Marles-en-Brie
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Marles-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Marles-en-Brie est une commune de la grande couronne de la région parisienne.
La commune est située à Modèle:Unité des portes de Paris, Modèle:Unité de Melun et Modèle:Unité de Meaux.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géologie et relief
Géologie
La plateforme structurale supérieure de la Brie est constituée par une couche de pierre de meulières datant du Sannoisien. L’exploitation de ces pierres de meulières a fourni un matériau de construction très utilisé dans la commune. La couche de meulières est surmontée par un manteau plus ou moins régulier de limons des plateaux qui sont constitués par des dépôts argilo-sableux fins et compacts d’une fertilité importante.
Relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; l'altitude varie entre 102 et Modèle:Unité<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>. La commune de Marles-en-Brie s'étend sur un plateau au relief très peu marqué, traversé par la partie supérieure du Bréon qui creusera sa vallée en aval à Fontenay-Trésigny. Ses paysages sont typiques de la Brie, marqués par une succession d'openfields (culture du blé, du maïs et de la betterave sucrière) entrecoupés de massifs forestiers plus ou moins denses (bois de Lumigny, des Dames, des Chapelles, des Vignes, de Pendu...).
Hydrographie
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés, entièrement situé sur le bassin versant du Bréon :
- le Bréon, long de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l’Yerres, qui sert de limite avec La Houssaye-en-Brie au nord ainsi qu'avec Les Chapelles-Bourbon et Châtres à l'ouest après un coude vers le sud. Il reçoit :
- le ru de Certeau, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> au nord de la commune, servant de limite communale avec La Houssaye-en-Brie (où coule le ru de Gorneaux dans son intégralité)<ref group="Note">Le point de confluence donné par Sandre est contestable, 2.8567 48.7335 : N36, 77610 Marles-en-Brie, le point terrestre où le ru de Gorneaux rejoint le Bréon est sur la commune de La Houssaye-en-Brie.</ref> ;
- le ru de Monnoury, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, coule sur le territoire au sud-est, il prend sa source dans le bois de Lumigny, passe près de Chaubuisson avant de traverser la ville de Fontenay-Trésigny où il rejoint le Bréon ;
- le fossé 04 du Bois des Dames, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue avec le ru de Monnoury;
- le fossé 01 des Trois Arches Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, conflue également avec le ru de Bréon.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 7 juillet 2019</ref>.
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de Modèle:Unité, parcouru par un réseau hydrographique de Modèle:Unité de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon<ref name="SAGE-yerres">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)</ref>.
Climat
Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Marles-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune a une tradition d’urbanisation dispersée, menacée par le développement urbain. Trois pôles concentrent la population et sont amenés à se développer :
- le bourg ancestral du fait de la proximité des équipements de la commune,
- le quartier de la gare du fait de la proximité de cet équipement majeur,
- les cités Aumaître du fait de la proximité des équipements de Fontenay-Trésigny.
L’objectif pour la commune est d’optimiser les potentiels du tissu urbain existant dans un souci de modération de la consommation de l’espace<ref>PLU Projet d'aménagement et de développement durables sur le site de la mairie.</ref>.
Lieux-dits et écarts
La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont Cherfou, la Croix Saint-Pierre, les Carrières, la forêt de Mocfeu (source : le fichier Fantoir).
Une particularité de l'agglomération de Fontenay-Trésigny est qu'une partie est située sur le territoire de la commune de Marles-en-Brie, secteur enclavé au sud de la Modèle:Route nationale, entre la rue Pillot à l'ouest et l'avenue du Général-Leclerc à l'est. La limite longe le stade Orly et se situe à proximité du boulevard Étienne-Hardy. Les Cités Aumaître se situent dans ce secteur.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,9 %), forêts (26,4 %), zones urbanisées (7,9 %), prairies (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 88,8 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 9,2 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.
Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 86,8 % contre 10,5 % de locataires et 2,6 % logés gratuitement<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 7 septembre 2020 2020</ref>.
Voies de communication et transports
Routes
Historique
Le territoire communal fut traversé dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la grande route rectiligne de Meaux à Melun.
Aujourd'hui
Le territoire communal est desservi par :
- la Modèle:Route nationale, axe nord-sud qui permet l’accès à l’Modèle:Autoroute française vers Paris ou Meaux ou Strasbourg au nord et l’accès à la Modèle:Route nationale au sud vers Melun ou Tournan-en-Brie ;
- la RD 436 (ancienne Modèle:Route nationale), qui rejoint la Modèle:Route nationale au nord et la RD 402 au sud à Chaumes-en-Brie, avec accès à la Modèle:Route nationale au niveau de Fontenay-Trésigny ;
- la RD 143 vers Les Chapelles-Bourbon à l'ouest et Lumigny à l'est ;
- la RD 143 E vers La Houssaye-en-Brie et Crèvecœur-en-Brie.
Circulation douce
Marles-en-Brie possède une piste cyclable reliant la sortie du village sur la RD 436 à la gare de Marles-en-Brie.
Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune entre La Houssaye-en-Brie au nord et Fontenay-Trésigny au sud.
Transports en commun
Historique
La commune était desservie jusqu'en 1969 par la ligne de Paris-Bastille à Marles-en-Brie. Longue de Modèle:Unité parcourus en 23 minutes, elle fut mise en service le Modèle:Date-. Pour des raisons militaires, on fit se joindre la ligne Paris-Belfort et celle de Paris-Coulommiers entre Verneuil-l'Étang et Marles-en-Brie via Chaumes-en-Brie et Fontenay-Trésigny (en cas de destruction du viaduc de Nogent-sur-Marne). Le prolongement prévu en direction de Meaux ne vit jamais le jour. La ligne de Verneuil-l'Étang à Marles-en-Brie fut fermée aux voyageurs le Modèle:Date- et fut remplacée par un service d'autobus. Pour le service de marchandises, un tronçon resta en activité entre Verneuil-l'Étang et Fontenay-Trésigny pour les industriels locaux dont l'usine Hardy (fabrication de baguettes pour cadres de tableaux), l'usine Aumaître et Mathé (fabrication d'échelles en bois) et la carrière de pierres meulières de la ville de Chaumes-en-Brie. Par la suite du bombardement du viaduc de Nogent-sur-Marne, le trafic reprit entre Paris et Coulommiers sur la ligne de Paris-Bastille à Marles-en-Brie entre Modèle:Date- et Modèle:Date-. La fermeture définitive aux marchandises eut lieu le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La voie a été déposée et le tracé a en partie disparu.
Marles-en-Brie était également située sur la ligne Jouy-le-Châtel - Marles-en-Brie (Modèle:Unité) du Réseau de Seine-et-Marne, ouverte en 1902. Il s'agissait d'un ancien réseau de chemins de fer à voie métrique, concédé à la Société générale des chemins de fer économiques (SE) connue sous la dénomination des "Tramways de Seine et Marne". Le service des voyageurs sera supprimé en 1934 avec transfert sur route, par autocar sur certaines sections. Les marchandises subsisteront jusqu'en 1938<ref>Réseau des SE sur le répertoire des rues ferroviaires.</ref>. La ligne fut cependant préservée au moment de l'entrée en guerre de la France lors de la Seconde Guerre mondiale. À cause de la suppression des services routiers, la ligne fut rouverte de Jouy-le-Châtel à Fontenay-Trésigny jusqu'en 1948. Le tronçon de Fontenay-Trésigny à Marles-en-Brie fut déferré en 1944. En 1950, le département constatant que les transports routiers étaient redevenus normaux, décida de fermer définitivement ce tronçon le Modèle:Date et le reste de la ligne le Modèle:Date<ref>R.C. Plancke, Histoire des chemins de fer de Seine-et-Marne, t. II, Modèle:P..</ref>. Tout comme pour le train, la voie a été déposée et le tracé a en partie disparu.
Aujourd'hui
La commune est desservie par une gare (Marles-en-Brie) de la ligne Paris - Coulommiers (Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé).
La gare de Marles-en-Brie est située sur le territoire de La Houssaye-en-Brie, en bordure de la commune de Marles-en-Brie. La station fut mise en service le Modèle:Date- par la compagnie des chemins de fer de l'Est avec l'ouverture de la section de ligne allant de la gare de Gretz à Mortcerf. Aujourd'hui, c'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P).
Marles-en-Brie est également desservie par les lignes 10, 21, 28, 33 et 309 du réseau de bus du Pays Briard.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Malles vers 1185<ref>Depoin, Saint-Martin-des-Champs, III, p. 117.</ref> ; Marla vers 1200<ref>Archives nationales, J 170, n° 29.</ref> ; Malla en 1221<ref>Archives nationales, S 1175, n° 38.</ref> ; Marlet en Brie et Malle en Brie en 1333<ref>Archives nationales, JJ 66, nos 1079 et 1151.</ref> ; Malle en 1385<ref>Archives nationales, P 131, fol. 46 v°.</ref> ; Marle en Brie en 1391<ref>Bibl. nat., ms. latin 10944, fol. 29 v°.</ref> ; « Le grand hôtel de Marles » en 1416<ref>Archives nationales, P 1, n° 84.</ref> ; Merle en 1509<ref>Archives nationales, P 1781, n° 723.</ref> ; Marles-en-Brie (Décret du Modèle:Date-).
Marles-en-Brie dériverait de l'ancien français marle, du latin tardif marglia, diminutif du latin marga, qui serait selon Pline le Jeune un mot gaulois<ref>Marl sur le site Online Etymology Dictionary.</ref>, de l'oïl marle, marne, « terre argilo-calcaire »<ref>Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 255 - Modèle:ISBN.</ref>. « Les marliéres ou marniéres ont été parfois des lieux où l'ont tirait la marne pour amender les terres, parfois de lieux d'extraction d'une terre à poterie »<ref>Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 219.</ref>.
Histoire
Le village est mentionné dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, "Malles".
Marles dépendait de l'évêché de Meaux et de la seigneurie de Tournan (actuel Tournan-en-Brie).
Philippe le Hardi l'enleva à Anceau de Garlande Modèle:Lequel et la plaça sous la dépendance de son château de Melun, mais Marles resta lié à la seigneurie de Tournan, qui appartenait elle-même à la seigneurie de Fontenay (actuel Fontenay-Trésigny)Modèle:Refnec.
en 1522, les moniales cisterciennes de l'abbaye du Pont-aux-Dames à Couilly déclare aux officiers du roi François Ier 72 arpents de terre au lieu-dit La Fresnoys, baillés à cens et rentes à l'année à plusieurs personnes moyennant 4 deniers tournois de cens chaque arpent à 4 sols huit deniers tournois de rente l'arpent de terre et sept sols 8 deniers l'arpent de pré; le tout 20 livres tournois. Item au lieu-dit Les Fresnoys, Modèle:Citation<ref>Berthault, L'Abbaye du Pont-aux-Dames, Paris-Meaux, 1878</ref>
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Marles présente un rempart en forme de quadrilatère dont les angles sont situés aux axes cardinaux, où se trouvent les portes. Ce rempart a été démantelé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais le tracé a subsisté à travers les rues (rue de la Brêche-aux-Loups, chemin de la Ferme-du-Moulin, début ouest de la rue du Chemin-Vert) et les limites cadastrales.
Marles devint alors la propriété du comte d'Eu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis celle du duc de Penthièvre jusqu'à la Révolution française.
En 1789, le village faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris dont il suivait la coutume.
Le Modèle:Date-, le Tiers État élit ses députés et rédige son cahier de doléances;
Le diocèse de Meaux avait la collation de l'église paroissiale Saint-Germain-d'Auxerre.
Politique et administration
Situation administrative
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Fontenay-Trésigny est devenu le chef-lieu du canton de Fontenay-Trésigny<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui regroupe 33 communes et Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le canton de Fontenay-Trésigny comprend les communes suivantes : Bernay-Vilbert, La Chapelle-Iger, Les Chapelles-Bourbon, Châtres, Chaumes-en-Brie, Coubert, Courpalay, Courquetaine, Crèvecœur-en-Brie, Dammartin-sur-Tigeaux, Évry-Grégy-sur-Yerre, Faremoutiers, Fontenay-Trésigny, Grisy-Suisnes, Guérard, La Houssaye-en-Brie, Limoges-Fourches, Lissy, Liverdy-en-Brie, Lumigny-Nesles-Ormeaux, Marles-en-Brie, Mortcerf, Neufmoutiers-en-Brie, Ozouer-le-Voulgis, Pécy, Le Plessis-Feu-Aussoux, Pommeuse, Presles-en-Brie, Rozay-en-Brie, Soignolles-en-Brie, Solers, Vaudoy-en-Brie, Voinsles. Le redécoupage a pris effet en Modèle:Date-, lors du renouvellement général des assemblées départementales.
Le canton de Fontenay-Trésigny se situe dans le département de Seine-et-Marne qui a pour commune chef-lieu la ville de Melun. Le canton de Fontenay-Trésigny est composé de communes appartenant aux arrondissements de Provins (17 communes), Melun (13 communes) et Meaux (3 communes). Marles-en-Brie appartient à l'arrondissement de Provins, le plus étendu mais le second moins peuplé et le moins dense du département. Cet arrondissement de Modèle:Unité et Modèle:Unité comptait Modèle:Unité en 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Marles-en-Brie appartenait jusqu'alors au canton de Rozay-en-Brie, qui comprenait Modèle:Unité et comptait Modèle:Unité en 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Fontenay-Trésigny était la commune la plus peuplée du canton, loin devant Rozay-en-Brie qui compte près de la moitié de sa population. Le canton de Rozay-en-Brie faisait partie de l’arrondissement de Provins. De la Révolution à 1926, Marles-en-Brie et le canton de Rozay-en-Brie appartenaient à l'arrondissement de Coulommiers, puis de 1926 à 2005 à l'arrondissement de Melun avant de passer à l'arrondissement de Provins en 2006<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Longtemps marquée par les rapports sociaux découlant de la propriété foncière, la Seine-et-Marne est, de manière générale, un département de tradition plutôt conservatrice, même si elle a été rapidement, sous la Troisième République, gagnée aux idées républicaines. Cette tradition conservatrice se manifeste notamment dans les arrondissements ruraux de Seine-et-Marne, où sont régulièrement élus des candidats issus des partis de droite.
Modèle:Article connexe Lors des élections départementales de 2015, Jean-Jacques Barbaux (maire de Neufmoutiers-en-Brie et conseiller général sortant du canton de Rozay-en-Brie) et Daisy Luczak (maire de Courquetaine), binôme UMP, ont été élus conseillers départementaux au second tour pour le canton de Fontenay-Trésigny<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Jean-Jacques Barbaux a été ensuite élu président du conseil départemental de Seine-et-Marne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Depuis 1947, sept maires se sont succédé à Marles-en-Brie<ref>Commune de Marles-en-Brie sur le site de la Société d’Histoire, d’Art, de Généalogie et d’Échange (archive).</ref> : Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Instances judiciaires et administratives
Marles-en-Brie relève du tribunal d'instance de Meaux, du tribunal de grande instance de Meaux, de la cour d'assises de Melun, de la cour d'appel de Paris, du tribunal pour enfants de Meaux, du conseil de prud'hommes de Meaux, du tribunal de commerce de Meaux, du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Intercommunalité
Marles-en-Brie fait partie de la communauté de communes du Val Bréon qui regroupe dix communes adhérentes au Modèle:Date-.
Jumelages
La commune de Marles-en-Brie n'est jumelée avec aucune autre commune.
Politique environnementale
La commune de Marles-en-Brie adhère au syndicat intercommunal d'enlèvement et de traitement des ordures ménagères de la région de Tournan-en-Brie (SIETOM) qui a pour compétence la collecte et le traitement des déchets des habitants de 41 communes membres. Le SIETOM exploite au total cinq déchetteries, une usine de tri des déchets à Tournan-en-Brie et une usine de valorisation des ordures ménagères à Ozoir-la-Ferrière. Fontenay-Trésigny possède une déchetterie, ouverte en 2005 et située sur la route de Chaubuisson le long de la route nationale 4.
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Marles-en-Brie gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le SIAEPA de la région de La Houssaye-en-Brie assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Marles-en-Brie est située dans l'académie de Créteil.
La commune dispose d'une école maternelle et élémentaire<ref>École maternelle et élémentaire de Marles-en-Brie sur le site du Ministère de l'Éducation Nationale.</ref>.
L'enseignement au collège est dispensé sur la commune de Fontenay-Trésigny. Le collège Stéphane-Mallarmé, qui compte seize classes, accueille les enfants de Fontenay-Trésigny ainsi que ceux des communes de Marles-en-Brie et depuis Modèle:Date-, les élèves de Mortcerf.
Santé
Les hôpitaux les plus proches sont la clinique privée de Tournan-en-Brie, le centre hospitalier de Marne-la-Vallée et le centre hospitalier de Coulommiers.
Sécurité
Police - gendarmerie
Marles-en-Brie dépend de la Brigade territoriale autonome de gendarmerie de Mortcerf, située rue du 27-Août-1944.
Sapeurs-Pompiers
Fontenay-Trésigny dispose d'un nouveau centre d'intervention et de secours inauguré en Modèle:Date- et situé en périphérie d'agglomération à l'extrémité de la rue Bertaux<ref>Site du pays briard.</ref>.
Sports
Activités
La ville de Marles-en-Brie dispose de sept associations sportives : tennis, Taichi, football, boxe, karaté et pétanque<ref>Associations et Clubs Marlois sur le site de la mairie.</ref> . Cette commune est adhérente au syndicat intercommunal de la piscine de Fontenay - Trésigny.
Équipements sportifs
La ville dispose d'un espace municipal avec des terrains de football, basket-ball et tennis.
Médias
Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, ainsi que le bi-hebdomadaire Le Pays Briard relatent les informations locales.
La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre et d'IDF1.
L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : le Journal de la communauté de communes du Val Bréon<ref>Le Journal de la communauté de communes du Val Bréon sur le site de la communauté de communes du Val Bréon.</ref> ; Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusé par le conseil départemental de Seine-et-Marne<ref>Le Magazine de Seine-et-Marne sur le site du conseil général de Seine-et-Marne.</ref> et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France<ref>Le Journal du Conseil régional sur le site du conseil régional de l’Île-de-France.</ref>.
Cultes
La commune de Marles-en-Brie fait partie de la paroisse catholique « Pôle missionnaire de Mormant » au sein du diocèse de Meaux. Elle dispose de l'église Saint-Germain de Marles-en-Brie<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Manifestations culturelles et festivités
Dans le domaine culturel, la commune dispose d'une bibliothèque associative. Plusieurs associations culturelles sont présentes : country dance, patrimoine et histoire du village, loisirs créatifs. Une société est spécialisée dans l'animation.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nobr, représentant 1 739 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 360 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 7 septembre 2020</ref>.
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,8 % contre un taux de chômage de 6,7 %. Les 23,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,8 % de retraités ou préretraités et 5,9 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 26 février 2021</ref>.
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 26 février 2021</ref>.
En 2019, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.
Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le 26 février 2021</ref>.
La commune compte cinq commerces : boulangerie-pâtisserie, bar-restaurant, traiteur, pépiniériste, horticulteur<ref>Commerces sur le site de la mairie.</ref> ainsi que quatre artisans : coiffeur, électricien, fermier, informaticien de gestion<ref>Artisans sur le site de la mairie.</ref>.
Agriculture
Marles-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse<ref name="AgriGéné"/>.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Marles-en-Brie, observées sur une période de Modèle:Unité :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref> | |||
Nombre d’exploitations (u) | 11 | 10 | 8 |
Travail (UTA) | 21 | 22 | 21 |
Surface agricole utilisée (ha) | 598 | 1 044 | 672 |
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref> | |||
Terres labourables (ha) | 521 | 838 | 509 |
Céréales (ha) | 460 | 580 | 324 |
dont blé tendre (ha) | 255 | 352 | 210 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 191 | 172 | 68 |
Tournesol (ha) | s | s | |
Colza et navette (ha) | 0 | s | 46 |
Élevage<ref name="AgriGéné"/> | |||
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) | 426 | 471 | 348 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Germain du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle construite sur des substructions gallo-romaines.
- Classée monument historique en 1922, l'église de Marles-en-Brie, placée sous le vocable de saint Germain d'Auxerre, est constituée principalement en grès et en meulière<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>L'église Saint Germain d’Auxerre sur le site de la commune</ref>.
- La majeure partie de l'église est de style roman.
- Si son origine date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, d'autres parties ont été ajoutées quelques siècles plus tard comme la nef construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- La voûte de la grande nef, beaucoup plus récente, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'édifice abrite de nombreuses statues, ainsi qu'un coffre en bois du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle utilisé comme autel.
- Lavoir et son éolienne, inscrit monument historique en 2014<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Le lavoir sur le site de la commune</ref>.
- Rives du Bréon.
- Bois de Lumigny.
- Château de La Ferté (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Histoire
- Christian de Bartillat, Au Village de Brie, Presses du Village, 1984, 352 p.
- Frédéric-Auguste Denis, Lectures sur l'histoire de l'agriculture en Seine-et-Marne, Presses du Village, 1982, 376 p.
- André Laurent, La Seine-et-Marne autrefois, Éditions Horvath, 1982, 192 p. Modèle:ISBN
- François et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second empire (1852-1857), tome I, Paris, Palau, 1998, 215 p. Modèle:ISBN
- François et Maguy Palau, Le rail en France - Tome II, 1858 - 1863, 2001, 223 p. Modèle:ISBN
- René-Charles Plancke, La vie rurale en Seine-et-Marne 1853-1953, Éditions Amatteis, 1982, 256 p.
- René-Charles Plancke, Histoire de Seine-et-Marne vie paysanne, Éditions Amatteis, 1986, 432 p.
Patrimoine architectural
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes