Stains
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Stains (Modèle:MSAPI ; <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française, située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Stanois et les Stanoises . Modèle:Sommaire
Géographie
Description
La commune de Stains est située en banlieue nord de Paris, entre le centre de la capitale (Modèle:Unité) et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (Modèle:Unité) sur la route nationale 301. Elle est aisément accessible par la sortie Modèle:Sortie de l'autoroute A1. La commune fait partie de la Plaine de France.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes proches de Stains incluent Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, La Courneuve et Dugny (en Seine-Saint-Denis) ainsi que Garges-lès-Gonesse et Sarcelles (dans le Val-d'Oise).
Urbanisme
Typologie
Stains est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Elle fait aussi partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Paris<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref> (comme toutes les communes de la petite couronne). Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Quartiers
Les principaux quartiers sont : le quartier Maxime Gorki (Cité l'Orée du bois, Victor-Renelle, boulevard Maxime-Gorki), le Maroc, le Moulin-Neuf, le Clos Saint-Lazare, Allende, André-Lurcat, le Vieux-Stains, Stains-Village (qui en est le centre historique), les Prévoyants, les Parouzets et la Prêtresse Carnot.
Habitat
Logements<ref>Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.</ref> | Nombre en 2016 | % en 2016 | nombre en 2011 | % en 2011 |
---|---|---|---|---|
Total | 14 479 | 100 % | 13 023 | 100 % |
Résidences principales | 13 439 | 92,8 % | 12 108 | 93,0 % |
→ Dont HLM | 6 330 | 47,1 % | 6 911 | 57,1 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
24 | 0,2 % | 35 | 0,3 % |
Logements vacants<ref group="Note">Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations</ref> | 1 015 | 7 % | 880 | 6,8 % |
Dont : | ||||
→ maisons | 3 907 | 27,0 % | 3 873 | 29,7 % |
→ appartements | 10 191 | 70,4 % | 8 743 | 67,1% |
Les logements sociaux de Stains sont gérés par 8 différents bailleurs, dont le principal est l’office public de l'habitat Seine-Saint-Denis habitat (SSDH).
Selon le recensement de 2016, la ville compte 13 439 résidences principales, dont 4 082 occupées par leurs propriétaires<ref>Tableau LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.</ref>.
Projets d'aménagement
Modèle:… La ville comprend une zone franche urbaine, dans le secteur du Bois Moussay, et trois zones urbaines sensibles : le Clos Saint-Lazare, Allende et le Moulin-Neuf.
La Municipalité et Plaine Commune ont conventionné avec l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) des projets de rénovation urbaine portant sur la Cité Jardin (53 million d'euros), le Clos Saint-Lazare et Allende (Modèle:Nombre d'euros) et Moulin neuf (Modèle:Nombre d'euros). Cette convention succède au Grand projet de ville qui les concernait antérieurement.
La Cité Jardin de Stains a été conçue par Georges Albenque (1877-1963) et Eugène Gonnot (1879-1944) qui étaient des architectes voyersModèle:Pas clair de la ville de Paris et spécialistes du logement social. La cité Jardin sera construite entre 1921 et 1933 et comporte Modèle:Nombre dont 472 pavillons<ref>Le Moniteur Modèle:Numéro avec majuscule du 7 octobre 2011</ref>. La rénovation de la Cité Jardin s'est effectuée en quatre tranches, de 2005-2015. Ce quartier est un exemple du logement social de l'entre-deux guerres. Stains est d'ailleurs une ville où chaque période historique se raconte dans les logements sociaux<ref>http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Stains.pdf</ref>.
Le Clos Saint-Lazare est la plus grande cité de la ville de Stains, avec ses (Modèle:Nombre abritant 10 000 à Modèle:Nombre) répartis dans 28 bâtiments d'habitat collectif, comptant Modèle:Nombre et 60 pavillons. Le quartier du Clos Saint-Lazare est situé au sud-ouest de la ville, à 5 minutes à pied du centre-ville. Il occupe une superficie de 29 hectares.
Sous la direction de l'architecte coordinateur Clément Tambuté, ce grand ensemble a été réalisé sur des terrains maraîchers entre 1966 et 1970 par l'OPHLM de la Seine qui l'a géré jusqu'en 1982. Depuis, l'ensemble de la cité et du foncier est la propriété de l'ODHLM de la Seine-Saint-Denis (OPH de Seine Saint Denis depuis le passage des offices HLM en établissement public à vocation industrielle et commerciale, EPIC, en 2008). Après une première réhabilitation dans les années 1980, la ville de Stains, en partenariat avec l’ODHLM départemental de la Seine-Saint-Denis et l’État, a entrepris depuis 1999 de transformer le quartier du Clos Saint-Lazare au moyen d'un ample projet urbain conventionné avec l'ANRU comprenant notamment la réhabilitation de Modèle:Nombre, la démolition de 524 logements avec construction d'un même nombre de logements et la reconstruction d'un groupe scolaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Desserte routière
Transports en commun
La ville est desservie par les bus suivants :
- lignes 150, 153, 250, 252, 253, 255 et 268 du réseau de bus RATP ainsi que la navette urbaine VITAVIL qui relie le quartier du Maroc au Moulin Neuf en traversant toute la commune ;
- ligne 11 du réseau de bus CIF ;
- ligne N43 du Noctilien. Le N44 dessert indirectement Stains via la gare de Pierrefitte - Stains.
Les gares du RER les plus proches sont :
- Pierrefitte - Stains Modèle:RER/correspondances avec intitulé, accessible par le 150 ;
- La Courneuve - Aubervilliers Modèle:RER/correspondances avec intitulé, accessible par le 150 et le 250.
Mis en service le Modèle:Date-, le tram-train T11 Express relie la gare d'Épinay-sur-Seine à celle du Bourget par de nouvelles voies créées le long de la Grande Ceinture. Elle dessert les gares de Pierrefitte - Stains et de Stains-La Cerisaie.
- Pierrefitte - Stains où il est en correspondance avec la ligne Modèle:RER/correspondances avec intitulé et les lignes RATP 150, 268, 337 et 361 dans la commune de Pierrefitte-sur-Seine (pour le RER D) et dans celle de Stains (pour le T11 Express) ;
- Stains-La Cerisaie où il est en correspondance avec les lignes RATP 250, 253 et 270.
Le Modèle:Métro de Paris/correspondances avec intitulé est accessible par les lignes RATP :
- le 255 (Saint-Denis - Carrefour Pleyel) ;
- les 153, 253 et 255 (Saint-Denis - Porte de Paris) ;
- les 153 et 253 (Saint-Denis - Basilique) ;
- le 255 (Saint-Denis - Université).
Le 252 amène les Stanois vers la Porte de la Chapelle Modèle:Métro de Paris/correspondances avec intitulé ou la gare de Garges - Sarcelles Modèle:RER/correspondances avec intitulé.
Le tramway T1 est accessible depuis Stains avec le bus 150 en direction de Porte de la Villette (arrêt « Six Routes »), avec le bus 253 en direction de Stade de France-Saint-Denis RER D (arrêt « Cimetière »), avec le bus 255 en direction de la Porte de Clignancourt (arrêt « Marché de Saint-Denis ») et avec la ligne CIF 11 (arrêt « Marché de Saint-Denis ») et aussi avec le RER D en direction de Paris (gare de Saint-Denis).
Projets
Modèle:Projet de transport en Île-de-France Le prolongement de la ligne 13 du métro à Stains a été demandé de longue date par les habitants et leur municipalité. Il s'agissait de prolonger la ligne de Saint-Denis Université à la gare de Stains - La Cerisaie, où il aurait été en correspondance avec le T11 Express, avec une station intermédiaire au Globe. Toutefois, compte tenu de la saturation de la ligne 13, ce projet ne pouvait être réalisé avant que l'une des deux branches de la ligne soit déconnectée, soit en faisant une ligne autonome qui aurait son terminus à Saint-Lazare, soit en la raccordant à la ligne 14. Aucune de ses solutions n'a été retenue et depuis 2018, ce projet n'est plus réclamé par le maire de Stains, au profit d'un prolongement de la ligne 12<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre d'un projet de liaison TGV entre la Normandie (Cherbourg et Caen) et l'aéroport de Roissy, une gare TGV est envisagée à Stains, sur la Grande Ceinture. Elle ne serait desservie que par quelques trains par jour, qui circuleraient à la vitesse autorisée sur la Grande Ceinture, c'est-à-dire lentement.
Toponymie
Stains apparaît sous le nom de Setenis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Sextanis ou Stannis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Stains en France en 1492. Le nom pourrait provenir de Stagna (lieu submergé) ou de Pays de Sexlius, du nom du propriétaire au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Source : Atlas du patrimoine du Pays de France, éd. par l'association du Pays de France-CDG, juin 2006</ref>.
Histoire
Moyen Âge
La communauté est érigée en paroisse indépendante par Pierre II de la Chapelle, évêque de Paris en février 1213, par distraction de la paroisse de Saint-Léger, par une charte de l'abbaye de Saint-Denis<ref>Inventaire général des chartes de Saint-Denis : tome I (Archives nationales, LL 1189) Érection de la cure de Stains par Pierre évêque de Paris, du consentement de Nicolas archidiacre et de Guillaume curé de Saint-Léger, de la parroisse duquel Saint-Léger a été démembré le village dudit Stains, à la charge par les curez dudit Stains de payer à l’avenir aux curez dudit Saint-Léger quarante solz parisis par chacun an pour les indemniser dudit démembrement, dont il y aura dix solz pour la fabrique, et comme les abbé et couvent de Saint-Denis ont le droit de patronnage et de présentation à laditte cure de Saint-Léger, ils ayent les mêmes droits pour la cure et parroisse dudit Stains. Du mois de febvrier 1213.</ref>.
Les terres et seigneuries de Stains, village près de Gonesse, sont cédées en janvier 1239, à la commanderie de Gonesse par Gervais de Chaumont, avec le contentement de Guillaume de Flaucourt, pour le prix de Modèle:Nb<ref>Archives nationale S5091, supplément n.7</ref>,<ref>Mannier (1873) p. 20</ref>. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple le membre de Stains passe à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
En 1315, Stains a une léproserie. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle est établie en seigneurie. L'église date en partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
En 1480, Louis XI donne la seigneurie à Jacques de Saint-Benoist son chambellan.
Temps modernes
La seigneurie passe ensuite à divers propriétaires jusqu’en 1752,
- de Nicole Poussin, avocat au Parlement ;
- de Jean Ruzé, ministre des finances de Louis XII.
- Modèle:Passage évasif au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Achille de Harlay en devint propriétaire au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et y fit construire un château.
- Seigneurie en 1740 de Benoît Dumas, directeur de la Compagnie des Indes.
En 1752, Jean-Charles Perrinet d'Orval, fermier général, y fit bâtir le superbe château que Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie, acheta en 1810.
- Cartes de 1707
-
Le terroir de Stains en 1707.
-
Les terroirs de Stains-Pierrefitte-Villetaneuse-Epinay en 1707.
Révolution française et Empire
Pendant la Révolution française, le cahier de doléances de la paroisse réclame l'égalité devant l'impôt, la suppression du privilège de la chasse, la gratuité de l'école et des soins pour les indigents.
Époque contemporaine
Stains a beaucoup souffert de la guerre de 1870, qui provoque la destruction du château et du parc.
Le Modèle:Date, un ballon monté dénommé Piper Modèle:Numéro avec majuscule (ou non dénommé Modèle:Numéro avec majuscule), parti de la place Saint-Pierre à Paris, assiégée par les Prussiens, monté par M. Piper et son secrétaire M. Friedman, atterrit à Stains, à la suite d'une erreur de manœuvre, juste avant les lignes ennemies<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'industrialisation de la commune a débuté sous le Second Empire et s'est fortement développée durant la première moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avant de décroître très fortement à partir des années 1970.
Le site a inspiré Maurice Utrillo.
Anciens transports
La ligne Paris - Creil (RER D actuel) dessert la gare de Pierrefitte - Stains depuis la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1896, cette station était desservie par 13 trains allant sur Paris et 14 trains allant vers Creil, entre 5 heures du matin et minuit et demi.
La Grande Ceinture est une ligne de chemin de fer qui fait le tour de Paris depuis 1880 environ. Elle a accueilli des voyageurs jusqu'en 1939, et desservait la ville par la gare de Stains-Grande ceinture. En 1896, cette gare était desservie par quatre trains par jour dans chaque direction.
Un tramway électrique est exploité à partir du Modèle:Date- entre Saint-Denis et la Place de Vatry à Stains. La ligne porte le nom de ligne sDS des TPDS, puis, après leur fusion dans la STCRP, l'indice de ligne 79.
La ligne est été prolongée du Barrage de Saint Denis (actuelle Place du Général-Leclerc) à la porte de la Chapelle le Modèle:Date-, mais pour une faible durée : le terminus est ramené au barrage de Saint Denis le Modèle:Date-, avant la suppression complète de la ligne le Modèle:Date-.
Le prolongement par les Chemins de fer de grande banlieue de cette ligne de tramway a été envisagé dans la convention de concession passée le Modèle:Date- entre le département de Seine-et-Oise et la compagnie, qui aurait permis d'atteindre Gonesse. Ce projet n'a pas été mis en œuvre<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Les anciens transports en commun de Stains
-
Le tramway desservait Stains depuis Saint-Denis.
-
L'ancienne gare de Grande Ceinture.
-
La station RER de Pierrefitte-Stains autrefois…
- Stains au tout début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
-
La rue Romaincourt, au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
-
La rue Jean-Durand, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
-
Une entreprise importante avant la Première Guerre mondiale, celle de la Compagnie française de Chromolithie.
-
Une vue d'un Stains encore rural, au tout début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
-
Derrière ce champ moissonné, une vue panoramique des lotissements de Stains (avant 1920).
-
Dès la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle se construisent des lotissements à Stains, tels celui-ci, qui est manifestement mal viabilisé : le chemin n'est que de la boue.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du Modèle:Date-<ref>Journal Officiel, Loi Modèle:N° du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne</ref>, la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le Modèle:Date. Elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Denis. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Seine-Saint-Denis.
Stains a fait partie de 1801 à 1893 du canton de Saint-Denis, année où il rejoint le canton d'Aubervilliers du département de la Seine. Lors de la création du département de la Seine-Saint-Denis, la commune devient le chef-lieu du canton de Stains<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France la commune intègre le canton de Saint-Denis-2.
Intercommunalité
La commune a rejoint la communauté d'agglomération Plaine Commune le Modèle:Date-, suivant l'avis de référendums populaires tenus le Modèle:Date-.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de Modèle:Unité habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Plaine Commune, qui succède à la communauté d'agglomération éponyme<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Pour les échéances électorales de 2007, Stains fait partie des 82 communes<ref>La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr</ref> de plus de Modèle:Unité ayant utilisé les machines à voter.
Élections municipales
Le maire sortant PCF Michel Beaumale, est réélu en 2008 au premier tour avec 53,4 % des suffrages exprimés<ref>Résultats des élections municipales 2008 - Modèle:1er
Votants 43,7 %
Exprimés 39,1 %
Liste Beaumale (PCF) - 53,4 % des exprimés - 30 élus
Liste Abdellali (UMP) - 36,1 % des exprimés - 7 sièges
Liste Teboul-Roques (PT) - 10,5 % des exprimés - 2 sièges
Source Le Parisien</ref>.
En 2014, fait historique, la liste de gauche conduite par le PCF Azzédine Taïbi Modèle:Incise n'est pas élue dès le premier tour. La droite conduite par l'UMP Julien Mugerin<ref>Modèle:Article.</ref> impose un second tour mais la gauche l'emporte avec 50,33 % des voix<ref>Résultats officiels pour la commune Stains</ref>. Modèle:Article détaillé
La liste PCF - PS - LFI - EÉLV - G·s - PRG que conduit Azzédine Taïbi aux municipales de 2020<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref> remporte l'élection dès le premier tour avec 57,88 % des voix, devançant la liste DVD - LR - UDI - SL - LC - LGM de Julien Mugerin qui obtient 30,19 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article détaillé
Élections départementales
En 2015, le premier tour de l'élection départementale donne les scores suivants à Stains : Silvia Capanema et Azzedine Taibi (Front de gauche) 43,07%, Julien Mugerin et Éveline Nicol (Droite) 21,33%, Céline Le Huu et Ulrich Rougé (FN) 16,87%, Najia Amzal et Corentin Duprey (PS) 11,30%, Habiba M'Ghizou et Slimane Rabahallah (DVG) 3,79%, Mansoria Abbou et Rosan Hurtus (DIV) 2,28%, Yves Gras et Nathalie Labbe (EXG) 1,36%.
Le binôme socialiste arrivé deuxième sur l'ensemble du canton au premier tour ne se maintient pas et permet au maire d'être élu conseiller départemental en binôme avec Silvia Capanema avec un score de 100% sur le canton de Saint-Denis-2. Modèle:Article détaillé
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Instances de démocratie participative
La commune s'est dotée en 2010 d'un conseil municipal d'enfants.
Les enfants âgés de huit à onze ans ont élu en novembre 2017 leurs nouveaux représentants<ref>Modèle:Article.</ref>.
Politique de développement durable
Le fleurissement de la commune est assuré par les services de Plaine Commune. Elle a obtenu deux fleurs en 2007 au concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Compte tenu des améliorations constatées par l’association nationale des Villes et Villages Fleuris, celle-ci a accordé une troisième fleur à la commune en 2017<ref>Modèle:Article.</ref>.
Jumelages
La ville est jumelée avec<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Modèle:Jumelage : Collaboration multilatérale dans les domaines du sport, du tourisme, de l’environnement, du développement dans le domaine des NTIC, permettant la valorisation des richesses culturelles réciproques.
- Modèle:Jumelage : Jumelage traditionnel
- Modèle:Jumelage : Jumelage pour des projets communs de paix et de collaboration entre les peuples allemand et français.
- Modèle:Jumelage : Coopération multilatérale avec le camp de réfugiés palestiniens d'Am'ari en Cisjordanie, en solidarité avec les forces de paix dans la région.
- Modèle:Jumelage : Accord de coopération portant sur la santé, l’éducation, l’assainissement, l’électrification rurale, la préservation de l’écosystème, le développement de l’agriculture, de l’élevage mais aussi de la culture, du sport et du tourisme.
- Modèle:Jumelage Accord de coopération portant sur la citoyenneté des jeunes, les échanges culturels, la santé et la prévention, le développement local, l’urbanisme et l’environnement
Distinctions et labels
En 2010, la commune de Stains a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »<ref>Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.</ref>.
Fresque
En Modèle:Date- des artistes locaux réalisent une fresque qui représente les visages d'Adama Traoré et de George Floyd, qu'ils considèrent tous deux victimes de violences policières, avec en surplomb la phrase «Contre le racisme et les violences policières». En Modèle:Date-, le maire de la commune est mis en demeure de modifier la fresque en enlevant le mot « policières »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Équipements et services publics
Enseignement
La commune accueille le Modèle:Lien, ainsi que 3 collèges publics : Joliot-Curie<ref>Modèle:Lien web</ref>, Pablo Neruda<ref>Modèle:Lien web</ref> et Barbara<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Elle accueille les écoles élémentaires Anatole France<ref>Modèle:Lien web</ref>, Elsa Triolet<ref>Modèle:Lien web</ref>, Victor Renelle<ref>Modèle:Lien web</ref> et les écoles maternelles Romain Rolland, Paul Langevin<ref>Modèle:Lien web</ref>,Victor Hugo<ref>Modèle:Lien web</ref>, Jean Moulin<ref>Modèle:Lien web</ref>, Guillaume Apollinaire<ref>Modèle:Lien web</ref> André Lurçat<ref>Modèle:Lien web</ref> et Guy Moquet<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune contient aussi l'ensemble scolaire privé Sainte Marie<ref>Modèle:Lien web</ref> .
Équipements culturels/sportifs
La salle de théâtre de la Cité-jardin, rénovée et rééquipée, sert de salle de théâtre, l'espace Paul-Éluard .
Le Central, cinéma de quartier fermé depuis 1969, devient en 1989 le Studio Théâtre<ref>Studio Théâtre</ref> où s'installe la compagnie du même nom créée en 1984 par Xavier Marcheschi et Marjorie Nakache<ref>Au théâtre de Stains, on offre du beau sans graff ou sans hip-hop, sur nouvelobs.com, consulté le 3 novembre 2020</ref>.
La ville dispose également d'une école de musique et de danse, de trois médiathèques (Louis-Aragon, Saint-Just, La Maison du Temps Libre) du réseau des médiathèques de Plaine Commune…
On y trouve plusieurs lieux de divertissement : une piscine municipale<ref>Modèle:Lien web</ref> (Renée Rousseau), des gymnases (Anatole France, Jean Guimier, Léo Lagrange), un centre municipale d'initiation sportive, des associations sportives et un parc des sports aux abords de Stains (Marville).
Santé
La commune dispose :
- d'une clinique
- d'un centre de santé
- d'un centre dentaire et d'ophtalmologie
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
En 2015, la population stanoise active était de Modèle:Nombre. Le taux de chômage de 22.1%, représente plus du double de la moyenne nationale (11.0%)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2008 la ville compte 494 entreprises. Les principales sont Carrefour (hypermarché du Globe, avec 395 salariés), la clinique de l'Estrée (320 salariés) et Kremlin-Rexon (groupe Exel Industries fabrication d'équipements de pulvérisation de produits liquides, 250 salariés)<ref>Modèle:Article.</ref>.
Une zone franche urbaine a été instaurée sur la commune de Stains, et concernait notamment la ZAC du Bois-Moussay.
En 2019 se bâtit au pied de la gare du T11 un centre d'affaires de Modèle:Unité (sur la limite communale avec Pierrefitte) qui doit accueillir un centre de recherche d’Engie, le Crigen (Modèle:Unité), mais également un centre de formation de Total<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Une partie du parc de La Courneuve se trouve sur le territoire de la commune.
- Château et parc de Stains, puis cité-jardin - Le Modèle:Date-, Charles-Louis Félix a vendu la seigneurie de Stains à Toussaint Bellanger (vers 1662-1740), trésorier général du sceau de la chancellerie de France et ancien notaire au Châtelet de Paris entre 1690 et 1710<ref>Marie-Françoise Limon, Les notaires au Châtelet de Paris sous le règne de Louis XIV, Modèle:P., Presses universitaires du Mirail, Toulouse, 1992 Modèle:ISBN (extrait)</ref>. Il fait construire le château de Stains<ref>Pierre Thomas Nicolas Hurtaut, Dictionnaire historique de la ville de Paris et de ses environs, tome IV, Modèle:P., chez Moutard libraire-éditeur, Paris, 1779 (lire en ligne)</ref> et son parc par Armand-Claude Mollet, architecte du roi, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Plan des Jardins et parc du Château de Stains à deux lieuës et demi de Paris appartenant à Mr. Bellanger trésorier du Sceau, du dessin de M. Mollet architecte du Roi, gravé par Jean Mariette</ref>. Toussaint Bellanger et sa femme, Agnès Préaud, ont été enterrés dans le chœur de l'église de Stains. Le château a été gravement endommagé pendant la guerre de 1870. En subsistent certains communs, dont les écuries, acquises par la commune en 1883, et qui abritent depuis l'hôtel de ville. Le parc du château, acquis par l'Office départemental d'HBM de la Seine (OPDHBMDS), a été loti pour devenir la Cité-Jardin.
- Mairie. – Le Modèle:Date-, le conseil municipal vota l'acquisition des écuries et remises de l’ancien château de Stains, dont la famille Hainguerlot était propriétaire, comme héritière de [[Paméla Hainguerlot|Modèle:Mme de Vatry]]. La vente eut lieu au prix de 33 000 francs. La restauration, exécutée en 1884, coûta 30 000 francs.
Le bâtiment est situé avenue Hainguerlot, presque à l'angle de la rue Carnot. La superficie du terrain est de 28 ares 71 centiares. Il est composé d’un corps de logis avec cinq immenses fenêtres en façade, en retrait avec deux ailes reliées par une grille monumentale. - Le château de la Motte, attesté en 1361 en tant que fief de la châtellenie de Montmorency<ref>Atlas du patrimoine de la Seine-Saint-Denis: château de la Motte</ref>, a été détruit en 1819 à l'exception de quelques dépendances, et il n'en subsiste que le porche, réalisé en style rocaille par René Douin vers 1740<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Cet élément a été inclus dans le bâtiment de la nouvelle médiathèque Louis Aragon de Stains, inaugurée en Modèle:Date-.
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite dans la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, recevant sa dédicace le Modèle:Date- d'Eustache du Bellay, évêque de Paris<ref>Église Notre-Dame-de-l’Assomption</ref>,<ref>Atlas du patrimoine de la Seine-Saint-Denis: Église Notre-Dame (Stains)</ref>. Les voûtes ont été reconstruites après les bombardements de la guerre de 1870 et le clocher abattu en 1950. Elle a été peinte par Maurice Utrillo dans le tableau Église de Stains (huile sur toile, Modèle:Dunité, Galerie Pétridès, c. 1930).
Elle abrite un maître-autel et un retable classés monuments historiques. L'édifice a été fermé au public en 1995 à cause de risques d'écroulement. Malgré de nombreux mouvements des fidèles stanois, aucun projet de rénovation n'était encore prévu à cause du coût élevé des travaux (7 millions d'euros) et du manque de ressources de la ville. Néanmoins, des travaux seront entrepris en Modèle:Date- pour une durée de deux ans<ref>L’église de Stains sera sauvée</ref>. - Un second lieu de culte catholique, bien plus modeste, est la chapelle Notre-Dame-des-Peuples, située en lisière du clos Saint-Lazare et en bordure de la zone des Tartres. Construite en 1969, elle a été complètement rénovée en 2010-2012<ref>Modèle:Lien web.</ref>
La commune compte un patrimoine important de jardins ouvriers, notamment au nord de la rue du Moutier. Dans cette rue, à l'angle de la rue Michel-Rolnikas, se trouve aussi le cimetière communal de Stains, lieu de sépulture de la ville.
la Cité-jardin
La Cité-jardin de Stains, construite entre 1921 et 1933 pour l'office départemental des habitations à loyer modéré de la Seine par les architectes Eugène Gonnot et Georges Albenque (à qui l'on doit également le hameau du Danube à Paris) à l'emplacement de l'ancien château de Stains (détruit lors des combats de la guerre de 1870), afin de répondre à la demande de logements ouvriers, est une Habitation à bon marché dotée d'un confort important pour l'époque, tout en conservant une architecture résidentielle.
Véritable ville dans la ville, centrée sur la place Marcel-Pointet<ref>Modèle:Lien web.</ref> et sa salle de spectacles (achevée après la Seconde Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>), elle est édifiée afin d’héberger en priorité les populations ouvrières de Saint-Denis, Le Bourget et La Courneuve.
Le bâti de Modèle:Nombre se répartit sous forme de Modèle:Unité avec jardins, groupés par deux, quatre ou six, soit de maisons individuelles, soit encore de Modèle:Unité collectifs de 3 ou 4 étages : immeubles en T, en angle, à redents ou parallèles à la rue<ref name="CDT">Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient au patrimoine national et est inscrite à l’inventaire des sites pittoresques depuis 1976<ref name="CDT"/> et est souvent citée en référence par des architectes et urbanistes qui pensent qu’elle est l'une des plus belles et plus réussies de France. Sa rénovation au début des années 2000 est dirigée par le bailleur, l'Office Public de l'Habitat de Seine-Saint-Denis, avec l'aide de l'ANRU<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article détaillé
Stains dans les arts
Le film Hiver 54, l'abbé Pierre de Denis Amar (1989) portant sur le rude hiver 1954, le drame des sans-abri et l'action de l'abbé Pierre, a été tourné à Stains.
Le film Un air de famille de Cédric Klapisch (1996), d'après la pièce de théâtre de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, a été tourné à Stains :
- les intérieurs ont été tournés aux studios SETS ;
- les extérieurs ont également été tournés à Stains : on reconnaît aisément le café et la voie de chemin de fer en arrière-plan, à l'angle de la rue des Parouzets et de la rue Hennequin.
Le film Le Vilain d'Albert Dupontel (2009), a été tourné dans la cité-jardin de Stains<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le film Les Grands Esprits d'Olivier Ayache-Vidal (2017) a été en grande partie tourné à Stains au collège Barbara, et des collégiens stanois incarnent des personnages du long-métrage<ref>Modèle:Article.</ref>.
La ville est le lieu du roman Wesh, le Musée d'Orsay de Michael Nativel<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, qui relate une altercation ayant opposé des élèves du lycée Maurice Utrillo de Stains et des gardiens du Musée d'Orsay en 2016<ref>Modèle:Article.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Roger Brias (1904-1941), résistant français, compagnon de la Libération, né à Stains, qui a rallié les forces françaises libres en 1940.
- Jeannette Deweirder (1932-2020), syndicaliste, féministe et femme politique, maire-adjointe de Stains de 1989 à 1995, en charge de l'urbanisme et de l'environnement
- Mistigri (1927-2015), artiste française de la scène, du disque et de la télévision, est née à Stains.
- Jean-Jacques Moreau (1947-), acteur français, né à Stains.
- Zahia Ziouani (1978-), cheffe d'orchestre française, considérée comme la seule cheffe d'orchestre française issue de la diversité, dirige l'ensemble Divertimento de Stains.
Elle est le sujet du film de Marie-Castille Mention-Schaar sorti en 2022, Divertimento<ref>Modèle:Article.</ref>. - Yacine Belhousse (1981-), humoriste française, a réalisé sa première pièce de théâtre (Une vie particulière) au Studio Théâtre de Stains.
- Kheiron (1982-), humoriste, acteur et réalisateur français, a grandi à Stains après que sa famille ait fuit l'Iran. Son film Nous trois ou rien raconte notamment son installation dans la ville et l'implication de sa mère dans la vie associative du Clos-Saint-Lazare<ref>Modèle:Article.</ref>. Il a d'ailleurs vécu avec Navo (Bruno Muschio), co-auteur de la web-série Bref. avec Kyan Khojandi<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Sofiane Zermani dit Fianso (1986-), rappeur français, a grandi dans la cité du Clos-Saint-Lazare de 1986 à 1999.
- Rod Paradot (1996-), acteur français, né à Stains.
- Almamy Touré (1996-), footballeur malien, a grandi dans la cité du Clos-Saint-Lazare de 2002 à 2010<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.
- Lenny Vallier (1999-), footballeur français, né à Stains.
- Moussa Diarra (2000-), footballeur malien, né à Stains.
- Eric Junior Dina-Ebimbe (2000-), footballeur français, né à Stains.
- Soungoutou Magassa (2003-), footballeur français, né à Stains<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Mohamed-Ali Cho (2004-), footballeur français, né à Stains, qui a passé son enfance en Angleterre, où ses parents travaillaient<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Lien (2004-), footballeur français, né à Stains.
- Saël Kumbedi (2005-), footballeur français, né à Stains, à joué à Épinay-sur-Seine jusqu'en 2015<ref>Modèle:Article.</ref>.
Héraldique
Pour approfondir
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage, sur Gallica.
- Louis Bordes, Vladimir Thonet et Pierre Loiseaux, Stains et son histoire, éd. Alliance Service, 1979.
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Pdf Marc Couronné, La cité-jardin de Stains : Histoire d'un projet urbain et social, ed. Département de la Seine-Saint-Denis 2004, disponible en ligne. ici
- Eugène Mannier, Les commanderies du grand-prieuré de France, Paris, Aubry - Dumoulin, 1872
- Benoît Pouvreau, Marc Couronné, Marie-Françoise Laborde, Guillaume Gaudry, Les cités-jardins de la banlieue du nord-est parisien, Éditions du moniteur, Paris, 2007, 143 p. Modèle:ISBN
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
Références
Nota : les références des Archives nationales ont été reclassées et les références actuelles sont changées<ref>inventaire des Archives nationales</ref> Modèle:Références nombreuses