Saint-Chamond

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Chamond est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Deux éléments fondent la notoriété de la ville : une tradition industrielle avec les fabriques de lacets au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis la Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt, devenue Creusot-Loire ; la politique avec une personnalité d'envergure nationale : Antoine Pinay qui dirige Saint-Chamond pendant près d'un demi-siècle et la France en 1952.

Capitale de la vallée du Gier, la ville évolue entre les pôles économiques et industriels de Lyon et de Saint-Étienne.

Comme d'autres villes du bassin houiller de la Loire, la commune est confrontée à plusieurs défis : la sortie de l'industrie de masse, l'explosion urbaine (doublement de sa population entre les décennies 1960 et 1970)<ref>Due à la fusion des quatre communes en 1964 : Saint-Chamond, Izieux, Saint-Julien-en-Jarez, Saint-Martin-en-Coailleux.</ref>, le renouvellement de son attractivité économique et résidentielle, enfin la préservation de son environnement (atout de la vaste zone rurale du Pilat et des coteaux du Jarez sur l'emprise foncière).

Saint-Chamond est en voie de tertiarisation mais sa population compte une importante part d'ouvriers qualifiés. Les retraités représentent Modèle:Unité.

Son avenir est déterminé par le renouvellement de sa vocation industrielle (avec son tissu de petites et moyennes entreprises), la réussite de sa capacité d'innovation (écoquartier de Novaciéries, retraitement des délaissés urbains), le maintien d'une offre commerciale locale, la mise en synergie de ses différents quartiers et territoires.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Saint-Chamond est située dans la vallée du Gier entre les monts du Lyonnais, au nord, et le massif du Pilat, au sud, entre Saint-Étienne à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Lyon à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France La vallée du Gier est une dépression géographique allongée sur Modèle:Unité, selon un axe sud-ouest–nord-est, entre les contreforts du Massif du Pilat et les coteaux du Jarez.

Les communes avoisinantes sont : Saint-Étienne, Lorette, La Grand-Croix, L'Horme, Cellieu, Saint-Jean-Bonnefonds.

Modèle:Multiple image

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ou Modèle:Unité<ref name="professionnels.ign.fr">Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, Modèle:Lire en ligne.</ref>, soit à peu près un dix-millième de la France.

Son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref name="professionnels.ign.fr"/>.

Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

Dans la région, plusieurs sites géographiques sont remarquables. Tels sont le crêt de la Perdrix, à Modèle:Unité, qui est le point culminant du massif du Pilat, le crêt de l'Œillon avec vue magnifique sur la vallée du Rhône et parfois sur le massif du Mont-Blanc, la cascade du saut du Gier dans le parc naturel régional du Pilat.

Hydrographie

Paysage d'une rivière entre lignes de collines.
Retenue du Gier au barrage de la Rive. 2008.

La ville est traversée par le Gier, aujourd'hui majoritairement couvert, qui prend sa source dans le massif du Pilat puis descend la vallée du Gier avant de se jeter dans le Rhône à Givors sur une longueur totale de Modèle:Unité.

Les barrages suivants sont répertoriés :

Climat

Modèle:…

Urbanisme

Typologie

Saint-Chamond est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (28,1 %), forêts (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), zones urbanisées (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

Vue générale d'une ville.
Vue générale dont la cité de Fonsala. 2013.

Le paysage de Saint-Chamond se découpe en plusieurs ensembles :

  • les versants boisés parsemés de quelques habitations dispersées (recyclage d'anciennes implantations agricoles) ;
  • les zones agricoles émaillées des fermes qui les cultivent ;
  • des hameaux anciens revigorés par des constructions plus ou moins récentes ;
  • l'espace urbain central du fond de vallée marqué par l'activité industrielle et le logement ouvrier, mais également par les résidences bourgeoises ;
  • des espaces de mitage de la zone périurbaine et agricole anarchiquement agencés par des constructions dispersées (Chavanne, Izieux, la Chabure, la Ravacholière, l'est de Saint-Martin-en-Coailleux).

Ces dynamiques d'occupation annihilent la distinction entre la ville et la campagne. L'emprise foncière menace l'image verte<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits, hameaux et écarts

Maison et dépendance le long d'une route sous la neige.
Chemin de la Martinière, hameau de Saint-Chamond. 2008.

Saint-Chamond est divisé en plusieurs quartiers. Historiquement, trois paroisses se partageaient la ville :

  • Saint-Ennemond ;
  • Saint-Pierre ;
  • Notre-Dame.

Les autres secteurs sont nés du regroupement des quatre communes en 1964, favorisant des dynamiques urbaines de construction et d'aménagement. L'année 1970 voit ainsi l'élévation de la zone à urbaniser en priorité (ZUP) de Fonsala, le plus grand quartier de Saint-Chamond, sur un ancien domaine rural. La même année est créée la zone industrielle du Clos-Marquet (Modèle:Unité) sur un autre espace rural dont la derrière mine est fermée dans les années 1950.

Certains territoires sont des divisions déjà existantes au sein des communes regroupées, comme la distinction du bourg de Saint-Martin-en-Coailleux et de la Valette qui relevait de cette ancienne commune. Modèle:Colonnes

Logement

Modèle:… En 2020, la commune comportait 17 789 logements : dont 85.9 % sont des résidences principales, 13.3 % des logements vacants et 0.8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

Parmi les résidences principales, 48.3 %, sont occupées par des propriétaires, 50.5 % sont locataires et 1.2 % sont logés gratuitement<ref name=":0" />.

En 2020, 68.2 % des logements sont des appartements et 31.6 % des maisons<ref name=":0" />.

Projets d'aménagement

L'ancien site manufacturier des Forges et aciéries de la Marine (1854), devenu la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (1954) puis Creusot-Loire (1970) ferme ses portes en 1985. Ainsi le quartier Novaciéries est l'objet d'un projet de développement et de requalification de la ville porté par la municipalité et obtient son classement comme quartier prioritaire de la politique de la ville.

Voies de communication et transports

Façade d'un bâtiment avec corps central et deux ailes.
La gare de Saint-Chamond en 2011.

Autoroutes et routes nationales

Aéroport/Aérodrome

Gare ferroviaire

Transports urbains

Modèle:Article détaillé

Autobus en ville de trois-quarts arrière droit.
Autobus de l'ancienne Ligne 3 à la place du Moulin en 2009.

La Communauté urbaine Saint-Étienne Métropole a la responsabilité des transports en commun de Modèle:Unité. Saint-Chamond est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS). Elle est desservie par les lignes :

Transports ferroviaires

Des trains express régionaux (TER) assurent la liaison d'une part vers Lyon et d'autre part vers Saint-Étienne ou Firminy.

Risques naturels et technologiques

Modèle:…

Toponymie

La ville de Saint-Chamond doit son nom à l'évêque de Lyon saint Ennemond<ref name="Dufour854">Modèle:Ouvrage.</ref> :<poem> – Modèle:Langue (976)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; – Modèle:Langue ou Annemondo ou Ennemundo (1090)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; – Modèle:Langue (1167) ; – Modèle:Langue (1173) ; – Modèle:Langue (1247) ; – Chastel de Saint Chamont (1344)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.</poem>

Histoire

Préhistoire

Modèle:…

Antiquité

Gravure noire et blanche. Ruines de deux piliers en pierres de part et d'autre d'un ruisseau
Vestiges de l'aqueduc romain.

Un poste de garde de l'un des cinq aqueducs qui alimentait Lugdunum (Lyon) aurait été situé près de l'ancienne église d'Izieux où de nombreux débris (tegula, imbrex) ont été mis au jour<ref>Modèle:Article. </ref>.

L'aqueduc du Gier acheminait les eaux du Gier captées en amont de Saint-Chamond. Des parties aériennes de cet aqueduc sont encore visibles dans la région de Mornant et de Chaponost (Rhône). Des parties souterraines sont découvertes en 1993 dans Saint-Chamond lors de la construction de la ZAC de la Varizelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Note.

Moyen Âge

Capitale du Jarez (le pays du Gier), Saint-Chamond est une seigneurie très importante dans la région forézienne et lyonnaise.

L'église Saint-André d'Izieux est mentionnée en 984Modèle:Note.

Le comte Guigues II de Forez fait enregistrer le château de Saint-Chamond lors de sa visite en 1167 au roi de France [[Louis VII de France|Modèle:Nobr]] qui le lui remetModèle:Note, la région est alors au centre du conflit opposant l'archevêque de Lyon au comte de Forez.

En 1173, lors de la Modèle:Langue entre le comte de Forez et l'archevêque de Lyon, ce dernier garde Saint-Chamond sous son contrôleModèle:Note. Elle forme, avec un ensemble d'autres cités voisines Modèle:Citation de l'Église de Lyon, la limite avec le comté de Forez. En 1278, les droits sur ces localités retournent apparemment au ForezModèle:Note sauf Saint-Chamond pour lequel les seigneurs de Jarez continuent à rendre hommage à l'archevêque de Lyon<ref name="DufourXXII"/>.

En 1224, Guigues de Jarez accorde une charte de franchise aux habitants de Saint-Chamond<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Parmi les seigneurs de Saint-Chamond se trouvent :

Temps modernes

Cour intérieure d'un bâtiment.
Cour de la mairie, ancien couvent des Minimes.
Reconstitution avec un logiciel d'un ensemble fortifié.
Reconstitution du Château de Saint-Chamond.

L'année 1628 est celle de la peste noire. Les chroniqueurs du temps appellent Modèle:Citation ce grand fléau.

Selon James Condamin, un religieux Capucin écrit que quatre moines de cet ordre, au service des souffrants, sont emportés par la maladie et que Modèle:Citation. Pour préserver le reste de la population, les malades sont isolés et transportés dans des cabanes, au Fay, où ils reçoivent quelques soins et des aumônes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond, marque la ville de son empreinte. On peut d'ailleurs voir de nombreux bâtiments de cette époque tels que la Maison des Chanoines des {{#switch: et

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}} (classée monument historique), l'Hôtel-Dieu (classé monument historique), l'église Saint-Pierre du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (classée monument historique), et le couvent des Minimes, construit entre 1622 et 1624, qui est aujourd'hui la mairie de Saint-Chamond. Modèle:Référence nécessaire.

Révolution française et Empire

Gravure noire et blanche représentant la vue générale d'une ville.
Château des seigneurs de Saint-Chamond. Gravure. 1644.

En Modèle:Date-, avec la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux, Saint-Chamond plonge dans la Révolution.

À l'instar des villes dont le nom porte celui d'un saint, pendant la Révolution française, Saint-Chamond est dénommée Vallée-Rousseau du nom du fameux philosophe, venu herboriser dans le Pilat. Elle appartient au département de Rhône-et-Loire.

En 1792, le château et la collégiale sont pillés et en partie démolis par les habitants qui détruisent aussi par le feu les archives seigneuriales. Seuls un tronçon vertical de la collégiale, les écuries et la grand'grange Modèle:Incise sont encore visibles aujourd'hui sur la colline de Saint-Ennemond.

En 1793, Lyon se révolte contre la Convention et entraîne Saint-Chamond dans l'insurrection. La défaite de l'armée lyonnaise conduit à l'évacuation de Saint-Chamond. La Convention envoie alors Javogues qui multiplie les arrêtés épuratoires ainsi que les exécutions sommaires et rançonne les habitants.

En 1796, les Saint-Chamonais expédient une colonne mobile contre les prêtres réfractaires et les déserteurs.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Image noire et blanche d'une usine en campagne.
Usine Petin-Gaudet et Modèle:Cie. (L'Illustration 1862).
Tramway dans une ville.
Tramway à vapeur de la CFVE.
Tramway à un carrefour.
Tramway à l'entrée de la ville, rue de Saint-Étienne. Début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Photo d'une carte de visite d'entreprise.
Manufactures réunies de tresses et lacets. Après 1898.

En 1848, Germain Morel, fils du maître de forges Antoine Morel à Saint-Chamond, s’associe avec Modèle:MM., maîtres de forge à Rive-de-Gier, pour créer à Saint-Chamond « Morel et Modèle:Cie ». En 1854, la société devient la Compagnie des hauts-fourneaux, forges et aciéries de la Marine et des Chemins de fer, avec un nouvel associé, l’Anglais Jackson.

Vers 1850, les restes du château et de son domaine sont donnés aux frères des écoles chrétiennes par la famille qui acheta la seigneurie de Saint-Chamond en 1768, Monsieur le Marquis de Mondragon (Jean-Jacques de Gallet), à condition d'y dispenser l'éducation à la jeunesse saint-chamonaiseModèle:Note.

La ville est desservie dès 1882 par les tramways à vapeur de la Compagnie des Chemins de fer à voie étroite (CFVE), qui la relient à Saint-Étienne.

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Chamond devient la capitale mondiale de l’industrie du lacet. Cette activité, fondée par Charles-François Richard appelé aussi Richard-ChambovetModèle:Note, en 1807-1809, repose sur l'usage du métier à poupée Modèle:Incise<ref name="Paris 1839">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le lacet de corset ou le lacet de chaussure est très utilisé à l'époque : Modèle:Citation.

Commencée avec trois métiers, la fabrique en compte plus de cent en 1812 et 1 200 travaillent dans toute la ville en 1838 à partir de plusieurs maisons créées à l'exemple de Richard-Chambovet : Modèle:Citation.

Charles-François est secondé plus tard par son fils Ennemond Richard. En 1898, Antoine Reymondon et d'autres associés créent la société des Manufactures réunies qui regroupe dix des plus grands fabricants de lacets.

D'après Le Monde Illustré, du Modèle:Date-, l'industrie saint-chamonaise du lacet fabrique Modèle:Unité nationale.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Sur une carte postale vue générale d'une zone industrielle.
Les Aciéries et forges de la Marine, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Aristide Briand (1862-1932), homme politique socialiste, alors partisan du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale, est élu député de la Loire le Modèle:Date-, dans une circonscription qui comprend une partie de Saint-Étienne et le canton de Saint-Chamond. Il le reste jusqu'en Modèle:Date-. Il succède à l'ancien maire de Saint-Chamond, Benoît Oriol, élu pendant les deux législatures précédentes.

Aristide Briand est surtout préoccupé de politique nationale et, lorsqu'il se rend à Saint-Chamond, ses discours ont une portée générale. Ainsi en 1909, il se défend de toute attaque contre le catholicisme tout en revendiquant le laïcisme<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. De même en Modèle:Date-, il évoque son projet d'association capital-travail<ref>Modèle:Article.</ref>.

À Saint-Chamond aujourd'hui, une salle de spectacle porte son nom.

Première Guerre mondiale

Médecins et infirmières sous des arcades.
Hôpital Modèle:Nobr dans le collège Saint-Marie en Modèle:Date-.

Saint-Chamond participe de quatre façons aux efforts de guerre :

  • la mobilisation de ses hommes : peut-être Modèle:Unité dont Modèle:Nobr saint-chamonais morts pour la France ;
  • la production industrielle, notamment des usines Chavanne-Brun (obus) et des Aciéries de la Marine (munitions, artillerie, Modèle:Nobr dont quatre cents unités sont fabriquées en 1917) ;
  • réquisitions, ravitaillement, secours aux familles ;
  • accueil hospitalier des soldats blessés ou convalescents dans l'École supérieure de jeunes filles (hôpital Modèle:Nobr) et dans le collège Sainte-Marie (hôpital Modèle:Nobr)Modèle:Note.

Les soldats saint-chamonais morts pour la France ne reposent pas tous dans le cimetière communal. Les victimes inhumées à Saint-Chamond se trouvent :

  • soit autour du monument aux morts ;
  • soit dans des sépultures individuelles, ou familiales le plus souvent.

Les autres sont enterrés dans diverses nécropoles aménagées dans les régions des champs de bataille.

En 1931, se produit la fermeture du tramway électrique de Saint-Chamond.

La Résistance à Saint-Chamond

Photo d'une plaque commémorative.
Plaque commémorative du sabotage de Modèle:Date-, rue Petin-Gaudet.

Les Modèle:1er et Modèle:Date-, le maréchal Pétain, chef de l'État français, se rend en visite à Saint-Chamond. Modèle:Citation.

Plusieurs Saint-Chamonais se sont illustrés dans les activités de résistance à l'occupant allemand. Un rôle très actif est assumé par la famille Cave dont quatre membres sont arrêtés par la Milice. Le Modèle:Date-, les membres de cette famille sont pris au Modèle:Nobr pour être emmenés en déportation. Claude Cave meurt à Neuengamme. Claudia Cave, son épouse, meurt à Ravensbrück ainsi que sa fille Marie, âgée de Modèle:Nobr. Seul Paul, âgé de Modèle:Nobr et dernier membre de la famille, déporté à Neuengamme, rentre vivant.

Marie Cave s'est engagée dès 1940 dans la Résistance pour distribuer des journaux clandestins. La maison familiale Modèle:Incise Modèle:Citation. En 1942, elle diffuse le journal clandestin Défense de la France et en 1943 elle intègre le réseau Alibi<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Une plaque est apposée à l'entrée de leur immeuble et un rond-point porte leur nom.

Le Modèle:Date-, aux Forges et aciéries de la Marine, a lieu un sabotage qui Modèle:Citation. Une stèle commémorative est érigée dans la rue Pétin-Gaudet.

Après-guerre

Angle de deux rues bordées d'immeubles à deux étages.
Vieux quartier, rue du Janon. 1965.

Dans les années 1950, les Forges et aciéries s'associent avec les Établissements Jacob Holtzer, l'Usine de la Loire, et les Aciéries et forges de Firminy. De ceci nait la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (CAFL) en 1954, tandis que la ville voit la fermeture de sa dernière mine au Clos-Marquet.

La « taille » des années 1950 : initialement l'abattage se fait au marteau piqueur et le charbon est évacué par de petits convoyeurs. Les mineurs, qui travaillent dans une ambiance poussiéreuse et dans un air ambiant à Modèle:Unité, se relayent toutes les Modèle:Unité. Les années 1950 voient le développement de soutènements métalliques.

La ville de Saint-Chamond actuelle est le résultat de la fusion en 1964 des communes de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez, d’Izieux et de Saint-Chamond. La ville devient alors la troisième commune de la Loire, avec près de Modèle:Unité.

Ces années sont marquées par une spectaculaire régénération urbaine. Déjà en 1929, tout juste élu maire, Antoine Pinay fait établir un diagnostic de l'insalubrité des logements : Modèle:Nobr sont à reconstruire<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. La mise en place d'un office d'habitations à bon marché (HBM) permet la construction de nouvelles habitations rue Jean-et-André-Dugas et rue James-Condamin.

En 1964 et 1965, plusieurs îlots vétustes sont détruits dont celui du quartier de la Boucherie, sur trois hectares et demi, ainsi que les vieilles maisons du boulevard Waldeck-Rousseau ou de la rue du Janon. Le béton armé et les barres des habitations à loyer modéré (HLM) les remplacent. La cité de Fonsala sort de terre.

En 1970, la rénovation est en grande partie effectuée. Antoine Pinay promeut la modernisation de sa ville. Le Modèle:Date-, il accueille Albin Chalandon, alors ministre de l'Équipement.

L'élimination du vieux bâti cause, cependant, quelques dommages patrimoniaux. Sont ainsi démolies la chapelle des Ursulines, la chapelle des Pénitents encore visible en 1964 sur la place Notre-Dame mais détruite en 1965 et le couvent des Capucins rasé en 1972.

Historiens de Saint-Chamond

De l'érudit local à l'universitaire américain, la ville a suscité de nombreux travaux d'historiens : Ennemond Richard (1806-1873), Jean-Baptiste Boudet (1814-1887), Martin Presbitero (1837-1910), F. Raymond (?), Maurice de Boissieu (1844-1933), James Condamin (1844-1929), Gustave Lefebvre (1865-1937), Stéphane Bertholon (1862-1931), François Gonon (1863-1957), Mathieu Fournier (1868-1963), Michael P. Hanagan (né en 1947), Lucien Parizot (1920-2000), Elinor Accampo (née en 1949), Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme (?), Éric Perrin (né en 1965), Gérard Chaperon (né en 1922)<ref>«Les historiens de Saint-Chamond», Michel Renard, saint-chamond.canalblog.com, 9 avril 2016.</ref>, Eric Moulin-Zinutti (né en 1972).

Politique et administration

Façade d'une maison.
Mairie au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Façade d'une maison.
Façade de la mairie. 2015.

La commune de Saint-Chamond absorbe en 1964 celles d'Izieux, Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Martin-en-Coailleux<ref name="Cassini" />.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Étienne du département de la Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Loire.

La ville était le chef-lieu du canton de Saint-Chamond de 1793 à 1984, année où celui-ci est scindé entre les cantons de Saint-Chamond-Nord et de Saint-Chamond-Sud<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de Modèle:Nobr.

Intercommunalité

Saint-Chamond est l'une des Modèle:Unité de Saint-Étienne Métropole.

Tendances politiques et résultats

Modèle:... Modèle:Article détaillé

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Modèle:…

Distinctions et labels

Modèle:Section à actualiser En 2017, la commune de Saint-Chamond est récompensée par le label Ville Internet de quatre arobases<ref>Modèle:Lien web.</ref>, résultat confirmé encore en 2019<ref name="vilint2014">Modèle:Lien web.</ref>.

En 2019, Saint-Chamond bénéficie du label ville fleurie avec trois fleurs<ref>Modèle:Lien web.</ref> attribué par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris<ref name="vilfleur2014">Modèle:Lien brisé.</ref>.

Jumelages

Maison à colombages dont le rez-de-chaussée en arche laisse passer une route.
Porte du château de Grevenbroich (Allemagne).

Équipements et services publics

Enseignement

Fichier:Institution Sainte Marie la grand'grange à Saint Chamond (entrée bâtiment principal).jpg
Institution Sainte Marie la Grand'Grange (ISMGG).

Modèle:… En 2017, la ville compte dix-huit écoles primaires publiques (classes maternelles et élémentaires) et 6 écoles primaires privées.

Trois collèges publics et un collège privé sont présents sur la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lycées de la ville :

  • lycée Claude-Lebois : lycée général, technologique et professionnel (public)
  • lycée Sainte-Marie : lycée général (privé) ;
  • la Grand'Grange : lycée professionnel (privé) ;
  • lycée hôtelier Les Petites Bruyères : lycée professionnel (public) ;
  • lycée professionnel St-Ennemond : lycée professionnel (privé) ;
  • MFR de Saint-Chamond : lycée professionnel et classes préparatoires (privé) ;
  • institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier du Pays du Gier : enseignement supérieur (public).

Santé

Modèle:…

Population et société

Foule lors d'un marché.
Affluence au marché aux bestiaux. Début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Les habitants de la ville sont appelés les Couramiauds. Ce nom viendrait du fait que pendant la fête du feu de la Saint-Jean, les habitants de Saint-Chamond Modèle:Passage contradictoire et les enfants couraient après celui-ci, d'où le nom de « cours-à miaou », soit Couramiauds<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. D'autres les appellent Saint-Chamonais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

En 1964 la commune de Saint-Chamond a fusionné avec trois communes voisines (Saint-Martin-en-Coailleux, Saint-Julien-en-Jarez et Izieux). Cela explique la brusque augmentation démographique apparente entre 1962 et 1968 : les données antérieures à 1964 concernent uniquement l'ancienne commune de Saint-Chamond et les populations des communes historiques de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez et d'Izieux sont comptabilisées séparément.

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53,1 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,65 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Sports et loisirs

Modèle:Section à sourcer Le Saint-Chamond Basket (SCB) évolue dans le championnat de France de basket-ball en Modèle:Nobr (PRO B).

L'Entente Saint-Chamond Volley, fruit de la fusion, en 1986, de deux entités qui représentaient ce sport, a évolué durant dix-sept ans dans le Championnat de France masculin en division Modèle:Nobr. En 2010, le club accède en Championnat de France à la division excellence féminine (Modèle:Nobr française). Par ailleurs, dans ce club orienté vers la compétition, la formation des jeunes a permis d'obtenir en 1994, un titre de champion de France dans la catégorie cadettes.

En gymnastique, Saint-Chamond est aussi bien classée au niveau régional, notamment avec les Étoiles de la Valette et la Sentinelle de la Grande Grange, qui concourt au plus haut niveau national.

La piscine Roger Couderc, une des rares piscines à vagues de la région, forme de nombreux nageurs, ainsi qu'une équipe en natation synchronisée.

En handball, les seniors filles et garçons évoluent en Championnat de France de division Modèle:Nobr, Modèle:Nobr placent Saint-Chamond Handball pays du Gier au Modèle:Ordinal national, vingt-deux équipes (onze féminines).

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:Référence nécessaire.

Depuis 1998 a lieu en juin La Rue des Artistes<ref>Modèle:Lien web.</ref>, festival pluridisciplinaire avec trois soirs de concerts et des spectacles de rue.

Cultes

Modèle:… L'imam de la mosquée de St-Chamond, Mmadi Ahamada, est destitué et expulsé aux Comores par le ministre Darmanin à la suite d'un prêche dans lequel il a lu un verset du Coran analysé comme contraire à l'égalité hommes-femmes <ref>Modèle:Article</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:…

Emploi

Modèle:…

Entreprises et commerces

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Chamond connaît les manifestations d'une proto-industrialisation à partir de plusieurs activités :

  • le moulinage de la soie ;
  • la passementerie et le ruban ;
  • les fonderies de fer et la fabrication des clous.

L'histoire de la commune est très fortement liée à l'eau (aqueduc romain, métallurgie, textile, teinturerie…). Jules Duclos, maire de Saint-Chamond sous Napoléon III, fait construire le premier barrage de Saint-Chamond, dénommé barrage de la Rive. Deux autres barrages sont ensuite réalisés, celui du Piney, et celui de Soulage. Aujourd'hui, seuls ceux de la Rive et de Soulage sont encore en eaux.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et comme beaucoup de villes de la région, l'économie de la ville est tournée vers l'extraction de la houille, la métallurgie, le textile et le cuir (teinturerie, tissage, lacets…). En traversant Saint-Chamond, on peut remarquer seulement deux cheminées conservées de l'époque des hauts-fourneaux. Dont l'une avec ses Modèle:Unité de haut qui sert de repère géodésique.

Jusqu'aux années 1970-1980, l'économie de la ville est en grande partie fondée sur la métallurgie représentée par une seule entreprise. Il s'agit de la Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt (FAMH) dont le nom change régulièrement, de la Compagnie des aciéries et forges de la Loire puis de Creusot-Loire.

Cette industrie engendre certains spécimens fort célèbres, dont le char Saint-Chamond (fabriqué par la FAMH) qui est un des premiers chars blindés français, le véhicule de l'avant blindé (VAB) qui équipe l'Armée et la Gendarmerie, le Nautile sous-marin civil de l'institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) qui permet de visiter 97 % du fond des mersModèle:Etc.

Aujourd'hui, et à la suite de la crise, l'économie de Saint-Chamond s'est développée autour de pôles d'activités très variés (industrie textile, métallurgie, ingénierie, plasturgie, câblerie, électrochimie, industrie agroalimentaire).

Saint-Chamond compte sept sites constituant des pôles d'activités industrielles, technologiques, tertiaires, commerciales et de service :

  • le parc d'activités STELYTEC ;
  • la zone d'activité (ZAC) de la Varizelle ;
  • l'aire des pays du Gier ;
  • la zone industrielle (ZI) du Coin ;
  • la ZI du Clos-Marquet ;
  • la ZI Pré-Château ;
  • le centre d'activités artisanales et industrielles (CAAI).

Saint-Chamond compte sept cents entreprises.

Industrie

Culture locale et patrimoine

Édifices disparus

Lieux, édifices et monuments actuels

Façade d'un bâtiment.
Hôtel-Dieu. 2014.
Intérieur d'une église.
Collatérale nord de l'église Notre-Dame.
Jardin public.
Jardin public. 2014.
Rue fleurie.
Entre la gare et la rue du Pont-Fournas. 2015.

Monuments historiques

  • Maison des Chanoines ({{#switch: XVI
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Édifices religieux

Patrimoine urbain et architectural

Patrimoine industriel

Monuments

Jardin public

  • Jardin des plantes ou Jardin Nelson-Mandela

Sites naturels

  • Paraqueue : vue imprenable sur tout Saint-Chamond
  • Hauteurs de Chavanne : vue sur tout Saint-Chamond, ainsi qu'une partie de Rive-de-Gier et Saint-Étienne
  • Hauteurs de la Chabure : panorama de la Vallée du Gier

Patrimoine culturel

Modèle:…

Personnalités liées à la commune

Photo d'un buste d'homme sculpté.
Charles-François Richard (1772-1851).
Photo noire et blanche d'un homme de format identité.
Ravachol (1859-1892).
Photo à mi-buste, noire et blanche, d'un homme de face et cravaté.
Aristide Briand (1862-1932).
Lauréats sur un podium.
Alain Prost, à gauche, en 1988.

Personnages historiques

  • Jacques Mitte de Chevrières (1549-1610) , seigneur de Saint-Chamond, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du yonnais et du Beaujolais. Il était l'époux de Gabrielle d'Urgel de Saint-Chamond (1547-1596), fille de Christophe d'Urgel de Saint-Chamond (+ 1580) et de Louise d'Ancézune, unique héritière de la seigneurie de Saint-Chamond.
  • Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649), [fils du précédent], lieutenant général des armées du Roi et ministre d'État sous Louis XIII et Louis XIV.
  • Antoine Flachat (1725-1803), né et mort à Saint-Chamond, curé de la paroisse Notre-Dame, prédicateur du roi de Pologne ; élu député du clergé aux États généraux, le Modèle:Date-, pour la sénéchaussée de Lyon.

Industriels

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}}, marchands fabricants de soie, banquiers, maire.

  • Charles-François Richard, né en 1772 ; fondateur de l'industrie des lacets ; maire de l'ancienne commune d'Izieux en 1830 (aujourd'hui rattachée à la commune de Saint-Chamond) ; décoration du Lys ; chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1851.
  • Modèle:Refnec.
  • Roger Zannier (1945), patron du groupe Zannier, a lancé son entreprise à Saint-Chamond.

Hommes politiques

Militants politiques

  • Ravachol (1859-1892), militant anarchiste, né à Saint-Chamond, guillotiné à Montbrison.
  • Louis Follet (1898-1957), syndicaliste et militant communiste, mort dans l'ancienne commune d'Izieux.

Policiers

Religieux

  • Marcellin Champagnat (1789-1840), homme d'Église et pédagogue, fondateur de Notre-Dame de l'Hermitage, mort à Saint-Chamond.
  • François Rivat (1808-1881), Modèle:1er supérieur général des frères maristes reconnu vénérable par l'Église catholique, mort à Saint-Chamond.
  • James Condamin (1844-1929), chanoine, professeur à la Faculté catholique de Lyon, historien de Saint-Chamond
  • Alexandre Poncet (1884-1973), vicaire apostolique à Wallis-et-Futuna, a précédé Michel Darmancier.
  • Michel Darmancier (1918-1984), premier évêque de Wallis-et-Futuna.

Écrivains

Savants

Instituteurs, professeurs, directeurs d'école

Artistes

Sportifs

  • Samuel Allegro (1978-), footballeur né à Saint-Chamond.
  • Dominique Aulanier (1973-2020), footballeur né à Saint Chamond.
  • Magali Baton (1971-), judokate française née à Saint-Chamond.
  • Julie Coulaud (1982-), athlète française, spécialiste du steeple.
  • André Giriat (1905-1967), rameur, mort à Saint-Chamond.
  • Pierre Haon (1966-), footballeur professionnel, né à Saint-Chamond.
  • Sébastien Pérez (1973-), ancien footballeur, né à Saint-Chamond.
  • Alain Prost (1955-), quatre fois champion du monde de Formule 1, a passé son enfance et son adolescence à Saint-Chamond.
  • Laurent Redon (1973-), pilote automobile, né à Saint-Chamond.
  • Youcef Zenaf (1957-), sportif, champion du monde de full-contact de 1984 à 1986.

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Articles connexes

Modèle:Palette

Modèle:Portail