Pacifisme
Le pacifisme possède deux acceptions possibles incluant l'action des Modèle:Page h' de la paix, ou une doctrine de la non-violence. Bien que reliés, les deux concepts se distinguent du point de vue de la théorie et de la pratique. Le pacifisme est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix. Les socialistes d'avant 1914 (Jean Jaurès), les Zimmerwaldiens durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales ou les partisans de la paix professent un pacifisme qui n'est pas toujours assimilable à la non-violence. La vision du pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est par contre beaucoup plus répandue.
La doctrine de la non-violence voit de nombreux courants philosophiques bannir le recours à toute forme de violence en vertu d'un pacifisme radical. Vision portée par de nombreux mouvements et courants de pensée à vocation générale (courants de pensée humaniste, plusieurs tendances inspirées de l'hindouisme, courants chrétiens, etc.).
Histoire
Fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En Europe, à l'aube du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les courants majeurs<ref>La France de 1870 à 1918, François Marcard, Armand Colin Paris 2005.</ref> du pacifisme sont :
- Le courant de la paix par le Droit marqué par le premier Congrès universel pour la paix qui se tient en 1889 à Paris en marge de l'Exposition universelle, suivi des conférences internationales de La Haye à partir de 1899 et la création de la Cour permanente d'arbitrage de La Haye.
- Le courant pacifiste des milieux d'affaires : Modèle:Citation
- Le courant pacifiste chrétien des églises protestantes anglo-saxonnes ou allemandes.
- Le courant pacifiste socialiste avec deux tendances en France : l'une antimilitariste et antipatriotique (Gustave Hervé), l'autre antimilitariste mais patriote (Jean Jaurès). Lors de la déclaration de guerre, alors que Jaurès est assassiné, la quasi-unanimité des socialistes se rallie à l'Union sacrée, jusqu'en 1917, où la lassitude vis-à-vis du conflit redonne une certaine audience aux idées pacifistes de la Gauche. Joseph Caillaux propose une paix sans annexions ni indemnité. Il est arrêté en janvier 1918 sous l'inculpation « d'intelligence avec l'ennemi » et de « complot contre la sûreté de l'État ».
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Selon l'historien René Rémond<ref>Modèle:Article</ref>, il perdure au sein de la gauche socialiste l'idée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle selon laquelle la guerre est une conséquence du capitalisme qui profite du nationalisme pour produire une division des travailleurs et travailleuses<ref>Modèle:Article</ref> ; à ces idées internationalistes assimilant capitalisme et bellicisme, se greffe une thèse de Lénine, qui développe le concept d'impérialisme, export de la guerre comme seule solution d'expansion du capitalisme. Pour sa part, Léon Trotsky, dans son programme de transition pour une 4ème Internationale, indique que « Le pacifisme est la couverture de l'impérialisme »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Au-delà de ce pacifisme inconditionnel, le marxisme-léninisme forge les notions de « bonne guerre » ou « mauvaise guerre », à la façon des théologiens distinguant guerre juste ou injuste. Les bonnes guerres sont alors celles faites par le peuple, les guerres patriotiques, de libération, ou visant à renverser le capitalisme qui lui est à l'origine des « mauvaises guerres ». À partir de 1936, la même distinction apparaît à droite, Modèle:Citation. Toujours selon Rémond, les attributs des bonnes ou mauvaises guerres sont inversées : pour une partie de la gauche, seraient bonnes les guerres menées au nom d'idées telles que liberté, affranchissement ou lutte contre les guerres d'intérêt menées par les capitalistes ; tandis que pour une partie de la droite, ces guerres idéologiques, menées au nom d'abstractions telles que solidarité avec les juifs, ou défense de la démocratie contre le totalitarisme sont à rejeter, les bonnes guerres ne devant viser qu'à la défense du territoire, ou à Modèle:CitationModèle:Refnec.
En même temps, apparaît un pacifisme « vitaliste » pour qui la valeur de la vie humaine dépasse toute autre valeur. Ses bases morales et philosophiques sont cependant remises en cause a posteriori, après la Seconde Guerre mondiale, le slogan Modèle:Citation impliquant l'acceptation de la barbarie et du génocide<ref name="Remond" >Modèle:Article.</ref>. L'historien Simon Epstein considère pour sa part le pacifisme des années 1930, classé à gauche de l'échiquier politique, comme « vecteur principal de collaboration », expliquant le revirement de nombreuses personnalités militantes et politiques vers la collaboration pour éviter la confrontation avec l'occupant allemand<ref name="Epstein">Simon Epstein, Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance, Paris, Albin Michel, coll. « Bibliothèque Albin Michel Histoire », 2008, chapitre 9.</ref>.
Les mouvements pacifistes se sont fortement développés en Europe de l'Ouest (Royaume-Uni, Allemagne de l'Ouest) vers le milieu des années 1970 et surtout au début des années 1980. L'un des événements fondateurs est la mise au point de la bombe à neutrons (1976), qui contribua à ressusciter les « défilés de Pâques<ref>Cf. Modèle:Article.</ref> », vivaces en Allemagne à la fin des années 1950. De 1979 à 1986, les manifestations pacifistes tournèrent en Allemagne aux manifestations de masse<ref name=Miard>Modèle:Ouvrage</ref>. Dans leur opposition à l'installation des nouveaux missiles américains de portée intermédiaire Pershing II et aux missiles de croisière (dans le cadre des accords SALT II de l'OTAN portant sur l'équilibre avec les missiles SS-20 soviétiques), les pacifistes déployèrent des manifestations spectaculaires accompagnés d'actes de désobéissance civile tels le blocus de bases militaires et de sites de lancement, des campagnes de protestation, etc. En Grande-Bretagne, un mouvement d'origine galloise, Women for Life on Earth («Les Femmes pour la Vie sur Terre»), occupe ainsi la base militaire de Greenham Common (Berkshire) pour protester contre l'installation de missiles de croisière. La base militaire avait été établie au mois de Modèle:Date- : les premiers barrages protestataires commencent en Modèle:Date- avec l'intervention de 250 militantes, dont 34 seront arrêtées<ref name=Greenham>Cf. Modèle:Lien web.</ref>.
Le pacifisme rassembla très largement, des mouvements chrétiens aux anarcho-syndicalistes. Vers la fin des années 1980, avec la détente qui accompagnait la Perestroïka, le mouvement pacifiste parut s’essouffler<ref name=Miard/>, mais en Allemagne il reprit des couleurs dès le début des années 1990 en réaction à l'élargissement des prérogatives de la Bundeswehr et l'embrigadement du pays dans la Guerre du Golfe (1991), la Guerre du Kosovo (1999) puis, après les [[Attentats du 11 septembre 2001|attentats du Modèle:Date-]], l'appel du Président américain George W. Bush à la Guerre contre le terrorisme et surtout la Troisième guerre du Golfe menée en 2003 par les États-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés contre l'Irak. Pour la seule journée du Modèle:Date-, plus de 10 millions de personnes se sont mobilisées en un seul jour dans les grandes métropoles mondiales contre la guerre imminenteModèle:Refnec.
L'hiver 2004-05 a été l'un des temps forts pour le mouvement pacifiste en Europe de l'Ouest, opposé à la constitution de l'Union européenne et ses articles portant sur la politique de défense mutuelle : on y critiquait notamment la ratification d'intervention des forces armées européenne dans le monde, l'extension des missions de l'armée européenne et le devoir pour chaque état membre de moderniser son armement (article I-41 de la constitution européenne : Modèle:Citation). Si ce projet de constitution a trouvé très peu d'écho en République Fédérale d'Allemagne, dans les pays voisins de la RFA, surtout au Benelux et en France, il a déchaîné une controverse. Les référendums nationaux en France (Modèle:Date-) et aux Pays-Bas (Modèle:Date-), où les mouvements pacifistes se rangeaient aux côtés des opposants au projet de constitution, ont dégagé un large vote « non »Modèle:Refnec..
Pacifisme et antimilitarisme
Il est difficile de ne pas voir dans le pacifisme, une forme d'antimilitarisme, transposée à la vie de tous les jours. Un certain nombre d'organismes citoyens s'inspirent de l'antimilitarisme et des perspectives pacifistes pour questionner le recours systématique à la force militaire dans les conflits, s'opposer au recrutement militaire et exiger la consolidation des formes de service civil.
Prévention et médiation
Religions
Au cours des âges, le pacifisme a souvent été motivé par des motifs religieux. Le pacifisme se manifeste chez les premiers chrétiens. Cette pensée est également particulièrement présente dans les églises protestantes : l'exemple des communautés mennonites et quakers constituent des expressions particulièrement engagées de cette préoccupation. Aujourd'hui, l'Église catholique proclame à la suite du Pape Paul VI que Modèle:Citation<ref>{{#invoke:Langue|indicationMultilingue}} Lettre encyclique de sa Sainteté le Pape Paul VI sur le développement des peuples - Site officiel du Vatican, 26 mars 1967.</ref>. À l'inverse, la religion peut également être le motif de conflits pouvant entraîner persécutions et guerres.
Promoteurs
Pacifistes célèbres
Modèle:Section à sourcer Nombreuses sont les personnes connues et reconnues ayant pris des positions pacifistes fermes au cours de l'histoire. Les écrits de ces personnes peuvent inspirer :
- Henry David Thoreau, philosophe, poète et écrivain du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le livre «La Désobéissance civile» (1849), dans lequel il avance l'idée d'une résistance partant d'une volonté individuelle contre un gouvernement, est considéré comme à l'origine du concept de « non-violence » du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Gandhi
- Jean Jaurès
- Danielle Le Bricquir, militante pacifiste, féministe, artiste peintre
- Karl Liebknecht
- Rosa Luxemburg
- Siegfried Sassoon
- Hélène Brion, militante pacifiste, féministe et syndicaliste
- Romain Rolland, écrivain français, né à Clamecy (Nièvre) le Modèle:Date et mort à Vézelay le Modèle:Date. Il reçut en 1916 le prix Nobel de littérature 1915 pour son œuvre majeure, Jean-Christophe. Son exigence de justice le poussa à rechercher la paix « au-dessus de la mêlée » pendant et après la Première Guerre mondiale.
- Stefan Zweig, écrivain autrichien militant, avec le concours d'autres auteurs européens, pour la paix avant, durant et après la Première Guerre mondiale.
- Woodrow Wilson adresse un message au congrès, qui doit garantir la paix. Ce discours des 14 points (The world must be made safe for democracy (« Le monde doit devenir sure pour la démocratie »)) réclame notamment la création d'une League of Nations (SDN)).
- Erich Maria Remarque, écrivain allemand auteur de À l'Ouest, rien de nouveau,
- Adrienne Thomas, écrivaine germanophone, auteur de Die Katrin Wird Soldat (Catherine soldat)
- Alain (philosophe), philosophe français. Son pacifisme le pousse cependant à considérer la collaboration pétainiste comme un moindre mal<ref>Dans son Journal intime du 23 juillet 1940, il écrit : Modèle:Citation cité dans Laurent Wetzel, « Les normaliens durant l'Occupation », La Nouvelle Revue d'histoire, no 74 de septembre-octobre 2014, Modèle:P..</ref>.
- Roger Martin du Gard, suivant le mouvement pacifisme de l'entre-deux-guerres, écrit à un ami en Modèle:Date- « Tout plutôt que la guerre, tout ! Même le fascisme en Espagne, même le fascisme en France, même Hitler ! ».
- Aristide Briand, il signe notamment un accord pour mettre la guerre hors-la-loi ! (pacte Briand-Kellogg)
- Jean Giraudoux, ami de ce dernier et auteur de la pièce pacifiste La guerre de Troie n'aura pas lieu.
- Louis Lecoin, militant anarchiste, antimilitariste, très impliqué dans la lutte pour l'objection de conscience.
- Albert Einstein
- Bertrand Russell, mathématicien, logicien et philosophe britannique, prix Nobel de littérature, militant contre les guerres, de la Première Guerre mondiale à celle du Vietnam. Il publie le Manifeste Russell-Einstein contre l'armement nucléaire.
- Leó Szilárd
- Jean Rostand, biologiste, cofondateur, avec Claude Bourdet, et président d'honneur du MCAA (Mouvement contre l'armement atomique) qui devient en 1968 le Mouvement pour le désarmement, la paix et la liberté (MDPL).
- Théodore Monod, naturaliste, explorateur.
- Jean Giono, écrivain plus ou moins anarchiste mais « pacifiste intégral », fonde un mouvement pacifiste, « les Rencontres du Contadour », du nom d'un village de la Montagne de Lure (Basses-Alpes), mais son manque de charisme, son individualisme et son refus de prendre des décisions importantes feront capoter ces illusions. Son pacifisme le pousse également à jouer un rôle très controversé pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name=golsan>Modèle:Lien web</ref>.
- Bernard Clavel, romancier, auteur de livres pacifistes, Le Silence des armes, Lettre à un képi blanc, et d'articles dans le journal de l’Union pacifiste de France. Ami de Louis Lecoin, il soutient son combat pour l'objection de conscience.
- Joan Baez, chanteuse américaine, militante notamment pour les droits civiques aux côtés de Martin Luther King et contre la guerre du Vietnam.
- John Lennon incarne l'engagement profond et marquant du mouvement pacifiste « Peace and Love » («Paix et Amour») des années 1970 : un rassemblement à sa mémoire continue d'avoir lieu à New York chaque Modèle:Date-.
- Jane Fonda, actrice américaine, militante notamment contre les guerres du Vietnam et d'Irak et le conflit israélo-palestinien.
- Noam Chomsky, qui dans son activité de penseur-activiste, n'a de cesse d’appeler à chercher toutes les solutions pacifistes possibles avant d'engager une guerre contre un pays ou un peuple, restant toujours une tragédie humaine effroyable.
- Le pasteur André Trocmé, organisateur de la protection des juifs dans la Haute-Loire pendant l'Holocauste, fondateur du Collège Cévenol du Chambon-sur-Lignon et dirigeant du mouvement pacifiste MIR, a résumé ses idées dans un ouvrage intitulé Jésus-Christ et la révolution non violente, paru chez Labor et Fides en 1961.
- Cabu, dessinateur de presse, auteur de nombreux dessins antimilitaristes, assassiné dans la tuerie du journal Charlie Hebdo
- Robert L. Holmes, le philosophe américain a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques démontrant la justification morale du pacifisme à l'ère moderne<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}The Ethics of Nonviolence: Essay by Robert L. Holmes - Livre de présentation sur google.books.com</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Pacifism: A Philosophy of Nonviolence Robert L. Holmes. Livre de présentation sur books.google.com</ref>.
- Modèle:Lien, militante sud-africaine, membre du Groupe de soutien aux objecteurs de conscience (Modèle:Lien), de la Campagne pour la fin de la conscription (End Conscription Campaign) et de la Ceasefire Campaign («Campagne de Cessez-le-feu») contre les ventes d'armes par l'Afrique du Sud.
Prix Nobel de la paix
Ainsi que tous les individus ou organismes lauréats du Prix Nobel de la paix, parmi lesquels on peut citer :
- Individus :
- Henri Dunant
- Frédéric Passy
- Bertha von Suttner
- Léon Bourgeois
- Léon Jouhaux
- Jane Addams
- Aristide Briand et Gustav Stresemann
- Ferdinand Buisson
- Barack Obama (2009)
- Aung San Suu Kyi
- Arundhati Roy (Sydney Peace Prize en 2004)
- Nelson Mandela et Frederik de Klerk
- Organismes :
- Bureau international de la paix
- Comité international de la Croix-Rouge
- Amnesty International
- Campagne internationale pour l'interdiction des mines antipersonnel
- Organisation internationale du travail
- Casques bleus
- Mouvement Pugwash
- Union européenne (2012)
- Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires (Ican)
Nations pacifistes
Le Global Peace Index<ref>Global Peace index, consulté le 30 août 2010.</ref> mesure sur la base d'une vingtaine de critères (notamment l'engagement dans des conflits, la vente d'armes, les dépenses militaires, la transparence du gouvernement, le taux de criminalité…) les pays les plus pacifiques. Un plus petit score signifie un pays plus pacifique.
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Débats
Critiques
Léon Trotski : « Exploitant l'attachement naturel des masses pour la paix et le dévoyant, les pacifistes petits-bourgeois se transforment ainsi, en définitive, en soutiens inconscients de l'impérialisme »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Jules Guesde considère que les pacifistes bourgeois feignent d'ignorer que la guerre est inhérente au capitalisme<ref>Modèle:Article</ref>.
Pour Julien Benda , l'opposition systématique à la guerre par des pacifistes est critiquable ; dans la préface à l'édition de 1946 de La Trahison des Clercs, Julien Benda prend position contre un pacifisme systématique, qui exclut la guerre dans tous les cas. Parlant des « clercs » qui défendent cette théorie, il écrit<ref>Julien Benda, La Trahison des Clercs, préface à l'édition de 1946.</ref> : Modèle:Citation bloc
Dans ses Reflections on Gandhi, George Orwell défendait également une position proche en reprochant aux pacifistes d'« éluder les questions gênantes » et d'adopter Modèle:Citation S'adressant à Gandhi, il écrivait également : Modèle:Citation bloc
Enfin, selon l'auteur péruvien Mario Vargas Llosa, cette attitude revient à laisser le pouvoir aux dictateurs. Il écrit ainsi dans Les Enjeux de la liberté que<ref>Mario Vargas Llosa, Les Enjeux de la liberté, Gallimard, 1997, Modèle:P..</ref> : Modèle:Citation bloc
Galerie
-
Avignon, manifestation pour la paix au Liban, Modèle:Date-.
-
Londres, manifestation pour la paix en Irak, Modèle:Date-.
-
« Maudite soit la guerre » sur le monument aux morts pacifiste de Gentioux, 1922 (Creuse).
Notes et références
Voir Aussi
Modèle:Catégorie principale Modèle:Autres projets
Articles connexes
- Irénisme
- Paix
- {{ #ifeq: minuscule | majuscule | C | c }}atégorie « Œuvre pacifiste »
- Mouvement pacifiste
- {{ #ifeq: minuscule | majuscule | C | c }}atégorie « Militant pacifiste »
- {{ #ifeq: minuscule | majuscule | C | c }}atégorie « Association ou organisme pacifiste »
- {{ #ifeq: minuscule | majuscule | C | c }}atégorie « Association ou organisme consacré à l'éducation à la paix »
- De l'épée à la charrue
- Liste de chansons pacifistes
- Mouvement alternatif
- Pacifisme en France dans l'entre-deux-guerres
- Antimilitarisme
- Non-violence
Bibliographie
- Les pacifistes in Frédéric Rousseau éd., Guerres, paix et sociétés, 1911-1946, Neuilly, Atlande, 2004, Modèle:P..
- Paix, pacifisme, in C. Delporte, J.-Y. Mollier, J.-F. Sirinelli éds., Dictionnaire d’histoire culturelle de la France, Paris, PUF, 2010, Modèle:P..
- Les munitions du pacifisme : anthologie de plus de 400 pensées et arguments contre la guerre / Pensées recueillis par Ermenonville - Groupe de propagande par la brochure (Paris) - 1933 ; 64 pages, Domaine public (Livre en mode image et en mode texte, recherche plein texte disponible sur Gallica)
- Modèle:Article
- Yves Santamaria, Le Pacifisme. Une passion française, Belin 2004
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage
Vidéos
- Bernard Baissat, Elles disent NON à toutes les guerres, 2011, 15 minutes,voir en ligne.
- Bernard Baissat, Paroles de pacifistes, 2012, 20 minutes,voir en ligne.
Émissions de Radio
Liens externes
- Modèle:DHS.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Chronologie proposée par Sanderson Beck.
- Modèle:CENAC (mouvements de paix, politique de paix, congrès, éducation à la paix, recherche sur la paix, etc.)
- Modèle:IEP