Villefranche-de-Lauragais
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Villefranche-de-Lauragais est une commune française située dans l'est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Mort, la Grasse, le Marès, le ruisseau de Favayrol, le ruisseau des Barelles et par divers autres petits cours d'eau.
Villefranche-de-Lauragais est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Villefranche-de-Lauragais et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Lauragais ou Lauragaises ou Villefranchois.
Géographie
Localisation
La commune de Villefranche-de-Lauragais se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Revel<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Villefranche-de-Lauragais<ref name=meta group=I/>.
Sur le plan historique et culturel, Villefranche-de-Lauragais fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
La superficie de la commune de Villefranche-de-Lauragais est de Modèle:Unité. Son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Communes limitrophes
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Renneville (Modèle:Unité), Gardouch (Modèle:Unité), Saint-Rome (Modèle:Unité), Montgaillard-Lauragais (Modèle:Unité), Vallègue (Modèle:Unité), Montclar-Lauragais (Modèle:Unité), Vieillevigne (Modèle:Unité), Saint-Vincent (Modèle:Unité).
Modèle:Carte communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Hers-Mort, la Grasse, le Marès, le ruisseau de Favayrol, le ruisseau des Barelles, le ruisseau d'en Dax, le ruisseau des Grangettes, le ruisseau du Cordet et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La Grasse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune des Les Cassés (11) et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente vers le sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Marès à Montgaillard-Lauragais, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le Marès, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Avignonet-Lauragais et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Montgaillard-Lauragais, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau de Favayrol, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mourvilles-Hautes et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Marès à Renneville, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montferrand », sur la commune de Montferrand, mise en service en 1970<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Villefranche-de-Lauragais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Villefranche-de-Lauragais, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones urbanisées (24,8 %), prairies (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 255, alors qu'il était de 2 074 en 2013 et de 1 888 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 76,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23,1 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villefranche-de-Lauragais en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (4,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,6 % en 2013), contre 52,3 % pour la Haute-Garonne et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Typologie | Villefranche-de-Lauragais<ref name="LogT2" group="I"/> | Haute-Garonne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> |
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Résidences principales (en %) | 89,1 | 88,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,4 | 4,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,5 | 7,3 | 8,2 |
Voies de communication et transports
Voies de communication
Villefranche-de-Lauragais se trouve sur l'ancienne Route nationale 113 (actuelle RD 813), l'autoroute des Deux Mers (A61) sortie Modèle:Sortie, et l'ancienne route nationale 622.
Transports
La gare de Villefranche-de-Lauragais, sur la ligne Bordeaux-Saint-Jean - Sète-Ville, est ouverte depuis 1858. Elle est desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Castelnaudary, Carcassonne et Narbonne.
La ligne 350 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Université-Paul-Sabatier du métro de Toulouse depuis Avignonet-Lauragais, la ligne 386 relie la commune à la gare routière de Toulouse, et la ligne 413 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Castelnaudary.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villefranche-de-Lauragais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Marès, le ruisseau de Favayrol et la Grasse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1998, 1999, 2000, 2009, 2014, 2017 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 716 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 2002, 2003, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
« franche » signifie « libre »: la ville franche était une ville dont la bourgeoisie s’était beaucoup enrichie (sans doute en partie grâce au pastel) et s’était affranchie du régime féodal d’un seigneur. De ce fait, la population se retrouvait soustraite aux obligations fiscales. De plus, lors de la création d’une bastide, le contrat de paréage prévoyait des mesures incitatives visant à encourager l’installation d’habitants.
Histoire
Moyen Âge
Bastide fondée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en 1267 par Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse. Modèle:Article connexe
En 1280, Philippe le Bel lui accorde une nouvelle charte de privilèges. Elle est dévastée en 1355 par Édouard de Woodstock, surnommé le Prince noir, lors de sa terrible chevauchée partie de l'Aquitaine anglaise. Modèle:Article détaillé
La bastide de Villefranche, fondée sur un terroir propice à l’agriculture (céréales) et l’élevage (bovins ; porcins ; ovins ; volailles) prend son essor au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au détriment de sa voisine Avignonet-Lauragais. Elle est une cité prospère du « Pays de Cocagne ».
Quant aux rues longilignes, elles se croisent en angle droit en bordure de l’axe routier commercial, datant de son origine. Un entremis servant à l'évacuation des eaux usées témoigne de son passé médiéval ainsi qu’un nom : place du Portail (ancienne porte d’Autan), preuve de ses défenses.
Révolution française et Empire
En 1790, la bastide devient chef-lieu de canton, sous-préfecture en 1800.
Elle est chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Toulouse du département de la Haute-Garonne.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Villefranche-de-Lauragais<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Revel Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
Villefranche-de-Lauragais était le siège de la communauté de communes Cap-Lauragais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2008 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes des Terres du Lauragais dont la commune est le siège.
Tendances politiques et résultats
La commune vote majoritairement à gauche.
Élections présidentielles dans la commune
Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 1995, Lionel Jospin arrive en tête avec 40,45 % des suffrages, ,suivi par Jacques Chirac (16,22 %), Édouard Balladur (14,72 %), Jean-Marie Le Pen (10,88 %), Robert Hue (5,97 %) et Arlette Laguiller (4,95 %), aucun candidat ne dépasse ensuite les 4 %.
Au second tour, contrairement au vote national, Lionel Jospin arrive en tête avec 61,16 % des suffrages contre 38,84 % pour Jacques Chirac.
Lors du premier tour de l'élection de 2002 Lionel Jospin arrive en première position avec 28,55 % des votes, suivi par Jean-Marie Le Pen (17,81 %), Jacques Chirac (14,5 %), Arlette Laguiller (5,59 %) et Jean Saint-Josse (5 %).
Au second tour, Jacques Chirac obtient 83,01 % et Jean-Marie le Pen 16,99 %
Au premier tour de celle de 2007, Ségolène Royal obtient 35,83 % des votes, suivie par Nicolas Sarkozy (24,98 %), François Bayrou (15,77 %) et Jean-Marie Le Pen (9,75 %).
Au second tour, Ségolène Royal obtient 56,33 % des suffrages et Nicolas Sarkozy 43,67.%.
Au premier tour de la présidentielle de 2012, les quatre premiers candidats sont François Hollande (37,93 % des suffrages exprimés), Nicolas Sarkozy (21,05 %), Marine Le Pen (17,53 %) et Jean-Luc Mélenchon (10,64 %).
Au second tour, François Hollande obtient Modèle:Unité (60,8 %) et Nicolas Sarkozy 966 voix (39,20 %). Lors de ce scrutin14,53 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Au premier tour de l'élection de 2017, les quatre premiers candidats ont été respectivement Emmanuel Macron (25,79 %,des suffrages exprimés), Jean-Luc Mélenchon (20,67 %), Marine Le Pen (20,56 %), François Fillon (14,83 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient Modèle:Unité ( 67,01 %) et Marine Le Pen Modèle:Unité (32,99 %). Lors de ce scrutin, 22,77 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Au premier tour de l'élection de 2022, les quatre premiers candidats sont respectivement Emmanuel Macron (26,52 %), Marine Le Pen (22,72 %), Jean-Luc Mélanchon (19,17 %) et Éric Zemmour (6,78 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient Modèle:Unité (56,41 %) et Marine Le Pen Modèle:Unité (43,59 %). Lors de ce scrutin, 23,67 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections législatives dans la commune
Lors du premier tour des élections législatives de 2007 en Midi-Pyrénées, où la ville est encore rattachée à la septième circonscription , les quatre premiers candidats sont Patrick Lemasle (PS, candidat sortant : 41,05 % des suffrages exprimés), Jean-Pierre Bastiani (UMP : (32,68 %), Éric Gautier (UDF-MoDem : 6,05 %) et Arnaud Delamare (FN - 4,14 %).
Au second tour, Patrick Lemasle, candidat élu, recueille Modèle:Unité (59,68 %) et Jean-Pierre Bastiani 804 voix (40,32 %). Lors de ce scrutin, 32,21 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
À compter des élections législatives de 2012 dans la Haute-Garonne, la ville est rattachée à la dixième circonscription.
Lors du premier tour, les quatre premiers candidats sont Gilbert Hébrard (PS dissident : 29,40 % des suffrages exprimés), Kader Arif (PS : 25,63 %), Dominique Faure (UMP-AC-PR : 20,53 %), Marie Lopau (Front National : 11,55 %).
Au second tour, le candidat élu Kader Arif obtient Modèle:Unité (60,90 %) et Dominique Faure 685 voix (39,10 %). Lors de ce scrutin, 39,20 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Lors du premier tour de l'élection de 2017, les quatre premiers candidats sont Sébastien Nadot (MUP : 35,26 % des suffrages exprimés), Monique Fabre LFI : 12,29 %), Kader Arif, député sortant (PS : 12,23 %), Matthieu Lachuries (FN : 11,94 %)
Au second tour, le candidat élu Sébastien Nadot recueille 832 voix (59,17 %) et Monique Fabre 574 voix (40,83 %). Lors de ce scrutin52,70 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Au premier tour des élections législatives de 2022 dans la Haute-Garonne, les quatre premiers candidat sont Alice Assier (G.s (NUPES) : 33,07 % des suffrages exprimés), Dominique Faure (PRV - LREM (ENS) : 27,05 %), Christelle Poirier (RN : 19,81 %) et Baptiste Marquié (RES : 6,92 %).
Au second tour, Alice Assier recueille 869 voix (52,99 %) et la candidate élue Dominique Faure 771 voix (47,01 %). Lors de ce scrutin, 50,77 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Modèle:Article connexe
Élections européennes dans la commune
Lors de l'élections européennes de 2014 en France, Villefranche fait partie de la circonscription Sud-Ouest.
Les quatre premières listes sont à Villefranche celles du PS-PRG menée par Virginie Rozière (25,87 % des suffrages exprimés), du FN menée par Louis Aliot (22,33 %), de UMP menée par Michèle Alliot-Marie (15,27 %) et d'Europe Écologie Les Verts menée par José Bové (10,07 %).
Lors de ce scrutin, 49,79 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Lors de l'élections européennes de 2019 en France, menée dans une unique circonscription nationale, les quatre premières listes sont à Villefranche celles du RN (21,37 %), LREM-MODEM (20,39 %), Europe-Écologie (13,50 %) et PS (9,65 %). Lors de ce scrutin, 41,55 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections régionales dans la commune
Au second tour des élections régionales de 2015 en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, la liste PS de Carole Delga obtient Modèle:Unité (55,38 % des suffrages exprimés), celle FN de Louis Aliot (FN) (Modèle:Unité (28,43 %) et LR menée par Dominique Reynié 316 voix (16,19 %). Lors de ce scrutin, 35,55 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Au second tour des élections régionales de 2021 en Occitanie, la liste PS menée par Carole Delga obtient Modèle:Unité (70,66 % des suffrages exprimés), celle RN menée par Jean-Paul Garraud Modèle:Unité (15,91 %) et celle LR menée par Aurélien Pradié Modèle:Unité (13,42 %). Lors de ce scrutin, 60,42 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections cantonales puis départementales dans la commune
Lors du premier tour des élections cantonales de 2011 dans la Haute-Garonne, où la ville est encore le chef-lieu du canton de Villefranche-de-Lauragais. Les deux premiers candidats ont été dans la ville<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Pierre Izard, président du conseil général de la Haute-Garonne, ancien maire et candidat sortant, PS : Modèle:Unité, 67,1 % des suffrages exprimés, élu ;
- Gilles Gonzalez, Front national : 198 voix, 11,5 %.
Lors de ce scrutin, 42,03 % des électeurs se sont abstenus.
A compter des élections départementales de 2015 dans la Haute-Garonne, la ville fait partie du canton de Revel. Lors du second tour, les binômes ont obtenu<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Gilbert Hébrard et Marie-Claude Piquemal-Doumeng (PS) : Modèle:Unité, 61,73 %, élus ;
- Marielle Garonzi et Louis Palosse (DVD) : 354 voix, 19,49 % ;
- Olivier Lupion et Ghislaine Meyer (FN) : 341 voix, 18,78 %.
Lors de ce scrutin, 40,01 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections départementales de 2021 dans la Haute-Garonne, les binomes ont obtenus<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Gilbert Hebrard et Florence Anne Siorat (Union à gauche) : Modèle:Unité, 61,73 %, élus ;
- Pascale Ajac et Fernand Batigne (Rassemblement national) : 293 voix, 22,50 %.
Lors de ce scrutin, 59,23 % des électeurs se sont abstenus.
Élections municipales
Lors des élections municipales de 2014 dans la Haute-Garonne, la liste PS-PCF-EELV menée par la maire sortante Marie-Claude Piquemal-Doumeng est la seule candidate et obtient donc la totalité des Modèle:Unité. Sa liste est élue en totalité et 8 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin, 34,59 % des léecteurs se sont abstenus et 24,37 des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul<ref>Résultats officiels pour la commune Villefranche-de-Lauragais</ref>.
Modèle:Article détaillé
Au second tour de l'élections municipales de 2020 en Haute-Garonne, la liste DVG menée par Bernard Barjou obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec Modèle:Unité (25,94 %, 21 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant de 101 voix celle également DVG menée par Valérie Grafeuille-Roudet qui a recueilli Modèle:Unité (47,05 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 47,77 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Modèle:Article détaillé
Après la démission de plus d'un tiers du conseil municipal, de nouvelles élections municipales sont organisées le Modèle:Date-. La liste menée par Valérie Grafeuille-Roudet obtient Modèle:Unité (66 % des suffrages exprimés, 23 conseillers élus dont 6 communautaires), devançant très largement celle menée par Lina Pic-Nardèse, conseillère municipale de la majorité sortante<ref>Modèle:Article.</ref>, qui a recueilli Modèle:Unité (34 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 49,97 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Article.</ref>
Administration municipale
Le nombre d'habitants étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu
Équipements et services publics
Eau et déchets
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Cap-Lauragais<ref>Site de la communauté du Cap-Lauragais.</ref>.
Enseignement
Modèle:Section à sourcer Située dans l'académie de Toulouse, Villefranche-de-Lauragais possède :
- Une école maternelle : La colline aux enfants ;
- une école élémentaire : Jules Ferry ;
- un collège : Jules Ferry;
- un lycée : Léon Blum.
Enseignement musical
- Une école de musique
- Une harmonie municipale
Santé et sécurité
La ville dispose d'une Clinique : la clinique Monié, d'une caserne de pompiers et de deux gendarmeries (départementale et autoroute (attachée aux bâtiments des ASF, également présents du fait de la présence de l'échangeur autoroutier (Modèle:Sortie) de l'A61)). Clinique vétérinaire,
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Modèle:Section à sourcer Le roi Louis XIV autorise en 1668, l'ouverture d'un marché hebdomadaire fixé au vendredi et quatre foires annuelles (une par saison). Il y eut jusqu’à six places destinées aux échanges : foirail, marché aux porcs (Fontasse), aux ovins (jardin public), aux volailles, La Pradelle et la halle aux grains.
L'hiver un marché au gras est ouvert avec ses foie gras, canards gras et autres chapons et cassoulet.
Sports et loisirs
Villefranche-de-lauragais dispose de diverses installations sportives (3 gymnases, 4 terrains de rugby / football, et de boulodromes), circuit de motocross.
- Club de rugby à XV, le Football Club Villefranchois (FCV)<ref>Site du FCV</ref> évolue aujourd'hui en Championnat de France de 2e division fédérale. Le club a évolué dans l'élite lors de la saison 1988-1989.
- Club de Handball, Le Handball Club Villefranchois (HBCV)<ref>Modèle:Lien web.</ref> fort de sa formation à jouer la finale d'accession pour le championnat -18 France (haut niveau chez les jeunes) chez les filles et chez les garçons en 2018<ref>Modèle:Article.</ref>. Les filles se sont qualifiées<ref>Modèle:Article.</ref> et donc jouent en championnat -18 France pour la saison 2018-2019. Les autres catégories jouent les premiers rôles en championnat et/ou dans leurs coupes attitrées<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Tennis, Twirling, Gymnastique, Judo, Taekwondo et Football et Équitation sont aussi pratiqués et dispensés.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 49 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (55,3 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 79,8 % d'actifs (72,5 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 20,2 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 2 513 en 2013 et 2 258 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 025, soit un indicateur de concentration d'emploi de 148 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 2 025 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 666 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 79,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,1 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Vestiges antiques en architecture civile, la halle centrale aux hautes arcades, quelques maisons à colombages et tourelles, des maisons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des passages couverts (« canton merdou »), le château de Barelles, des pontets médiévaux, le moulin à eau de Barelles.
et aussi :
- Le canal du Midi
- La mairie. Cet équipement a occupé successivement plusieurs emplacements : En 1835, celle-ci occupe avec l'école l'étage d'une petite halle jouxtant l'église et la rue Traversière permettait d'y accéder. En 1885, la mairie s'installe dans la Grande-rue, à l'actuel Modèle:N° rue de la République. Le juge de Paix tenait au rez-de-chaussée du bâtiment des audiences de conciliation. La mairie s'installe dans les années 1970 à l'emplacement de l'ancienne Halle aux grains construite vers 1880 place de la Pradelle, l'actuelle place Gambetta, dans un bâtiment construit pour satisfaire à ses besoins<ref name="VML12012020">Modèle:Article.</ref>
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, église édifiée en 1271 par Alphonse de Poitiers et Jeanne de Toulouse fondateur de cette bastide et frère de Saint-Louis. Le clocher-mur à tourelles et à six baies de style gothique toulousain
- Une halle aux hautes arcades jouxte l'église<ref name="VML12012020"/>
- Kiosque à musique dans le jardin public, ombragé
- Château de Barelles
- le château Lavelanet à la sortie de la commune
- Le faubourg de Sébastopol à Villefranche-de-Lauragais était célèbre pour son alignement de moulins.
- La fontaine de Barreaux où on célébrait le repas de mariage au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Personnalités liées à la commune
- Hugues Martin-Saint-Jean (1766-1850), homme politique français, avocat, maire de Castelnaudary, député de l'Aude de 1807 à 1815, y est né.
- Godefroy Calès<ref>Modèle:Article.</ref> (1799-1868), médecin et homme politique français, élu le 23 avril 1848 représentant du peuple de la Haute-Garonne à l’Assemblée constituante, y est mort. Une place de la commune porte son nom. Son fils Jean Jules Godefroy Calès est maire de la ville de 1878 à 1892 et son petit-fils Albert-Godefroy-Victor Calès l'est de 1896 à 1904.
- Paul Fagot (1842-1908), naturaliste et malacologiste français y est né et mort
- Paul Saint-Martin (cuisinier) (1865-1951), maître d'hôtel et cuisinier français, y est né.
- Jane Berbié (1931- ), mezzo-soprano et chef de chant française, y est née.
- Raymond Roques (1902-1991), homme politique français, Député de la Haute-Garonne (1946-1951), militant de la langue occitane, directeur de l'hebdomadaire Le Midi de 1962 à 1966, y est mort.
- Pierre Bondouy (1970- ), joueur français de rugby à XV, y est né.
- Laurent Mazas (1970- ), joueur international français de rugby à XV, y est né.
Héraldique
Pour approfondir
Bibliographie
- Société académique d'architecture, Les bastides du Lauragais et du pays de Foix : Carcassonne, Chalabre, Mazères, Mirepoix, Montgeard, Revel, Roquefixade, Saint-Félix-Lauragais, Villefranche-de-Lauragais, Diagram, Toulouse, 1991, 32 p.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes