Saint-Eloy (Finistère)

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Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Eloy {{#ifeq:1|0|[sɛ̃telwa]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}, officiellement, ou Saint-Éloy usuellement, est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Saint-Éloy est une commune du centre du département du Finistère, située à l'ouest des Monts d'Arrée et au nord-est du Faou. Son finage, étiré en longueur dans le sens est-ouest, est limité au sud par un affluent de rive droite du Camfrout et s'élève jusqu'à Modèle:Unité d'altitude dans sa partie orientale à Balanec Alouet Huella, mais descend jusque vers une soixantaine de mètres dans la partie sud-ouest de la commune, dans la partie aval du cours d'eau précité ; le bourg est vers Modèle:Unité d'altitude. La commune fait partie du Parc naturel régional d'Armorique.

L'habitat rural est dispersé en quelques hameaux et fermes isolées. Une part importante du territoire communal est inculte ou boisée ; certains toponymes sont révélateurs de la pauvreté des sols (Yeun an Aman, Yeun Porsallan, Yeun Kergoarem, Lan ar Bourhis) [Yeun signifie en breton une zone de marécages ou de tourbières].

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Des carrières de schiste, de couleur sombre, utilisé comme matériau de construction (non ardoisier), donne un aspect sévère à de nombreux bâtiments, notamment dans le bourg. « Dans tout le secteur compris entre Hanvec, Saint-Éloy et Irvillac, les microgranites sont peu utilisés [pour la construction] par suite de l'abondance d'un schiste bleu sombre apte à fournir d'excellents moellons souvent de grande dimension (schistes dévoniens de Saint-Éloy) »<ref>Louis Chauris, Mise en œuvre de quelques microgranites du centre Finistère dans les constructions, Société géologique et minéralogique de Bretagne, "Bulletin de la Société géologique et minéralogique de Bretagne", 2010, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9687436n/f64.image.r=Irvillac?rk=729617;2</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 17 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sizun », sur la commune de Sizun, mise en service en 1983<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Eloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), forêts (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint Eloy du Fresque en 1486, Saint Eloy ou Saint-Esloy en 1567<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune doit son nom à saint Alar, ancien évêque de Quimper, saint très peu connu, et dont le nom fut assimilé au Moyen Âge à celui de saint Éloi<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Origines

Mylène Stéphan, (orientée dans ses recherches par Bernard Tanguy, chercheur au CNRS) écrit le Modèle:Date- pour le bulletin municipal ces quelques lignes :

« À l’heure actuelle, l’histoire de la Bretagne garde d’immenses zones d’ombre. Il n’existe pas d’écrit propre à Saint-Éloy. Aussi, les divers éléments qui peuvent nous éclairer, doivent être recherchés dans les documents concernant la région de Daoulas ; mais ceux-ci n’apparaissent qu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Depuis bien longtemps, au moins depuis l'âge du bronze moyen, c'est-à-dire de 1500 à 1200 avant Jésus-Christ, les terres environnant Saint-Éloy étaient habitées, comme le reste des monts d'Arrée. Les tumulus (tombes) de Forsquilly et Kérivoal en témoignent<ref>Émile Cartailhac, "Dictionnaire archéologique de la Gaule : époque celtique", tome 2, 1923, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9763804h/f567.image.r=Forsquilly?rk=21459;2</ref>. L’un de ceux-ci a été fouillé par l’archéologue Paul du Chatellier à la fin du siècle dernier. Il y a découvert quelques débris de poterie et de bronze en décomposition, qui doivent se trouver, aujourd'hui, au musée de Saint-Germain-en-Laye avec le reste de ses collections. À l'époque gallo-romaine, le bourg lui-même devait comporter quelques bâtiments : des tuiles caractéristiques de cette période y ont été retrouvées.

Le Fresq et les seigneurs de Forquilly (Forsquilly)

L’histoire écrite de Saint-Éloy, qui alors s’appelait Le Fresq et des terres environnantes en particulier Forquilly (écriture ancienne) débute au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et cette histoire sera bien longtemps indissociable de celle de l'abbaye de Daoulas. Comme toutes les vieilles abbayes celtiques d’Armorique, celle-ci avait été détruite par les Normands vers le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Afin de la relever de ses ruines, Guyomarc'h de Léon va assurer au nouveau monastère d’importants revenus. L’acte le plus ancien, touchant sa fondation dit que : Modèle:Citation. Cet acte fut fait devant Geoffroy, évêque de Cornouaille en 1173. Guyomarc'h, de plus, donna à l'abbé le chevalier qui occupait les terres de Forquilly.   À cette époque Forquilly était une prévôté féodée dépendant de la seigneurie d'Irvillac (les seigneuries étaient divisées en circonscriptions appelées prévôtés afin de faciliter la gestion et la perception des impôts). Plusieurs seigneurs de Forquilly furent abbés à Notre-Dame de Daoulas :

  • Hervé de Forquilly de 1317 à 1325,
  • Alain Seissoris de Forquilly de 1325 à 1351. Leurs successeurs achetèrent d’autres terres à Forquilly à Kérivoal. Il existait à Forquilly une chapelle Saint-Nicolas.

Le nom d’un champ mentionne encore aujourd’hui son emplacement. Un acte de 1510, fait par Claude de Rohan, évêque de Cornouaille, accorde une indulgence de 40 jours à tous ceux qui visiteront la chapelle Saint-Nicolas lors des fêtes de ce saint en mai et décembre.   Guillaume Le Lay, abbé de Daoulas de 1468 à 1502, acheta le manoir du Fresq (une note du vieux nécrologe nous l’apprend). Le bourg existait donc déjà au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et François II, duc de Bretagne, accorda le Modèle:Date- l’érection d’une foire de Saint-Éloy au Fresq. Saint-Éloy était honoré dans la chapelle qui y était bâtie. Le Modèle:Date, Jean du Largez, qui fut abbé à Daoulas de 1502 à 1520, avant d'être évêque suffragant de Vannes (et non d'Avesnes comme le disent à tort de nombreuses sources<ref>Jean du Largez reçoit en 1511-1512 le titre ambigu d'évêque da Vennes en latin d'Avennencis ou d'Avenetensis qui a été interprété de façons erronées et fait croire qu'il avait reçu le titre hypothétique d'« évêque d'Avesnes », voire celui d'évéque in partibus d'Avenne en Thrace, voir Diocèse de Quimper Bulletin diocésain d'Histoire et d'Archéologie 1935 Modèle:P.9, qu'il porte jusqu'à sa mort.</ref>) consacra la chapelle Notre-Dame du Fresq. En 1521, pour fuir une épidémie de peste, les moines de Daoulas vinrent s’installer au Fresq où l’air était plus salubre et le Modèle:Date- l’abbé et le couvent tinrent chapitre à Notre-Dame du Fresq. Les abbés de Daoulas jouissaient du droit de haute justice. Leurs fourches patibulaires, c’est-à-dire leurs gibets, étaient installées au Fresq. En 1567, elles étaient tombées depuis 15 ans ; le Modèle:Date- de cette année, le roi Charles IX octroyant à l’abbé Jean Le Prédour, l'autorisation de les relever. Ce même jour, il accordait l'établissement de deux foires par an au Fresq, l’une le jour de la Saint-Laurent, en août et la seconde le jour de la Saint-François en octobre, outre celle qui était déjà établie le jour de la Saint-Éloy.

À partir de cette date, les documents manquent. Il n’est alors possible d’entendre parler de Saint-Éloy, trève d’Irvillac, qu’au travers de ses prêtres, en particulier à l’époque révolutionnaire.

Le fait est qu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le bourg s’appelait encore Le Fresq et je ne sais à quelle occasion, ni à quelle date précise il prit son nom actuel. Cela s’est fait dans le courant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; une carte de 1635 mentionne le bourg de Saint-Éloy. » Saint-Éloy était alors une simple trève dépendant de la paroisse d'Irvillac.

Arrêté n° 1016 du 7 brumaire de l'an X [[[:Modèle:Date]]] portant réduction des justices de paix du département du Finistère<ref>Bulletin des lois de la République française n° 133 sur Gallica.</ref>.  

L'activité toilière au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La culture du lin était se pratiquait à Saint-Éloy par exemple à Forsquilly et à Letiez selon des inventaires après décès, mais Saint-Éloy pratiquait surtout le tissage de la toile (115,6 métiers à tisser comptabilisés pour 100 inventaires après décès contre par exemple 68,6 à Irvillac. Huit kanndi ont été recensés à Saint-Éloy<ref>Andrée Le Gall-Sanquer, Jean-Luc Richard, Marie-Louise Richard, L'or bleu (An aour glaz) : le lin au pays de Landerneau-Daoulas, Association Dourdon, Cloître Imprimeurs, 2005, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Éloy en 1845 : Modèle:Citation bloc Un rapport d'avril 1872 indique que Saint-Éloy fait partie des 28 communes du Finistère à être encore sans école<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 1879, un rapport du Conseil général du Finistère indique qu' « une portion considérable et très habitée du terrain situé (...) entre les bourgs du Le Tréhou, d'Irvillac et de Saint-Éloy » se trouve dépourvue de routes praticables pour atteindre Landerneau et que les habitants ne peuvent atteindre cette localité sans faire des détours qui allongent leurs parcours de 6 à 8 kilomètres, à moins de passer la rivière de Daoulas à un gué souvent impraticable et difficilement abordable<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère", 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55621158/f291.image.r=Tr%C3%A9hou?rk=85837;2</ref>.

En 1889, Benjamin Girard présente ainsi Saint-Éloy : « Ancienne trève de la paroisse d'Irvillac, Saint-Éloy est une pauvre commune située sur les dernières pentes des montagnes d'Arrez ; le bourg, situé à 137 mètres d'altitude, a 170 habitants et est sans importance. On suppose qu'une voie romaine, connue encore dans le pays sous le nom de Vieille route de Landerneau à Brasparts, traversait la commune de Saint-Éloy. Des tuiles ont été retrouvées dans le bourg et dans un champ voisin »<ref>Benjamin Girard, "La Bretagne maritime", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5744832r/f287.image.r=Irvillac</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par Mgr Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Saint-Éloy écrit : « Aucun de ces enfants ne connaît rien à la langue française »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le pardon de Saint-Éloy

Le Pardon était traditionnellement organisé le jour de l'Ascension et comprenait notamment une cérémonie rituelle d'aspersion d’eau sur différentes parties des chevaux, pour leur éviter maladies et blessures.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Saint-Éloy porte les noms de 31 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; parmi eux Joseph Jacq<ref group=alpha>Joseph Jacq, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, marsouin au 2e régiment d'infanterie coloniale, disparu le Modèle:Date à Rossignol (Belgique)</ref> est décédé en Belgique ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français, dont Yves Quintric<ref group=alpha>Yves Quintric, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, soldat au 264e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Tahure (Marne)</ref>, décoré de la Croix de guerre<ref name="mem">Modèle:Lien web.</ref>.

L'Entre-deux-guerres

Deux chevaux qui s'emballèrent au retour d'un charroi de bois en grume qu'ils avaient conduit à une scierie d'Irvillac provoquèrent le Modèle:Date le décès du conducteur de l'attelage et d'un charretier près du village de Forsquilly<ref>Journal L'Ouest-Éclair, n° du 20 mars 1938, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k630998v/f4.image.r=Forsquilly</ref>.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Saint-Éloy porte les noms de 10 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles, Guillaume Allain (décédé le Modèle:Date à Lübeck en Allemagne), Jean Autret<ref group=alpha>Jean Autret, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, marsouin au 4e régiment d'infanterie coloniale, mort en captivité à Bad Lausick en Allemagne le Modèle:Date.</ref>, Jean Bouguennec<ref group=alpha>Jean Bouguennec, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, agent français du Special Operations Executive.</ref>, résistant exécuté en déportation au camp de concentration de Buchenwald, Yves Bouguennec<ref group=alpha>Yves Bouguennec, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, sergent au 9e régiment de tirailleurs algériens.</ref> (décédé le Modèle:Date à Sienne en Italie), Jean Gloasguen<ref group=alpha>Yves Gloaguen, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, quartier-maître mécanicien à bord du torpilleur Épée.</ref>, marin décédé le Modèle:Date à Casablanca (Maroc), Hervé Gourmelon<ref group=alpha>Hervé Gourmelon, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, premier-maître timonier à bord du cuirassé Bretagne.</ref>, marin victime de la bataille de Mers el-Kébir le Modèle:Date<ref name="mem" />.

Deux soldats britanniques sont inhumés dans le cimetière de Saint-Éloy : Robert Holt (décédé le Modèle:Date) et Erik Jacobsen (un aviateur danois combattant dans les rangs de l'armée britannique dont l'avion, un Spitfire, touché par la flak allemande lors d'une mission de reconnaissance au-dessus de Morlaix s'écrasa près du hameau de Kerivoal), décédé le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'après Seconde Guerre mondiale

Yves Couchouron<ref group=alpha>Yves Couchouron, né le Modèle:Date à Saint-Éloy, décédé le Modèle:Date en Algérie</ref> est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie<ref name="mem" />.

Le chêne de la liberté de Saint-Éloy a été abattu par l'ouragan de 1987<ref>Jean Auffret, "Les arbres vénérables de Bretagne", Les éditions de la Plomée, 2002, Modèle:ISBN.</ref>.

Démographie

Modèle:Population de France/section

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Héraldique

Modèle:Blason commune

Monuments

Évènements

Modèle:...

Naissances

Décès

Modèle:…

Bibliographie

  • Bulletin de la société archéologique du Finistère, 1899.
  • Les époques préhistoriques et gauloises dans le Finistère, Paul du Chatellier, 1907
  • Daoulas et son abbaye, Prosper Levot.
  • L’abbaye de Daoulas, abbé Peyron.
  • Irvillac, des chanoines Peyron et Abgrall.
  • Chroniques du vieux Daoulas, Jean-Luc Deuffic et Marguerite Castell.

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références Modèle:Références

Cartes

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Références

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Voir aussi

Modèle:Palette Communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas Modèle:Portail