Franc-comtois

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Le franc-comtois (frainc-comtou en franc-comtois) est une langue d'oïl Modèle:Incise qui se parle notamment en Franche-Comté, dans le canton du Jura et une partie du Jura bernois. On la désigne par «  franc-comtois  », «  langue comtoise  » ou «  parler comtois d’oïl  ». Le franc-comtois fait partie d'un groupe de langues qui comprend le picard, le wallon et le lorrain. Ces langues ont en effet un certain nombre de caractéristiques en commun, dont une influence germanique. Ses locuteurs sont appelés les comtophones. La langue a le statut de langue minoritaire en Suisse<ref name="rapportsuissecharte">Charte européenne des langues régionales ou minoritaires : septième rapport de la Suisse</ref>.

Histoire

Modèle:Article détaillé On possède des écrits du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en langue franc-comtoise, même si, durant des siècles, la langue est demeurée principalement parlée. Certains remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est le cas du chant du Rosemont, le plus ancien texte connu en franc-comtois. Datant de 1525, c'est une ballade qui célèbre la mémoire de Généry (ou Jean Neury) et de Richard Prévôt (chef d'une troupe de paysans qui participa à la Guerre des Paysans ayant agité le monde germanique cette année. On peut également citer Dialogue de Porte Noire et de Pilory sur la prise de Besançon par les Français datant de 1668.

Ainsi, contrairement à l'image bien souvent véhiculée, la langue fut également écrite. Même si la langue française s'imposa tôt chez les élites en Franche-Comté, le franc-comtois fut, pendant de nombreux siècles, la véritable langue du peuple.

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}}

}} sont marqués par un grand recul de la langue aussi bien en Franche-Comté que dans le canton du Jura. Ceci est notamment dû aux politiques menées au sein des écoles visant à imposer le Français contre les autres langues parlées en France. La langue a bien souvent subi une influence du français au niveau lexical dans les textes écrits.

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la langue n'est plus présente dans la vie publique et se maintient par des petits groupes de locuteurs, souvent présents au sein d'associations, dont la langue est parfois maternelle.

Domaine

Fichier:Langues de la France.svg
Place de la langue parmi les langues régionales en France métropolitaine et régions limitrophes

Son domaine est limité :

En France

Modèle:Article détaillé Comme toutes les langues régionales et minoritaires de France, le franc-comtois n'a aucune existence institutionnelle, mais, à la différence d'autres langues d'oïl comme le gallo, il ne fait pas l'objet d'un enseignement public.

De nombreux groupes et associations se battent à la marge pour essayer de faire connaître la langue notamment à travers des contributions dans des revues et par l'organisation de cours.

En Alsace

Fichier:Dialectes Alsace.PNG
Cartographie linguistique de l'Alsace en 1910. Le franc-comtois apparaît en rose.

L’aire de la langue s’étend, selon une cartographie linguistique de l'Alsace en 1910, sur l'Arrondissement d'Altkirch dans dix communes du canton de Dannemarie (Bellemagny, Bretten, Chavannes-sur-l'Étang, Eteimbes, Magny, Montreux-Jeune, Montreux-Vieux, Romagny, Saint-Cosme et Valdieu-Lutran) et dans deux communes du canton de Ferrette (Courtavon et Levoncourt).

Aujourd'hui, des patoisants sont encore actifs à Montreux-JeuneModèle:Référence nécessaire.

Le conseil général du Haut-Rhin s'est engagé pour une politique en faveur du bilinguisme en signant une convention quadripartite 2007/2013, visant notamment à faire de l'écomusée d'Alsace un exemple d'expérimentation d'un modèle bilinguiste avec une signalétique représentative de tous les dialectes d'Alsace n'oubliant pas « une appellation en langue française, une appellation en Hochdeutsch, une appellation soit en Elsasserditsch (dialecte alsacien), soit en Roman (secteur Montreux-Jeune, Montreux-Vieux, Valdieu-Lutran etc.), soit en patois welche (secteur Lapoutroie, Le Bonhomme), soit en judéo-alsacien (Yiddisch d’Alsace) ».

Fichier:Franche-Comte-bailliage.jpg
Les bailliages de Franche Comté avant 1790.

Cette initiative est une première reconnaissance d'un dialecte du franc-comtois (appelé roman en Alsace) et pourra peut-être être généralisée à l'échelle du département.

En Franche-Comté

L’aire de la langue s’étend en Franche-Comté sur les départements du Doubs (parties nord), de la Haute-Saône, du Jura (partie nord) et du Territoire de Belfort.

La limite entre francoprovençal (francoprovençal jurassien) et franc-comtois correspond à peu près historiquement à la frontière entre Bailliage du Milieu et Bailliage d'Aval (organisation du territoire avant 1790).

Le franc-comtois reste peu connu des Franc-Comtois eux-mêmes. On le retrouve relativement peu dans la toponymie locale ; seul un village de Haute-Saône, Anjeux, compte une devise en patois : « Ai Anjeux lo diale y cueut » (En français : « À Anjeux le diable y cuit » - allusion aux procès de sorcellerie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle où de nombreuses sorcières y furent brûlées). Alors que des expressions de Français régional restent très usitées, la région semble avoir oublié sa langue, même si de plus en plus de groupes émergent pour défendre les dialectes locaux.

En Suisse

Le Modèle:Date-, le Conseil fédéral a approuvé le septième rapport de la Suisse à propos de l’application de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Le Conseil de l’Europe ayant recommandé de reconnaitre l'arpitan (dont relève historiquement la majeure partie des dialectes de Suisse romande<ref name=":02"/>) comme langue régionale ou minoritaire, le Conseil fédéral a élargi cette reconnaissance au franc-comtois : tous deux sont désormais reconnus officiellement en Suisse en tant que langues minoritaires<ref name="rapportsuissecharte" />.

Dans le canton de Berne

Le franc-comtois est la langue traditionnelle du nord-est du Jura bernois<ref name=":02">Modèle:Article</ref>, région francophone du canton de Berne, plus précisément de la partie nord du district de Moutier<ref>Modèle:Article</ref>. Dans la partie sud-est de la région, l'arpitan est l'idiome traditionnel tandis que, dans la partie centrale, il s'agit d'un dialecte de transition entre le franc-comtois et l'arpitan<ref name=":02" />.

Dans le canton du Jura

La langue connaît une activité relativement importante dans le canton du Jura<ref>https://www.letemps.ch/culture/patois-lexception-jurassienne</ref>, notamment par l'existence de plusieurs associations la protégeant et faisant vivre le dialecte jurassien. Néanmoins le franc-comtois a été délaissé pendant près de deux siècles, subissant une évolution différente des autres dialectes de Suisse romande du fait de la polarisation entre la langue germanique imposée historiquement par Berne et la langue française, devenant un symbole de résistance. Selon Andres Kristol il y avait encore à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle 3,1 % de locuteur du dialecte jurassien dans le canton. Sur les 65 communes du canton du Jura, 64 sont majoritairement francophones ; seule Ederswiler est à 84,5 % germanophone et 10,1 % francophone.

L'article 42.2 de la constitution de la République et canton du Jura fait référence à la langue sous le terme de « patois » :

  • (Article 42.2) : « Ils (l'État et les communes) veillent et contribuent à la conservation, à l’enrichissement et à la mise en valeur du patrimoine jurassien, notamment du patois. »

Le Modèle:Date-, Jean-Marie Moine proposait d’envisager la création d'un Cercle d'étude du patois au sein de la Société jurassienne d'émulation (SJE) (Jean-Marie Moine est le responsable du Cercle depuis sa création). Il faudra néanmoins attendre le Modèle:Date pour que ce Cercle voit le jour. Nommé « Voiyïn » (regain, en français), il se réunit régulièrement quatre fois par an. Ses activités consistent notamment à :

  • enregistrer des patoisants,
  • établir un catalogue de tout ce qui a été écrit ou qui a paru en patois (articles, livres, disques, cassettes, vidéocassettes, etc.),
  • présenter des travaux de recherches sur la langue patoise, et prendre connaissance des textes patois nouveaux écrits aujourd'hui par les membres du Cercle,
  • rassembler tous les documents et les mettre à la disposition du public.

Fondateur, en 1956, du « Réton di Ciôs-di-Doubs » (l'Echo du Clos-du-Doubs, en français), une amicale de patoisants, Badet Joseph, plus connu sous le nom de « Djôsèt Barotchèt », s’était engagé pour la défense et la sauvegarde du patois. Il est notamment l'auteur de dix-neuf pièces de théâtre ainsi que de nombreux poèmes et chansons mises en musique par Paul Montavon et Ernest Beuchat. Il donnait aussi des cours de patois, participait à des émissions radiophoniques et écrivait de nombreux articles dans les journaux. En 1983, il reçoit le Prix littéraire jurassien.

Toponymie


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Toponymie en Langue Comtoise
Fichier:Flag of France (1794–1815, 1830–1974).svg Village en français Fichier:Flag of Franche-Comté.svg Nom Comtois Blason
Adam-lès-Vercel Odan-lâ-Vaché
Aïssey Isé Fichier:Blason ville fr Aïssey (Doubs).svg
Athose Atoz
Avoudrey Evoudrâ, Voudrâ
Belmont Bémon
Belvoir Belvour Fichier:Blason ville fr Belvoir 25.svg
Besançon Besançon, B’sosson
B’sanchon
Bremondans Brémondan
Bretigney Bretignaï Fichier:Blason ville fr Bretigney 25.svg
Chamesol Tchaimesol
Charmoille Tchermoiy’
Chasnans Chanan
Chaux-lès-Passavant Tcho-lâ-Pessévan
Chevigney-lès-Vercel Chevignâ-lâ-Vaché
Clerval Tiervâ Fichier:Blason ville fr Clerval.svg
Colombier-Fontaine Colombie-Fontanne Fichier:Blason Colombier-Fontaine.svg
Courcelles-lès-Montbéliard Couchelles Fichier:Blason ville fr Courcelles-les-Montbeliard 25.svg
Courtetain-et-Salans Couchtan
Dampierre-sur-le-Doubs Daimpiere-chur-lou-Doubs Fichier:Blason ville fr Dampierre-sur-le-Doubs (Doubs).svg
Domprel Domprâ Fichier:Blason ville fr Domprel 25.svg
École-Valentin Âkole-Valentin
Épenouse Ap’nouz
Épenoy Apnet
Étalans Tôlan
Etray Atrâ
Eysson Osson
Exincourt Assincouë, Essincouë
Fallerans Fôlran
Fontaine-lès-Clerval Fontanne-lâ-Tiervâ
Germéfontaine Germé
La Grange Lai Graindge Fichier:Blason La Grange.svg
Grosbois Grosbô
L'Hôpital-du-Grosbois L’Hôpitâ-di-Grosbô
Hôpitâ di Grosbôs
Fichier:Blason ville fr L'Hôpital-du-Grosbois 25.svg
Hautepierre-le-Chatelet Aut’pî-lou-Chét’lâ
L'Isle-sur-le-Doubs Isle-chur-lou Doubs Fichier:Blason L’Isle-sur-le-Doubs.svg
Landresse Landrosse
Liebvillers Liebvelai Fichier:Blason ville fr Liebvillers (Doubs).svg
Longechaux Lontchô
Loray Lerâ
Longemaison Lonj’mozon
Magny-Châtelard Mani-Chétlâ
Montbéliard Monbyai, Monblia Fichier:Blason ville fr Montbéliard.svg
Morteau Mouëtchâve, Moûtcho Fichier:Blason ville fr Morteau (Doubs).svg
Nods
Orchamps-Vennes Ourchan
Orsans Oussan
Orve Ourv’
Passonfontaine Péss’fontan’n, Pass'fontan'n
Pierrefontaine-les-Varans Pirfontanne-lâ-Varans
Les Premiers Sapins Lâ Premie Sèpïns
Rantechaux Rantchô
Saint-Julien-lès-Montbéliard Sin Gelin, Sin Djelin Fichier:Blason ville fr Saint-Julien-lès-Montbéliard (Doubs).svg
Sochaux Soûetchâ Fichier:Blason ville fr Sochaux (Doubs).svg
Valdahon, Le Valdahon Lou Vaudohon
Valoreille Vèloureille
Vanclans' Vantian
Vauclusotte Vauchozot’
Vaudrivillers Vaudrîvlâ
Vellerot-les-Vercel Volro-lâ-Vaché
Vercel-Villedieu-le-Camp Vaché
Vernierfontaine Varifontan’n, Vanifontan'ne
Bola
Verrières-du-Grosbois
La Verrière-du-Grosbois
Lé Varir’-di-Grobô
Villers-Grélot Vlâ-Grélot
Villers-la-Combe Vlâ’-lè-Comb’
Villers-le-Lac Vlâ-lou-Lai Fichier:Blason ville fr Villers-le-Lac (Doubs).svg

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Toponymie en Langue Comtoise
Fichier:Flag of France (1794–1815, 1830–1974).svg Village en français Fichier:Flag of Franche-Comté.svg Nom Comtois Blason

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Toponymie en Langue Comtoise
Fichier:Flag of France (1794–1815, 1830–1974).svg Village en français Fichier:Flag of Franche-Comté.svg Nom Comtois Blason
Bousseraucourt Boussereaucouot
Buffignécourt Buffignécouot Fichier:Blason Buffignecourt.svg
Chagey Tchèdji Fichier:Blason ville fr Chagey 70.svg
Champlitte Champitre Fichier:Blason ville fr Champlitte (Haute-Saône).svg
Chaux-la-Lotière Chaux-lâ-Lotére
Chevigney Chevgnâ
Clairegoutte Tiârgotte Fichier:Blason Clairegoutte.svg
Clans Tians
Confracourt Confracouot
Cornot Couonot
Courcuire Couorqueure
Échenoz-la-Méline Âchnoz-Lè-Méline Fichier:Blason Echenoz la Meline 70.svg
Fleurey-lès-Faverney Fieurey-lâ-Fauvaney
Fouchécourt Fouchécouot Fichier:Blason ville fr Fouchécourt (Haute-Saône).svg
Frahier-et-Chatebier Frahie-et-Châtebie Fichier:Blason Frahier-et-Chatebier.svg
Francourt Francouot
Frotey-lès-Vesoul
Frotey-le-Sabot
Frotey-lâ-Vzou
La Quarte Lè Quâtche Fichier:Blason ville fr La Quarte 70.svg
Héricourt Héricoué,Héricouot Fichier:Blason Héricourt 70.svg
Magnoncourt Magnoncouot 16px
Malvillers Mauvlâ
Mandrevillars Mandrev'lé Fichier:Blason ville fr Mandrevillars 70.svg
Melin Mlin
Melincourt Mlincouot, Melincoue Fichier:Blason Melincourt.svg
La Montagne Lè Montègne
Montcourt Montcouot
Montigny-lès-Vesoul Montigny-lâ-Vzou Fichier:Blason ville fr Montigny-lès-Vesoul (Haute-Saône).svg
Neuvelle-lès-Champlitte Nieuvelle-lâ-Champitre Fichier:Blason Neuvelle.png
Neuvelle-lès-Cromary Nieuvelle-lâ-Cromary
La Neuvelle-lès-Lure Nieuvelle-lâ-Lure Fichier:Blason La Neuvelle-lès-Lure.svg
La Neuvelle-lès-Scey Nieuvelle-lâ-Scey
Oricourt Oricouot
Percey-le-Grand Poichiey-l’Grand
Pont-du-Bois Pont-du-Bau
Purgerot Preugerot Fichier:Blason Purgerot.svg
Polaincourt-et-Clairefontaine Polaincourt-et-Tiârfontain-ne
Saponcourt Saponcouot
Sorans-lès-Breurey Sorans-lâ-Breurey
Vallerois-le-Bois Vallerois-l'Bau
Vesoul Vezou, Vzou
Villers-le-Sec Vlâ-lou-So
Visoncourt Visoncouot
Vougécourt Vougécouot


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Toponymie en Langue Comtoise
Fichier:Flag of France (1794–1815, 1830–1974).svg Village en français Fichier:Flag of Franche-Comté.svg Nom Comtois Blason
Andelnans Andrenans Fichier:Blason ville fr Andelnans (Territoire de Belfort).svg
Angeot Aîndgeot Fichier:Angeot.png
Anjoutey Aîndjoutey Fichier:Blason de la ville d'Anjoutey (90).svg
Autrechêne Atrechêne Fichier:Blason Autrechêne.svg
Auxelles-Bas Ossarre-Bé Fichier:Blason Auxelles-Bas.svg
Auxelles-Haut Ossarre-Hât Fichier:Blason ville fr Auxelles-Haut (Territoire de Belfort).svg
Banvillars Banvlâs, Banvlaie, Banv'lai Fichier:Blason Banvillars.svg
Bavilliers Baivlie, Baivillie Fichier:Blason ville fr BernayEnPonthieu (Somme).svg
Beaucourt Bôcouét Fichier:Blason ville fr Beaucourt (Territoire-de-Belfort).svg
Belfort Béfô, Béfoûe Fichier:Blason ville fr Belfort (Territoire-de-Belfort).svg
Bessoncourt B'soncoué Fichier:Blason ville fr Bessoncourt (Territoire de Belfort).svg
Boron Boueron Fichier:Blason ville fr Boron (Territoire-de-Belfort).svg
Bourogne Bouerigne Fichier:Blason ville fr Bourogne (Territoire de Belfort).svg
Bretagne Bretaigne, B'cheigne Fichier:Blason ville fr Boron (Territoire-de-Belfort).svg
Buc Fichier:Blason ville fr Buc (Territoire de Belfort).svg
Charmois Tchermois Fichier:Blason de la ville de Charmois (90).svg
Châtenois-les-Forges Tchâtenais, Chatenet Fichier:Blason ville fr Châtenois-les-Forges (Belfort).svg
Chaux Tchâ Fichier:Blason ville fr Chaux (Belfort).png
Grandvillars Graindv’laie

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Toponymie en Langue Comtoise
Village en français Nom Comtois
(Patois Jurassien)
District
Alle Alle Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Asuel Ésué Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Le Bémont Lo Bémont Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Les Breuleux Les Breûleux Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Beurnevésin Beun’véjin Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Boécourt Boéco Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Boncourt Boncoué, Bôco Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Les Bois Les Bôs Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Bressaucourt Pchâcoué, B’chacouèt Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Les Breuleux Les Breûleux Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Buix Boé Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Bure Bure Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Charmoille Tchairmoiye Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
La Chaux-des-Breuleux Lai Tchâ-des-Breûleux Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Chevenez Tchev’nez Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Choindez Tchoindez Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Clos-du-Doubs Chôs-di-Doubs Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Cœuve Tieuve Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Corban Corban Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Cornol Cornô Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Courchapoix Cortchèpouè, Coértchaipoix Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Courfaivre Cofaivre Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Courgenay Couédjené
Coérdgenaie
Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Courrendlin Coindlïn Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Courtedoux Codg’dou Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Courtemaîche Codg’maîtche Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Courtételle Cortételle Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Damphreux Daimphreux Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Damvant Daimvant Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Delémont D’lémont Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Develier Devlî Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Épauvillers Épav’lès Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Épiquerez Épitçh’rez Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Les Enfers Les Enfies Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Fahy Faihyi Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Fontenais Font’nais Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Fregiécourt Ferdgiecot Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Les Genevez Les Dgen’vés Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Grandfontaine Graindfontaînne Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Glovelier Yovlî, Glovlî Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Haute-Ajoie Hâte-Aîdjoue Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Lajoux Laidjoux Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Lugnez Niungnez Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Mervelier Mèrvelie Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Mettembert Mèttembèt Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Miécourt Miecot Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Montenol Mont’nô Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Montfaucon Montfâcon Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Montignez Les Mont’nez Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Montsevelier Montsev’lie Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Moutier Môtie Fichier:Flag of Canton of Bern.svg Jura bernois
Muriaux Meuriâ Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Le Noirmont L’Nairmont Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Ocourt Ocoué Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Le Peuchapatte Lo Peutchaipatte Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Pleujouse Piedjouse Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Porrentruy Poérreintru Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Réclère Réçhière Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Rocourt Rocoué Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Rossemaison Rossemâjon Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Saignelégier Sèneleudjî
Sainn’leudgie
Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Saint-Brais Sïnt-Brais Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Saint-Ursanne Sïnt-Ouéchanne Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Saulcy Sâci Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Soubey Dôs l’Biet Fichier:Saignelegier.gif Franches-Montagnes
Undervelier Ondrev’lie Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont
Vendlincourt Vendlïncoét Fichier:Ajoie-drapeau.jpg District de Porrentruy
Vicques Vitçhes Fichier:CHE Delémont Flag.svg District de Delémont


Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Boîte déroulante/début

Toponymie en Langue Comtoise
Fichier:Flag of France (1794–1815, 1830–1974).svg Village en français Nom Comtois
(Patois Roman)
Blason
Courtavon Cotchâvon Fichier:Blason de la ville de Courtavon (68).svg
Levoncourt Lvonco, Lèvoncouot Fichier:Blason de la ville de Levoncourt (68).svg
Montreux-Jeune Djeune-Méntrue Fichier:Blason de la ville de Montreux-Jeune (68).svg


Modèle:Boîte déroulante/fin [1] Modèle:Boîte déroulante/fin

Vocabulaire

Fichier:Coûe d'l'hanne - devaint èt derie.jpg
Le corps humain<ref>Dictionnaire français/patois jurassien.</ref>.

Étude de la langue

La première étude remonte à la publication de l'Essay d'un dictionnaire comtois-françois par Modèle:Mme Brun en 1755. Tout au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la langue fait l'objet d'études locales sur les différents patois avec la prise en compte de leur proche disparition, les mutations industrielles de la Franche-Comté bouleversant l'isolement des villages. On peut citer notamment les études de Fallot, Contejean, Vautherin sur le patois de Montbéliard et des environs, de Vatré pour le canton suisse du Jura, de Roussey sur le Bournois ou encore de Beauquier sur le français régional du Doubs.

Modèle:Secnec

Grammaire

Modèle:Article détaillé

Dialectes

La langue franc-comtoise est composée de plusieurs dialectes<ref>David Dalby, The Linguasphere Register of the World's Languages and Speech Communities, Linguasphere Press, vol. 2, 1999/2000, Hebron, Wales.</ref> :

  • Saône : Parlé dans les hauts plateaux du département de la Haute-Saône ;
  • Doubs-Ognon : Parlé dans la vallée de l'Ognon qui inclut les vallées du département du Doubs et la partie sud de la Haute-Saône ;
  • Lomont-Doubs : Parlé dans le massif du Lomont, dans les hautes-vallées à l'est du Doubs et la partie ouest du canton du Jura ;
  • Ajoulot : Parlé en Ajoie, La vallée de la Savoureuse, dans l'ouest du Sundgau, qui inclut le territoire de Belfort et les parties voisines du département du Haut-Rhin, à Porrentruy et la partie nord-ouest du canton du Jura. L'ajoulot est sans doute le dialecte le plus développé, le plus connu de tous les dialectes franc-comtois. De nombreux auteurs écrivent encore dans ce dialecte ;
  • Vâdais : Parlé à Delémont dans le canton du Jura ;
  • Taignon : Parlé dans les Franches-Montagnes dans la partie sud-ouest du canton du Jura.

Dans le canton du Jura, on distingue six parlers par zones géographiques, dont quatre peuvent être rattachés au dialecte franc-comtois<ref>Charles de Roches, Les noms de lieux de la vallée Moutier-Grandval, 1906.</ref> : les Franches-Montagnes, la vallée de Delémont, l'Ajoie et l'ancienne prévôté de Moutier-Grandval. Cette observation permet de rajouter une septième zone dialectale dans le Jura bernois. On peut également distinguer un parler bisontin ou plutôt bousbot (nom des habitants du quartier Battant) qui se développe dans la littérature dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec les Noëls, la Crèche et la Jacquemardade. Ce parler typique de Besançon se caractérise par une grande proximité avec le français et un vocabulaire beaucoup moins influencé par les langues germaniques.

Syntaxe

Modèle:Référence nécessaire

Graphie

Il n’existe actuellement pas de graphie standard unifiée pour la langue franc-comtoise, comparable à ce qu’il existe pour d’autres langues d’oïl tel que le normand, le gallo ou le wallon. Aucune norme n’a été créée pour retranscrire les différentes variations dialectales. On peut également dire qu’il n’existe pas non plus de norme précise fixée pour son écriture, notamment en ce qui concerne la notation des sons. On trouve souvent différentes graphies «  personnelles  » utilisées par les locuteurs pour transcrire le franc-comtois à l'écrit.

Certains locuteurs, notamment au sein des associations publiant des recueils de textes et des feuilles périodiques, utilisent une graphie qualifiée d’orthographe francisée qui consiste à rapprocher l’écriture du franc-comtois des normes orthographiques et des conventions du français. Celle-ci a été popularisé par Simon Vatré dans les années 1940. Il semble que cette méthode graphique avait déjà été adoptée à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par A. Vautherin et par Ch. Contejean. On note cependant des variations visibles dans les graphies basées sur la méthode de l’orthographe francisée.

Plusieurs conventions ont été retenues pour noter les sons inexistants dans la langue française. Ainsi, on écrit, dans la graphie utilisée pour les patois jurassiens et ajoulots :

  • çh pour noter le son Modèle:SAPI, correspondant au Ich-Laut allemand, provenant des groupes latins CL et FL<ref>Colette Dondaine, Les parlers comtois d’oïl, 1972.</ref>.
    Exemple : çhouçhaie (souffler), prononcé [çuˈçɛː].
  • tçh, ty ou ti, qui représente le son Modèle:SAPI<ref>provenant de la palatalisation de Modèle:SAPI, conservé en français et dans les autres langues d’oïl.</ref> ; de même que pour dy qui note le son Modèle:SAPI<ref>provenant de la palatalisation de Modèle:SAPI, conservé en français et dans les autres langues d’oïl.</ref>. Néanmoins, par influence de la graphie, certains locuteurs prononcent respectivement [tj] et [dj].
    Exemples : tyaind (quand), prononcé [cɛ̃], ou tyeujainne (cuisine), prononcé [cœˈʒɛ̃n], et ridyaie (regard), prononcé [ɾiˈɟɛː].
  • ïn pour noter le son [ĩ], un i nasalisé<ref>Il s’agit là du phénomène inverse. Le franc-comtois conserve ce son, qui existait autrefois en ancien français et qui était produit par in, ce qui explique la correspondance entre le son comtois et la graphie française. Voir l’appendice du Glossaire du patois de la Suisse Romande par le doyen Bridel, Modèle:P. Modèle:Lire en ligne.</ref>.
    Exemple : vïn (vin), prononcé [vĩ].

Dans les textes historiques, plus particulièrement dans les écrits bisontins, on trouve la notation ë qui indique l'allongement de la voyelle précédente dans un mot. Il s’agit en réalité d’un simple e, le tréma étant là pour empêcher la prononciation œ, courante à l’époque en français et dans les autres langues d’oïl, du digramme ue. Dans les écrits décrivant les patois d’Ajoie, on trouve les notations qu· pour indiquer [c] et ch· pour indiquer [ç]<ref name="appendice">Voir notamment l’appendice du Glossaire du patois de la Suisse Romande par le doyen Bridel, Modèle:Pp. Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Lexique comparatif

Ce lexique se base avant tout sur les parlers Modèle:Passage incohérent et sur les Modèle:Quoi au niveau de l'orthographe utilisée.

Franc-comtois Français
i je
vèle (lai) ville (la)
âve (l'), ôve (l') eau (l')
laissé (lou) lait (le)
outô (l'), ôtâ (l') maison (la) (le foyer)
cie (lou) ciel (le)
beau
vïn (lou) vin (le)
fue (lou) feu (le)
sraye (lou), sroye (lou), srèye (lou) soleil (le)
leune (lai) lune (la)
tchïn (lou) chien (le)
tchai (lou) chat (le)
crou (lai), crouè (lai) croix (la)
machi, mèchi merci
fanne (lai) femme (la)
drèt (lou) droit (le)
fouè (lou), fouo (lou) four (le)
po(u)tche (lai), poutye (lai) porte (la)
penre prendre
tâle (lai), tôle (lai) table (la)
toutché (lou), toutyé (lou) gâteau (le)
vadjai garder
vie (lai) route (la), chemin (le)

Bibliographie

Modèle:Article détaillé

Musique et littérature

Modèle:Article détaillé

Jean-Louis Bisot (ou Bizot) né à Besançon en 1702 et ancien conseiller au bailliage de la ville a écrit quelques poèmes en franc-comtois dont Arrivée dans l'autre monde d'une dame en paniers (Besançon, 1735) et La jacquemardade (Dole, 1753) poème épi-comique.

Alexandre Verdel un chansonnier, originaire d'Avanne a cultivé la langue en écrivant des textes en franc-comtois.

On retrouve aussi le parler franc-comtois dans les romans de Marcel Aymé : Gustalin 1938, et La Vouivre 1943.

L'Ulysse et la Climène de Madeleine et Georges Becker sont des histoires (riôles) contenues dans un fascicule de 59 pages, tiré par l'imprimerie Metthez de Montbéliard en 1949. Cela raconte les histoires d'un vieux couple de Lougres. Plusieurs de ces histoires ont été rééditées et traduites dans les mémoires de la Société d'Émulation de Montbéliard, en 1995, 1996 et 1997.

Jules Surdez, instituteur originaire du Clos-du-Doubs, a récolté durant sa vie des centaines de contes oraux jurassiens en langue franc-comtoise (dans le dialecte jurassien) qu’il a ensuite transcrits.

Les Noëls, pièces de théâtre ayant pour cadre la nativité (crèche comtoise), constituent une partie de la littérature historique (à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Ces textes doivent être considérés avec précaution étant donné que la graphie et le lexique utilisés sont la plupart très influencés par le français.

Citations

Rapport du Professeur Bernard Cerquiglini, directeur de l'Institut national de la langue française (branche du CNRS) au ministre de l’Éducation nationale, de la recherche et de la technologie ainsi qu’à la ministre française de la Culture et de la Communication sur les langues de la France paru en Modèle:Date- : Modèle:Citation bloc Extrait de Sébastien Commissaire, ouvrier canut et martyr républicain : Modèle:Citation bloc Tiré de 600 anecdotes méconnues sur 30 communes du Doubs : Modèle:Citation bloc Témoignage d'une locutrice dans Lou patois de tchie nos - bulletin de l'Union des Patoisants en Langue Romane : Modèle:Citation bloc

Notes et références

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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