gervais - Pantin - Les Lilas (1927-1933 puis 1947-1952) fait partie de la quinzaine construite par l'Office HBM de la Seine dirigé depuis sa fondation par Henri Sellier, conseiller général socialiste.
    Le terrain définitivement acquis par l'office HBM en 1928, s'étend sur trois communes : Le Pré-Saint-Gervais (Modèle:Unité), Pantin (Modèle:Unité) et Les Lilas (Modèle:Unité). La conception de la cité-jardin est confiée à l'architecte Félix Dumail en 1927. La cité est constituée de Modèle:Nombre collectifs et de 56 pavillons individuels (contre 243 prévus à l'origine). Une partie de la cité est construite à Pantin après la Seconde Guerre mondiale mais dans un style très différent, partie appelée de nos jours "cité des auteurs" (228 logements). La cité comporte comme équipements collectifs des boutiques, une école (actuel groupe scolaire Jean-Jaurès - Pierre-Brossolette) et un stade. Mais le projet d'édifier en plus une maison des services sociaux, un dispensaire et un théâtre de plein air ne sera pas réalisé. La cité est partiellement protégée au titre des sites.

Modèle:Article connexe

  • L'ancienne usine Guitel :
    L'ancienne usine Guitel, est située de part et d'autre de la rue Carnot, débouchant sur la rue du 14-Juillet, près du quartier des 7-Arpents, est implantée sur près d'un hectare. D'abord propriété d'Auguste Rateau en 1904, l'usine fournira différentes pièces pour l'aviation militaire et comptera vers 1930 jusqu'à Modèle:Unité. En 1947, les terrains et les bâtiments sont revendus pour la partie ouest à la manufacture de quincaillerie F. Guitel et Étienne Frères Réunis, et pour la partie est à la société de construction métallique Mobilor. Ces deux sociétés finiront par fusionner en 1962 et se spécialisent dans la fabrication des roulettes (Caddie) et des chariots (SNCF). D'un point de vue architectural, l'ensemble constitue un exemple unique d'usine-rue. « Les constructions de 1916 et 1917 – l'essentiel de l'usine – sont de deux types. De part et d'autre de la rue Carnot, du côté de la rue Franklin, les façades des bâtiments se répondent [...] l'oculus percé dans le pan coupé de l'atelier, ouvrant sur la rue Franklin, portait l'horloge de l'usine »<ref>N. Pierrot, Inventaire Général, DRAC⁷, 2005, Modèle:P..</ref>,<ref>Le site de l'usine Guitel.</ref>. En 2012, la réhabilitation du site historique est entamée par la municipalité qui aménage la rue et fait transformer les bâtiments ouvragés en bureaux et en habitations tout en y introduisant de nouveaux squares et espaces verts redonnant vie aux vénérables arabesques de briques (achèvement en 2016).
  • La villa du Pré :
    Par le porche voûté du 73 de la rue André-Joineau se présente un havre de quatre hectares au cœur du Pré-Saint-Gervais. On chemine au travers d'allées plantées d'arbres.
    La Villa du Pré-Saint-Gervais est créée en 1830 par monsieur Gide, un riche entrepreneur parisien. Monsieur Gide possédait à cet emplacement une grande propriété agricole dont il voulut exploiter le sous-sol en carrière de gypse, mais la municipalité de l'époque lui en refusa l'autorisation d'exploitation. C'est alors qu'il décida de lotir sa propriété en deux cents lots pour y réaliser maisons avec jardinet, qu’il va vendre à des petits bourgeois et des rentiers modestes attirés par le cadre de vie gervaisien. C'est ainsi que nait la Villa du Pré.
    La Villa du Pré-Saint-Gervais, ruelles bordée de jolie maisons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est une ville dans la ville et un exemple du mode de vie de la classe moyenne et « petit-bourgeois » sous Napoléon III. Il s'agit d'un ensemble pittoresque de maisons individuelles construites autour de petites rues plantées de grands arbres auquel on accède principalement par un porche voûté de la rue André-Joineau. La Villa du Pré compte deux cents pavillons et jardinets. La diversité architecturale, d’implantation, de volume des pavillons et les accès confidentiels du site (porches, escaliers, chemins étroits) lui confèrent une ambiance particulière très prisée par les Gervaisiens. Le quartier est principalement constitué de villas, s'y trouve néanmoins quelques immeubles de ville collectifs, la bibliothèque municipale, ainsi qu'un centre Emmaüs.
    Les villas présentent comme il est l'habitude des jardins en façades. Qualité architecturale, plaisir des jardins, température douce des rues protégées par la frondaison des arbres expliquent que ce quartier soit le lieu privilégié des gervaisiens badeaux.
    Ancienne Villa Gide, la Villa du Pré-Saint-Gervais devint au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une propriété gérée par un syndic. En 1955, le syndic accepte qu'elle fasse partie intégrante de la commune.
    Plus isolée que les Buttes-Chaumont, la Villa du Pré-Saint-Gervais est un site de pratique sportive où viennent de nombreux pratiquants de course à pied. La Villa du Pré-Saint-Gervais présente en effet une configuration naturelle de rues en forme de boucle, ainsi qu'une rue avec une forte déclivité, la rue des marronniers. Ce qui explique qu'elle ait été choisie par un champion olympique comme lieu de résidence.
    Des tournages de cinéma et de télévision ont régulièrement lieu au sein de la villa du Pré-Saint-Gervais en raison de sa qualité architecturale et environnementale.
    La Villa du Pré-Saint-Gervais fut le quartier de résidence de Lucienne Noublanche.
  • La villa des lions :
    La villa des lions est la plus petite des deux villas situées au Pré-Saint-Gervais. Une petite impasse pavée végétalisée, comportant des ateliers d'artisanats et des habitats individuels groupés. Son entrée est agrémentée de deux statues de lions.
  • L’église Saint-Gervais-Saint-Protais:
    L’église communale, dédiée à saint Gervais et à saint Protais, a été construite de 1825 à 1830 sur l'emplacement de l'ancienne, démolie en 1814-1815. À l'entrée du hameau bucolique de la rue du 14-Juillet, l'architecte Barbier dessine les plans de la nouvelle église. Placé sous la protection de la Sainte-Famille, le bâtiment est construit en moellons de granit. Son aspect robuste et sobre s’inspire des formes romanes Art déco. La nef se compose de quatre travées éclairées par les vitraux du maître verrier Barillet.
    Le trésor : une « pietà » du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un « saint Sébastien » et une « sainte Anne et la Vierge » datée des {{#switch: -
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Une toile du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, un christ en croix de Philippe de Champaigne.

Monuments et lieux disparus

Modèle:Section à sourcer Il parait qu'autrefois le Pré-Saint-Gervais recevait des personnages illustres.

  • La maison de Gabrielle d'Estrées
Le nombre est grand des localités avoisinant Paris qui se flattent d'avoir été habitées par la célèbre Gabrielle d'Estrées, l'amie d'Henri IV.
Il semble, toutefois, que le Pré ait des titres sérieux à y prétendre. On a démoli, en 1901, une maison portant le numéro 20 de la rue Plâtrière (aujourd'hui rue Emile-Augier) dont l'architecture soignée indiquait des hôtes de marque. Une des pièces avait un plafond peint en 1678 et signé Dupuis ; la façade était ornée d'un buste d'Henri IV ; la tradition, enfin, qu'il ne faut pas toujours dédaigner, s'était transmise de père en fils, attestant que la belle Gabrielle d'Estrées avait demeuré là. Ne fût-ce que d'un point de vue artistique, il est fâcheux que la spéculation n'ait pas respecté ce vieux logisModèle:Passage non neutre,Modèle:Refnec.
  • La maison du duc de Charost
Le duc de CharostModèle:Qui avait aussi une maison de campagne au Pré-Saint-Gervais, en 1695Modèle:Refnec.
  • Le cinéma Le Succès
Il y avaitModèle:Quand sur la place de la mairie, juste derrière la fontaine, un cinéma nommé Le Succès, puis Le BéarnModèle:Refnec.

Le Pré dans les arts et la culture

Le Pré-Saint-Gervais dans la littérature

  • François Montulay, Le Pré-Saint-Gervais, ou la Sympathie entre Louis XVI et les sujets de son royaume, dialogue relatif à un divertissement donné le Modèle:Date-, suivi d'un vaudeville dédié au sentiment public, 1774.
  • Jean-Baptiste Radet, Dîner au pré Saint-Gervais, comédie en un acte et en prose..., Paris : au Théâtre du Vaudeville, 1797.
  • Victorien Sardou, Philippe Gille et Charles Lecocq, Les Prés-Saint-Gervais : opéra-bouffe en trois actes<ref>Modèle:Ouvrage, sur Gallica.</ref>.
  • Didier Daeninckx, Un parfum de bonheur, photographies de France Demay, Gallimard, 2016. Récit inspiré par les photographies de France Demay. France Demay, photographe amateur gervaisien, photographie ses camarades membres d'un club sportif ouvrier à la veille du Front populaire et des Jeux Olympiques de 1936, organisés à Berlin. Quand arrivent les premiers congés payés... Un parfum de bonheur par France Demay, exposition à la Maison Européenne de la Photographie, commissariat d'exposition : Pierre-Jérome Jehel et Françoise Agnelot.

Le Pré-Saint-Gervais dans la peinture et la sculpture

Le Pré-Saint-Gervais dans la musique et la chanson

Le Pré-Saint-Gervais au cinéma

Films tournés au Pré-Saint-Gervais :

Le Pré-Saint-Gervais en photographies

Street art, peintures murales et sculpture au Pré-Saint-Gervais

On peut les voirModèle:Refnec :

  • Rue Chardanne.
  • Monument aux morts, rue Émile-Zola.
  • Mairie du Pré-Saint-Gervais.

Patrimoine culturel

Modèle:Section à sourcer

  • La Bibliothèque intercommunale François-Mitterrand fait partie du réseau des 12 bibliothèques d'Est Ensemble.
  • Les archives de la commune.
  • Depuis Modèle:Date-, les archives de la Préfecture de police de Paris
  • La Salle Jacques Prévert (salle de spectacle).
  • La Compagnie Mystère Bouffe.
  • Conservatoire de musique et de dans du Pré-Saint-Gervais.
  • La P'tite Criée (espace d’exposition et de spectacle).
  • Ludothèque en plein air.
  • Le cyberespace Prost.

Personnalités liées à la commune

Avant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et après

Les militants syndicaux et politiques

Modèle:Article connexe

Les militaires
Les chercheurs
Les artistes et écrivains
Les autres personnalités

Armand Bédarride (1864-1935), avocat et franc-maçon français, y est né.

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Monographies

Revues

  • Le Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), Prévoir : magazine d'informations municipales / Le Pré-Saint-Gervais, Le Pré-Saint-Gervais : Mairie ; Paris : Les Ed. municipales.

Ouvrages touristiques historiques et contemporains

  • Jacques-Antoine Dulaure, Nouvelle description des environs de Paris, contenant les détails historiques & descriptifs des maisons royales, des villes, bourgs, villages, châteaux, etc. remarquables par des usages ou des évènemens singuliers, & par des beautés de la nature et des arts ; Dédié au Roi de Suède, t. 2, Paris, Lejeay, 1786, 310 p., Modèle:P..
  • Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France : contenant sa description, sa population, sa minéralogie, son hydrographie, son commerce, ses produits naturels et industriels ; une généalogie de tous ceux qui l'ont gouvernée depuis plus de quatre cents ans avant Jésus-Christ jusqu'à ce jour, avec les principaux événements qui se sont passés sous les différents règnes et gouvernements ; les coutumes, les institutions civiles, militaires et ecclésiastiques ; des tableaux comparatifs de la France monarchique avec la France en république ; tous les grands hommes célèbres ou fameux depuis plusieurs siècles, avec une notice des ouvrages qu'ils ont publiés ; les sièges, les batailles, le lieu où elles se sont données, le nom des généraux qui y ont commandé ; l'Histoire de tous les pays conquis et réunis à la France ; la Constitution française, le Sénatus-Consulte organique de la Constitution, le Sénatus-Consulte qui nomme Napoléon Bonaparte empereur des Français ; toutes les institutions sous ce dernier gouvernement ; les Traités de paix conclus jusqu'à ce jour avec toutes les puissances étrangères ; un dictionnaire des colonies : avec une carte générale, etc. t. Modèle:4e, Paris, chez l’imprimeur Baudouin et le libraire Laporte, 1804, Modèle:P..
  • Pierre Piétresson de Saint-Aubin, Dictionnaire de tous les environs de Paris, 1816, 649 p., Modèle:P..
  • Jacques-Antoine Dulaure, Nouvelle description des environs de Paris, contenant les détails historiques & descriptifs des maisons royales, des villes, bourgs, villages, châteaux, etc. remarquables par des usages ou des évènemens singuliers, & par des beautés de la nature et des arts ; Dédié au Roi de Suède, t. 2, Paris, Lejeay, 1786, 310 p., Modèle:P..
  • Pierre-Joseph-Spiridion Dufey, Nouveau dictionnaire historique des environs de Paris, Paris, Charles Perrotin, 1825, 384 p., Modèle:P..
  • Les Environs de Paris, paysage, histoire, monuments, mœurs, chroniques et traditions, sous la direction de Charles Nodier et Louis Lurine, illustré de 200 dessins (1844) Texte en ligne, Modèle:P..
  • Le patrimoine des Communes de la Seine-saint-Denis, Flohic éditions, 1994, Modèle:ISBN

Autres ouvrages

  • Laurent Pierre Bérenger, La Morale en exemples, ou Élite d'anecdotes anciennes et modernes, de préceptes et de discours propres à former la jeunesse, 3 volumes, 1801, volume 1, Modèle:P..
  • Georges Cuvier & Alexandre Brogniart, Essai sur la géographie minéralogique des environs de Paris : avec une carte géognostique et des coupes de terrains 1811.
  • Raymond-Albert Amelon [thèse], Construction de la] Propriété de M. D..., villa des Lions, Pré Saint-Gervais (Seine), 1938.
  • Samuel Degasne [Thèse], Le projet de jardin partagé en pied d'immeuble de logements sociaux: quelle mise en oeuvre adopter pour une inscription qualitative du jardin sur le patrimoine non bâti des bailleurs sociaux ?

Sur les cités-jardins

  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ebenezer Howard, To-Morrow, A peaceful Path to real Reform (Demain, une voie pacifique vers la réforme sociale), Routeledge, Londres, New York, 2003, 220 p. (Modèle:1re édition 1898).
  • Modèle:Ouvrage

Sur les fortifications

  • Charvet Marie, Les fortifications de Paris : De l'hygiénisme à l'urbanisme, 1880-1919, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, Histoire, 2005.
  • Cohen Jean-Louis & Lortie André, Des Forrtifs au périfs : Paris, les seuils de la ville, Paris, Picard/ Pavillon de l'Arsenal, 1991.
  • Fernandez-Leveau Madeleine, La zone et les fortifs, Paris, Le Temps des Cerises, 2006.
  • Fourcaud Annie (direction) & Bourillon Florence (direction), Agrandir Paris 1860-1970, Publication de la Sorbonne, Comité d'histoire de la ville de Paris, 2012.
  • Gagneux Renaud, Prouvosta Denis, Sur les traces des enceintes de Paris : promenades au long des murs disparus, Paris, éditions Parigramme, 2004.
  • Moch François-Gilles, « « Les Fortifs » » dans Bulletin de l'association archéologique de l'histoire du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:|  }} }} arrondissement de Paris, Paris, Union des Artistes et Associations Culturelles du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:|  }} }}, Modèle:N°, Modèle:4e trimestre 1998.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

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Note de type "a"

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Références

Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Portail