Marcel Schwob

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Marcel Schwob, né à Chaville (Seine-et-Oise, aujourd'hui Hauts-de-Seine) le Modèle:Date de naissance et mort à Paris le Modèle:Date de décès, est un écrivain français — conteur, poète, traducteur, érudit — proche des symbolistes.

Biographie

Marcel Schwob naît dans une famille de lettrés ; son père, George Schwob, était un ami de Théodore de Banville et de Théophile Gautier tandis que sa mère, Mathilde Cahun, appartenait à une famille d'intellectuels juifs originaires d'Alsace<ref name=Schwobbiographie>Biographie de Marcel Schwob sur le site de la Société Marcel Schwob.</ref>.

Au moment de la naissance de Marcel, la famille Schwob revient d'Égypte où George était chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères<ref>Chérif Pacha, petit-fils de Méhémet Ali.</ref>. Au début de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République, les Schwob sont à Tours, où George dirige Le Républicain d'Indre-et-Loire. En 1876, il prend à Nantes la direction du quotidien républicain Le Phare de la Loire ; à sa mort en 1892, c'est son fils aîné Maurice, né en 1859, qui lui succédera.

Le premier article de Marcel Schwob est publié dans Le Phare en Modèle:Date-, un compte-rendu de lecture d'Un capitaine de quinze ans, de Jules Verne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. En 1878-1879, il est élève de sixième au Lycée de Nantes et obtient le Modèle:1er d'excellence. Il passe directement en quatrième où il n'a plus que le Modèle:6e d'excellence (Modèle:2e de version grecque) ; en troisième, il est Modèle:2e d'excellence (Modèle:1er de composition française et d'anglais)Modèle:Sfn. En 1881, il est envoyé à Paris chez son oncle maternel Léon Cahun, bibliothécaire adjoint de la Bibliothèque Mazarine, afin de poursuivre ses études au lycée Louis-le-Grand, où il se liera d'amitié avec Léon Daudet et Paul Claudel<ref name=Schwobbiographie/>. Il développe un don pour les langues et devient rapidement polyglotte. En 1884, il découvre Robert Louis Stevenson, qui sera un de ses modèles.

Il échoue au concours d'entrée de l'École normale supérieure, mais est reçu premier à la licence ès lettres en 1888. Il échoue de nouveau à l'agrégation en 1889. Il choisit alors une carrière d'homme de lettres et de journaliste, collaborant au Phare de la Loire, à l’Événement, à l’Écho de Paris. Il dirige le supplément littéraire de ce journal, où il introduit Alfred Jarry en 1894 (Ubu roi, en 1896, lui est dédié). Il fréquente Paul Valéry, André Gide, Jules Renard et Colette mais aussi Oscar Wilde.

Il se passionne également pour la linguistique et notamment l'argot, pour le langage des coquillards utilisé par Villon dans ses ballades en jargon: contrairement à l'opinion répandue à l'époque (et qui avait été celle qu'avait développée Victor Hugo dans les Misérables), Schwob considère que l'argot n'est pas une langue qui se crée spontanément, mais qu'il est en réalité un langage artificiel et codé<ref name=Schwobbiographie/>. Schwob suit les cours de Ferdinand de Saussure à l'École des Hautes Études<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Il commence à publier des séries de contes, à la limite du poème en prose, où il crée des procédés littéraires qui seront repris par d'autres ultérieurement. Ainsi Le Livre de Monelle, en 1894, annonce Les Nourritures terrestres d'André Gide (Marcel Schwob lui en voudra pour cela) ; La Croisade des enfants, l'année suivante, annonce William Faulkner dans As I Lay Dying ; Borges aussi lui avouera une grande dette. Plusieurs de ses recueils sont rapidement traduits en anglais, comme Mimes et La Croisade des enfants.

En 1900, il épouse l'actrice Marguerite Moreno, l'amie de Colette, qu'il a rencontrée en 1895 et qui avait pour lui une affection particulière. Leur franche camaraderie était un mélange d'humour et de rosserie. Elle notera dans Mes apprentissages : Modèle:Citation. La correspondance des deux amants, puis époux, témoigne d'une véritable passion.

La santé de Marcel Schwob est des plus mauvaises. Il tente de fuir son destin en voyageant, à Jersey et, d'Modèle:Date- à Modèle:Date-, à Samoa, là même où Stevenson avait fini sa vie<ref>Le Voyage à Samoa réunit ses lettres à Marguerite Moreno.</ref>. Marcel Schwob a cependant le temps de revenir en France, terminant sa vie en reclus, laissant une œuvre inachevée.

Il meurt d'une grippe le Modèle:Date-, à l'âge de trente-sept ans<ref name=Schwobbiographie/>. Il est inhumé au cimetière du Montparnasse (division 5, carré juif), dans le tombeau familial de son oncle Léon Cahun<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Œuvre

Contes

  • Cœur double, paru en 1891 chez Ollendorff, est un recueil de 34 contes parus précédemment dans la presse. Il est composé de deux parties, Cœur double et La Légende des gueux, et précédé d'une préface, dans laquelle Schwob résume ses intentions : Modèle:Citation La majorité des récits ont pour thème le double, évoqué à partir de situations tour à tour réalistes et fantastiques, ancrées dans l’histoire contemporaine ou remontant le cours du tempsModèle:Sfn. Une profonde empathie fait partager les terreurs d’un romain de l’Empire, d’un soldat de la guerre de 1870 ou d’un Maharajah indien, dont Schwob intériorise les catégories mentales et les représentationsModèle:Sfn. Le recueil a été bien accueilli par la critique : Anatole France salue des nouvelles Modèle:Citation.
  • Le Roi au masque d'or parait l'année suivante chez le même éditeur : 21 contes, chacun dédié à un contemporain. Ils avaient également été déjà publiés dans la presse et sont là aussi précédés d'une préface Modèle:Incise. C'est un Modèle:Citation. L'accueil est encore plus favorable : François Coppée souligne la Modèle:Citation de l'auteur, Rodenbach loue une Modèle:Citation<ref>Œuvres complètes, Phoebus/Libretto, 2002, p. 236</ref>, Le Temps qualifie Schwob de Modèle:Citation.
  • Les Mimes, publiés d'abord dans L'Écho de Paris, puis en volume en 1893, sont une adaptation libre de fragments de poèmes d'Hérondas, découverts deux ans auparavant. Mais on ne sait plus s'il s'agit d'une traduction du grec ou d'un récit entièrement créé<ref>Œuvres complètes, Phoebus Libretto, 2002, p. 348.</ref>. À partir d’une forme ancienne, le mime antique, Schwob construit un genre au croisement du conte et du poème en proseModèle:Sfn.
  • Le Livre de Monelle, publié chez Léon Chailley en 1894, est structuré en trois parties : Paroles de Monelle, Les Sœurs de Monelle (L'Égoïste, La Voluptueuse, La Perverse, en tout 11 contes) et Monelle (De son apparition, De sa fuite, en tout 6 contes). Tous ces textes avaient paru préalablement dans L'Écho de Paris. Le recueil, ouvrage le plus personnel de SchwobModèle:Sfn, évoque sa maîtresse, morte dans sa vingt-cinquième année, à travers le personnage principal et ses onze sœurs, reflet d'elle-mêmeModèle:Sfn. Le livre Modèle:Citation. Schwob reprochera à Gide de s'en être inspiré pour écrire Les Nourritures terrestresModèle:Sfn.
  • La Croisade des enfants parait en 1896 au Mercure de France. L'argument est le départ, en 1212, de milliers d'enfants pour la Terre sainte, et qui furent pour la plupart massacrés ou réduits en esclavage. Le volume, très court se compose de huit versions des événements, racontés par huit personnages différents Modèle:Incise. Modèle:Citation.
  • Vies imaginaires, qui paraît en 1896, rassemble 22 biographies fictives de personnages réels (Empédocle, Pocahontas, Alain le gentil, Le Capitaine Kid, Burke et Hare...), parues auparavant dans Le Journal. Une préface-programme précède le recueil : Modèle:Citation. Ainsi, la biographie ne se fonde plus sur un socle de lois générales, elle dépend des lois malléables de l’aventure. Elle pratique la rhétorique de la modestie et le culte du détailModèle:Sfn. L’artiste choisit l’unique entre les possibles humains qui s’offrent à lui, prend de la distance à l’égard du vrai, afin d’atteindre l’unicité de chaque individu, donne autant de prix à la vie d’un pauvre acteur qu’à celle de Shakespeare, ou préfère Nicolas Loyseleur à Jeanne d'ArcModèle:Sfn. Le volume obtient un vif succès : Modèle:Citation, écrit Albert Samain<ref>Lettre citée dans Œuvres complètes, Phoebus/Libretto, 2002, p. 508.</ref>.

Le conte est la forme privilégiée de Marcel Schwob. À l'époque, ses frontières sont mal définies, mais dans un contexte anti-naturaliste, son imaginaire permet la construction d’un rapport particulier au réel. La mise en recueil donne sens et unité à des formes menacées par la fragmentation. Cependant, le genre du conte est subverti dans sa pratique même et le pastiche se transforme subtilement en parodie par l’ambiguïté de la morale Modèle:Sfn.

Conçus initialement pour la presse, donc déterminés par certains de ses impératifs, ces textes ont un statut initialement hybride, à la croisée du réel et de l’imaginaire, métissage de la chronique et de la fictionModèle:Sfn.

Romans

Marcel Schwob n'a jamais écrit de roman. Il arrête brutalement la fiction en 1896. Pour Bernard de Meyer<ref>Marcel Schwob, conteur de l’imaginaire, Berne, Peter Lang, 2004</ref>, les raisons médicales ne sont pas en cause. Selon lui, Cœur double et Le Roi au masque d’or, qui se caractérisent par la diversité de leurs sources et des techniques narratives employées, amènent à une impasse de l'inspiration. Mimes et Le Livre de Monelle, structurés d’une manière fortement significative autour d’un élément vécu intime, reflètent un nombrilisme, tant artistique qu’émotionnel, qui n’apporte que désillusion et aboutit à la panne sèche. L’écriture de Vies imaginaires, livre rempli de masques qui fonctionne comme un masque est « rongée par l’impuissance » comme par une lèpreModèle:Sfn.

Essais

Spicilège<ref>Modèle:Chapitre</ref>, paraît en 1896 et regroupe des préfaces et des textes déjà parus, sur Villon, Stevenson, Georges Meredith, Saint Julien l'Hospitalier, le rire ou l'anarchie. La presse ne fut pas enthousiaste, même si Paul Léautaud loue Modèle:Citation.

En parallèle de ces textes purement littéraires, Schwob publie des études linguistiques sur Villon et sur l'argot, ses autres centres d’intérêt.

Traductions

Marcel Schwob a traduit principalement des textes anglais, ceux des auteurs qu'il admirait : Hamlet, de Shakespeare (en collaboration avec Eugène Morand)Modèle:Sfn, puis Macbeth, Moll Flanders, de Defoe, Francesca di Rimini de Crawford et Les Derniers jours d'Emmanuel Kant, de De Quincey. Il a également traduit de l'allemand Les Jeux des Grecs et des Romains de Wilhelm Richter.

Ses traductions recherchent en priorité la fidélité à la langue du texte original et au style de l’auteur traduit. Son intention est de reproduire fidèlement un style déterminé pour que le lecteur puisse l'apprécier dans sa propre langue. Il compense les pertes qui se produisent lors du passage d’une langue à une autre par la beauté de ses versions. Elles sont, en même temps, l’œuvre d’un écrivain et d’un érudit. Comme dans la littérature, il suit dans la traduction ses propres goûts et sa propre esthétiqueModèle:Sfn.

Conceptions littéraires

En réaction au naturalismeModèle:Sfn, par des procédés littéraires impressionnistes, relativistes et subjectivistes, par la juxtaposition des points de vue et polyphonie narrative, Marcel Schwob tente de rebâtir sur les ruines du roman réaliste une éthique et une esthétique qui trouvent leurs ressources dans la contemplation de l’altérité historique et culturelleModèle:Sfn.

Pour Pierre Jourde, Modèle:Citation.

Relations avec les contemporains

Milieu littéraire

Léon Daudet et Paul Claudel ont été les condisciples de Schwob au Lycée Louis-le-Grand. Plus tard, il fréquente le Grenier d'Edmond de Goncourt et se rend aux Mardis de Mallarmé. Par ses fonctions à L’Écho de Paris Modèle:Inciseet au Journal, il est en relation avec Maupassant, Anatole France, Paul Bourget et Maurice Barrès. Il fait publier Le Train de 8h47  de CourtelineEdgar Poe, Mark Twain, Verlaine, Jean Lorrain, Rémy de Gourmont, Léon CahunModèle:Sfn.

Ses recherches sur l’argot l’amènent à fréquenter Gaston Paris et Auguste Longnon. Il dîne chez Michel Bréal et fréquente les cours du linguiste Ferdinand de Saussure et du philosophe Émile Boutroux. Dans les cabarets, il fréquente Rodolphe Sallis, Jean Richepin, ainsi que Verlaine, qui le fascineModèle:Sfn.

Une même inclination pour l’impressionnisme, les sculptures de Rodin et Camille Claudel, le théâtre d’Ibsen et de Maeterlinck le rapproche d'Octave Mirbeau. Si à la toute fin de sa vie il à des rencontres fréquentes avec Paul Léautaud, il se fâche avec Léon Daudet et Paul Valéry au moment de l'Affaire DreyfusModèle:Sfn,Modèle:Sfn.

Dreyfusard de la deuxième heure, Marcel Schwob abandonna à Zola la primeur d’une position qui devait le consacrer comme le modèle même de l’intellectuel. Marcel Schwob fut son adversaire farouche notamment sur le plan littéraire. Et la personnalité concurrente de l’écrivain des Rougon-Macquart ne fut vraisemblablement pas étrangère à la défiance initiale du promoteur du « roman impressionniste » vis-à-vis des dreyfusardsModèle:Sfn.

Robert Louis Stevenson

Stevenson est l’auteur vivant que Schwob a le plus apprécié et cherché à faire connaître. La lecture de L’île au trésor est pour lui une révélation<ref name=Spicilège>Spicilège, Œuvres complètes, Phoebus Libretto, 2002, p. 723-731.</ref>. À l’époque, l’œuvre de Stevenson, peu traduite, est quasiment ignorée en France. Schwob est le premier homme de lettres français à manifester son admiration pour l’écrivain exilé à Samoa, dans le Pacifique. Quelques échanges épistolaires témoignent d’une fraternité fondée notamment sur la passion de Villon et le goût de l’aventure. Une rencontre ne put se produire Modèle:Incise. Au terme du long voyage qui le mena aux îles Samoa, Schwob, malade, ne put même pas se recueillir sur sa tombeModèle:Sfn.

Schwob consacre quatre articles à Stevenson. Pour lui, c’est l’anti-Zola, c'est celui qui crée un « réalisme irréel »<ref name=Spicilège/>, fondé sur un mélange de fantaisie et d’observation exacte, loin des grosses ficelles utilisées par Zola, dont Schwob rejette les prétentions scientifiquesModèle:Sfn. Modèle:Citation bloc

Alfred Jarry

Les relations amicales entre Schwob et Alfred Jarry, tous deux admirateurs de Rabelais et de ShakespeareModèle:Sfn, débutent en 1893, lorsque Schwob fait primer plusieurs textes de Jarry au concours du supplément littéraire de l'Écho de Paris dont il était le directeurModèle:Sfn. Schwob est évoqué dans les Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien : dans le chapitre IV, Des Livres pairs du docteur, La Croisade des enfants est le numéro 23 ; dans le chapitre VII, Du petit nombre des élus figure le vers ; Modèle:Citation ; le chapitre XXI, De l’Île Cyril<ref>Cyril Tourneur, personnage des Vies imaginaires</ref> est dédié à Schwob, dont l’œuvre y est cryptée<ref>Détails dans Modèle:Harvsp et dans Modèle:Harvsp</ref>. En 1895, Jarry lui dédie également Ubu roi.

Modèle:Citation

Pour eux deux, dans une connivence latente et profondeModèle:Sfn, les images sont toujours fausses. C'est à partir de cette constatation que Jarry crée dans Faustroll un monde régi exclusivement par l'imagination. Et là où, pour Schwob, Modèle:Citation, Jarry définit la 'pataphysique comme Modèle:Citation.

Jules Renard

Les relations avec Jules Renard Modèle:Incise sont complexes. Après la grande amitié née lors de leur rencontre, Renard prend ses distances à partir de 1895, et devient de plus en plus critiqueModèle:Sfn.

Réception

Même s'il bénéficie d'une aura considérable dans le Paris littéraire du tournant du siècleModèle:Sfn, Schwob devient ensuite un laissé pour compte de l’histoire littéraireModèle:Sfn. Il a longtemps été considéré comme un auteur qui incarnerait la fin d'une lignée, celle des grands conteurs du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette image Modèle:Citation, a longtemps bloqué sa véritable reconnaissance, jusqu'à la redécouverte dans les années 1970 de son œuvre. Le centenaire de sa mort est l'occasion de nombreuses publications.

Œuvres

Fichier:Marcel Schwob.jpg
Portrait de Marcel Schwob
par Félix Vallotton
paru dans Le IIe Livre des masques<ref>Modèle:Lien web</ref>
de Remy de Gourmont (1898).

Contes et récits

Essais et études

  • Spicilège, Mercure de France, 1896<ref>Spicilège sur Gallica.</ref>
  • Étude sur l’argot français, en collaboration avec Georges Guieysse, Émile Bouillon, 1889. Réédition, Allia, 1989
  • La Légende de Serlon de Wilton, Éditions de la Vogue, 1899. Réédition dans François Rabelais, Allia, 1990
  • Mœurs des diurnales (sous le pseudonyme de Loyson-Bridet), Mercure de France, 1903. Réédition, Éditions des Cendres, 1986
  • Notes pour le commentaire, La Revue des études rabelaisiennes, 1904. Réédition dans François Rabelais, Allia, 1990
  • François Villon, J. Dumoulin, 1912, Réédition dans Villon François, Allia, 1990
  • Le Parnasse satyrique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, H. Welter, 1905
  • Il Libro della mia Memoria (inachevé), 1905<ref>Il Libro della mia Memoria sur bmlisieux.com.</ref>

Théâtre

  • Jane Shore, en collaboration avec Eugène Morand, Société Marcel Schwob, 2015<ref>Jane Shore sur marcel-schwob.org.</ref>

Correspondance et divers

  • Chroniques, Droz, 1981
  • Correspondance inédite, Droz, 1985
  • Modèle:Ouvrage
  • Dialogues d'Utopie, Ombres, 2001
  • Vers Samoa, Ombres, 2002
  • Maua, La Table ronde, 2009

Traductions

Préfaces

Œuvres complètes

  • Les Œuvres complètes de Marcel Schwob, Bernouard, 1927-1930, 10 vol.
  • Œuvres, édition établie et présentée par Sylvain Goudemare, Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2002, 988 p.

Bibliographie

Bibliographies

  • Modèle:Ouvrage
  • Modèle:Ouvrage
  • John Alden Green, « Bibliographie pour Marcel Schwob », in Marcel Schwob : correspondance inédite, précédée de quelques textes inédits, Genève, Droz, 1985, Modèle:P..
  • Bruno Fabre, Bibliographie sur Marcel Schwob (1985-2010), avec quelques études plus anciennes, Paris, Société Marcel Schwob, 2011, 25 p. (voir bibliographie en ligne)
  • Bruno Fabre, Bibliographie chronologique sur Marcel Schwob (2008-2021). Lire en ligne

Biographies

  • Pierre Champion, Marcel Schwob et son temps, Paris, Bernard Grasset, 1927, 294 p.
  • Marc Décimo, Sciences et pataphysique, t. 2 : Comment la linguistique vint à Paris ?, De Michel Bréal à Ferdinand de Saussure, Dijon, Les Presses du réel, coll. Les Hétéroclites, 2014 Modèle:ISBN.
  • Sylvain Goudemare, Marcel Schwob ou les vies imaginaires, Paris, Le Cherche Midi, 2000, 343 p.

Monographies

  • Monique Jutrin, Marcel Schwob : "Cœur double", Lausanne, éd. de l’Aire, 1982, 146 p.
  • Agnès Lhermitte, Palimpseste et merveilleux dans l’œuvre de Marcel Schwob, Paris, Champion, 2002, 565 p.
  • Bernard de Meyer, Marcel Schwob, conteur de l’imaginaire, Berne, Peter Lang, 2004. Modèle:ISBN
  • Gernot Krämer, Marcel Schwob – Werk und Poetik, Bielefeld, Aisthesis Verlag, 2005, 377 p.
  • Louis Thomas, Les dernières leçons de Marcel Schwob sur François Villon, Paris, Éditions de Psyché.Modèle:OCLC
  • Bruno Fabre, L’Art de la biographie dans Vies imaginaires de Marcel Schwob, Paris, Champion, 2010, 384 p.

Ouvrages collectifs

Articles

Article connexe

Liens externes

Notices d'autorité

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Notes et références

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