Liste de naufrages

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Cette page liste des naufrages connus et documentés.

Naufrages accidentels

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Fichier:Elizabeth I (Armada Portrait).jpg
  }}, Portrait commémorant la défaite de l'Invincible Armada. À droite une représentation du naufrage de la flotte sur les côtes irlandaises.

Modèle:Article détaillé

  • en 1552, le grand galion portugais São João sombre sur la côte du Natal, avec la fin tragique du capitaine Manoel de Sousa Sepúlveda et de sa femme Leonor qui donna lieu à de nombreux récits en Europe<ref>Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
  • en 1555, le naufrage de la nef portugaise Conceição qui s’est perdue sur les basses de Pero de BanhosModèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
  • en 1562, la nef portugaise São Paulo fit naufrage près de l’île de SumatraModèle:Sfn,<ref name="Bideaux 1999" />.
  • Modèle:Date- : lors d'une tempête entre la côte de Terre-Neuve et les Açores, naufrage de la frégate HMS Squirrel, entrainant dans la mort de Sir Humphrey Gilbert, qui, sous le règne de la reine Elizabeth, a été un pionnier de la colonisation anglaise en Amérique du Nord : aventurier, explorateur, député et soldat.
  • Dans la nuit du 19 août 1585, la nef amirale de la flotte portugaise, le Santiago, s’échoue dans le canal du Mozambique sur un récif qui terrifia des générations de marins : les Bassas da India, autrefois appelés Baixos da Júdia (les Modèle:")Modèle:Sfn.
  • L'Invincible Armada espagnole, après sa tentative avortée d'invasion de l'Angleterre qui se solda par la perte de deux navires, rejoint l'Espagne en contournant l’Angleterre par le Nord. Du fait d'un ouragan, pas moins de 24 vaisseaux s'échouent sur les côtes irlandaises. Parmi ceux-ci, le Modèle:Date-, La Girona, à Lacada Point, au large de la côte d'Antrim non loin de la Chaussée des Géants, épave retrouvée par la suite par Robert Sténuit.

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Fichier:Plan du naufrage des îles d'Aves en 1678.jpg
Le naufrage de l’escadre française du vice-amiral d’Estrées, en 1678, sur les récifs des Aves.
  • Modèle:Date- : Le Sea Venture qui fait naufrage aux Bermudes marque la fondation de la colonie.
  • Modèle:Date- : Dirigé par le navigateur et explorateur néerlandais Willem Bontekoe, capitaine au service de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales<ref name="Bontekoe Sources" />, le navire Nieuw-Hoorn fait naufrage au beau milieu de l’océan Indien à la suite d'un incendie à bord. Les 72 survivants, dont Willem Bontekoe, blessé, dériveront 13 jours durant à bord d’un canot jusqu’à atteindre la côte de Sumatra où les 57 rescapés furent secourus par une flotte néerlandaise<ref name="Bontekoe Sources" />,Modèle:Sfn.
  • Modèle:Date-: le Nuestra Señora de Atocha, le Santa Margarita, le Nuestra Señora del Rosario et deux petits vaisseaux, faisant partie de la flotte des Indes, coulent dans une tempête, en face des côtes de la Floride, alors qu'ils font route vers l'Espagne.
  • Modèle:Date-: une tempête d’une rare violence dans le golfe de Gascogne provoque le naufrage de sept navires portugais, dont deux énormes caraques des Indes chargées de toutes les richesses de l’Orient, et cinq galions de guerre qui les escortaient (près de 2000 morts et moins de 300 survivants, des centaines de canons perdus, une fortune engloutie, etc.)Modèle:Sfn.
  • Modèle:Date- : lors du lancement officiel du navire suédois le Vasa, ce voilier tout neuf a chaviré par la conjonction d'une rafale de vent imprévue, d'un poids excessif et des sabords de batterie basse ouverts. Le Vasa devait être la pièce maîtresse de la marine de guerre de Gustave II Adolphe. Il fut renfloué en 1961 et constitue aujourd'hui une attraction touristique de Stockholm.
  • Modèle:Date- : naufrage du Batavia de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales (Vereenigde Oost-Indische Compagnie ou VOC) au large des côtes australiennes. Des 300 survivants, 125 furent massacrés par leurs camarades mutins.
  • Modèle:Date- : tandis qu’il traverse le golfe du Bengale, le navire Terschelling est pris dans terrible tempête. Après un naufrage tragique, seuls 32 rescapés trouvent refuge sur un îlot. Livrés à eux-mêmes, ces hommes survivront en se nourrissant de tout ce qu’ils peuvent trouver. Résistant un mois durant aux pulsions anthropophages, ils sont finalement secourus par des pêcheurs en provenance du Bengale avant de se retrouver, bien malgré eux, soldats de l’Armée mogoleModèle:Sfn.
  • Modèle:Date- : La Lune, revenant de l'expédition de Djidjelli, coule au large des îles d'Hyères en faisant près de 800 morts. Le navire, qui faisait beaucoup d'eau, se délie soudainement et sombre « comme du marbre ».
  • Modèle:Date- : La Thérèse, un vaisseau de guerre français de 58 canons explose et sombre lors du bombardement des positions turques à Candie (aujourd'hui Héraklion, en Crète). L'épave a été retrouvée en 1976.
  • Modèle:Date- : naufrage des îles d’Aves. Le vice-amiral d'Estrées, qui veut attaquer la possession de hollandaise de Curaçao, échoue les deux-tiers de son escadre sur les récifs des Aves (actuellement sur la côte du Venezuela). Sept vaisseaux de ligne, une flûte, trois transports et trois navires flibustiers sont perdus. Cinq cents hommes périssent, dont quatre-vingts à bord du vaisseau amiral le Terrible. La faute en revient à d’Estrées qui a négligé les conseils de ses capitaines et de ses pilotes.
  • Modèle:Date- : naufrage de la barque longue la Belle dans la baie de Matagorda à cause d'un ouragan. Le navire faisait partie de l'expédition de Cavelier de La Salle visant à établir une colonie française à l'embouchure du Mississippi. L'épave, retrouvée en 1995, a été fouillée et renflouée.
  • Modèle:Date- : le vaisseau de ligne français le Pélican, après un très dur combat contre trois vaisseaux anglais, s'échoue à cause d'une tempête et sombre dans la baie d'Hudson. Son capitaine, Pierre Le Moyne d'Iberville, réussit cependant à sauver la plus grande partie de l'équipage.

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Fichier:HMS Association (1697).jpg
Le naufrage de quatre vaisseaux de ligne britanniques aux Sorlingues en 1707.
Fichier:Vaisseau le Thesee sombrant à la bataille des Cardinaux 1759.jpg
Le naufrage du Thésée en novembre 1759.
Fichier:Naufrage du vaisseaux le Ville de Paris en 1782 apres bataille des Saintes.jpg
Le naufrage du Ville de Paris en septembre 1782.

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Fichier:Wreck of Méduse img 3191.jpg
Le naufrage de La Méduse, sur le banc d'Arguin. C'est l'un des plus célèbres naufrages du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, autant pour l'incompétence de son commandant et les actes de cannibalisme commis par l'équipage pour survivre que pour le célèbre tableau qui en a été tiré par Géricault.
  • Modèle:Date- : Naufrage devant Dunkerque du trois-mâts britannique Queen Elizabeth, 24 personnes sauvées, 358 décès<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Modèle:Date- : Naufrage de la frégate française La Méduse. Célèbre pour son radeau, illustré par une toile de Théodore Géricault intitulée Le Radeau de La Méduse.
  • Modèle:Date- : Naufrage dans l'archipel Crozet du chasseur de phoques, le Princess of Wales, un cotre britannique de 75 tonneaux.
  • Modèle:Date-: Naufrage dans l'archipel Crozet de la goélette Aventure commandée par Guillaume Lesquin. Les survivants seront recueillis 18 mois plus tard par un navire britannique passant par hasard.
  • Modèle:Date- : Naufrage du navire-prison L'Amphitrite. Commandé par le capitaine Hunter, le bateau appareille le 26 à Woolwich (Angleterre) pour Port-Jackson (Australie). Son équipage est composé de 16 hommes et transporte à son bord 108 femmes déportées et 12 enfants. Dès le 29, il fut assailli par une violente tempête et le 31 il s'échoua sur la côte française, en vue du port de Boulogne. À cause de l'entêtement du capitaine qui refusa l'aide des Français et de mettre des prisonnières dans des chaloupes, tous périrent noyés hormis 3 hommes d'équipage. (documentation : le journal Détective du Modèle:Date- et l'ouvrage : La Mer, naufrages modernes).
  • Modèle:Date- : Le Superbe, navire de l’escadre du Levant au large de Paros.
  • Modèle:Date- : Le navire britannique « La Béatrice » se dirigeant vers le Royaume-Uni avec, à son bord, le sarcophage du pharaon Mykérinos sombre au large de l'Espagne.
  • Modèle:Date- : Naufrage de la frégate française Herminie aux Bermudes, un seul tué.
  • Modèle:Date- : le trois mâts Léopoldina Rosa, de 32 mètres de long et large de 9 mètres, fût pris dans une tempête du S.-S. E. qui l'engagea en fin de nuit sur les Castillos (récifs de la côte de l’Uraguay proches de l’embouchure du Rio de la Plata). Il avait quitté Bayonne depuis plusieurs semaines à destination de Montevideo avec à son bord 300 personnes environ. L'essentiel des passagers étaient des émigrants Basques. A l'époque des "trafiquants d'émigrants" de Montevideo, souvent associés à l'État, recherchaient une main-d'œuvre captive et des recrues militaires. Certains historiens évoquent même "l'esclavage des blancs" <ref>Modèle:Lien web</ref>. Finalement 231 passagers dont une grande partie de femmes et d’enfants, ont péri et 70 ont été sauvés. Ce naufrage a défrayé la chronique car l'équipage a refusé d'obéir au Capitaine qui voulait établir un va et vient avec la côte qui se trouvait à moins de 300 mètres et qui aurait rendu possible un sauvetage. Au lieu de cela, l’équipage, à l'exception du capitaine, du  lieutenant et du médecin, ne songea qu’à son propre salut et se sauva<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Cet abandon a été à l'origine de débats pour savoir si l'équipage devait être traduit en justice<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Une partie du navire resta presque toute la journée à flot avant de se disloquer en fin d'après-midi. Les habitants des lieux parcouraient la côte et pillaient les débris et les malles, sans tenter de secourir les passagers.
  • Modèle:Date- : Le Waterloo et l’Abercrombie Robinson sombrent dans une tempête à la baie de la Table.
  • Modèle:Date- : Sur la Seine, à Villequier, un tourbillon de vent fait chavirer un canot. Quatre victimes : Pierre Vacquerie, son fils Arthur, son neveu Charles et la jeune épouse de ce dernier Léopoldine Hugo.
  • Modèle:Date- : Le brick aviso Colibri fait naufrage au cours d'une tempête au nord-ouest de Madagascar
  • Modèle:Date- : Le Carrick fait naufrage près de Cap-des-Rosiers, en Gaspésie, et noie près de 130 immigrants irlandais.
  • Modèle:Date- : vers 23h00 : au cours d'une tempête mémorable, le vapeur Royal-Adélaïde, de la compagnie de la Ville de Dublin, qui faisait le trajet entre Cork et Londres, a péri corps et biens à 10 milles environ de Margate. Le nombre de victimes est estimée à 206 victimes (environ : entre 100 et 300 suivant les sources)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
  • Modèle:Date- : En fin de journée, au Port Elizabeth (Afrique du Sud), dans la baie d'Algoa, le navire Charlotte, transportant des troupes du Modèle:27e régiment, allant de Queenstown à Calcutta, perdit une ancre. La mer commençait à grossir de plus en plus et la seconde ancre dérapa. Le navire tenta d'appareiller pour sortir de la baie, sans succès, et fût drossé contre la jetée. Toute la population est accourue sur le rivage et des secours se sont mis en place. Sur environ Modèle:Unité à bord, Modèle:Unité ont péri (62 militaires, 11 femmes, 26 enfants et 18 hommes d'équipage), malgré le dévouement des autorités et des habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Modèle:Date- : La Sémillante, transport de troupes français lors de la guerre de Crimée, coule au large des îles Lavezzi, dans les bouches de Bonifacio, entraînant la mort de 700 personnes. Alphonse Daudet écrivit une nouvelle sur cet événement, intitulée L'Agonie de la Sémillante (dans "les lettres de mon moulin").
  • Modèle:Date- : Le Spartan vapeur britannique s'échoue sur l'ile des Chiens (Tunisie). Le paquebot français Sphynx des messageries impériales commandé par le commandant Salomez-Devriez va sauver les 737 soldats britanniques présents sur le Spartan<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le Duroc, aviso à vapeur, classe Marceau, fait naufrage sur le récif de Mellish à 160 nord de la Nouvelle-Calédonie
  • Modèle:Date- : L'Austria, trois-mats à vapeur, fait naufrage à la suite d’un incendie au large de Terre-Neuve.
  • Modèle:Date- : Naufrage du trois mâts goélette Rimac sur le pont d'Yeu<ref>Sur le site Épaves</ref>.
  • Modèle:Date- : La goélette Grafton est drossée contre les rochers des îles Auckland à plus de Modèle:Unité au Sud de la Nouvelle-Zélande. Les cinq naufragés, tous de nationalités différentes (américaine, française, britannique, portugaise et norvégienne), survivent pendant 20 mois avant de réussir à quitter l'île par leurs propres moyens. Plusieurs ouvrages relatent le naufrage et la survie des marins. Citons François Édouard Raynal en 1870, le capitaine Musgrave en 1866, et Jules Verne en 1874, qui s'est inspiré de l'aventure pour son roman L'Île mystérieuse<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Modèle:Date- : L’Invercauld s'échoue sur les rochers de la pointe nord-est de la même île Auckland (voir ci-dessus). Des vingt-cinq membres de l'expédition, six se noyèrent. Des dix-neuf naufragés, trois furent recueillis vivants le Modèle:Date- par le navire portugais Julian. Malgré les 12 mois passés en commun sur la même île, les deux groupes de naufragés n'établirent aucun contact entre eux, alors qu'ils étaient séparés d'à peine une vingtaine de kilomètres<ref>François Édouard Raynal, dans son propre récit de naufrage : Modèle:Ouvrage évoque cet autre naufrage, en fin de livre, dans les dernières pages.</ref>.
    Fichier:Civil War Steamer Sultana tintype, 1865.png
    Le Sultana, la veille de sa destruction. On remarque la foule de prisonniers de l'Union libérés serrés les uns contre les autres sur les ponts du vapeur.
  • Modèle:Date- : Le SS Sultana, bateau à vapeur, a explosé sur le fleuve Mississippi à sept miles au nord de Memphis, Tennessee. Ce fut l'une des pires catastrophes de l'histoire des États-Unis : conçu avec une capacité de 376 passagers, il en transportait 2 137 lorsque trois des quatre chaudières du bateau ont explosé. Le nombre exact de morts est inconnu. Il est estimé à 1 168. Cette catastrophe a été éclipsée dans la presse par la fin de la guerre civile américaine, l'assassinat du président Abraham Lincoln et le meurtre de son assassin John Wilkes Booth. Personne n'a jamais été tenu responsable du désastre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le Borysthène, vapeur des Messageries impériales, parti le mercredi 13 décembre de Marseille, se fracasse sur les récifs qui bordent l'île Plane, près du cap Lindèls (province d'Oran). Vers 22H00, le bâtiment file à dix nœuds par mer forte. Le capitaine croit être proche de Mers-el-Kebir. Il envoie dans les hunes son second pour essayer d'apercevoir le phare de la rade. Au moment où le second descend bredouille, le bâtiment heurte violemment, de la proue au milieu, des pointes rocheuses de l'île Plane. Le capitaine fait abattre la mâture pour relier le bâtiment et les rochers. Cependant, pendant l'opération, le bâtiment chavire du côté opposé et l'arrière se détache. Les vagues balaient le pont, entraînant bon nombre de passagers. Grâce au courage du matelot Leblanc, un va-et-vient est établi vers 3h00 du matin entre l'ile et les restes du navire. Par suite du mauvais état de la mer, le sauvetage se fait très lentement et se termine vers 9h00 le lendemain matin, les survivants constatent qu'il y a 70 absents (de 54 à 70 victimes suivant les sources : 17 à 19 passagers civils, 30 officiers ou soldats, 7 hommes d’équipage (ou 6 marins et une femme de chambre du bord)). Ils resteront sur leur rocher jusqu'au dimanche 17 où vers 10h00, 5 balancelles espagnoles arrivent à leur secours. Montèrent d'abord à bord les femmes, les enfants, les malades, et enfin les autres rescapés<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le brick Amiral-Magon, cap. L.-M. Quévert, de Saint-Servan, parti de Swansea (pays de Galles) pour Lisbonne avec un transport de charbon, est abordé à 60 lieues au large d'Ouessant, de nuit noire avec brume et grosse mer, par un trois-mâts barque britannique, le General Havelock, cap. W. Smart, de Sunderland, qui avait quitté Ardrossan (Écosse) pour Bordeaux avec un chargement de charbon et de fonte. Les avaries sont si graves que l'équipage doit se réfugier à bord du navire britannique. L’Amiral-Magon disparaît à l’horizon avant de sûrement sombrer quand le capitaine Quévert se rend compte que le novice Michel Saint-Julien, âgé de 25 ans<ref>Matelot de 3e classe, il exerce la fonction de novice, moins bien payée. Ce n'est plus un enfant, contrairement aux récits de la presse !</ref>, est resté à son bord. Les recherches sont vaines pour retrouver le navire qui aura vraisemblablement coulé. Quand le matelot s’aperçoit qu’il est seul à bord, il tente de se faire remarquer, sans résultat. Après avoir pleuré, il reprend courage. Pendant trois jours, il pompe, fait des signaux de détresse, et se nourrit, ainsi que trois chats et un chien laissés à bord, de jambon et de pain. Des navires le croisent sans l'apercevoir. Enfin, le Modèle:Date-, une barque brêmoise Gustav, cap. W. Eberhard Callin, partie du Havre pour New York le Modèle:Date-, rencontre le navire abandonné (position 50°20 N, 8° W) et recueille le marin français à son bord juste avant que l’Amiral-Magon ne sombre. Mais le Gustav subit des avaries (mat de misaine consenti et voies d'eau) lors d’une tempête le Modèle:Date- ; il doit relâcher à Milford (pays de Galles) le Modèle:Date-, d'où le novice fait savoir que lui, les trois chats et le chien Serin sont sains et saufs, et qu’ils reviendront prochainement à Saint-Servan<ref>L’Union des Deux Villes − Saint-Malo-Saint-Servan, journal servannais, rapporte les circonstances du naufrage dans ses éditions des 13 et 17 janvier 1866. L’Union bretonne et le Journal du Havre reprennent l'information dès le 16 janvier 1866, suivis par d'autres journaux, français et britanniques.</ref>. Ce même Modèle:Date-, l'équipage de l’Amiral-Magon est débarqué à Bordeaux où le General Havelock est arrivé, sérieusement endommagé lors de l'abordage.
  • 21 décembre 1872 : Naufrage du « Germany », propriété de l’armement écossais Allan Line, ce vapeur de 104 mètres taille d’ordinaire sa route entre Liverpool et Québec après escales à Pauillac (Gironde), Santander et La Corogne. Il s'échoue sur le banc de la Mauvaise à proximité de la Pointe de la Coubre. Sur les 127 personnes embarquées, seules 100 pourront être sauvées.
  • Modèle:Date- : Naufrage du vapeur britannique Bedlington perdu en rade des Sables-d'Olonne : 12 victimes. Nombreuses marques de reconnaissance officielle aux sauveteurs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Naufrage du Ville du Havre après un abordage involontaire de la part du Loch Earn, faisant 226 victimes.
  • Modèle:Date- : le Strathmore lors de son voyage inaugural Londres - Nouvelle-Zélande, sur les récifs des Apôtres (archipel Crozet, océan Indien austral). 44 morts sur 88 personnes embarquées<ref>Trois naufrages pour trois îles, 1998</ref>.
  • Modèle:Date- : Le trois-mâts Avalanche, de la ligne des paquebots entre Londres et la Nouvelle-Zélande, de M. Shaw Savill et Compagnie, parti de Londres pour Wellington, est abordé dans la Manche vers Modèle:Heure à quinze milles au sud-ouest de l'île de Portland (comté de Dorset), par le trois-mâts britannique Forest, allant à Windsor (Nouvelle-Écosse). L'Avalanche a coulé en moins de 5 minutes avec son équipage et ses passagers, en tout 94 personnes (dont 8 enfants), l'obscurité ayant compliqué les secours. Un quart d'heure après la collision, le Forest sombrait à son tour avec ces 22 hommes d'équipage. Quelques survivants sont évoqués dans la presse, qui annonce de 103 à 115 victimes<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : L'Eurydice, venant de la Barbade, coule dans l’après-midi, en face de Dunnose, sur la côte sud-est de l'île de Wight. Une soudaine tempête de neige, accompagnée de forts coups de vent, s'était levée. C'était un vaisseau-école britannique en bois et à voiles de 921 tonneaux, portant 4 canons et servant à l'instruction des mousses et des matelots. Environ 330 victimes (matelots, état major...). Deux personne seulement ont été sauvées : Benjamin Cuddecombe, matelot de Plymouth, et Sydney Fletcher, élève de Bristol (19 ans). Le lest ou les canons, sans doute mal arrimés, auraient fait sombrer le navire en se déplaçant[1].
  • Modèle:Date- : Par temps calme et ensoleillé, dans la Manche, au large de Folkestone, trois navires cuirassés allemands le Preussen, le König Wilhelm et le Grosser-Kurfurst venant de Wilhelmshaven se rendent à Plymouth. Pour éviter un bâtiment de commerce, le König Wilhelm et le Grosser-Kurfurst manœuvrent. Les deux bâtiments se percutent violemment et le Grosser-Kurfurst coule quelques minutes après. 274 à 284 victimes et 217 à 218 rescapés. Le König Wilhelm, très endommagé, est remorqué à Portsmouth pour y être réparé<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : en début de soirée, sur la Tamise près de Woolwich, le steamer Bywell-Castle aborde le Princesse-Alice, bateau à aubes qui revenait d'une excursion à Gravesend. Il coulera et sera très rapidement submergé. Il transportait 700 à 800 personnes dont une centaine a été sauvée. La reine Victoria a fait télégraphier toute sa sympathie aux parents et amis des victimes. Le lord-maire, Sir Charles Whetham, a ouvert une souscription en faveur des parents nécessiteux des victimes.[2]
  • Modèle:Date- : À l’entrée de la Manche, en vue de Folkestone, le steamer transatlantique allemand Pomerania, venant de New York, Plymouth et Cherbourg, est abordé, à Modèle:Heure, par le trois-mâts barque Noël Eilian. À Modèle:Heure, la Pomerania sombrait définitivement. Il transportait 125 marins et 109 passagers. 48 personnes ne furent pas sauvées<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Dans la nuit du 25 au 26 février, près de Dunkerque, naufrage d'un trois-mâts britannique : l’Adriatic. Échoué depuis quelques semaines à la pointe de Mardyck, mais dont le renflouement s'est avéré impossible, on a procédé au déchargement des marchandises. Le mardi 25, 37 hommes se rendent à bord pour y travailler. Le soir venu, l'allège qui devait les ramener au port rentre vide car elle prenait de l'eau. Les travailleurs furent obligés de rester sur l'Adriatic, à l'exception de 5 récupérés par un remorqueur. Dans la nuit, une épouvantable tempête s'éleva et l'Adriatic chassant sur ses ancres fut entraîné en pleine mer et disparut dans les flots avec les 32 hommes. Les victimes sont des ouvriers de Dunkerque, le fils du capitaine, et un entrepreneur qui essayait de sauver le navire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le navire La Mignonette fait naufrage. Quatre hommes purent se réfugier sur un canot de sauvetage et trois survécurent en mangeant le quatrième. Sauvés par un autre navire, ils furent jugés et condamnés<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Alfred William Brian Simpson, Cannibalism and the Common Law : The Story of the Tragic Last Voyage of the Mignonette and the Strange Legal Proceedings to Which It Gave Rise, University of Chicago Press, 1984</ref>.
  • Modèle:Date- : L'aviso-transport l'Oise est perdu au cours d'un cyclone au large Tamatave (Madagascar). 12 victimes<ref name=":6">Modèle:Ouvrage</ref>.
  • Modèle:Date- : Naufrage de l'aviso Le Renard, sous les ordres du commandant Gaston Peyrouton Laffon de Ladebat, pris dans un cyclone tropical dans le golfe d'Aden<ref>Le naufrage du Renard</ref>.
  • Modèle:Date- : Le navire Normanton, cargo marchand britannique fait naufrage au large du Japon. Un scandale s'ensuivit car seuls les passagers et membres d'équipage européens trouvèrent place dans les canots de sauvetage.
  • Modèle:Date- : À Barra (îles Hébrides), naufrage d'un steamer sur les rochers de Loch-Boisdale. Sans doute un navire français appelé La France dont l'équipage était de 18 à 20 hommes. Trois cadavres ont été retrouvés sur le rivage<ref name=":4">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le vapeur britannique Brentford, qui allait de Cardiff à Malte, a été jeté à la côte près de Gronho. Un survivant sur 24 hommes d'équipage<ref name=":4" />.
  • Modèle:Date- : Le trois-mâts barque Tamaris armement Bordes de Bordeaux, capitaine Majou, en route pour la Nouvelle-Calédonie, coule sur les brisants des Pingouins archipel Crozet dans l'océan Indien austral. Réfugiés sur l'île aux Cochons, les 14 naufragés attachent un message au cou d'un albatros qui atteindra la côte australienne<ref>Jacques Nougier, L'Albatros et le Tamaris, Airelle-Éditions, 2013, 140 p.</ref>.
  • Modèle:Date- : le paquebot Tasmania, de la compagnie britannique P&O, heurte les écueils des Moines, au sud-ouest de la Corse, et coule.
  • Modèle:Date- : le Dayot, croiseur de 3eme classe, est jeté à la côte par un cyclone au large Tamatave (Madagascar). 1 victime<ref name=":6" />.
  • Modèle:Date- : la frégate turque Ertuğrul, de retour du Japon où elle avait apporté au Mikado les insignes de l'ordre impérial de Turquie,  est prise dans un typhon. Après 4 jours de lute desepérée, la frégate coula au large du Japon après avoir touché des rochers. 533 marins, dont 50 officiers et l'amiral Ali Osman Pacha trouvèrent la mort. Seuls 6 officiers et 63 marins survécurent. Le Wolf, canonnière allemande dépéchée sur place, récupéra 65  hommes, tous plus ou moins gravement blessés. Le paquebot Musaschi-Maru, surpris par la même tempête, coula également. Il n'y eut qu'un survivant<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Naufrage de l’Utopia à Gibraltar ; 562 morts
  • Modèle:Date- : Le Labourdonnais,  aviso en bois de 850 tonneaux avec 116 hommes, parti de Rochefort en décembre 1891, sombre au coursd 'un cyclone au large de Sainte-Marie-de-Madagascar. 33 victimes<ref name=":6" />.
  • Modèle:Date- : Au large de Tripoli (en Syrie à l'époque, au Liban actuellement), le Modèle:HMS est percé par l'éperon du HMS Camperdown pendant des manœuvres. Le Victoria coule rapidement : 358 membres d’équipage trouvent la mort dont le vice-amiral sir George Tryon, commandant en chef de l'escadre de la Méditerranée. Environ 250 personnes rescapées<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Victoria s'était échoué 2 ans auparavant dans le golfe de Patras. On eut de grandes difficultés à le remettre à flot à l'époque.
  • Modèle:Date- : Naufrage du bateau de pêche Étoile du matin, au large de Réville, les 3 marins sont morts (disparus).
  • Modèle:Date- : Le transatlantique allemand l'Elbe sombre dans la mer du Nord au large de Lowestoft (100 km au nord de Londres). Il transportait plus de 350 personnes dont 19 auraient échappé au naufrage. En provenance de Brème et poursuivant sa route vers New York, c'est une très violente tempête qui l'entraine sans doute à cet endroit. Vers 5 heures du matin dans un brouillard épais et froid, un choc secoue le transatlantique à la suite d'une collision avec un vapeur inconnu. Ce même jour, le navire britannique le Crathie, allant de Rotterdam à Aberdeen est rentré au port de Maasshus avec son avant enfoncé par suite d'une collision avec un vapeur inconnu à 30 milles des côtes de la Hollande. C'est ce navire qui a occasionné la catastrophe<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Le croiseur espagnol Reine-Régente, venant de Tanger à destination de Cadix, a sans doute été perdu dans une tempête près de Tarifa et d'Algésiras. On ne retrouva que des traces de l'épave : débris de chaloupe et drapeaux servant aux signaux appartenant au croiseur espagnol rejetés sur une plage. Pendant plusieurs jours, on a espéré que le croiseur ce soit abrité dans un port nord-africain<ref>Modèle:Lien web</ref>. Finalement, suivant les sources, 400 à 420 membres d'équipage disparurent avec le navire.
  • Modèle:Date- : Tempête sur la Manche : Quatre naufrages - deux victimes<ref>Modèle:Lien web</ref>
    • Fécamp : Le navire terre-neuva Pierre-Emile, en provenance de Bordeaux et voulant entrer dans le port, s’est mis à la côte.
    • Fécamp : Le remorqueur Jean-Bart, parti pour prendre un bâtiment en mer, a fait naufrage. Un canot de sauvetage a sauvé l'équipage sauf le capitaine et le chauffeur. Modèle:Unité assistaient au naufrage.
    • Calais : Le vapeur britannique Carth, venant de Bilbao, s’est échoué. Il a pu être renfloué.
    • Boulogne-sur-Mer : Le bateau de pêche 1818 a été coulé dans le bassin Paradis, par le chalutier 745, poussé sur lui par le vent.
  • Modèle:Date- : Le naufrage du paquebot Drummond Castle près de l'île d'Ouessant fait 358 victimes. Il n'y a que 3 survivants.
  • Modèle:Date- : Le naufrage du RIMS Warren Hastings au large des côtes de La Réunion fait 2 morts.
  • Modèle:Date- : Le Modèle:USS, cuirassé de la marine des États-Unis explose à la Havane vers 21h40. 255 victimes, dont 2 officiers. L'explosion se produit dans une soute à l'avant du bâtiment. Le navire transportait des explosifs très dangereux d'un nouveau modèle préparés avec du fulmicoton d'une fabrication spéciale et adoptés depuis février 1897<ref name=":5">Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : à proximité de Ténérife, le vapeur français Flachat, paquebot de la Compagnie Transatlantique, heurte à 1h30 du matin, par un brouillard épais et une mer forte, la pointe d'Anaga. Peu après, il se brise par son milieu, et se divise finalement en trois parties. Les survivants sont au nombre de 14 : 13 hommes d'équipage et 1 passager. On ignore ce que sont devenus les 87 autres personnes (d'autres sources évoquent la disparition de 49 passagers et de 49 matelots). Le capitaine fait mettre à la mer le bateau de sauvetage de bâbord, finalement opérationnel à 9h00 du matin, mais tout le monde se précipite vers ce bateau. Une cinquantaine de personnes sautèrent à la mer. Seules 16 pénétrèrent dans le l'embarcation, dont 2 fûrent enlevées par les vagues. Le Susu, petit vapeur britannique participa au sauvetage et aux recherches<ref name=":5" />.
  • Modèle:Date- : Le naufrage par collision du paquebot La Bourgogne de la Compagnie générale transatlantique fait 500 morts (au moins)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : Nantes-Le Havre (1518 BRT) : Cargo, lancé en 1883, par les Ateliers et chantiers de la Loire pour la Compagnie Nantaise de Navigation à vapeur, il coule à Alger, et sera démoli à Marseille<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • 1902 : le SS Huronian, cargo de la Allan Line, disparu en mer en 1902 lors d'un voyage de Liverpool à Halifax.
  • : le sous-marin français Farfadet coule dans la lagune de Bizerte, faisant 14 morts.(2 survivants)<ref name=":3" />.
  • Modèle:Date- : Le paquebot Hilda, du Modèle:Lien de la société ferroviale Modèle:Lien, surpris par une tourmente de neige, fait naufrage à l'entrée de la rade de Saint-Malo, transportant 120 personnes (6 survivants). Il faisait le service régulier entre Southampton et Saint-Malo.Il avait été construit en 1882<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Dans la nuit du Modèle:Date- au Modèle:Date- : le vapeur norvégien Martha dont l'épave est toujours visible en extrémité du Pont d'Yeu<ref>2 images de l'épave du vapeur norvégien Martha</ref>.
  • Modèle:Date- : le SS Colne, dont la cargaison de charbon s'est déplacée au cours d'une tempête, coule. Douze membres de l'équipage se noient et aussi quinze chevaux
  • 1906: La nuit du 14 au 15 mai. Le 3 mâts-barque italien " Teresina Mignano" est éperonné par un vapeur russe "LEO" dans l'estuaire de la Gironde, non loin du phare "Richard", occasionnant la mort de 8 hommes d'équipage et de 2 pilotes montés à bord, l'un de Fouras(17) l'autre de Pauillac(33).
  • .Modèle:Date- : le sous-marin français Lutin coule dans la lagune de Bizerte, faisant 16 morts<ref name=":3">Modèle:Lien web</ref>.
  • 24 novembre 1906 :Naufrage de la Volga dans l'estuaire de la Gironde
  • Modèle:Date- : la barque Dundonald, allant de Sidney à Falmouth, fit naufrage sur l'ile Disappointment, du groupe des Auckland. Douze hommes dont le capitaine se noyèrent mais treize hommes de l'équipage ont survécu neuf mois sur un îlot. Pendant six mois, ils n'eurent que des pétrels pour toute nourriture. Ils réussirent à gagner un autre îlot, où se trouvait un dépôt de vivres, et c'est là qu'ils ont été recueillis en décembre 1907<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : devant la Grande Plage de Biarritz, vers une heure, le navire norvégien Padosa, venant de Bilbao, avec onze hommes d'équipage, qui errait depuis 3 jours dans la tempête, désemparé, sans gouvernail, s'est brisé sur les rochers. 8 hommes furent rejetés par les vagues, mais l'un d'entre eux mourut peu après. Sir Henry Campbell-Bannerman, premier ministre britannique, se reposait à Biarritz et a assisté au sauvetage de son balcon de l'Hôtel Continental<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Modèle:Date- : naufrage de l’Eduard Bohlen à Conception Bay en Namibie lors d'un voyage vers Le Cap.
  • Modèle:Date- : le sous-marin le Pluviôse est coulé par le paquebot Pas-de-Calais de la compagnie du Nord, quittant Calais vers la côte anglaise. A deux milles des jetées, la vigie signala une épave, le capitaine commanda de mettre machine arrière, mais lancé à pleine vitesse, la manœuvre échoua et un choc se produisit, avec ce qui était en fait le Pluviôse qui faisait surface<ref>Modèle:Lien web</ref>. Tout l'équipage périt (27 hommes dont 3 officiers).
  • Modèle:Date- : naufrage de la chaloupe-canonnière La Grandière<ref>Chaloupe canonnière La Grandière : 1893-1910</ref> dans les rapides du Mékong au Laos : 4 morts dont le général Léon de Beylié.
  • Modèle:Date- : naufrage du SS Yongala, au sud de Townsville, Australie. 122 morts, aucun survivant.
  • Modèle:Date- : explosion et naufrage du cuirassé Liberté dans la rade de Toulon. A l'aube le cuirassé est victime d'un commencement d’incendie. Les secours s’organisèrent, mais l’incendie gagna les soutes. 5 h.41 première explosion, suivie d'une seconde et d’une troisième. Dès la première explosion, une centaine d’hommes qui se trouvaient sur le pont se jettent à l’eau, les autres, réveillés par l'explosion essayèrent de suivre leurs camarades, mais ils furent aussitôt mobilisés pour le service. A 5 h. 48 une formidable explosion est entendue dans toute la ville et les faubourgs (à plus de 10 km à la ronde). Le Liberté coule à pic en 40 minutes par 15 mètres de fond. Sur un équipage de 717 hommes, il y avait 140 permissionnaires et 274 hommes ont répondu à l'appel du matin. Il y a donc environ 300 victimes (peut être un peu moins suivant les sources). En dehors de l'équipage il y eut également d’autres morts et blessés à bord des cuirassés mouillés à proximité, notamment la Justice, la Démocratie, la République et la Vérité. Tous les navires du voisinage envoyèrent des embarcations pour combattre l’incendie mais elles furent atteintes par l’explosion et presque tous leurs matelots furent tués ou blessés<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Fichier:Titanic the sinking.jpg
Illustration du naufrage du Titanic.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:121029-G-ZZ999-002 - Coast Guard rescues crewmembers aboard HMS.jpg
Naufrage de la réplique du trois-mâts Modèle:HMS, le 29 octobre 2012.

Naufrages évités ou maîtrisés

  • Le 7 février 1939, au cours d'un entrainement au large de Penmach, le croiseur Georges-Leygues éperonne le contre-torpilleur Bison qui est littéralement coupé en deux. La partie avant coule rapidement tandis que le reste du bâtiment se maintient à flot et est remorquée jusqu'à Lorient. L'accident fait 18 morts et disparus<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
  • le 15 août 1971, le dragueur de mines français Sirius talonne le fond au large du cap Lévy. Jugé irréparable, le Sirius est condamné. il n'y aura aucun blessé.
  • Le 12 janvier 1978, le Duperré talonna dans le raz de Sein à Modèle:Heure. Toute la ligne d'arbre bâbord, de l'hélice jusqu'aux turbines, fut détruite et une brèche, longue de 35 mètres, provoqua une voie d'eau considérable, inondant tous les compartiments machine et privant l'escorteur de propulsion. Après une évacuation de la majeure partie de l'équipage par le canot de sauvetage de l'île de Sein, le bâtiment put être remorqué jusqu'à Brest le lendemain. Il entra au bassin le 13 janvier à Modèle:Heure. L'étendue des dégâts fit hésiter à sa remise en état. Il ne sera finalement réparé que le 30 novembre 1979, avec du matériel provenant de l'EE La Bourdonnais qui venait d'être désarmé.
  • Le 28 février 1987, le dragueur de mines français Capella est abordé devant Zeebruges par un cargo guatémaltèque. Coupé en deux, l'arrière coule mais l'avant est remorqué jusqu'à Cherbourg. Miraculeusement il n'y aura aucun blessé.
  • En janvier et Modèle:Date-, le Modern Express est remorqué vers Bilbao avec une forte gîte.

Naufrages en temps de guerre

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • Modèle:Date- : le navire de guerre Mary Rose, vaisseau amiral de la flotte anglaise, coule dans la rade de Portsmouth sous les yeux du roi Henri VIII lors d'un combat avec les Français. On attribue son naufrage à un coup de vent brusque ou à un virement de bord brutal, qui auraient fait tanguer et déséquilibré le navire. Surchargé d'hommes en armures et de canons retenus sur le pont et dans la cale par des filets de protection, il se serait alors renversé. Le navire a été retrouvé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle échoué sur le flanc et partiellement enfoncé dans le fond marin. Une théorie plus récente évoque la possibilité d'une brèche dans la coque sous la ligne de flottaison à la suite du tir d'un navire français.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Guerres napoléoniennes

Modèle:Date- : au lendemain de la bataille de Trafalgar, le Bucentaure sombre. Navire amiral français lourdement endommagé, pris en remorque après la bataille (21 octobre 1805) par le Modèle:HMS, remorque qui se rompt pendant la nuit. Les officiers français à son bord reprennent le navire, mais au petit matin, il s'échoue dans la houle et commence à sombrer. 450 rescapés trouvent refuge sur L'Indomptable venu au secours. Mais dans la soirée du 23 octobre, la tempête le drosse à la côte. Seuls 150 hommes sur les plus de 1 200 hommes auront la vie sauve.

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Première Guerre mondiale

Fichier:Torpillage du Lusitania vu par l'hebdomadaire Le Miroir.jpg
Le torpillage du paquebot Lusitania en 1915 par un sous-marin allemand.

Seconde Guerre mondiale

XXIè siècle

  • Modèle:Date- : le croiseur amiral russe Moskva coule. Selon les autorités russes, il s’agit d’un accident : un incendie aurait fait exploser les réserves de munitions ; 510 hommes d’équipages ont étés évacués du bateau, 1 homme est mort et 27 sont portés disparus. Selon les Ukrainiens, le croiseur aurait été coulé par un tir de 2 missiles de croisière R-360 Neptune.

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage Publiés en 1852, lors de l’exil bruxellois d’Alexandre Dumas, Les Drames de la mer sont un recueil de nouvelles inspirées d’histoires maritimes véritables, toutes plus saisissantes les unes que les autres.
  • Fortunes de mer sur les bancs de Flandres de Jean-Luc Porhel ; peut être lu aux Archives municipales de Dunkerque ; contient le récit de tous les naufrages documentés survenus au large de cette ville
  • Patrick Macquaire. Le naufrage du Saint-Philibert et ses conséquences sur l'abandon de l'île d'hoëdic par les pêcheurs et leurs familles : Le cercle des homards. Hoëdic, une île entre rumeur et naufrage. Ethnographie d'une catastrophe maritime. Prix essai 2013, Salon du livre insulaire d'Ouessant. Éditions Petra, Paris 2013. 226 p. Modèle:ISBN.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Moskva (croiseur)

Articles connexes

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Liens externes

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