Fichier:Elizabeth I (Armada Portrait).jpg }}, Portrait commémorant la défaite de l'Invincible Armada. À droite une représentation du naufrage de la flotte sur les côtes irlandaises.
en 1552, le grand galion portugais São João sombre sur la côte du Natal, avec la fin tragique du capitaine Manoel de Sousa Sepúlveda et de sa femme Leonor qui donna lieu à de nombreux récits en Europe<ref>Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
en 1555, le naufrage de la nef portugaise Conceição qui s’est perdue sur les basses de Pero de BanhosModèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
en 1562, la nef portugaise São Paulo fit naufrage près de l’île de SumatraModèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
Modèle:Date- : lors d'une tempête entre la côte de Terre-Neuve et les Açores, naufrage de la frégate HMS Squirrel, entrainant dans la mort de Sir Humphrey Gilbert, qui, sous le règne de la reine Elizabeth, a été un pionnier de la colonisation anglaise en Amérique du Nord : aventurier, explorateur, député et soldat.
Dans la nuit du 19 août 1585, la nef amirale de la flotte portugaise, le Santiago, s’échoue dans le canal du Mozambique sur un récif qui terrifia des générations de marins : les Bassas da India, autrefois appelés Baixos da Júdia (les Modèle:")Modèle:Sfn.
L'Invincible Armada espagnole, après sa tentative avortée d'invasion de l'Angleterre qui se solda par la perte de deux navires, rejoint l'Espagne en contournant l’Angleterre par le Nord. Du fait d'un ouragan, pas moins de 24 vaisseaux s'échouent sur les côtes irlandaises. Parmi ceux-ci, le Modèle:Date-, La Girona, à Lacada Point, au large de la côte d'Antrim non loin de la Chaussée des Géants, épave retrouvée par la suite par Robert Sténuit.
Modèle:Date- : Dirigé par le navigateur et explorateur néerlandais Willem Bontekoe, capitaine au service de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales<ref name="Bontekoe Sources" />, le navire Nieuw-Hoorn fait naufrage au beau milieu de l’océan Indien à la suite d'un incendie à bord. Les 72 survivants, dont Willem Bontekoe, blessé, dériveront 13 jours durant à bord d’un canot jusqu’à atteindre la côte de Sumatra où les 57 rescapés furent secourus par une flotte néerlandaise<ref name="Bontekoe Sources" />,Modèle:Sfn.
Modèle:Date-: le Nuestra Señora de Atocha, le Santa Margarita, le Nuestra Señora del Rosario et deux petits vaisseaux, faisant partie de la flotte des Indes, coulent dans une tempête, en face des côtes de la Floride, alors qu'ils font route vers l'Espagne.
Modèle:Date-: une tempête d’une rare violence dans le golfe de Gascogne provoque le naufrage de sept navires portugais, dont deux énormes caraques des Indes chargées de toutes les richesses de l’Orient, et cinq galions de guerre qui les escortaient (près de 2000 morts et moins de 300 survivants, des centaines de canons perdus, une fortune engloutie, etc.)Modèle:Sfn.
Modèle:Date- : lors du lancement officiel du navire suédois le Vasa, ce voilier tout neuf a chaviré par la conjonction d'une rafale de vent imprévue, d'un poids excessif et des sabords de batterie basse ouverts. Le Vasa devait être la pièce maîtresse de la marine de guerre de Gustave II Adolphe. Il fut renfloué en 1961 et constitue aujourd'hui une attraction touristique de Stockholm.
Modèle:Date- : tandis qu’il traverse le golfe du Bengale, le navire Terschelling est pris dans terrible tempête. Après un naufrage tragique, seuls 32 rescapés trouvent refuge sur un îlot. Livrés à eux-mêmes, ces hommes survivront en se nourrissant de tout ce qu’ils peuvent trouver. Résistant un mois durant aux pulsions anthropophages, ils sont finalement secourus par des pêcheurs en provenance du Bengale avant de se retrouver, bien malgré eux, soldats de l’Armée mogoleModèle:Sfn.
Modèle:Date- : La Thérèse, un vaisseau de guerre français de 58 canons explose et sombre lors du bombardement des positions turques à Candie (aujourd'hui Héraklion, en Crète). L'épave a été retrouvée en 1976.
Modèle:Date- : naufrage des îles d’Aves. Le vice-amiral d'Estrées, qui veut attaquer la possession de hollandaise de Curaçao, échoue les deux-tiers de son escadre sur les récifs des Aves (actuellement sur la côte du Venezuela). Sept vaisseaux de ligne, une flûte, trois transports et trois navires flibustiers sont perdus. Cinq cents hommes périssent, dont quatre-vingts à bord du vaisseau amiral le Terrible. La faute en revient à d’Estrées qui a négligé les conseils de ses capitaines et de ses pilotes.
Modèle:Date- : naufrage du Magnanime et du Fidèle au large des Acores dans une tempête. Il y a 1 128 marins disparus. Les deux vaisseaux de guerre rentraient de l'expédition contre Rio. Le Magnanime transportait une grosse partie du butin en or.
Modèle:Date- : naufrage de l'Éléphant à proximité de l'archipel de L'Isle-aux-Grues proche de la ville de Québec. Ce navire amenait à Québec des personnages importants comme Modèle:Mgr Pierre-Herman Dosquet, quatrième évêque de Québec, l’Intendant Gilles Hocquart et le lieutenant de vaisseau Louis-Philippe de Rigaud de Vaudreuil, fils aîné de l’ancien gouverneur de la Nouvelle-France. L’équipage et les passagers ont survécu.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de guerre le Bourbon au large d'Ouessant, au retour d'une mission dans les Antilles. Se rendant compte que le navire qui fait beaucoup d'eau est perdu, le commandant fait mettre le canot et la chaloupe à la mer, mais seules 23 personnes réussissent à embarquer.
Modèle:Date- : naufrage du Duke William où 296 Acadiens sur les 400 meurent durant le naufrage, s'ajoutant aux 100 autres morts de maladie durant la traversée, pour un total de 396 morts sur 400 passagers.
Modèle:Date- : naufrage du Violet où 270 Acadiens sur les 360 meurent durant le naufrage, s'ajoutant aux 90 autres morts de maladie durant la traversée, pour un total de 360 morts sur 360 passagers.
Modèle:Date- : naufrage du Ruby où 113 Acadiens sur les 310 meurent durant le naufrage, s'ajoutant aux 77 autres morts de maladie durant la traversée, pour un total de 190 morts sur 310 passagers.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de 74 canons le Thésée en pleine bataille des Cardinaux. Le bâtiment sombre à la suite d'un virement de bord trop serré opéré sabords ouverts dans la houle. On ne compte que 22 survivants sur les 650 membres d'équipage.
Modèle:Date- : naufrage de L'Utile, un navire négrier, qui se brise sur les récifs de l'île Tromelin. Son naufrage a donné lieu à l'abandon pendant 15 ans d'une soixantaine d'esclaves sur l'île.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de 74 canons L'Orient près de Trinquemalay, à la suite d'une erreur de l'officier de quart. L'équipage et une partie du matériel est cependant sauvé.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de 104 canons le Ville de Paris dans l'Atlantique. Le navire, qui avait été capturé cinq mois plus tôt à la bataille des Saintes, sombre dans une tempête alors qu'il était remorqué vers l'Angleterre.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de 64 canons le Bizarre sur la côte de Coromandel. Le navire s'est approché trop près du rivage et a été happé par la barre des brisants. L'équipage et une partie du matériel est cependant sauvé.
Modèle:Date- : naufrage du vaisseau de 74 canons le Scipion qui heurte un récif en baie de Samaná (dans l'actuelle République dominicaine) alors qu'il est poursuivi par des bâtiments britannique. L'équipage réussit à évacuer le navire, mais il est capturé.
Modèle:Date- : les vaisseaux de ligne français Neptune, Neuf Thermidor, Scipion et Superbe sombrent dans l'Atlantique (sur la côte pour le premier, en haute mer pour les autres) après une campagne d'hiver ratée contre le commerce et la marine de guerre britannique.
Modèle:Date- : le navire américain Ophir, provenant de Charleston et se dirigeant vers Amsterdam, fait naufrage près du port d'Egmond aan Zee. Il avait à son bord le botaniste français André Michaux. Tous les passagers et l'équipage sont rescapés.
Modèle:Date-: Naufrage dans l'archipel Crozet de la goélette Aventure commandée par Guillaume Lesquin. Les survivants seront recueillis 18 mois plus tard par un navire britannique passant par hasard.
Modèle:Date- : Naufrage du navire-prison L'Amphitrite. Commandé par le capitaine Hunter, le bateau appareille le 26 à Woolwich (Angleterre) pour Port-Jackson (Australie). Son équipage est composé de 16 hommes et transporte à son bord 108 femmes déportées et 12 enfants. Dès le 29, il fut assailli par une violente tempête et le 31 il s'échoua sur la côte française, en vue du port de Boulogne. À cause de l'entêtement du capitaine qui refusa l'aide des Français et de mettre des prisonnières dans des chaloupes, tous périrent noyés hormis 3 hommes d'équipage. (documentation : le journal Détective du Modèle:Date- et l'ouvrage : La Mer, naufrages modernes).
Modèle:Date- : Le navire britannique « La Béatrice » se dirigeant vers le Royaume-Uni avec, à son bord, le sarcophage du pharaon Mykérinos sombre au large de l'Espagne.
Modèle:Date- : Naufrage de la frégate française Herminie aux Bermudes, un seul tué.
Modèle:Date- : le trois mâts Léopoldina Rosa, de 32 mètres de long et large de 9 mètres, fût pris dans une tempête du S.-S. E. qui l'engagea en fin de nuit sur les Castillos (récifs de la côte de l’Uraguay proches de l’embouchure du Rio de la Plata). Il avait quitté Bayonne depuis plusieurs semaines à destination de Montevideo avec à son bord 300 personnes environ. L'essentiel des passagers étaient des émigrants Basques. A l'époque des "trafiquants d'émigrants" de Montevideo, souvent associés à l'État, recherchaient une main-d'œuvre captive et des recrues militaires. Certains historiens évoquent même "l'esclavage des blancs" <ref>Modèle:Lien web</ref>. Finalement 231 passagers dont une grande partie de femmes et d’enfants, ont péri et 70 ont été sauvés. Ce naufrage a défrayé la chronique car l'équipage a refusé d'obéir au Capitaine qui voulait établir un va et vient avec la côte qui se trouvait à moins de 300 mètres et qui aurait rendu possible un sauvetage. Au lieu de cela, l’équipage, à l'exception du capitaine, du lieutenant et du médecin, ne songea qu’à son propre salut et se sauva<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Cet abandon a été à l'origine de débats pour savoir si l'équipage devait être traduit en justice<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Une partie du navire resta presque toute la journée à flot avant de se disloquer en fin d'après-midi. Les habitants des lieux parcouraient la côte et pillaient les débris et les malles, sans tenter de secourir les passagers.
Modèle:Date- : Sur la Seine, à Villequier, un tourbillon de vent fait chavirer un canot. Quatre victimes : Pierre Vacquerie, son fils Arthur, son neveu Charles et la jeune épouse de ce dernier Léopoldine Hugo.
Modèle:Date- : vers 23h00 : au cours d'une tempête mémorable, le vapeur Royal-Adélaïde, de la compagnie de la Ville de Dublin, qui faisait le trajet entre Cork et Londres, a péri corps et biens à 10 milles environ de Margate. Le nombre de victimes est estimée à 206 victimes (environ : entre 100 et 300 suivant les sources)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Modèle:Date- : En fin de journée, au Port Elizabeth (Afrique du Sud), dans la baie d'Algoa, le navire Charlotte, transportant des troupes du Modèle:27e régiment, allant de Queenstown à Calcutta, perdit une ancre. La mer commençait à grossir de plus en plus et la seconde ancre dérapa. Le navire tenta d'appareiller pour sortir de la baie, sans succès, et fût drossé contre la jetée. Toute la population est accourue sur le rivage et des secours se sont mis en place. Sur environ Modèle:Unité à bord, Modèle:Unité ont péri (62 militaires, 11 femmes, 26 enfants et 18 hommes d'équipage), malgré le dévouement des autorités et des habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:Date- : Le Spartan vapeur britannique s'échoue sur l'ile des Chiens (Tunisie). Le paquebot français Sphynx des messageries impériales commandé par le commandant Salomez-Devriez va sauver les 737 soldats britanniques présents sur le Spartan<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le Duroc, aviso à vapeur, classe Marceau, fait naufrage sur le récif de Mellish à 160 nord de la Nouvelle-Calédonie
Modèle:Date- : La goéletteGrafton est drossée contre les rochers des îles Auckland à plus de Modèle:Unité au Sud de la Nouvelle-Zélande. Les cinq naufragés, tous de nationalités différentes (américaine, française, britannique, portugaise et norvégienne), survivent pendant 20 mois avant de réussir à quitter l'île par leurs propres moyens. Plusieurs ouvrages relatent le naufrage et la survie des marins. Citons François Édouard Raynal en 1870, le capitaine Musgrave en 1866, et Jules Verne en 1874, qui s'est inspiré de l'aventure pour son roman L'Île mystérieuse<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Modèle:Date- : L’Invercauld s'échoue sur les rochers de la pointe nord-est de la même île Auckland (voir ci-dessus). Des vingt-cinq membres de l'expédition, six se noyèrent. Des dix-neuf naufragés, trois furent recueillis vivants le Modèle:Date- par le navire portugais Julian. Malgré les 12 mois passés en commun sur la même île, les deux groupes de naufragés n'établirent aucun contact entre eux, alors qu'ils étaient séparés d'à peine une vingtaine de kilomètres<ref>François Édouard Raynal, dans son propre récit de naufrage : Modèle:Ouvrage évoque cet autre naufrage, en fin de livre, dans les dernières pages.</ref>.Fichier:Civil War Steamer Sultana tintype, 1865.pngLe Sultana, la veille de sa destruction. On remarque la foule de prisonniers de l'Union libérés serrés les uns contre les autres sur les ponts du vapeur.
Modèle:Date- : Le SS Sultana, bateau à vapeur, a explosé sur le fleuve Mississippi à sept miles au nord de Memphis, Tennessee. Ce fut l'une des pires catastrophes de l'histoire des États-Unis : conçu avec une capacité de 376 passagers, il en transportait 2 137 lorsque trois des quatre chaudières du bateau ont explosé. Le nombre exact de morts est inconnu. Il est estimé à 1 168. Cette catastrophe a été éclipsée dans la presse par la fin de la guerre civile américaine, l'assassinat du président Abraham Lincoln et le meurtre de son assassin John Wilkes Booth. Personne n'a jamais été tenu responsable du désastre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le Borysthène, vapeur des Messageries impériales, parti le mercredi 13 décembre de Marseille, se fracasse sur les récifs qui bordent l'île Plane, près du cap Lindèls (province d'Oran). Vers 22H00, le bâtiment file à dix nœuds par mer forte. Le capitaine croit être proche de Mers-el-Kebir. Il envoie dans les hunes son second pour essayer d'apercevoir le phare de la rade. Au moment où le second descend bredouille, le bâtiment heurte violemment, de la proue au milieu, des pointes rocheuses de l'île Plane. Le capitaine fait abattre la mâture pour relier le bâtiment et les rochers. Cependant, pendant l'opération, le bâtiment chavire du côté opposé et l'arrière se détache. Les vagues balaient le pont, entraînant bon nombre de passagers. Grâce au courage du matelot Leblanc, un va-et-vient est établi vers 3h00 du matin entre l'ile et les restes du navire. Par suite du mauvais état de la mer, le sauvetage se fait très lentement et se termine vers 9h00 le lendemain matin, les survivants constatent qu'il y a 70 absents (de 54 à 70 victimes suivant les sources : 17 à 19 passagers civils, 30 officiers ou soldats, 7 hommes d’équipage (ou 6 marins et une femme de chambre du bord)). Ils resteront sur leur rocher jusqu'au dimanche 17 où vers 10h00, 5 balancelles espagnoles arrivent à leur secours. Montèrent d'abord à bord les femmes, les enfants, les malades, et enfin les autres rescapés<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le brick Amiral-Magon, cap. L.-M. Quévert, de Saint-Servan, parti de Swansea (pays de Galles) pour Lisbonne avec un transport de charbon, est abordé à 60 lieues au large d'Ouessant, de nuit noire avec brume et grosse mer, par un trois-mâts barque britannique, le General Havelock, cap. W. Smart, de Sunderland, qui avait quitté Ardrossan (Écosse) pour Bordeaux avec un chargement de charbon et de fonte. Les avaries sont si graves que l'équipage doit se réfugier à bord du navire britannique. L’Amiral-Magon disparaît à l’horizon avant de sûrement sombrer quand le capitaine Quévert se rend compte que le novice Michel Saint-Julien, âgé de 25 ans<ref>Matelot de 3e classe, il exerce la fonction de novice, moins bien payée. Ce n'est plus un enfant, contrairement aux récits de la presse !</ref>, est resté à son bord. Les recherches sont vaines pour retrouver le navire qui aura vraisemblablement coulé. Quand le matelot s’aperçoit qu’il est seul à bord, il tente de se faire remarquer, sans résultat. Après avoir pleuré, il reprend courage. Pendant trois jours, il pompe, fait des signaux de détresse, et se nourrit, ainsi que trois chats et un chien laissés à bord, de jambon et de pain. Des navires le croisent sans l'apercevoir. Enfin, le Modèle:Date-, une barque brêmoise Gustav, cap. W. Eberhard Callin, partie du Havre pour New York le Modèle:Date-, rencontre le navire abandonné (position 50°20 N, 8° W) et recueille le marin français à son bord juste avant que l’Amiral-Magon ne sombre. Mais le Gustav subit des avaries (mat de misaine consenti et voies d'eau) lors d’une tempête le Modèle:Date- ; il doit relâcher à Milford (pays de Galles) le Modèle:Date-, d'où le novice fait savoir que lui, les trois chats et le chien Serin sont sains et saufs, et qu’ils reviendront prochainement à Saint-Servan<ref>L’Union des Deux Villes − Saint-Malo-Saint-Servan, journal servannais, rapporte les circonstances du naufrage dans ses éditions des 13 et 17 janvier 1866. L’Union bretonne et le Journal du Havre reprennent l'information dès le 16 janvier 1866, suivis par d'autres journaux, français et britanniques.</ref>. Ce même Modèle:Date-, l'équipage de l’Amiral-Magon est débarqué à Bordeaux où le General Havelock est arrivé, sérieusement endommagé lors de l'abordage.
21 décembre 1872 : Naufrage du « Germany », propriété de l’armement écossais Allan Line, ce vapeur de 104 mètres taille d’ordinaire sa route entre Liverpool et Québec après escales à Pauillac (Gironde), Santander et La Corogne. Il s'échoue sur le banc de la Mauvaise à proximité de la Pointe de la Coubre. Sur les 127 personnes embarquées, seules 100 pourront être sauvées.
Modèle:Date- : Naufrage du vapeur britannique Bedlington perdu en rade des Sables-d'Olonne : 12 victimes. Nombreuses marques de reconnaissance officielle aux sauveteurs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Naufrage du Ville du Havre après un abordage involontaire de la part du Loch Earn, faisant 226 victimes.
Modèle:Date- : Le trois-mâts Avalanche, de la ligne des paquebots entre Londres et la Nouvelle-Zélande, de M. Shaw Savill et Compagnie, parti de Londres pour Wellington, est abordé dans la Manche vers Modèle:Heure à quinze milles au sud-ouest de l'île de Portland (comté de Dorset), par le trois-mâts britannique Forest, allant à Windsor (Nouvelle-Écosse). L'Avalanche a coulé en moins de 5 minutes avec son équipage et ses passagers, en tout 94 personnes (dont 8 enfants), l'obscurité ayant compliqué les secours. Un quart d'heure après la collision, le Forest sombrait à son tour avec ces 22 hommes d'équipage. Quelques survivants sont évoqués dans la presse, qui annonce de 103 à 115 victimes<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : L'Eurydice, venant de la Barbade, coule dans l’après-midi, en face de Dunnose, sur la côte sud-est de l'île de Wight. Une soudaine tempête de neige, accompagnée de forts coups de vent, s'était levée. C'était un vaisseau-école britannique en bois et à voiles de 921 tonneaux, portant 4 canons et servant à l'instruction des mousses et des matelots. Environ 330 victimes (matelots, état major...). Deux personne seulement ont été sauvées : Benjamin Cuddecombe, matelot de Plymouth, et Sydney Fletcher, élève de Bristol (19 ans). Le lest ou les canons, sans doute mal arrimés, auraient fait sombrer le navire en se déplaçant[1].
Modèle:Date- : Par temps calme et ensoleillé, dans la Manche, au large de Folkestone, trois navires cuirassés allemands le Preussen, le König Wilhelm et le Grosser-Kurfurst venant de Wilhelmshaven se rendent à Plymouth. Pour éviter un bâtiment de commerce, le König Wilhelm et le Grosser-Kurfurst manœuvrent. Les deux bâtiments se percutent violemment et le Grosser-Kurfurst coule quelques minutes après. 274 à 284 victimes et 217 à 218 rescapés. Le König Wilhelm, très endommagé, est remorqué à Portsmouth pour y être réparé<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : en début de soirée, sur la Tamise près de Woolwich, le steamer Bywell-Castle aborde le Princesse-Alice, bateau à aubes qui revenait d'une excursion à Gravesend. Il coulera et sera très rapidement submergé. Il transportait 700 à 800 personnes dont une centaine a été sauvée. La reine Victoria a fait télégraphier toute sa sympathie aux parents et amis des victimes. Le lord-maire, Sir Charles Whetham, a ouvert une souscription en faveur des parents nécessiteux des victimes.[2]
Modèle:Date- : Dans la nuit du 25 au 26 février, près de Dunkerque, naufrage d'un trois-mâts britannique : l’Adriatic. Échoué depuis quelques semaines à la pointe de Mardyck, mais dont le renflouement s'est avéré impossible, on a procédé au déchargement des marchandises. Le mardi 25, 37 hommes se rendent à bord pour y travailler. Le soir venu, l'allège qui devait les ramener au port rentre vide car elle prenait de l'eau. Les travailleurs furent obligés de rester sur l'Adriatic, à l'exception de 5 récupérés par un remorqueur. Dans la nuit, une épouvantable tempête s'éleva et l'Adriatic chassant sur ses ancres fut entraîné en pleine mer et disparut dans les flots avec les 32 hommes. Les victimes sont des ouvriers de Dunkerque, le fils du capitaine, et un entrepreneur qui essayait de sauver le navire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le navire La Mignonette fait naufrage. Quatre hommes purent se réfugier sur un canot de sauvetage et trois survécurent en mangeant le quatrième. Sauvés par un autre navire, ils furent jugés et condamnés<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Alfred William Brian Simpson, Cannibalism and the Common Law : The Story of the Tragic Last Voyage of the Mignonette and the Strange Legal Proceedings to Which It Gave Rise, University of Chicago Press, 1984</ref>.
Modèle:Date- : L'aviso-transport l'Oise est perdu au cours d'un cyclone au large Tamatave (Madagascar). 12 victimes<ref name=":6">Modèle:Ouvrage</ref>.
Modèle:Date- : Le navire Normanton, cargo marchand britannique fait naufrage au large du Japon. Un scandale s'ensuivit car seuls les passagers et membres d'équipage européens trouvèrent place dans les canots de sauvetage.
Modèle:Date- : À Barra (îles Hébrides), naufrage d'un steamer sur les rochers de Loch-Boisdale. Sans doute un navire français appelé La France dont l'équipage était de 18 à 20 hommes. Trois cadavres ont été retrouvés sur le rivage<ref name=":4">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le vapeur britannique Brentford, qui allait de Cardiff à Malte, a été jeté à la côte près de Gronho. Un survivant sur 24 hommes d'équipage<ref name=":4" />.
Modèle:Date- : Le trois-mâts barque Tamaris armement Bordes de Bordeaux, capitaine Majou, en route pour la Nouvelle-Calédonie, coule sur les brisants des Pingouins archipel Crozet dans l'océan Indien austral. Réfugiés sur l'île aux Cochons, les 14 naufragés attachent un message au cou d'un albatros qui atteindra la côte australienne<ref>Jacques Nougier, L'Albatros et le Tamaris, Airelle-Éditions, 2013, 140 p.</ref>.
Modèle:Date- : le paquebotTasmania, de la compagnie britannique P&O, heurte les écueils des Moines, au sud-ouest de la Corse, et coule.
Modèle:Date- : le Dayot, croiseur de 3eme classe, est jeté à la côte par un cyclone au large Tamatave (Madagascar). 1 victime<ref name=":6" />.
Modèle:Date- : la frégate turque Ertuğrul, de retour du Japon où elle avait apporté au Mikado les insignes de l'ordre impérial de Turquie, est prise dans un typhon. Après 4 jours de lute desepérée, la frégate coula au large du Japon après avoir touché des rochers. 533 marins, dont 50 officiers et l'amiral Ali Osman Pacha trouvèrent la mort. Seuls 6 officiers et 63 marins survécurent. Le Wolf, canonnière allemande dépéchée sur place, récupéra 65 hommes, tous plus ou moins gravement blessés. Le paquebot Musaschi-Maru, surpris par la même tempête, coula également. Il n'y eut qu'un survivant<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le Labourdonnais, aviso en bois de 850 tonneaux avec 116 hommes, parti de Rochefort en décembre 1891, sombre au coursd 'un cyclone au large de Sainte-Marie-de-Madagascar. 33 victimes<ref name=":6" />.
Modèle:Date- : Au large de Tripoli (en Syrie à l'époque, au Liban actuellement), le Modèle:HMS est percé par l'éperon du HMS Camperdown pendant des manœuvres. Le Victoria coule rapidement : 358 membres d’équipage trouvent la mort dont le vice-amiral sir George Tryon, commandant en chef de l'escadre de la Méditerranée. Environ 250 personnes rescapées<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Victoria s'était échoué 2 ans auparavant dans le golfe de Patras. On eut de grandes difficultés à le remettre à flot à l'époque.
Modèle:Date- : Naufrage du bateau de pêche Étoile du matin, au large de Réville, les 3 marins sont morts (disparus).
Modèle:Date- : Le transatlantique allemand l'Elbe sombre dans la mer du Nord au large de Lowestoft (100 km au nord de Londres). Il transportait plus de 350 personnes dont 19 auraient échappé au naufrage. En provenance de Brème et poursuivant sa route vers New York, c'est une très violente tempête qui l'entraine sans doute à cet endroit. Vers 5 heures du matin dans un brouillard épais et froid, un choc secoue le transatlantique à la suite d'une collision avec un vapeur inconnu. Ce même jour, le navire britannique le Crathie, allant de Rotterdam à Aberdeen est rentré au port de Maasshus avec son avant enfoncé par suite d'une collision avec un vapeur inconnu à 30 milles des côtes de la Hollande. C'est ce navire qui a occasionné la catastrophe<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le croiseur espagnol Reine-Régente, venant de Tanger à destination de Cadix, a sans doute été perdu dans une tempête près de Tarifa et d'Algésiras. On ne retrouva que des traces de l'épave : débris de chaloupe et drapeaux servant aux signaux appartenant au croiseur espagnol rejetés sur une plage. Pendant plusieurs jours, on a espéré que le croiseur ce soit abrité dans un port nord-africain<ref>Modèle:Lien web</ref>. Finalement, suivant les sources, 400 à 420 membres d'équipage disparurent avec le navire.
Fécamp : Le navire terre-neuvaPierre-Emile, en provenance de Bordeaux et voulant entrer dans le port, s’est mis à la côte.
Fécamp : Le remorqueur Jean-Bart, parti pour prendre un bâtiment en mer, a fait naufrage. Un canot de sauvetage a sauvé l'équipage sauf le capitaine et le chauffeur. Modèle:Unité assistaient au naufrage.
Calais : Le vapeur britannique Carth, venant de Bilbao, s’est échoué. Il a pu être renfloué.
Boulogne-sur-Mer : Le bateau de pêche 1818 a été coulé dans le bassin Paradis, par le chalutier 745, poussé sur lui par le vent.
Modèle:Date- : Le Modèle:USS, cuirassé de la marine des États-Unis explose à la Havane vers 21h40. 255 victimes, dont 2 officiers. L'explosion se produit dans une soute à l'avant du bâtiment. Le navire transportait des explosifs très dangereux d'un nouveau modèle préparés avec du fulmicoton d'une fabrication spéciale et adoptés depuis février 1897<ref name=":5">Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : à proximité de Ténérife, le vapeur français Flachat, paquebot de la Compagnie Transatlantique, heurte à 1h30 du matin, par un brouillard épais et une mer forte, la pointe d'Anaga. Peu après, il se brise par son milieu, et se divise finalement en trois parties. Les survivants sont au nombre de 14 : 13 hommes d'équipage et 1 passager. On ignore ce que sont devenus les 87 autres personnes (d'autres sources évoquent la disparition de 49 passagers et de 49 matelots). Le capitaine fait mettre à la mer le bateau de sauvetage de bâbord, finalement opérationnel à 9h00 du matin, mais tout le monde se précipite vers ce bateau. Une cinquantaine de personnes sautèrent à la mer. Seules 16 pénétrèrent dans le l'embarcation, dont 2 fûrent enlevées par les vagues. Le Susu, petit vapeur britannique participa au sauvetage et aux recherches<ref name=":5" />.
: le sous-marin français Farfadet coule dans la lagune de Bizerte, faisant 14 morts.(2 survivants)<ref name=":3" />.
Modèle:Date- : Le paquebot Hilda, du Modèle:Lien de la société ferroviale Modèle:Lien, surpris par une tourmente de neige, fait naufrage à l'entrée de la rade de Saint-Malo, transportant 120 personnes (6 survivants). Il faisait le service régulier entre Southampton et Saint-Malo.Il avait été construit en 1882<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : le SS Colne, dont la cargaison de charbon s'est déplacée au cours d'une tempête, coule. Douze membres de l'équipage se noient et aussi quinze chevaux
1906: La nuit du 14 au 15 mai. Le 3 mâts-barque italien " Teresina Mignano" est éperonné par un vapeur russe "LEO" dans l'estuaire de la Gironde, non loin du phare "Richard", occasionnant la mort de 8 hommes d'équipage et de 2 pilotes montés à bord, l'un de Fouras(17) l'autre de Pauillac(33).
24 novembre 1906 :Naufrage de la Volga dans l'estuaire de la Gironde
Modèle:Date- : la barque Dundonald, allant de Sidney à Falmouth, fit naufrage sur l'ile Disappointment, du groupe des Auckland. Douze hommes dont le capitaine se noyèrent mais treize hommes de l'équipage ont survécu neuf mois sur un îlot. Pendant six mois, ils n'eurent que des pétrels pour toute nourriture. Ils réussirent à gagner un autre îlot, où se trouvait un dépôt de vivres, et c'est là qu'ils ont été recueillis en décembre 1907<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : devant la Grande Plage de Biarritz, vers une heure, le navire norvégien Padosa, venant de Bilbao, avec onze hommes d'équipage, qui errait depuis 3 jours dans la tempête, désemparé, sans gouvernail, s'est brisé sur les rochers. 8 hommes furent rejetés par les vagues, mais l'un d'entre eux mourut peu après. Sir Henry Campbell-Bannerman, premier ministre britannique, se reposait à Biarritz et a assisté au sauvetage de son balcon de l'Hôtel Continental<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : le sous-marin le Pluviôse est coulé par le paquebot Pas-de-Calais de la compagnie du Nord, quittant Calais vers la côte anglaise. A deux milles des jetées, la vigie signala une épave, le capitaine commanda de mettre machine arrière, mais lancé à pleine vitesse, la manœuvre échoua et un choc se produisit, avec ce qui était en fait le Pluviôse qui faisait surface<ref>Modèle:Lien web</ref>. Tout l'équipage périt (27 hommes dont 3 officiers).
Modèle:Date- : explosion et naufrage du cuirassé Liberté dans la rade de Toulon. A l'aube le cuirassé est victime d'un commencement d’incendie. Les secours s’organisèrent, mais l’incendie gagna les soutes. 5 h.41 première explosion, suivie d'une seconde et d’une troisième. Dès la première explosion, une centaine d’hommes qui se trouvaient sur le pont se jettent à l’eau, les autres, réveillés par l'explosion essayèrent de suivre leurs camarades, mais ils furent aussitôt mobilisés pour le service. A 5 h. 48 une formidable explosion est entendue dans toute la ville et les faubourgs (à plus de 10 km à la ronde). Le Liberté coule à pic en 40 minutes par 15 mètres de fond. Sur un équipage de 717 hommes, il y avait 140 permissionnaires et 274 hommes ont répondu à l'appel du matin. Il y a donc environ 300 victimes (peut être un peu moins suivant les sources). En dehors de l'équipage il y eut également d’autres morts et blessés à bord des cuirassés mouillés à proximité, notamment la Justice, la Démocratie, la République et la Vérité. Tous les navires du voisinage envoyèrent des embarcations pour combattre l’incendie mais elles furent atteintes par l’explosion et presque tous leurs matelots furent tués ou blessés<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : naufrage du trois-mâts barque Ville de Dijon dans la baie de Papudo (Chili) ; 19 des 22 hommes d'équipage sauvés.
Modèle:Date- : naufrage du trois-mâts Achille entre Paimpol et Terre-Neuve. Déclaré perdu corps et biens. 28 membres d'équipage, aucun survivants.
Modèle:Date- : naufrage de l’Empress of Ireland dans le Saint-Laurent : c'est la plus grande tragédie maritime ayant eu lieu dans les eaux Canadiennes, avec Modèle:Nombre dont 134 enfants (465 survivants). À la suite d'une violente collision en pleine nuit avec un charbonnier norvégien, le Storstad, le paquebot bascula et sombra au fond du fleuve en seulement 14 minutes. Il fallut près de 50 ans avant que cette histoire resurgisse, à la suite des premières plongées modernes sur l'épave.
Modèle:Date- : Naufrage du Dalgonar au large du Chili. Le quatre-mâts Loire (port d'attache : Dunkerque) de la maison Bordes sauve 26 membres de l'équipage au cours d'un sauvetage qui dure 4 jours. 3 marins y perdent la vie<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : naufrage du Eastland dans le port de Chicago. Environ 810 morts parmi l'équipage et les passagers, des employés de Western Electric et leurs familles se rendant à un pique-nique organisé par l'entreprise.
Modèle:Date- : le chalutier de Dieppel'Espérance saute sur une mine au large de Dieppe.11 morts.
Modèle:Date- : en pleine Première Guerre mondiale, l'explosion de Halifax se produisit dans le port d'Halifax, en Nouvelle-Écosse au Canada, lorsqu'un navire français transportant des munitions, le Mont-Blanc, entra en collision avec un navire norvégien, l’Imo, qui se rendait en Belgique. L'explosion des munitions du Mont-Blanc se produisit 19 minutes 1/2 plus tard : elle rasa Modèle:Unité de la ville, tua Modèle:Unité et en blessa des milliers d'autres. Un raz-de-marée de 18 m de haut déclenché par l'explosion fut si puissant qu'il cassa des arbres, plia des rails de chemin de fer et démolit des édifices, transportant les fragments sur des centaines de mètres. L’explosion a été entendue à plus de 400 km.
20 mars 1923: Le bateau piloteModèle:N° du port de Dunkerque est coupé en deux par le vapeur Rochefoucault. Le patron pilote qui croit sa dernière heure arrivée est sauvé avec son équipage par le remorqueur Ulysse et le canot de l'abordeur<ref>Modèle:Lien web</ref>.
3 juin1925 : le vapeur suédois Africanic et le vapeur britannique Northlea sont entrés en collision au large de la Corogne. Le commandant Gens et l'équipage du remorqueur Nord de Dunkerque vont sauver l'équipage suédois<ref>Modèle:Lien web</ref>.
26 octobre 1927 : Le paquebot italien Princesse Mafalda, de la Compagnie de navigation générale italienne, lance au large de Bahia (Brésil), un SOS pendant qu’il sombre, ayant 968 passagers et 288 hommes d’équipage à son bord. L ‘accident s’est produit vers 19h 00 dans la région des îles Abrolhos à mi-chemin entre Bahia et Rio-de-Janeiro. Le paquebot aurait coulé par une profondeur de 36 mètres. Le vapeur Formosa, de la Compagnie Sud Atlantique de Bordeaux, a recueilli 450 naufragés, le vapeur britannique EMPIRE STAR 262, le vapeur allemand ATHENIA 450 et le ROSETTI 122. 32 personnes y laissent la vie<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : par suite d’erreurs du point d'estime, d'une dérivation de compas et d’une brume très épaisse, le cargo Yser alla se briser sur les rochers de Goulphar à Belle-Ile-en-Mer. Il effectuait un trajet d’Angleterre à Nantes, avec un chargement de charbon. Tous les efforts pour renflouer ce cargo de 4.000 tonnes ont été inutiles<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : naufrage du paquebot Numidia, dans le bassin de la Joliette (Marseille) dans la nuit du mardi 30 octobre 1928 à la suite de l’ouverture malveillante ou accidentelle des prises d'eau des machines<ref name=":2" /> Le navire fut rapidement renfloué.
Modèle:Date- : Le voiler 3 mats d'explorations polaires Pourquoi Pas ? du commandant et docteur Jean-Baptiste Charcot coule dans une tempête au large de l'Islande. 40 morts et disparus. Un seul survivant, le maître timonier Eugène Gonidec.
Modèle:Date- : naufrage de la malle Princesse Marie José<ref>malle Princesse Marie José</ref> au large de Dunkerque. Grâce à la célérité des services portuaires on ne dénombre que 4 blessés sur les 750 passagers<ref name=":1" />.
Modèle:Date- : le croiseur-mouilleur de mines Pluton est détruit dans la port de Casablanca à cause de l'explosion accidentelle d'une de ses mines. Bilan humain, 286 morts et 102 blessés.
Modèle:Date- : le torpilleur La Railleuse est détruit dans le port de Casablanca à cause de l'explosion accidentelle d'une de ses torpilles. Bilan humain, 28 morts.
Modèle:Date- : le contre-torpilleurs Maillé-Brezé est détruit dans le port de Greenock à cause de l'explosion accidentelle d'une de ses torpilles. Bilan humain, 7 morts.
11 juin 1940, le steamer Niobé (cargo) est coulé au large du Havre par l'aviation allemande. Plus de 800 morts civils et militaires, 11 survivants (4 membres d'équipage et 7 passagers) recueillis par le « Cotentin ».
Modèle:Date- : naufrage dans une tempête du cargo Jumièges de la Compagnie Worms dans le golfe du Lion, causant la mort de 20 marins
Modèle:Date- : naufrage du Kurtuluş, cargo turc connu pour son rôle humanitaire lors de la Grande Famine en Grèce durant la Seconde Guerre mondiale.
Modèle:Date- : le chalutier de Dieppe Ailly saute sur une mine au large de La Rochelle. 15 morts.
La catastrophe de Texas City eut lieu le 16 avril 1947, à la suite de l'explosion d'environ 2 080 tonnes de nitrate d'ammonium chargées à bord du navire SS Grandcamp, battant pavillon français, dans le port de Texas City. L'explosion, entendue dans un rayon de 240 km, provoqua un incendie dans une usine de Monsanto fabriquant du styrène. Elle fit au moins 581 morts et plus de 3 000 blessés.
Modèle:Date- : naufrage du Princesse Astrid<ref>X.</ref> en face de Dunkerque. La malle qui assurait la liaison OstendeDouvres touche une mine et coule en moins de deux heures. 9 remorqueurs, un cargo, un chalutier et le canot de sauvetage de Dunkerque permettront de sauver plus de 400 personnes. Seuls 5 marins ostendais y perdont la vie (Ils sont morts dans l’explosion de la mine qui a ouvert une brèche dans la coque<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Le chalutier de Dieppe Pluviôse saute sur une mine au large des Cornouailles: 15 morts.
Modèle:Date- : le Flying Enterprise coule dans l'océan Atlantique à 45 milles marins de Falmouth. Gravement avarié, son capitaine Henrik Kurt Carlsen le maintenait à flot depuis plus de 15 jours. Une partie de sa cargaison était secrète et vraisemblablement destinée au réacteur nucléaire du premier sous-marin atomique américain l'Modèle:USS.
Modèle:Date- : une terrible tempête balaie les zones de pêche de l’Atlantique. Cinq bateaux de Concarneau sont perdus : le Tourville, le Alain-Yvon, le Pierre Nelly, le Berceau de Moïse et le Perle d'Arvor. 46 marins disparaissent qui laissent 36 veuves et 63 orphelins. Dans la Manche, le bateau feu britannique South Goodwind s'échoue sur une plage de Douvres. Au Pays de Galles, le pétrolier Libérien World Concept de 20.000 tonnes s'échoue et se casse en deux à la côte de Pembrocke. Au large de l'Écosse, le dragueur de mines britannique Rambler Rose chavire : 14 disparus et le cargo Grandfoss chavire également avec tout son équipage. En mer d'Irlande, le cargo britannique Trésilian, chargé de 900 tonnes de blé canadien chavire. Au large du Sussex, le caboteur Véga est abandonné par son équipage<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : Au large du Havre, le chalutier de Dieppe Abraham Duquesne saute sur une mine qu'il a remonté dans son chalut. 15 morts.
Modèle:Date- : Le chalutier de Dieppe Vert Prairial s'échoue au pied de la falaise de Porthcuno (Cornouailles). 17 morts.
Modèle:Date- : le plus grand chalutier dunkerquois, le Clémenceau est percuté par un tanker russe et coule en 7 minutes. L'équipage, sain et sauf, est recueilli par le tanker.
Modèle:Date- : le chalutier L'Edwige coule au large de Barfleur, provoquant la mort de ses huit hommes d'équipage.
Modèle:Date- : le cordier cherbourgeois Que Dieu nous protège sombre au large de Barfleur après avoir été abordé par le pétrolier allemand Caperata : 9 morts.
6 juillet 1962 : le cotre tongien Tuaikaepau s'échoue sur les récifs de Minerva. L'équipage survit pendant 101 jours avant d'être rescapé, cinq morts.
Modèle:Date- : Le chalutier de Dieppe Jeanne Gougy s'échoue par mauvais temps au cap Lizard (Cornouailles). 12 morts et 6 rescapés.
Modèle:Date- : le SS Yarmouth Castle affrété par la Chadade Steamship Company pour des croisières entre Miami et les Bahamas prend feu vers 1 heure du matin. Le feu ne peut être éteint en raison de problèmes techniques. On dénombre 91 morts dont 2 membres d'équipage.
Modèle:Date- : le pétrolier libérien Torrey Canyon de 120 000 tonnes s'échoue sur les îles Scilly. Sa cargaison pollue gravement les côtes anglaises et françaises. C'est la première catastrophe de cette ampleur et le début de prise de conscience par les autorités des risques écologiques créés par la taille croissante des pétroliers.
Modèle:Date- : Le sous-marin français Eurydice disparaît corps et bien au large du cap Camarat avec son équipage de 57 sous-mariniers L'épave fut retrouvée le Modèle:Date- de la même année par 750 mètres de fond<ref>Historique</ref>.
Modèle:Date- : naufrage en Atlantique du cargo français Maori avec 39 hommes d'équipage. 1 survivant, 38 morts (33 disparus).
Modèle:Date- : à la suite d'un défaut de conception, le chalutier usine de Dieppe Snekkar Arctic coule en Mer d'Irlande. 16 marins morts et 7 rescapés.
Modèle:Date- : le ferry-boat philippin Doña Paz prend feu et sombre après une collision avec le pétrolier Vector. Officiellement : Modèle:Nombre, le navire était autorisé à un maximum de Modèle:Nombre mais était en surcharge. Officieusement : Modèle:Nombre et 26 survivants ce qui en fait le désastre maritime le plus tragique en temps de paix.
Modèle:Date- : naufrage du ferry Estonia en mer Baltique. 852 morts. La plus grande catastrophe maritime en Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Modèle:Date- : naufrage du ferry Ronjiang, transportant 221 personnes, (conçu que pour en accueillir une centaine), fait naufrage sur la rivière Hejiang, dans le Sichuan (sud-ouest de la Chine) : 130 morts<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : naufrage du ferry-boat grec Express Samina au large de Paros (Grèce), faisant 82 morts. La coque du navire se déchira en deux endroits contre un îlot rocheux. Le navire coula en une heure uniquement du fait que 9 portes étanches sur 11 n'étaient pas fermées au niveau des salles de machines et des soutes. À la suite de ce naufrage, l'enregistreur VDR (sorte de boîte noire) deviendra obligatoire à bord de tous les navires transporteurs de passagers.
Modèle:Date- : naufrage du bateau de croisière l'Explorer après avoir touché un objet submergé non identifié dans le détroit de Bransfield près de l'île du Roi-George lors d'une croisière dans l’Antarctique, ne faisant aucune victime.
Modèle:Date- : Naufrage d'un ferry au large de la province centrale Philippines de Masbate après qu'un fort coup de vent l'eut frappé faisant 39 morts et 76 rescapés<ref>X</ref>.
Modèle:Date- : naufrage d’une embarcation transportant des migrants clandestins à environ 110 km des côtes libyennes, faisant près de 700 morts avec 28 survivants.
Modèle:Date- : le naufrage d'un bateau de migrants clandestins au large de l'île de Kerkennah, en Tunisie, cause au moins 68 morts et une cinquantaine de disparus, dont une majorité de Tunisiens<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref> ; ce drame entraîne le limogeage du ministre de l'intérieur tunisien Lotfi Brahem (remplacé par intérim par le ministre de la Justice Ghazi Jeribi) et de 10 responsables de la sûreté nationale et de la garde nationale<ref name=":0" />.
Modèle:Date- : une pirogue partie de Gambie transportant environ 150 migrants clandestins heurte des rochers à 25 km au large de la ville mauritanienne de Nouadhibou, 58 morts et 83 survivants confirmés<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Nuit du 4 au 5 juin 2020 : une embarcation de 53 migrants clandestins subsahariens fait naufrage au large des îles tunisiennes de Kerkennah, causant 52 morts et 1 disparu<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : le vraquier MV Wakashio, échoué à l'Île Maurice<ref>X.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, très prisée pour ses lagons et ses plages paradisiaques, y provoque une marée noire ; le Modèle:Date-, un remorqueur et une barge qui nettoyaient la marée noire se percutent et coulent, sur les 8 personnes à bord des deux embarcations 4 sont sauvées, 3 meurent et 1 est portée disparue<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : une embarcation de migrants clandestins coule au large de la ville de Zouara en Libye après que son moteur ait explosé, 37 passagers sont sauvés mais au moins 45 meurent<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : un cargo néo-zélandais, le Gulf Livestock 1 et son équipage (43 membres dont 39 Philippins, 2 Néo-Zélandais et 2 Australiens) ainsi que le bétail qu'il transportait (5 867 bovins) sont portés disparus après avoir envoyé un signal de détresse alors qu'il se trouvait à l'ouest de l'île Amami Oshima, au sud-ouest du Japon ; les secours sont perturbés par le typhon Maysak, 1 Philippin est retrouvé le 3 septembre<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date-: un rassemblement pro-Trump sur le Lac Travis, au Texas, attire énormément d'embarcations, trop nombreuses et trop proches les unes des autres, provoquant des vagues et une situation chaotique sur le lac, causant elle-même des naufrages en série, plusieurs bateaux coulent, 2500 militants doivent être secourus, aucun blessé<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 7 février 1939, au cours d'un entrainement au large de Penmach, le croiseurGeorges-Leygues éperonne le contre-torpilleur Bison qui est littéralement coupé en deux. La partie avant coule rapidement tandis que le reste du bâtiment se maintient à flot et est remorquée jusqu'à Lorient. L'accident fait 18 morts et disparus<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
le 15 août 1971, le dragueur de mines français Sirius talonne le fond au large du cap Lévy. Jugé irréparable, le Sirius est condamné. il n'y aura aucun blessé.
Le 12 janvier 1978, le Duperré talonna dans le raz de Sein à Modèle:Heure. Toute la ligne d'arbre bâbord, de l'hélice jusqu'aux turbines, fut détruite et une brèche, longue de 35 mètres, provoqua une voie d'eau considérable, inondant tous les compartiments machine et privant l'escorteur de propulsion. Après une évacuation de la majeure partie de l'équipage par le canot de sauvetage de l'île de Sein, le bâtiment put être remorqué jusqu'à Brest le lendemain. Il entra au bassin le 13 janvier à Modèle:Heure. L'étendue des dégâts fit hésiter à sa remise en état. Il ne sera finalement réparé que le 30 novembre 1979, avec du matériel provenant de l'EE La Bourdonnais qui venait d'être désarmé.
Le 28 février 1987, le dragueur de mines français Capella est abordé devant Zeebruges par un cargo guatémaltèque. Coupé en deux, l'arrière coule mais l'avant est remorqué jusqu'à Cherbourg. Miraculeusement il n'y aura aucun blessé.
Modèle:Date- : le navire de guerre Mary Rose, vaisseau amiral de la flotte anglaise, coule dans la rade de Portsmouth sous les yeux du roi Henri VIII lors d'un combat avec les Français. On attribue son naufrage à un coup de vent brusque ou à un virement de bord brutal, qui auraient fait tanguer et déséquilibré le navire. Surchargé d'hommes en armures et de canons retenus sur le pont et dans la cale par des filets de protection, il se serait alors renversé. Le navire a été retrouvé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle échoué sur le flanc et partiellement enfoncé dans le fond marin. Une théorie plus récente évoque la possibilité d'une brèche dans la coque sous la ligne de flottaison à la suite du tir d'un navire français.
Modèle:Date- : la frégateLa Galathée (36 canons), capitaine Labutte, se brise sur les rochers de Penmarch (Bretagne) alors qu'elle essayait de rejoindre Brest et d'échapper aux croisières britannique; elle était de retour de Norvège après une campagne en compagnie de La Seine. Il n'y eut qu'une trentaine de rescapés.
Modèle:Date- : au lendemain de la bataille de Trafalgar, le Bucentaure sombre. Navire amiral français lourdement endommagé, pris en remorque après la bataille (21octobre1805) par le Modèle:HMS, remorque qui se rompt pendant la nuit. Les officiers français à son bord reprennent le navire, mais au petit matin, il s'échoue dans la houle et commence à sombrer. 450 rescapés trouvent refuge sur L'Indomptable venu au secours. Mais dans la soirée du 23 octobre, la tempête le drosse à la côte. Seuls 150 hommes sur les plus de 1 200 hommes auront la vie sauve.
Modèle:Date- : le Karlsruhe, croiseur léger de la Kaiserliche Marine, coule durant son transit vers la Barbade, suivant une explosion accidentelle. 140 rescapés sont repêchés par des vapeurs allemands (sur 373 membres d'équipage). Le Karlsruhe harcelait les navires de la zone (plus de 72 500 tonnes coulées ou capturées). Le 6 août précédent, le Modèle:HMS, croiseur britannique, avait ouvert le feu sur le Karlsruhe, devenant le premier navire britannique du conflit à attaquer un navire ennemi.
Modèle:Date- : le paquebotbritanniqueLusitania est coulé par un sous-marin allemand, faisant Modèle:Unité. Les passagers du navire étaient des civils. Par son retentissement aux États-Unis, ce naufrage explique l'entrée en guerre, deux ans plus tard, de ce pays.
Modèle:Date- : le cargo Californian est pris pour cible par un sous-marin allemand et coule, faisant deux victimes.
Modèle:Date- : le Modèle:Navire, cuirassé français est torpillé par le sous-marin allemand U-52. Il coule en quelques secondes avec ses 648 membres d'équipage au large de Lisbonne.
Modèle:Date- : le Carpathia est coulé (en Modèle:Heures) par un sous-marin allemand. Cinq mécaniciens sont tués et seront les seules victimes. Les 11 embarcations mises à l'eau sont vite secourues. Il y a eu 215 survivants dont 57 passagers.
Modèle:Date- : l'escadre britannique de l'Amiral Sommerville tire sur une escadre française au mouillage à Mers el-Kébir. Le cuirassé français Bretagne est coulé. Le cuirassé Provence, le croiseur de bataille Dunkerque et le contre-torpilleur Mogador sont mis hors de combat. Modèle:Nombre français sont tués
Modèle:Date- : arraisonnement et destruction du Notou transportant du charbon pour la SLN entre l'Australie et la Nouvelle-Calédonie par l’Orion, un croiseur auxiliaire allemand croisant au large de Nouméa.
Modèle:Date- : le chalutier Sancte Michael, (Lorient Modèle:N°) coule à 20 milles SSW de Penmach par suite d'une mine, prise dans le chalut, qui a explosé lors de sa remontée, provoquant 2 morts et 4 disparus. Plusieurs survivants dont le patron sont secourus par le chalutier Madeleine.
Modèle:Date- : le paquebot Lamoricière coule au large des Baléares dans une forte tempête, en portant secours au cargo Jumièges qui a disparu lui aussi. Sur les 400 personnes environ à bord du Lamoricière, il y a seulement 89 (ou 93) survivants<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>X.</ref>.
Modèle:Date- : le croiseur sous-marin français le Surcouf disparaît corps et biens avec 130 hommes à son bord, au nord du canal de Panama. L’enquête conclut à un naufrage après une collision accidentelle avec le cargo américain Thomson Lykes. Une seconde enquête, menée par une commission française, conclut à la méprise d'un hydravion américain qui aurait bombardé le Surcouf, le prenant pour un sous-marin allemand ou japonais.
Modèle:Date- : le paquebotStruma, battant pavillon panaméen, appartenant à la compagnie grecque Singro, quitte le port roumain de Constanța pour Istanbul le Modèle:Date-. Les autorités turques, après soixante-trois jours d’une terrible attente, refusent de laisser débarquer ses passagers juifs ayant fui le nazisme. Le Struma en panne sera refoulé et remorqué en haute mer par la marine turque. Il y sera torpillé en mer Noire le lendemain par le sous-marin soviétique SC 213. Les 768 passagers et membres d'équipage du Struma y trouveront la mort.
Modèle:Date- : le cargo mixte japonais Montevideo Maru est coulé par le sous-marin américain USS Sturgeon. Il transportait environ Modèle:Nombre de Modèle:Nobr, dont Modèle:Nobr australiens capturés pendant la bataille de Rabaul, en Nouvelle-Guinée (dont 850 militaires environ). L'équipage du USS Sturgeon ignorait que le Montevideo Maru convoyait des prisonniers de guerre alliés vers l'île chinoise de Hainan (occupée par l'armée japonaise), C'est l'une des plus grandes tragédies maritimes de l'histoire de l'Australie. L'épave du Montevideo Maru a été localisé le 18 avril 2023 par plus de 4.000 mètres de fond en mer de Chine méridionale, à 110 kilomètres au large de l'île philippine de Luzona<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : A l'ouest de l'Afrique, à 130 milles de l'île de l'Ascension, le paquebot britannique RMS Laconia, deuxième du nom, avec environ Modèle:Unité, dont principalement 1800 prisonniers de guerre italiens, est torpillé et coulé par l'U-Boot 156, faisant 1658 victimes, malgré les efforts du capitaine de corvette Werner Hartenstein, commandant l'U-Boot, pour secourir les victimes. Un film est consacré à cet événement, Le Naufrage du Laconia.
Modèle:Date- : le destroyer l'Modèle:USS (dit "Sammy B") coule pendant la bataille de Samar après avoir été gravement touché par le cuirassé Yamato. Sur 224 hommes d'équipage, 89 sont morts et 120 ont été sauvé. L'épave se situe à 6 985 mètres de profondeur, elle est désormais l’épave la plus profonde jamais découverte<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Modèle:Date- : le croiseur lourd américain Modèle:USS est coulé par le sous-marin japonais I-58. Des Modèle:Nombre d'équipage, seuls 317 survivront. Cette catastrophe est considérée comme le naufrage le plus meurtrier de l'histoire maritime militaire américaine.
Modèle:Date- : le navire de transport japonais Ukishima Maru transportant à son bord environ Modèle:Unité en cours de rapatriement coule, dynamité par les Japonais, causant la mort de 550 personnes.
XXIè siècle
Modèle:Date- : le croiseur amiral russe Moskva coule. Selon les autorités russes, il s’agit d’un accident : un incendie aurait fait exploser les réserves de munitions ; 510 hommes d’équipages ont étés évacués du bateau, 1 homme est mort et 27 sont portés disparus. Selon les Ukrainiens, le croiseur aurait été coulé par un tir de 2 missiles de croisièreR-360 Neptune.
Modèle:Ouvrage Publiés en 1852, lors de l’exil bruxellois d’Alexandre Dumas, Les Drames de la mer sont un recueil de nouvelles inspirées d’histoires maritimes véritables, toutes plus saisissantes les unes que les autres.
Fortunes de mer sur les bancs de Flandres de Jean-Luc Porhel ; peut être lu aux Archives municipales de Dunkerque ; contient le récit de tous les naufrages documentés survenus au large de cette ville
Patrick Macquaire. Le naufrage du Saint-Philibert et ses conséquences sur l'abandon de l'île d'hoëdic par les pêcheurs et leurs familles : Le cercle des homards. Hoëdic, une île entre rumeur et naufrage. Ethnographie d'une catastrophe maritime. Prix essai 2013, Salon du livre insulaire d'Ouessant. Éditions Petra, Paris 2013. 226 p. Modèle:ISBN.