8e régiment d'artillerie

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Titre mis en forme Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Unité militaire Le Modèle:8e d'artillerie (Modèle:8e RA) (également appelé 8e régiment d'artillerie à pied) est un régiment d'artillerie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment des Colonies artillerie un régiment français d'Ancien Régime.
En 2019, il devient le groupement de recrutement et de sélection Nord-Est - Modèle:8e régiment d'artillerie (GRS NE - Modèle:8e RA)<ref name="CD"/>.

Création et différentes dénominations

Modèle:Loupe

Colonels et chefs de corps

(*) Officiers qui devinrent par la suite généraux de brigade.
(**) Officiers qui devinrent par la suite généraux de division. Modèle:Colonnes

Historique des garnisons, combats et bataille du Modèle:8e RA

Ancien Régime

Modèle:Loupe

Révolution et Empire

Un décret de l'Assemblée nationale, en date du Modèle:Date, a réuni le régiment d'artillerie des colonies à l'artillerie de terre qui a pris le no 8 devenant le « Modèle:8e ».

Le passage du régiment du service de la marine au service de la guerre fut ordonné le Modèle:Date. Les compagnies et le dépôt quittèrent Lorient pour se rendre à Rennes, et le Modèle:1er du Modèle:8e y est formé par le général Canclaux, et sous le commandement provisoire du chef de brigade Pommeyrols, le Modèle:Date. Les compagnies qui étaient hors de France restèrent jusqu'à nouvel ordre dans une situation indéterminée avec un dépôt particulier à Lorient. Cet état de choses cessa après un décret de formation, signé à Lorient le Modèle:Date, par les représentants du peuple près l'armée des côtes de Brest, Merlin, Gillet et Cavaignac.

En 1793, le Modèle:8e se trouve engagé dans la guerre de Vendée.

En 1794, affecté à l'armée du Nord, il se trouve au siège de Bois-le-Duc.

Les compagnies embarquées reçurent l'ordre de revenir en Europe, et quand il y en eut 6 à Lorient, le Modèle:2e y est organisé, le Modèle:Date. Il ne manquait que les 4 compagnies stationnées dans l'Inde. Pendant ce temps les compagnies disponibles avaient été partagées entre les armées du Nord et de l'Ouest.

En 1800, le dépôt se transporte à Douai.

En 1801, il assiste à la bataille d'Algésiras. Le régiment est réorganisé à Douai, en exécution de l'arrêté des consuls du Modèle:Date. Cette opération eut lieu le Modèle:Date suivant au quartier Saint Sulpice. Il y avait 7 compagnies présentes. Sept autres étaient cantonnées à Ostende, Dunkerque, Le Havre, Rennes. Cinq étaient dans l'Inde. Les Modèle:14e et Modèle:19e, depuis 17 ans à l'Île de France, y furent incorporées dans des compagnies d'artillerie appartenant au [[3e régiment d'artillerie (France)|Modèle:3e]]. Le dépôt forma 2 nouvelles compagnies pour les remplacer. Une partie du [[7e régiment d'artillerie à cheval|Modèle:7e]] licencié est également versée dans le « Modèle:8e », au début de l'année 1802.

En 1802, dans le cadre de l'expédition de Saint-Domingue, une compagnie participe à la défense de de la colonie.

En 1804, le régiment avait 4 compagnies au camp d'Utrecht et 6 dans le Hanovre et les autres faisaient partie des garnisons des places maritimes, depuis Boulogne jusqu'à Flessingue.

En 1805, il assiste à la bataille d'Austerlitz.

En 1807, durant la bataille de Friedland, les Modèle:14e et Modèle:18e attachées au Modèle:8e de la Grande Armée, font des ravages dans les lignes ennemies.

En 1808, le dépôt est transporté à Boulogne, et 4 compagnies sont dirigées sur l'armée de Dalmatie.
Une partie du régiment engagée en Espagne, participe à la bataille de Somosierra en 1808, aux batailles d'Uclès et d'Almonacid en 1809, au siège de Ciudad Rodrigo en 1810, au siège de Tarragone et à la bataille Chiclana-Barrosa en 1811

L'année suivante, le colonel Digeon était avec 2 compagnies à l'armée d'Espagne. Le Modèle:Date, la Modèle:22e se trouve au combat contre la flotte anglaise près de Terneuse.
Affecté à l'armée d'Allemagne, dans le cadre de la campagne d'Allemagne et d'Autriche en 1809, il participe aux batailles d'Eckmühl, d'Essling, de Wagram et de Znaïm.

Le dépôt du Modèle:8e est transféré de Boulogne à Douai en Modèle:Date, puis à Anvers en Modèle:Date et y reste jusqu'à la chute de l'Empire.

En 1812, les Modèle:1re, Modèle:4e, Modèle:10e, Modèle:12e Modèle:13e, Modèle:14e, Modèle:15e, Modèle:16e, Modèle:17e, et Modèle:18e participent à la campagne de Russie et se trouvent engagées dans les batailles de La Moskova, de Krasnoï et de La Bérézina.
Voici la position des compagnies au Modèle:Date : Modèle:Colonnes

En 1813, dans le cadre de la campagne d'Allemagne, une partie du régiment est engagée au combat de Lunebourg et aux batailles de Lützen, de Bautzen, de Dresde et de Leipzig.

En 1814, pendant la campagne de France, le régiment combat à Craonne, Laon et Paris.

Situation des compagnies au Modèle:Date, après la première abdication de Napoléon Ier : Modèle:Colonnes

Le régiment est réorganisé à Douai, le Modèle:Date, par le général Taviel, et il reçoit 4 compagnies et le dépôt du [[9e régiment d'artillerie|Modèle:9e]] qui venait d'être licencié.

Après l'achèvement de cette opération, le Modèle:8e quitte Douai le Modèle:Date, pour se rendre à Rennes. A peine installé dans cette ville, il y reçoit les ordres contradictoires du gouvernement de la Restauration et de celui de l'Empire.

Le Modèle:Date, 6 compagnies (les Modèle:5e, Modèle:6e, Modèle:7e, Modèle:8e, Modèle:9e et Modèle:10e) sont envoyées, à marches forcées, pour Orléans afin de s'opposer à la marche de l'Empereur. Le Modèle:Date, les 4 premières compagnies sont appelées à Vincennes par l'Empereur. Ces 10 compagnies participent à la campagne de Belgique et se retrouvent à Waterloo.

Voici la position des compagnies après la catastrophe : Modèle:Colonnes

Les compagnies qui avaient pris part à la guerre reçurent l'ordre de se rendre à La Rochelle. Elles y sont licenciées au nombre de 12, par le général Berge, le Modèle:Date.
L'état-major, le dépôt, les Modèle:13e, Modèle:17e, Modèle:18e et Modèle:20e sont licenciés à Brest, le Modèle:Date, par le colonel Charles Louis Brouet, directeur d'artillerie.
Les autres compagnies ont subi le même sort dans les places qu'elles occupaient. La Modèle:21e est réformée au Havre, où elle venait de débarquer en provenance de la Guadeloupe.

De 1816 à 1852

Le Modèle:Date, l'organisation d'un nouveau Modèle:8e, qui prend le titre de « régiment de Rennes » est reconstitué et complété par l'appel des anciens canonniers encore liés au service des départements du Finistère, des Côtes-du-Nord, du Morbihan, de l'Ille-et-Vilaine de la Loire-Inférieure et de la Manche.

En 1816, le régiment est en garnison de Rennes, puis il est à Toulouse en 1819.

En 1823, les (Modèle:1re à Modèle:8e font partie des troupes envoyées pour l'expédition d'Espagne et combattent La Corogne<ref>L'INTERVENTION FRANÇAISE EN ESPAGNE (1822-1824)</ref> et au Trocadéro puis en 1828 pour l'expédition de Morée pour soutenir les insurgés grecs lors de la guerre d'indépendance grecque, et participe à la prise du château de Morée et au Coron.

Le régiment se trouve à Valence en 1825, Toulouse en 1829,

En 1828, il participe à l'intervention française en Morée.

L'organisation de 1829, effectuée le Modèle:Date, lui a enlevé 10 compagnies qu'il a cédées au Modèle:10e, et lui a donné en échange 3 compagnies du Modèle:2e et 5 compagnies du Modèle:1er.

En 1831-1832, les Modèle:2e, Modèle:10e et Modèle:14e) participent à la campagne de Belgique et assistent au siège d'Anvers.

De 1832 à 1854 la Modèle:15e se trouve en Algérie.

Il se trouve en poste à La Fère en 1831, à Metz en 1835, Toulouse en 1842, Besançon en 1845, Metz en 1849, La Fère en 1850 et Vincennes en 1853.

En 1834, il verse au [[13e régiment d'artillerie|Modèle:13e]] 1 batterie à cheval, 1 batterie montée et 1 batterie à pied.

En 1849, la Modèle:16e fait partie du corps expéditionnaire de la Méditerranée envoyée combattre la République romaine et participe au siège de Rome.

Second Empire

Le Modèle:Date, il devient le [[17e régiment d'artillerie à cheval|Modèle:17e]].

A la suite du décret du Modèle:Date, le régiment est formé à Toulouse le Modèle:Date-, sous le nom de « Modèle:8e ». Il se trouve composé de 8 batteries du 3e régiment d'artillerie et 8 batteries du 7e régiment d'artillerie.

En 1854-1855, les Modèle:1re, Modèle:2e, Modèle:3e, Modèle:4e, Modèle:7e, Modèle:8e et Modèle:15e se trouvent, dans le cadre de la guerre de Crimée, à l'armée d'orient et participent aux Batailles de l'Alma, d'Inkerman, et de Traktir ainsi qu'au siège de Sébastopol.

En 1857 les Modèle:1re et Modèle:5e participent à l'expédition de Kabylie.

En 1859 les Modèle:6e, Modèle:9e et Modèle:13e participent à la campagne d'Italie et se trouvent engagées aux batailles de Montebello, de Magenta et de Solférino.

Il reprend rapidement la ronde des garnisons : Toulouse (1854-1857), Rennes (1857-1861), Douai (1861-1865), Metz (1865-1868), La Fère (1868-1870). Puis le rythme s'accélère : Vincennes le Modèle:Date, Rennes le Modèle:Date-, Saint-Omer le Modèle:Date, puis Aire-sur-la-Lys le Modèle:Date.

En 1870, lors de la guerre franco-prussienne, les Modèle:5e à Modèle:9e affectées à l'Armée du Rhin sont présentes aux batailles de Borny, de Rezonville, de Saint-Privat et de Ladonchamps.
Les Modèle:3e, Modèle:4e, Modèle:10e, et Modèle:11e, affectées à l'Armée de Châlons, assistent aux batailles de Mouzon, de Bazeilles et de Sedan.
Les Modèle:13e, et Modèle:16e, participent aux Défenses de Paris, la Modèle:1re se trouve à Soissons et la Modèle:2e à la défense de Longwy.
Le Modèle:18e à Modèle:25e batteries affectées à l'armée de la Loire assistent aux batailles de Beaune-la-Rolande et de Patay. Les Modèle:20e, Modèle:21e, Modèle:23e engagées avec l'Armée de l'Est combattent à Villersexel.

De 1872 à 1914

Avec la réorganisation du 28 avril 1872, le nouveau Modèle:8e est créé le Modèle:Date. Il transforme sa Modèle:11e qui prend le n° 14 et reçoit la 4e batterie du 17e régiment d'artillerie à cheval qui prend le n° 13. Il verse 3 de ses batteries au 17e régiment d'artillerie, 1 batterie au 20e régiment d'artillerie, 2 batteries au 25e régiment d'artillerie et 2 batteries au 27e régiment d'artillerie.

Il s'installe sur plusieurs garnisons. De 1872 à 1873, il est à Lille, Calais et Aire-sur-la-Lys.

En conséquence du décret du 28 septembre 1873, une nouvelle modification place l'unité à la Modèle:6e. Il perd a cette occasion ses deux batteries à cheval qui passent l'une au 25e régiment d'artillerie et l'autre au 32e régiment d'artillerie.

De 1873 à 1883, il est à Châlons-s-Marne, Toul, Longwy, Montmédy.

Le Modèle:Date-, il devient le Modèle:8e Régiment d'Artillerie de Campagne. De 1883 à 1887 son dépôt est à Châlons-sur-Marne, de 1887 à 1894 le régiment stationne à Nancy, Toul et Châlons. De 1894 à 1914, il est resserré sur Nancy et ressort sous le général Adrien Dubouays de la Bégassière.

Première Guerre mondiale

Fichier:Combats dans le secteur de Doïran (août 1916) - Doïran (Doïrani) (environs) - Médiathèque de l'architecture et du patrimoine - APOR070117.jpg
Un canon de la Modèle:31e, détachée par le Modèle:8e à l'armée française d'Orient, dans le secteur de Doïran en août 1916.

Modèle:Article connexe

En casernement à Nancy et Lunéville, le régiment, rattaché à la 20e brigade d'artillerie, constitue l'appui feu de la [[11e division d'infanterie (France)|Modèle:11e d'infanterie]] (la division de fer), du [[20e corps d'armée (France)|Modèle:20e d'armée]] commandé par le général Foch.

Composition : 3 groupes de 9 batteries de 75.

Le Modèle:4e Groupe (10 et Modèle:11e Batteries à cheval) à la [[2e division de cavalerie (France)|Modèle:2e de cavalerie]]

Sa conduite exemplaire en Lorraine en 1914 et à Verdun en 1916 lui vaut deux citations à l'ordre de l'armée et l'attribution de la fourragère de la croix de guerre.

Il est articulé en 3 groupes d'active équipés du [[Canon de 75 Modèle 1897|canon de Modèle:Unité]]. Voici les lieux et les dates où il a fait campagne pendant cette guerre.

1914

1915

Fichier:Bivouac du 8e régiment d'artillerie de campagne dans le ravin d'Hans, septembre 1915.jpg
Bivouac du Modèle:8e dans le ravin d'Hans, septembre 1915.

1916

1917

1918

Entre-deux-guerres

Avec le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} Groupe du Modèle:8e et deux autres groupes du 264e, il est constitué le Régiment d'Artillerie de Marche 8/264 à Mailly-le-Camp du Modèle:Date au Modèle:Date. Mais le Modèle:Date, le Modèle:8e d'artillerie de campagne est recréé. Il est à Nancy, Toul et Lunéville en 1919, puis Nancy et Toul en 1920. Puis le régiment part en occupation en Allemagne.

Fichier:Quartier Fabvrier 75185.jpg
Cantine du Modèle:8e dans les années 1920.

Le Modèle:Date, le régiment devient le Modèle:8e d'artillerie divisionnaire. Il stationne à Nancy de 1923 à 1940.

Ses campagnes pendant cette période :

Seconde Guerre mondiale

Campagne 1939-1940 :
Appartient à la [[11e division d'infanterie (France)|Modèle:11e d'Infanterie]]

Il est dissous à Clermont-Ferrand en Modèle:Date-.

Reconstitué le Modèle:Date- dans une structure à trois groupes, il est à Saint-Mihiel en Modèle:Date-. Quelques éléments participent à la fin de la campagne de mai en Allemagne: le Modèle:1er Groupe à Offenbourg; le Modèle:2e à Rastadt puis à Emmendingen le Modèle:Date-; de juillet à octobre le Modèle:3e et l'état-major du I/8 sont à Offenbourg et Kehl. Le Modèle:Date-, le Modèle:2e fait mouvement sur Strasbourg.

De 1945 à 2013

Il participera ensuite aux opérations en Afrique du Nord. Il sera en Algérie de 1955 à 1963, dans l'Est constantinois, au sein de la Modèle:2e DIM. Le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} Groupe sera ainsi déployé : Akbou (au sud-ouest de Bougie) du Modèle:Date- au Modèle:Date-; Guelma, Duvivier (au sud de Bône) du Modèle:Date- au mois de Modèle:Date-. Il participe au Barrage sur la frontière tunisienne à Sakiet (à l'est de Souk Ahras) de Modèle:Date- à Modèle:Date-. Il est à Blandan (est de Bône) du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} Groupe est en Grande-Kabylie (au nord-est de Tizi-Ouzou) du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Puis il est à Randon, Combes (sud-est de Bône) du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Il participe au Barrage sur la frontière tunisienne, au sud-est de Souk Ahras : Gambetta, Ouenza du Modèle:Date- à Modèle:Date-; Souk Ahras, Aïn Zana de Modèle:Date- à Modèle:Date-. C'est à Blandan (est de Bône) où il s'installe du Modèle:Date- au Modèle:Date-, qu'il est transformé en Modèle:8e Groupe d'Artillerie le Modèle:Date-. Il est à Bône-les-Salines du Modèle:Date- au Modèle:Date-. À son retour en métropole, le Modèle:8e Groupe d'Artillerie est dissous le Modèle:Date- à Sissonne.

  • Le Modèle:8e d'artillerie est recréé le Modèle:Date- à Commercy.
  • 1977 : Il est l'une des unités de la [[4e division blindée (France)|Modèle:4e division blindée]] à sa formation.
  • 1991 : participation à la guerre du Golfe. Une section de mini-avions de reconnaissance tactique sans pilote (MART), en cours d'expérimentation au régiment, est mise sur pied dans les quelques jours qui précèdent l'action terrestre puis est acheminée sur le théâtre d'opération. La mission dure du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Le régiment ayant été fortement sollicité pour fournir son personnel engagé à d'autres unités de la division (la Modèle:10e division blindée), il est fait appel à du personnel en provenance du Modèle:403e d'artillerie de Chaumont. C'est pendant cette opération qu'est conforté le besoin en drone lent pour acquérir en temps réel le renseignement par images. Les enseignements tirés du succès de cette expérience orienteront le choix vers les drones Crécerelle qui doteront par la suite le Modèle:6e Groupe du [[7e régiment d'artillerie (France)|Modèle:7e d'artillerie]], puis le Modèle:7e d'artillerie jusqu'à sa transformation en [[61e régiment d'artillerie|Modèle:61e d'artillerie]].

Missions de paix et d'interposition sous l'égide de l'ONU en 1995 au Liban. Le régiment professionnalise en Modèle:Date- la Modèle:4e qui sera suivie de la BCL, de la Modèle:1re Batterie puis du reste du régiment. Ensuite missions sous l'égide de l'OTAN en Bosnie ex-Yougoslavie) 1997, etc.

  • En 1998 il fait partie de la Modèle:2e blindée et part à Mayotte
  • 1999 : il fait partie de la [[7e brigade blindée (France)|Modèle:7e blindée]]

Il est au Kosovo en 1999, 2001, 2003, 2005..., en RCI (république de Côte d'Ivoire) à plusieurs reprises mais aussi au Tchad, en RCA (République de Centrafrique), à Djibouti, Au Liban avec ses AU F1, en Afghanistan... Il sert aussi dans les territoires d'outre-mer (Guyane, Réunion, Martinique, Tahiti, Nouvelle-Calédonie, Mayotte ainsi que sur les îles éparses)

Le régiment est dissous en 2013 après 229 ans de bon et loyaux services.

Depuis 2017

Le Modèle:Date, le général de brigade Delion, père de l'arme de l'artillerie, remet le drapeau du Modèle:8e régiment d'artillerie au groupement de recrutement et de sélection Nord-Est (GRS NE)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Il est de nouveau stationné à Vandœuvre-lès-Nancy au quartier Drouot. En juillet 2019, il prend appellation de groupement de recrutement et de sélection Nord-Est - Modèle:8e régiment d'artillerie<ref name="CD">« De l’importance du patrimoine », sur le site de l'Armée de terre, le Modèle:1er juillet 2019.</ref>.

Faits d'armes portés sur l'étendard du régiment

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes <ref>Décision Modèle:N° du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, Modèle:N°, 9 novembre 2007</ref>:

Fichier:Fourragère aux couleurs de la croix de guerre 1914-1918.jpg
Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918

Sa cravate est décorée de la croix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'armée et l'attribution de la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 (10/08/1918).

Devise

« Alter post fulmina terror » (« l'autre terreur après la foudre »)

Chant

"Pour la France et de bon cœur"

Modèle:1er :

  • Pour la France et de bon cœur
  • Avec panache et sans peur
  • Nous saurons nous montrer dignes
  • Du soleil de notre insigne.
  • Le canon de Gribeauval
  • De l'artillerie à cheval
  • Servi par de fiers Grognards
  • Fit nos premières victoires.

Refrain

  • Pour la France et de bon cœur
  • Combattront les artilleurs
  • Du régiment d'Austerlitz
  • Valeureux enfants du 8.

Modèle:2e :

  • Pour la France et de bon cœur
  • Pour la gloire et pour l'honneur
  • Nous servirons nos canons
  • Pour tirer à l'unisson.
  • De Nancy à Commercy
  • Ils vaincront pour la Patrie
  • Et la gloire de l'étendard
  • Éternelle en leur mémoire.

Insigne du Modèle:8e d’artillerie

Héraldique

Anneau d'argent portant en chef l'inscription « Austerlitz ». Un soleil d'or broche le tout. histoire-collection.com

Personnalités célèbres ayant servi au Modèle:8e RA

Modèle:...

Le régiment avant sa dissolution en 2013

Missions

Régiment d'artillerie de la Modèle:7e blindée, le Modèle:8e RA est chargé de l’appui feu des unités en cours d'action. Il doit pouvoir être engagé dans des actions très diverses allant de l'engagement total et massif contre un ennemi blindé et mécanisé en Centre Europe, à l'envoi de modules artillerie sur des théâtres d'opérations extérieures ou à des actions humanitaires et de maintien de la paix dans le monde.

Composition

  • 4 batteries de tir.
  • 1 batterie de commandement et de logistique.
  • 1 batterie d'administration et de soutien.
  • 1 batterie de réservistes (B5).
  • 1 batterie de renseignement.

Matériels

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Sources et bibliographie

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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