Saint-Thois
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Thois {{#ifeq:1|0|[sɛ̃twa]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}, en breton Santoz, est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Géographie
Saint-Thois est en partie situé dans le pays Dardoup.
Saint-Thois est une commune du centre du département du Finistère, située sur la rive gauche de l'Aulne, au pied du versant nord des Montagnes Noires. Son finage, relativement accidenté, est compris entre Modèle:Unité (au sud-ouest de la commune, près de Lannec Creïz) et Modèle:Unité d'altitude (au nord-ouest de la commune, dans la vallée de l'Aulne), le bourg, excentré dans la partie nord-est du territoire communal, se trouvant vers Modèle:Unité d'altitude. La commune est limitée au nord par l'Aulne, à l'ouest par le ruisseau de Pont Ar C'Hlaon, affluent de rive gauche de l'Aulne, et à l'est par un autre petit affluent de rive gauche du même fleuve.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France L'Aulne a été canalisée (canal de Nantes à Brest), mais ce canal est désormais fermé à la navigation.
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L'Aulne juste en aval de l'écluse de Prad Pourrig (Prat Pouric), visible à l'arrière-plan (écluse n° 222 du Canal de Nantes à Brest).
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L'écluse de Nénez (écluse n° 223 du Canal de nantes à Brest).
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La maison éclusière de Nénez.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plonevez-du-Faou », sur la commune de Plonévez-du-Faou, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Quimper », sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Thois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimper, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,4 %), terres arables (19,7 %), prairies (14,7 %), forêts (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Saint-Thois est noté Sanctus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le nom devient Sanctoes en 1368, puis Sainctois en 1599<ref name=info>Modèle:Lien web.</ref>. Le nom de la paroisse s'est aussi écrit Saint-Thons ou Saint-Thoix par le passé.
Saint-Thois vient de « ecclesia sanctus » (« l’église le saint »)<ref name=info/>. Selon une autre hypothèse, saint Thois serait une déformation de saint They<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
Origines
Saint-Thois faisait autrefois partie de la paroisse de Gouézec, avant de devenir paroisse à son tour<ref name=info/>. Les communes de Gouézec et de Saint-Thois forment un petit pays de tradition, la Giz Gouezeg (« mode de Gouézec »)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Préhistoire
Le cairn de Ty-Floc'h est un ensemble mégalithique à chambres et couloirs<ref>Modèle:Article.</ref>.
155 haches à douille de l'âge du bronze ont été découvertes à Ty-Lann en Saint-Thois<ref>Pierre-Roland Giot, Louis Pape et Jacques Briard, "Protohistoire de la Bretagne", éditions Ouest-France, 1979.</ref>.
La seigneurie de La Roche-Helgomarc'h et le marquisat de La Roche-Laz
La seigneurie de La Roche-Helgomarc'h, dont le siège se trouvait sur un piton rocheux situé à Saint-Thois, où se trouvait une motte féodale, s'étendait aussi sur Trégourez, Edern, Saint-Thois et une partie de Briec. Les « hauts et puissants seigneurs » de La Roche-Helgomarc'h disposaient du droit de haute justice sur l'ensemble de leur fief. « Un grand nombre de manoirs en dépendaient ; c'étaient Poulmorgant et Kernalec en Saint-Thois, La Motte, Stanglevenen, Kerautret, Parc-Jean, Kervenou, Rosquillec, Roc'hou, Kercalédan, le Guern, Kerhervé, Kergolhuezen, Kereffran, Lannuchuezen, Kerampeoc'h et Quénec'hdu en Briec, Kerigou et Kervaségan en Edern. L'ensemble de cette terre se composait de deux tronçons principaux, l'un formé par la paroisse de Saint-Thois, environnant le château de La Roche-Helgomarc'h, antique forteresse (...) démantelée depuis une époque très ancienne (...). On avait oublié le véritable chef-lieu de la seigneurie pour le transporter au manoir du Merdy où, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle devaient se payer les redevances féodales. Le second tronçon, séparé du précédent par le fief de Guellevain [Gulvain, alors en Briec, désormais en Edern] dépendant de l'abbaye de Landévennec, couvrait une grande partie de la paroisse de Briec avec ses trèves de Langolen, Landudal et Quilinen. La Roche-Helgomarc'h possédait encore des terres en Landrévarzec, en Edern, en Gouézec, et jusqu'en Pleyben et Lothey »<ref>Modèle:Article.</ref>.
Les seigneurs de La Roche-Helgomarc'h avaient droit de prééminence dans les chapelles de Quilinen, Sainte-Cécile, Saint-Guennec [Saint-Venec] et du Penity en Briec, Notre-Dame-des-Fontaines en Gouézec, dans l'église tréviale de Langolen et l'église paroisiale de Saint-Thois<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le premier seigneur de La Roche connu est le baron Pierre VIII de Rostrenen, qui meurt en 1440. Sa fille Jeanne de Rostrenen, née vers 1425, se marie en 1450 avec Jean ou Guyon du Quélennec, vicomte du Faou, la seigneurie passe alors aux mains de la famille du Quélennec. En 1576, le roi Henri III crée le marquisat de La Roche-Laz, qu'il offre à Troilus de Mesgouez, qui meurt en 1606 sans enfants. Modèle:Article détaillé Sa nièce Anne de Coëtanezre hérite de la seigneurie et est aussi comtesse de Laz ; mariée en 1606 avec Charles de Kernezné<ref>Charles de Kernezné, vicomte du Curru en Milizac, devint par son mariage marquis de La Roche-Helgomarc'h et baron de Laz</ref>, la seigneurie passe alors aux mains de la famille de Kernezné ; successivement :
- Charles de Kernezné, fils du précédent, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi et gouverneur de Quimper en 1653, décédé en 1677 ; puis
- Charles Robert de Kernezné, fils du précédent entre 1677 et 1679, mort sans héritier
- Luc de Kernezné, frère du précédent, né en 1641 à Saint-Thois, marié successivement à Nelly de Carnavalet, Marie Marguerite de Boisguéhenneuc et le Modèle:Date à Landaul avec Anne Françoise de Robien. Il est décédé en octobre 1699 à Laz.
- Luc Joseph de Kernezné, né le Modèle:Date au manoir de Trévarez en Saint-Goazec, alors trève de Laz ; marié le Modèle:Date à Rennes avec Hélène Thérèse de Lescouët ; il demeurait au manoir de Trévaré (Trévarez)<ref>http://fr.topic-topos.com/ancien-manoir-de-trevarez-saint-goazec</ref> en Saint-Goazec et participa à la conjuration de Pontcallec<ref name="Douguet, 1998">Modèle:Ouvrage.</ref>. Il est décédé le Modèle:Date au Boschet en Bourg-des-Comptes et inhumé dans cette localité, mais son cœur fut inhumé à Laz. Il est mort sans héritier.
- Anne Thérèse de Kernezné, née en 1696 à Laz, fut marquise de La Roche-Helgomarc'h jusqu'à sa mort survenue en janvier 1759. Sa nièce, Marie Aude Jacquette du Chastel<ref>Marie Aude Jacquette Du Chastel, née en 1697, remariée le Modèle:Date à Vannes avec Hugues Humbert Huchet de La Bédoyère, décédée le Modèle:Date à Vannes</ref> hérita alors de la majeure partie de ses biens et de ses titres.
Le dernier marquis de La Roche-Laz fut, par héritage (in était le petit-fils de Marie Aude Jacquette du Chastel), à partir de 1767<ref name="Douguet, 1998"/>, Charles du Bot de Grégo<ref>Charles François Jules Du Bot De Grego, né le Modèle:Date, baptisé le Modèle:Date dans la chapelle du château du Grego à Surzur, franc-maçon, bibliophile et endetté (une partie de ses biens, situés principalement dans le Léon, est mise en vente en 1784); décédé le Modèle:Date au manoir de Trévarez</ref>.
Les marquis de La Roche-Laz tiraient profit des pêcheries, louées à un prix élevé, exploitées dans l'Aulne et l'Odet, ainsi que du bois des nombreuses forêts avoisinant Laz où, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la marine venait, depuis Brest et Lorient, faire des coupes nombreuses et importantes<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le marquisat de La Roche-Laz fut démantelé lors de la Révolution française.
En 1400, un autre manoir, celui de Kerguelen, appartenait à Guillaume de Quelen<ref name=ogée>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs, la famille du Boishardy était seigneur de Poulmorgant. Parmi ses membres connus, Jean du Boishardy, né le Modèle:Date à Saint-Thois et décédé le Modèle:Date à Châteaulin, fut procureur au siège royal de Châteaulin et Alain du Boishardy, avocat à la cour, juge, baptisé le Modèle:Date à Quimper-Saint-Julien, décédé le Modèle:Date à Châteaulin, fut l'un des députés du tiers-état de la sénéchaussée de Châteaulin choisi pour la représenter à Carhaix lors de l'élection des députés du tiers état aux États généraux de 1789 pour les cinq sénéchaussées de Carhaix, Châteauneuf-du-Faou, Châteaulin, Gourin et Quimperlé.
Époque moderne
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Thois en 1778 : Modèle:Citation bloc
Saint-Thois possédait alors 3 chapelles (Saint-Primell, de la Roche et de Saint-Laurent) et 2 moulins à eau (Moulin Neuf et moulin de la Roche).
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Thois en 1853 : Modèle:Citation bloc
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Homme de Saint-Thoix [Saint-Thois] (dessin de 1848, François Hippolyte Lalaisse, Galerie armoricaine)
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
Par arrêté préfectoral du Modèle:Date, l'école des filles de Saint-Thois fut laïcisée en vertu de la loi sur les congrégations<ref>Journal officiel de la République française. Lois et décrets, n° du 2 septembre 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62423436/f8.image.r=Tr%C3%A9guennec?rk=64378;0</ref>.
Déclarée d'utilité publique le Modèle:Date, la ligne ferroviaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux du Finistère allant de Châteauneuf-du-Faou à Rosporden, longue de Modèle:Unité, fut mise en service le Modèle:Date. Elle desservait les gares de Saint-Thois|Saint-Thois-Pont-Pol, Laz, Trégourez, Guernilis, Coray, Tourc'h, Bois-Jaffray-Saint-Guénal et Elliant. Elle ferma dès 1933.
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Le sorcier de la montagne Laouic-Coz attendant ses consultations (carte postale Villard, vers 1910).
Le sorcier de la montagne Laouic-Coz attendant ses consultations (carte postale Villard, vers 1910).
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Le sorcier de la montagne Laouic Coz racontant ses conchennous (vieilles histoires bretonnes). Il porte le costume de Saint-Thois (carte postale Villard, vers 1910).
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Jumelages
Patrimoine
Mégalithisme
Le cairn de Ty Floc'h est en partie détruit par une carrière. Le cairn primaire, à peu près circulaire, est édifié au néolithique moyen, vers 4500 Modèle:Av JC<ref>Entre 4730 et 4220 Modèle:Av JC Jean L'Helgouac'h, in Pierre-Roland Giot, Jean-Laurent Monnier, Jean L'Helgouac'h, Préhistoire de la Bretagne, Ouest-France, 1998, Modèle:P.255.</ref> Il serait donc plus récent que le cairn de Barnenez (vers 4600) et plus ancien que le celui de l'île Carn (vers 4200). Le dolmen est conçu comme le dolmen nord de Carn : un massif divise la chambre en deux sous-chambres. Des dalles de schiste verticales y ménagent de petites niches. Puis un cairn secondaire est adjoint au premier. Le dolmen y est également à couloir. Enfin, vers 3500<ref>Entre 3660 et 3340 Modèle:Av JC Jean L'Helgouac'h, Modèle:Opcit, Modèle:P.255.</ref>, le parement semi-circulaire d'un cairn tertiaire vient condamner les deux entrées. Un os trouvé dans la demi-chambre sud du cairn primaire est daté d'environ 4100 Modèle:Av JC<ref>Entre 4300 et 3920 Modèle:Av JC Jean L'Helgouac'h, Modèle:Opcit, Modèle:P.256.</ref>
Patrimoine religieux
- Église Saint-Exupère, anciennement église Saint-Dispar (saint Dispar est un autre nom de saint Exupère) : succédant à un édifice plus ancien, l'église actuelle a été bâtie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, largement remaniée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ainsi qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; elle possède sur sa façade ouest une statue en kersantite représentant probablement saint Fiacre ; l'église honore donc saint Exupère, probablement Exupère de Bayeux, aussi honoré à Dinéault et connu aussi sous le nom de saint Spire ou saint Dispar, à moins qu'il ne s'agisse d'Exupère de Toulouse, ce qui est peu probable. L'église possède des statues classées par les Monuments historiques : un groupe trinitaire de sainte Anne, qui date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un groupe saint Joseph et l'Enfant, qui date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une Crucifixion du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une Vierge à l'Enfant, dite aussi Notre-Dame-de-Grâce, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un groupe de Saint Yves entre la pauvre et le riche, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; par ailleurs parmi d'autres les autres statues, celles de saint Herbot, de saint Sébastien, de saint Alain, de saint PrimelModèle:Etc.<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La fontaine, désormais un simple lavoir a conservé le nom de Saint-Dispar<ref>http://fr.topic-topos.com/saint-exupere-saint-thois</ref>.
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L'église paroissiale Saint-Exupère
- Chapelle Saint-Laurent : elle date de 1667, mais a été restaurée en 1870<ref>http://fr.topic-topos.com/chapelle-saint-laurent-saint-thois</ref>.
- Chapelle Notre-Dame de la Roche : elle a été construite dans la cour de l'ancien château de La Roche-Helgomarc'h, probablement avec des pierres du dit-château ; elle date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Chapelle ND de la Roche
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La chapelle en cours de restauration
(mai 2011). -
Le calvaire. -
Le clocher. -
La fontaine. -
Une gargouille. -
Statue au bord du toit.
Personnalités liées à la commune
Famille de Kerguelen de Kerbiquet :
- Hyacinthe de Kerguelen de Kerbiquet, né en 1637, frère capucin, missionnaire ;
- Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec (1734-1797), amiral, chevalier de Saint-Louis, navigateur et explorateur. Il découvre les îles de la Désolation, auxquelles l'explorateur anglais James Cook donnera le nom d'archipel des Kerguelen.
Démographie
Modèle:Population de France/section
Festivités
- Rallye pédestre début mai.
- Rassemblement de véhicules anciens (voitures et motos) en mai.
- Feu de la Saint Jean/Fête de la musique fin juin.
- Pardon de la Roche Modèle:2e de juillet.
- Pardon de Saint Laurent Modèle:2e août.
- Fête du 15 août : un thème différent chaque année (la Chine, les Bretons, les Extraterrestres, À 4 pattes, les BabacoolsModèle:Etc.).
- Pardon de Saint Dispar dernier dimanche de septembre.
- La Petite Soirée dernier samedi de septembre à Stervinou (l’Assokette).