Yves du Manoir

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Modèle:En-tête label Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Rugbyman Yves Le Pelley Dumanoir dit Yves du Manoir, né le Modèle:Date de naissance à Vaucresson en Seine-et-Oise est un international de rugby, polytechnicien français mort le Modèle:Date de décès aux commandes de son avion à Reuilly dans l'Indre.

En dépit et en raison de la brièveté de sa vie, il bénéficie d'une très grande popularité en France. En témoigne le grand nombre de stades et de voies qui portent son nom, en particulier le stade de Colombes, près de Paris, temple du rugbyModèle:Note jusqu'en 1972<ref group="Note">C'est dans le stade de Colombes, renommé Yves-du-Manoir en 1928, que se sont disputés depuis le Modèle:Date- quasiment tous les matchs internationaux de rugby – hormis le match France-Écosse du Modèle:Date- au stade Pershing à Paris pendant les travaux des Jeux olympiques – jusqu'à la mise en service du nouveau Parc des Princes en 1972. Ce stade a également abrité la finale de la Coupe du monde de football de 1938.</ref> renommé stade Yves du Manoir quatre mois après sa mort. Hommage également que fut en 1931 la création du challenge Yves du Manoir.

Biographie

Origines familiales

Modèle:Article détaillé Yves Frantz Loÿs Marie Le Pelley Dumanoir est né le Modèle:Date de naissance à VaucressonModèle:Note en Seine-et-Oise (aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine). Il est le huitième enfant d'une fratrie de dix (cinq garçons et cinq filles, dont la dernière enfant Zizi du Manoir)Modèle:Note issue du mariage de Mathieu Jules Marie René, vicomte Le Pelley Dumanoir (1863-1924) et de Jeanne Gabrielle Marguerite Marie Compte de Tallobre (1868-1938)<ref>Acte de naissance d'Yves Frantz Loÿs Marie Le Pelley Dumanoir, Mairie de Vaucresson, Modèle:Date-.</ref>,<ref name="GENEA"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Pierfit"> Modèle:Lien web.</ref>.

Yves est issu d'une vieille famille normande, il possède parmi ses ancêtres des marins et des corsaires, avec notamment dans sa parentèle le vice-amiral Georges-René Pléville Le Pelley, dit le corsaire à la jambe de bois (1726-1805)<ref name="BS">Modèle:Harvsp</ref>,<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Le nom de la famille évolue au cours des siècles pour se stabiliser à « Le Pelley Dumanoir »<ref name="GENEA"/>,<ref name="Pierfit"/>,Modèle:Note. Ses quartiers de noblesse datent de la Restauration : son arrière-grand-oncle Pierre Dumanoir Le Pelley (1770-1829) et son arrière-grand-père ont reçu, quasi simultanément, du roi Louis XVIII, les titres respectifs de comte en 1814 et vicomte en 1816Modèle:Note, titres reconnus par la commission des preuves de l'Association de la noblesse française le Modèle:DateModèle:Note,<ref name="BDR"> Modèle:Lien web.</ref>.

Ses parents habitant à ParisModèle:Note, c'est tout naturellement que le jeune Yves fait ses classes rugbystiques dans un des deux (déjà) prestigieux clubs de la capitale : le Racing Club de France (R.C.F.).

Formation

Yves du Manoir est élève au collège Saint-Louis-de-Gonzague à Paris lorsqu'éclate la Première Guerre mondiale. À la rentrée 1914, son père envoie quatre de ses fils au collège Champittet à Lausanne, puis à la Modèle:Nobr au Modèle:Lien des pères jésuites à Jersey. À la fin de la guerre, les enfants rentrent en Modèle:Date- en France et Yves poursuit sa scolarité à l’école Sainte-Geneviève à Versailles. Son père lui obtient la dispense de treize mois pour se présenter la même année, à moins de Modèle:Unité, au baccalauréat ès-lettres où il est reçu. L'année suivante 1920, il est reçu au baccalauréat ès-sciences (mathématiques élémentaires)Modèle:Note.

À la rentrée scolaire 1920-1921, il entre en classes préparatoires au Lycée Saint-Louis de ParisModèle:Note et intègre à tout juste 20 ans l'École polytechnique en 1924Modèle:Note, où il a en particulier comme camarade de promotion Louis ArmandModèle:Note, « crotale de son casert » (chef de sa chambrée)<ref group="Note">En argot polytechnicien (désuet) le crotale désigne le chef de salle et le casert, apocope de casernement, le logement ou la chambrée.</ref>.

Il en sort démissionnaireModèle:Note en 1926 mais doit effectuer ensuite la dernière année de l'engagement spécial de trois ans qu'il a contracté le Modèle:Date- lors de son admission à l'ÉcoleModèle:Note et est nommé le Modèle:Date- sous-lieutenant dans l'Aéronautique militaire<ref>Nomination dans l'aéronautique (active), JORF, décret du Modèle:Date-, Modèle:Lire en ligne.</ref>. Il obtient le brevet militaire d'observateur en ballon le Modèle:Date- et en a normalement terminé le 30 avec ses obligations militaires.

Il profite alors de l'opportunité qui lui est offerte de passer le brevet de pilote et reprend du service pour un an à compter du Modèle:Date-Modèle:Note.

Personnalité

Au sortir de la guerre de 14 qui aura marqué durablement et le pays et les esprits, la population meurtrie par ces années de souffrance aspire à tourner la page et à reprendre goût à l'existence comme à l'aventure. Ce sont les années folles qui commencent en 1920 et se terminent en 1929 avec le début de la Grande Dépression. Le spectacle sportif participe à cet engouement. La fréquentation des lieux sportifs augmente sensiblement au cours des années qui suivent la guerre et la presse donne à l'événement sportif une audience et une popularité croissantes. Les journaux jouent un rôle majeur dans la promotion du sport en consacrant au travers des pages sportives une notoriété au Tour de France par exemple. C'est également la presse qui familiarise le public avec les grands noms du football et du rugby. D'ailleurs, la pratique de ce sport, limitée avant la guerre aux seuls milieux aisés, s'étend désormais aux couches populaires. Le succès des Jeux Olympiques de Paris en 1924 est en grande partie dû à la promotion qu'en ont faite les journaux français<ref name="Reichel" group="Note">Frantz Reichel, entre autres comme Gaston Benac au journal L'Auto ou Georges Bruni dans Le Gaulois, est responsable au Figaro de la rubrique sportive dont il est à l'origine. Sportif extrêmement polyvalent, il a remporté le titre de champion de France de rugby à XV avec le Racing Club de France en 1900 et participé la même année aux Jeux olympiques avec l'équipe de France qui remporte le tournoi et le titre. La F.F.R. donnera son nom au championnat de France junior de rugby (Coupe Frantz-Reichel).</ref>.

La personnalité d'Yves du Manoir réunit de quoi faire rêver le public. C'est un authentique aristocrate Modèle:Incise sociétaire comme ses frères d'un club huppé où il joue ce sport de voyous pratiqué par des gentlemen. Mens sana in corpore sano, il poursuit des études brillantes et honore simultanément ses premières sélections en équipe de France. Il est bien fait de sa personne, bon camarade, Modèle:Citation et ne se prend pas au sérieux. Yves du Manoir Modèle:Citation

Sportif et rugbyman

Il pratique dès l'enfance diverses disciplines sportivesModèle:Note et entend parler du rugby pour la première fois en 1906, époque des débuts de son frère aîné dans l'équipe du collège Stanislas. Au cours de l'année 1919, ses frères Guy et Alain s'initient au rugby dans l'équipe de Sainte-Geneviève ; l'entraînement a lieu pendant la récréation de midi à une heure. Yves ne s'y intéresse pas tout d'abord car il ne se sent pas encore suffisamment aguerri. Il s'isole dans un coin de la cour où se trouvent une barre fixe et quelques agrès : du début à la fin de la récréation, inlassablement pendant plusieurs mois, il travaille sa force et sa souplesse.

Racing club de France et équipe de France

En 1920, élève au lycée Saint-Louis, il demande son admission au club où évoluent ses frères Guy et Alain. Il apprend le rugby dans l'équipe junior, mais n'a pas l'occasion de jouer avec ses aînés qui se trouvent dans les équipes supérieures.

Pendant la saison 1921-1922, Yves continue à concilier ses études supérieures avec la pratique du rugby, en équipe inférieure du Racing et aussi dans l'équipe scolaire du lycée. Son frère Alain a été reçu à Grignon, mais les Modèle:Citation ne peuvent se retrouver que rarement sur le même terrain. Au début de la saison 1922-1923, il a l'occasion de jouer avec son frère et quelques anciens équipiers premiers, au mois de décembre, en équipe troisième, contre la première de l'U.S. de Troyes, puis en février contre Fontainebleau.

Le Modèle:Date-, au stade de Colombes, on va le chercher sur un terrain voisin en équipe troisième, car il manque un demi d'ouverture dans l'équipe première qui affronte en amical le Stade toulousain<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F - Stade Toulousain (6-6), (suite de l'article).</ref>. Le dimanche suivant, il va jouer en amical, à Poitiers<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F - Stade Poitiers (6-0).</ref>, avec l'équipe première. Il est dès lors prêt à y tenir sa place et fait un très beau match, le Modèle:Date-, contre le Stade Français<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F - Stade Français (12-3), (suite de l'article).</ref>, dans les championnats de ParisModèle:Note de première division. La semaine suivante, contre Cognac<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F - Cognac (8-3).</ref>, il est associé à son frère qui joue à la mêlée.

Dès ce moment, seuls les matchs de sélection ou internationaux l'éloignent de l'équipe première de son club, avec laquelle il joue un total de Modèle:Nobr. Son frère Alain est à l'armée et ne peut plus jouer qu'occasionnellement avec lui. Il dispute alors les poules quarts de finale du championnat de France 1923-1924 et, le Modèle:Date-, le match Paris-Londres<ref name="P-L" group="Note">C'est en 1911 que fut joué le premier match entre les deux capitales. Londres triompha par 21 points à 17 ; l'année suivante Paris était battu par 22 points à 12. En 1913 et 1914 Paris triompha par 15 points à 11 et par 11 points à 3. Puis ce fut la guerre, et les deux équipes ne se retrouvèrent en présence qu'en 1920, où Paris s'adjugeait la victoire par 21 points à 10. En 1921, Londres battait Paris par 16 points à 6. Le match ne se joua pas en 1922, faute d'entente sur la date mais en 1923 Paris remportait un succès par 22 points à 14. Avant la rencontre de 1924, Paris mène par 4 victoires à 3.</ref>.

Pour les saisons 1924-1925 et 1925-1926, du Manoir est à Polytechnique. Il est resté au Racing et joue, en Modèle:Date-, les matchs de sélection de Toulouse<ref group="L'A">Modèle:Date- : France A - France B (16-8), (suite de l'article).</ref> et de Béziers<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Reste de la France (36-19), (suite de l'article).</ref> pour le Tournoi des V Nations 1925. Il est sélectionné<ref group="FFR" name="N°187"/>, le Modèle:Date-, dans le XV de France, comme demi d'ouverture pour le match France-Irlande à Colombes. Dans une équipe amoindrie par l'élimination, dès le début de la partie, du demi de mêlée, puis du meilleur trois-quarts centreModèle:Note, il garde tout son sang-froid et se multiplie pour résister aux joueurs adverses et contre-attaquer. Yves du Manoir est éblouissant et est désigné « meilleur homme du XV de France »<ref>Modèle:Harvsp</ref>,Modèle:Note,Modèle:Note. Ce match fait dire au journaliste Robert Dieudonné : Modèle:Citation

Le 11 de ce même mois de janvier, il fait partie de la sélection française contre la Nouvelle-Zélande à Colombes et se signale par la façon dont, après cinq minutes de jeu, il adresse directement une longue passe à son trois-quarts aile Marcel Besson qui marque l'essai et par son dribbling en seconde mi-temps où, prenant de vitesse ses adversaires, il aplatit dans l'en-but et marque le second essai françaisModèle:Note. Une semaine plus tard, à Toulouse, il fait partie de l'équipe de France qui affronte ces mêmes Néo-Zélandais. Six jours plus tard, il joue à Édimbourg contre les Écossais et passe un drop, puis, le samedi Modèle:Date- à Cardiff, il affronte les Gallois et le Modèle:Date- à Colombes l'Angleterre qui remporte de justesse le match. Autant de défaites pour autant de matchs internationaux.

Il fait partie en revanche de l'équipe de Paris qui, à Colombes, bat Londres le Modèle:Date- ; il y est, Modèle:Citation et fait match nul, avec l'équipe de France militaire, contre l'équipe britannique.

Photographie en noir et blanc d'une équipe de rugby sur un terrain posant pour une photographie de groupe.
Yves du Manoir est un joueur du Racing Club de France, ici agenouillé en bas à droite dans une photographie d'équipe d'octobre 1927.

Très doué pour le rugby, il peut briller à tous les postes des lignes arrières, surtout comme demi d'ouverture ; il est bon botteur et excellent plaqueur. Athlète éclectique, il brille aussi en tennisModèle:Note et natationModèle:Note. Le passionné qu'il est bichonne particulièrement sa motocycletteModèle:Note,Modèle:Note.

Le Racing Club de France est qualifié pour les poules quarts de finale du championnat de France 1924-1925 mais, la saison suivante 1925-1926, le championnat est remanié et passe de 30 à 36 équipes. Le Racing est descendu d'une division et se retrouve en championnat de France Honneur (Modèle:2e). Du Manoir n'en continue pas moins à aligner une nouvelle sélection pour le Tournoi des V Nations 1926 avec le match France-Écosse joué à Colombes le Modèle:Date- ; Modèle:Citation, mais cela lui est profondément indifférent<ref name="p61,94">Modèle:Harvsp</ref>,Modèle:Note.

Son club continue à le convier tous les dimanches aux matchs de son équipe première et sait apprécier ses qualités de joueur et de sportif. Il fait aussi partie, le Modèle:Date-, de l'équipe de Paris contre Londres puis le dimanche suivant, il commande sur le même terrain de Colombes l'équipe de France militaire contre l'équipe britannique. Le match a lieu sous la présidence effective du président de la République Gaston Doumergue ; Yves du Manoir fait l'objet d'une décision du Modèle:Date- de l'École polytechnique : Modèle:Citation

Le Modèle:Date- en finale du championnat de France Honneur (Modèle:2e), le Racing triomphe du Sporting club mazamétain et du Manoir fait une partie étourdissanteModèle:Note. Grâce à cette victoire, le Racing dispute à nouveau le championnat de première division qui se joue désormais à Modèle:Nombre pour la saison 1926-1927. Tous les dimanches, Yves du Manoir retrouve ses camarades de rugby et ce retour en première division lui ouvre à nouveau les portes de la sélection.

Le Modèle:Date-, il joue à Colombes le match France-Irlande du Tournoi des V Nations 1927. L'Irlande gagne de justesse et ses détracteurs eux-mêmes doivent faire à nouveau appel à lui pour le match suivant. Il est nommé à Modèle:Unité capitaine de l'équipe de France pour son huitième et dernier match international, le match Écosse-France du Modèle:Date-, mais il sait que Modèle:Citation

Photographie en noir et blanc de deux hommes debout prenant la pose côte à côte.
Yves du Manoir (à gauche) lors du match contre la Roumanie le Modèle:Date-.

Au cours de cette même saison, les principaux autres matches disputés par Yves le sont contre l'armée britannique le Modèle:Date- à Blackheath, le lendemain à Colombes avec Paris battu par Londres, contre la Roumanie le Modèle:Date- au Stade Jean Bouin et contre l'Espagne le Modèle:Date- à Madrid. Dans ces deux derniers matchs, il commande l'équipe qui n'est qu'une sélection nationale. Entre-temps, le Racing Club de France s'est qualifié pour les poules quarts de finale du championnat de France.

La saison suivante 1927-1928, du Manoir abandonne presque le rugby pour ne pas risquer d'être retardé dans son brevet de pilote : d'Avord à Paris, il faut compter en effet une douzaine d'heures de trajet aller-retour et perdre une journée entière pour deux heures d'entraînement. Il refuse d'aller jouer pour son club, à Bordeaux, le Modèle:Date-. Alain joue avec lui pour la dernière fois le Modèle:Date-, à Colombes, contre Montauban<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F. - U.S. Montauban (15-0), (suite de l'article).</ref>. Le dimanche suivant, Modèle:Date-, il joue pour la dernière fois sur ce terrain de Colombes contre Lézignan<ref group="L'A">Modèle:Date- : R.C.F. - F.C. Lézignan (13-6), (suite de l'article).</ref> et son tout dernier match le Modèle:Date- à Brive<ref group="L'A">Modèle:Date- : C.A. Brive - R.C.F. (0-13), (suite de l'article).</ref>.

Il ne veut pas enfin se rendre à Cognac, où il doit prendre part au match de sélection Paris-Province du Modèle:Date- pour le Tournoi des V Nations 1928 ; il est remplacé par Henri Haget<ref group="FFR"> Modèle:Lien web.</ref>. Le lendemain, le journaliste Frantz Reichel<ref name="Reichel" group="Note"/> en tire cette conclusion dans son article du Figaro : Modèle:Citation bloc

Statistiques

En équipe de France

Modèle:Article détaillé Yves du Manoir dispute huit matchs internationaux avec l'équipe de France de rugby à XV : sept matchs du Tournoi des Cinq Nations entre 1925 et 1927<ref name="Cuillère" group="Note"/> et un test-match en 1925 contre la Nouvelle-Zélande. Il marque un drop soit quatre points<ref name="drop" group="Note"/> lors de sa troisième sélection contre l'Écosse et est capitaine de l'équipe pour sa dernière sélection.

Détails des matchs d’Yves du Manoir en équipe de France
scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Date scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Lieu scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Compétition scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:250px;" | Match scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:50px;" | Score scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:70px;" | Points
Modèle:Date Colombes Cinq Nations France - Irlande<ref group="FFR" name="FI_1925">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Irlande (3-9), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Irlande (3-9).</ref> || 3-9 || -

Modèle:Date Toulouse Test matchs France - Nouvelle-Zélande<ref group="FFR" name="FNZ_1925">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Nouvelle-Zélande (6-30), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Nouvelle-Zélande (6-30).</ref>|| 6-30 || -

Modèle:Date Édimbourg Cinq Nations Écosse - France<ref group="FFR" name="EF_1925">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : Écosse - France (25-4), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Écosse - France (25-4).</ref> || 25-4|| 4 (1 drop)

Modèle:Date Cardiff Cinq Nations Pays de Galles - France<ref group="FFR" name="GF_1925">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : Galles - France (5-11), [ (suite de l'article) (suite de l'article)].</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Galles - France (5-11).</ref> || 11-5 || -

Modèle:Date Colombes Cinq Nations France - Angleterre<ref group="FFR" name="FA_1925">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Angleterre (11-13), [ (suite de l'article) (suite de l'article)].</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Angleterre (11-13).</ref> || 11-13|| -

Modèle:Date Colombes Cinq Nations France - Écosse<ref group="FFR" name="FE_1926">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Écosse (6-20), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Écosse (6-20).</ref> || 6-20 || -

Modèle:Date Colombes Cinq Nations France - Irlande<ref group="FFR" name="FI_1927">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Irlande (3-8), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Irlande (3-8).</ref> || 3-8|| -

Modèle:Date Édimbourg Cinq Nations Écosse - France<ref group="FFR" name="EF_1927">

Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="L'A">Modèle:Date- : Écosse - France (23-6), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Écosse - France (23-6).</ref> || 23-6 || -

En sélection nationale

Yves du Manoir dispute trois matchs internationaux avec la sélection nationale, le premier contre la Nouvelle-Zélande où il marque un essai<ref name="drop" group="Note"/>, les deux derniers comme capitaine de l'équipe de France B.

Détails des matchs d’Yves du Manoir en sélection nationale
scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Date scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Lieu scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:220px;" | Match scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:50px;" | Score scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:70px;" | Points
Modèle:Date Colombes France - Nouvelle-Zélande<ref group="L'A">Modèle:Date- : Sélection française - Nouvelle-Zélande (3-37), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF" name="FNZ_1925"/> 8-37 3 (1 essai)
Modèle:Date Paris France - Roumanie<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Roumanie (44-3), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Roumanie (44-3).</ref> 44-3 -
Modèle:Date Madrid Espagne - France<ref group="L'A">Modèle:Date- : Espagne- France (6-66), (suite de l'article).</ref> 6-65 -

En équipe de France militaire

Yves du Manoir dispute trois matchs internationaux avec l'équipe de France militaire, les trois comme capitaine de l'équipe de France.

Détails des matchs d’Yves du Manoir en équipe de France militaire
scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Date scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Lieu scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:280px;" | Match scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:50px;" | Score scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:70px;" | Points
Modèle:Date Twickenham Armée britannique - Armée française<ref group="L'A">Modèle:Date- : Armée britannique - Armée française (9-9),
(suite de l'article)</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Armée britannique - Armée française (9-9)</ref>|| 9-9 || -
Modèle:Date Colombes Armée française - Armée britannique<ref group="L'A">Modèle:Date- : Armée française - Armée britannique (13-19), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Armée française - Armée britannique (13-19).</ref> 13-19 -
Modèle:Date Blackheath Armée britannique - Armée française<ref group="L'A">Modèle:Date- : Armée britannique - Armée française (13-6), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Armée britannique - Armée française (13-6).</ref> 13-6 -

En sélection régionale

Pour ce traditionnel match entre les deux capitales<ref name="P-L" group="Note"/>, Yves du Manoir rejoint ses camarades après avoir joué la veilleModèle:Note avec l'Armée française en 1925 à Twickenham et en 1927 à Blackheath.

Détails des matchs d’Yves du Manoir en sélection régionale
scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Date scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:80px;" | Lieu scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:200px;" | Match scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:50px;" | Score scope="col" style="background-color:#Modèle:Charte sportive/Niveau 1; color:#Modèle:Charte sportive/Texte; width:70px;" | Points
Modèle:Date Colombes Paris- Londres<ref group="L'A">Modèle:Date- : Paris - Londres (30-8), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Paris - Londres (30-8).</ref> 30-8 -
Modèle:Date Colombes Paris- Londres<ref group="L'A">Modèle:Date- : Paris - Londres (28-18), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Paris - Londres (28-18).</ref> 28-18 -
Modèle:Date Colombes Paris- Londres<ref group="L'A">Modèle:Date- : Paris - Londres (8-11), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Paris - Londres (8-11).</ref> 8-11 -
Modèle:Date Colombes Paris- Londres<ref group="L'A">Modèle:Date- : Paris - Londres (3-8), (suite de l'article).</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Paris - Londres (3-8).</ref> 3-13 -

Popularité

Sur le terrain comme dans la vie, Yves du Manoir ne Modèle:Citation. Courageux, il dit à un troisième ligne l'ayant plaqué aussi méchamment qu'irrégulièrement : Modèle:Citation. Chaleureux, il sait réconforter ses partenaires défaits avec des paroles d'avenir. Modeste, il minimise sans cesse les exploits qu'on lui attribue : Modèle:Citation Son jeu, clair, loyal, intelligent, a du Modèle:Citation et ce panache plait à la foule : les spectateurs Modèle:Citation

Modèle:Citation bloc

Circonstances de sa mort

Fichier:Yves du Manoir, en janvier 1925.jpg
Yves du Manoir (1904-1928)<ref name="p74">Modèle:Harvsp</ref>.

Modèle:Citation

En fin de l'Modèle:NobrModèle:Note, le sous-lieutenant du Manoir, qui a repris du service pour un an afin de devenir pilote, est détaché<ref>Détachement à l'école pratique d'aviation d'Avord, JORF, décision ministérielle du Modèle:Date-, Modèle:Lire en ligne.</ref> à l'école pratique d'aviation d'AvordModèle:Note à côté de Bourges. Le Modèle:Date-, il s'envole pour la première épreuve de son brevet de pilote sur avion-écoleModèle:Note : Avord, Tours et retour. Il doit, pendant le trajet, faire une heure de vol à Modèle:Unité. Il prend son tour dans les derniers, se fait contrôler à Tours, puis reprend la direction d'Avord. Au milieu du retour, il monte à Modèle:Unité. Lorsque l'heure est terminée, le temps s'est couvert et il se trouve au-dessus d'une mer de nuages. Il est obligé d'atterrir dans un champ pour se renseigner<ref name="p85-86">Modèle:Harvsp</ref>.

De retour à Avord, il confie à ses camarades qu'il a eu beaucoup de mal pour repartir car le terrain sur lequel il avait atterri était lourd et que son avion avait dû rouler longtemps au sol avant de s'élever. Arrivant sur une ligne d'arbres qui borde le terrain, il doit exécuter une acrobatie. Cet incident le fait revenir au camp tardivement en sorte qu'il ne peut partir le même jour pour la dernière épreuve qui consiste à effectuer le triangle Avord - Romorantin - Châteauroux - Avord. Les jours suivants, le temps est défavorable et du Manoir doit ronger son frein<ref name="p85-86"/>.

Le Modèle:Date au matin, malgré une météo incertaine, il prend un Caudron 59Modèle:Note pour exécuter enfin cette ultime épreuve<ref name="MB"/>. De tels circuits s'effectuaient en naviguant à vue, avec les seules aides du compas de bord et d'une carte. Aisée quand on pouvait voler haut et avoir une vue étendue, cette navigation devenait problématique quand le pilote rencontrait du mauvais temps : la couverture météo était alors inexistante.

Après son étape à RomorantinModèle:Note, le temps se gâte, avec un plafond très bas, de sorte qu'il met une heure après sa première escale pour trouver enfin après Issoudun un repère certain, la voie ferrée à double voie remontant vers Vierzon ; mais est-il au sud ou au nord de ChâteaurouxModèle:Note ? Pour s'en assurer il veut identifier la petite gare qui se présente devant lui, en descendant assez bas pour déchiffrer son nom : manœuvre qui n'a rien de très exceptionnel à condition que les abords soient bien dégagés. Mais, près de la gare de Reuilly, se dresse une rangée de peupliers.

Du Manoir tente le coup quand même : le fuselage passe les cimes, mais une roue accroche<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Son avion s'écrase au bord de la voie vers Modèle:Unité du matinModèle:Note non loin du bourg et à quelques dizaines de mètres du passage à niveau et des premières maisons<ref name="aerosteles"> Modèle:Lien web.</ref> de la route de Bourges. Grièvement blessé, du Manoir meurt vingt minutes plus tard<ref name="p85-86"/>, malgré l'intervention rapide des médecins reuillois<ref name="Berry">Rémi Marcel, Yves du Manoir, victime du brouillard à Reuilly, in Berry Magazine numéro spécial Deux siècles de calamités et de faits divers, avril 1995, Modèle:P..</ref>.

Son corps est transporté à la base aérienne d'Avord. Quelques jours plus tard à l'hôpital de Bourges, ses camarades du camp d’Avord, les joueurs de l’US Berry et une délégation du Racing accompagnent sa dépouille jusqu’au train pour Paris. Là-bas, plusieurs chars hippomobiles couverts de fleurs emportent le champion vers sa dernière demeure. Il est inhumé le Modèle:Date-<ref>Annuaire de la Noblesse de France, 1929, Modèle:78e (Modèle:86e), Modèle:P., Modèle:Lire en ligne.</ref> au cimetière du Père-Lachaise (Modèle:19e)<ref name="aerosteles1"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="APPL"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=Berry/> et plus de trois mille personnes assistent aux funérailles.

De nombreux télégrammes de condoléances sont parvenus d’Angleterre, de Nouvelle-Zélande, d’Australie, d’Afrique du Sud... depuis l’annonce de la funeste nouvelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Tout le monde de l’Ovalie est en deuil.

Modèle:Citation, peut-on lire dans le bulletin du Racing Club de France du Modèle:Date-<ref name="p92-95"/>. Dans un dernier adieu, Robert Bernstein, Président de la Commission du Rugby du R.C.F., annonce que le stade de Colombes portera désormais son nomModèle:Note.

L'après-midi du lundi Modèle:Date, au stade de Colombes, la France rencontre l’Écosse. Quand les joueurs français pénètrent sur le terrain, les Modèle:Nombre<ref group="L'A">Modèle:Date- : France - Écosse (1928), France - Écosse (1928) (suite de l'article).</ref>,Modèle:Note scandent le nom d'Yves du Manoir. Modèle:Citation. L'équipe emmenée par Adolphe Jauréguy<ref name="Modèle:N°" group="FFR"> Modèle:Lien web.</ref> est Modèle:Nobr par l'Écosse, malgré deux essais dont un de l'ouvreur Henri Haget<ref group="FFR"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="CENT">Modèle:Harvsp.</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : France - Écosse (1928), France - Écosse (1928) (suite de l'article).</ref>, et le public qui ne sait toujours rien continue à scander son nom. Les joueurs apprennent la nouvelle au cours du banquet d'après-match. Son grand ami Georges Gérald, vice-capitaine, centre de l'équipe de France et du Racing<ref group="FFR"> Modèle:Lien web.</ref>, qui est en train de porter un toast, s'effondre aussitôt en sanglots devant des Écossais médusés<ref name="CENT"/>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,Modèle:Note.

Modèle:Citation bloc.

Distinction et hommages

Distinction

Il est nommé chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur à titre posthume le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web (Modèle:Base Léonore).</ref>,Modèle:Note.

La stèle

La mère d'Yves du Manoir achète une parcelle du terrain au lieu de l'accident et y fait ériger une stèle en forme d'aile d'avion<ref> Modèle:Lien web.</ref>, toujours entretenue aujourd'hui par la commune de Reuilly.

Postérité

Statue d'Yves du Manoir au centre d'entraînement du Racing 92.
Statue d'Yves du Manoir au centre d'entraînement du Racing 92.

La fin prématurée de ce champion de Modèle:Unité provoque dans le pays une affliction à la mesure de sa ferveur<ref group="Note">En ce début de l'année 1928, la télévision française n'a encore jamais émis, Roger Couderc est dans sa dixième année, les postes de radio n'équipent pas encore tous les foyers et seule la presse écrite relaie l'information.</ref>.

Vaucresson et Saint-Cast-le-Guildo rebaptisent respectivement « rue Yves du Manoir » et « rue Yves Dumanoir »<ref name="Dumanoir" group="v">rue Yves Dumanoir :

  1. Saint-Cast-le-Guildo (Côtes-d'Armor) Modèle:Lire en ligne
  2. Taverny (Val-d'Oise) Modèle:Lire en ligne</ref> la rue où il était né et celle où il avait sa maison familialeModèle:Note. En 1929, un an après sa mort, l'avenue du Bois à Paris est renommée avenue Yves-du-Manoir<ref name="BS"/> par les propriétaires riverains<ref>

Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref> et une quarantaine d'autres villes de France ont également leur allée<ref name="Allée" group="v">allée Yves du Manoir :

  1. Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) Modèle:Lire en ligne
  2. Le Beausset (Var) Modèle:Lire en ligne
  3. Nantes (Loire-Atlantique) Modèle:Lire en ligne</ref>, avenue<ref name="Avenue" group="v">avenue Yves du Manoir :
  4. Paris (Seine) Modèle:Lire en ligne
  5. Châteaurenard (Bouches-du-Rhône) Modèle:Lire en ligne</ref>, boulevard<ref name="Boulevard" group="v">boulevard Yves du Manoir :
  6. Béziers (Hérault) Modèle:Lire en ligne
  7. Dax (Landes) Modèle:Lire en ligne</ref>, impasse<ref name="Impasse" group="v">impasse Yves du Manoir :
  8. Bois d'Arcy (Yvelines) Modèle:Lire en ligne
  9. Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) Modèle:Lire en ligne
  10. Saint-Xandre (Charente-Maritime) Modèle:Lire en ligne</ref>, place<ref name="Place" group="v">place Yves du Manoir :
  11. Cholet (Maine-et-Loire) Modèle:Lire en ligne
  12. Mions (Rhône) Modèle:Lire en ligne
  13. Perpignan (Pyrénées-Orientales) Modèle:Lire en ligne
  14. Thuir (Pyrénées-Orientales) Modèle:Lire en ligne
  15. Tonneins (Lot-et-Garonne) Modèle:Lire en ligne</ref>, rue<ref name="Rue" group="v">rue Yves du Manoir :
  16. Albi (Tarn) Modèle:Lire en ligne
  17. Athis-Mons (Essonne) Modèle:Lire en ligne
  18. Aurillac (Cantal) Modèle:Lire en ligne
  19. Batilly (Meurthe-et-Moselle) Modèle:Lire en ligne
  20. Carbon-Blanc (Gironde) Modèle:Lire en ligne
  21. Clisson (Loire-Atlantique) Modèle:Lire en ligne
  22. Floirac (Gironde) Modèle:Lire en ligne
  23. La Teste-de-Buch (Gironde) Modèle:Lire en ligne
  24. Laroque-d'Olmes (Ariège) Modèle:Lire en ligne
  25. Mérignac (Gironde) Modèle:Lire en ligne
  26. Migennes (Yonne) Modèle:Lire en ligne
  27. Perpignan (Pyrénées-Orientales) Modèle:Lire en ligne
  28. Poissy (Yvelines) Modèle:Lire en ligne
  29. Reuilly (Indre) Modèle:Lire en ligne
  30. Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) Modèle:Lire en ligne
  31. Saint-Gaudens (Haute-Garonne) Modèle:Lire en ligne
  32. Saint-Médard-en-Jalles (Gironde) Modèle:Lire en ligne
  33. Saint-Pierre-du-Mont (Landes) Modèle:Lire en ligne
  34. Sainte-Luce-sur-Loire (Loire-Atlantique) Modèle:Lire en ligne
  35. Salses-le-Château (Pyrénées-Orientales) Modèle:Lire en ligne
  36. Saujon (Charente-Maritime) Modèle:Lire en ligne
  37. Toulon (Var) Modèle:Lire en ligne
  38. Toulouse (Haute-Garonne) Modèle:Lire en ligne
  39. Vaucresson (Hauts-de-Seine) Modèle:Lire en ligne</ref> ou square<ref name="Square" group="v">square Yves du Manoir :
  40. Massy (Essonne) Modèle:Lire en ligne</ref> « Yves-du-Manoir »<ref>Voies et lieux-dits de France de la base de données du ministère des Finances et des Comptes publics Modèle:Lire en ligne ; toutes les rues sur toutes les villes de France Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Plusieurs établissements scolaires portent le nom d'Yves du Manoir, comme des collèges à Floirac<ref> Modèle:Lien web.</ref> ou à Vaucresson<ref> Modèle:Lien web ; plan de situation Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Quatre mois après sa mort, le stade olympique de Colombes reçoit le nom de Stade Yves du ManoirModèle:Note ; d'autres installations sportives (stade, gymnase, complexe sportif) portent ensuite son nomModèle:Note. Le Racing Club de France, locataire des installations de Colombes depuis 1920, fait ériger à l'entrée du stade sa statue par le sculpteur Jean Puiforcat inaugurée le jour de la Toussaint 1929<ref group="L'A">Modèle:Date- : Inauguration de la statue d'Yves du Manoir</ref>,<ref group="LeF">Modèle:Date- : Inauguration de la statue d'Yves du Manoir</ref>,<ref>Le monument Yves du Manoir, L'illustration, Modèle:Date-, Modèle:N°, Modèle:Lire en ligne.</ref>. Cette statue se trouve désormais à l'entrée du nouveau centre d’entrainement et de formation du Racing 92 installé au parc des Sports du Plessis-RobinsonModèle:Note ; le club des supporteurs du Racing 92 s'appelle « Génération Yves du Manoir »<ref> Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Note.

Le journal L'Auto (L'Équipe, aujourd'hui) annonce, le Modèle:Date, la création d'une compétition entre clubs de rugby de haut niveau basée sur la simple beauté et la correction du jeu : ce challenge est organisé par le Racing Club de France et porte le nom « Yves du Manoir » en hommage à son esprit, sa loyauté, sa bravoure et son respect. On peut lire dans les colonnes du journal Modèle:Citation<ref group="L'A">Modèle:Date- : Le Challenge Yves du Manoir.</ref>.

Quelque vingt ans plus tard, ce même journal L'Équipe publie quotidiennement à partir du Modèle:Date une bande dessinée d'une vingtaine d'épisodes intitulée Modèle:Citation<ref>« Yves du Manoir, belle figure du sport », Archives du journal L'Équipe, Modèle:Lire en ligne.</ref> pour le vingt-cinquième anniversaire de sa disparition. Le récit de Jean Heltey, illustré par J.-P. God, est directement inspiré de la monographie que lui a dédiée son frère aîné dont il suit fidèlement le texte.

Modèle:Citation bloc

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Iconographie

Vidéos

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes, odonymie et références

Notes

Modèle:Références nombreuses

Odonymie

L'odonymie est l'étude des odonymes lesquels comportent deux parties : un nom individuel (« Victor-Hugo », « République »Modèle:Etc.) et un indicateur du type de voie dont il s'agit (« rue », « boulevard »Modèle:Etc.). De nombreuses villes ont ainsi leur allée, avenue, boulevard, impasse, place, rue ou square « Yves-du-Manoir » :

Modèle:Références nombreuses

Références

Site de la Fédération française de rugby

La Fédération française de rugby publie sur son site un ensemble de fiches des joueurs et des matchs de l'équipe de France. Toutefois, les fiches des joueurs internationaux du site actuel<ref group="FFR">Modèle:Lien web.</ref> sont moins renseignées que les fiches de l'ancien site<ref group="FFR">Modèle:Lien web.</ref> comme le montrent les deux fiches d'Yves du Manoir<ref group="FFR" name="N°187">Modèle:Lien web.
Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Références

Archives de journaux

La bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France met en consultation sur son site Gallica les collections des numéros de L'Auto de 1900 à 1944, du Figaro de 1826 à 1942, du Gaulois de 1868 à 1929 et de Match de 1926 à 1936 d'où sont extraits les articles ci-après relatifs à des rencontres de rugby disputées par Yves du Manoir ou des événements liés à son existence :

L'Auto

Modèle:Références

Le Figaro

Modèle:Références

Le Gaulois

Modèle:Références

Match

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

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