Liste des saints bretons

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Modèle:Voir homonymes

Fichier:Procession des saints de Bretagne - diocèse de Rennes, cathédrale saint Pierre, Rennes, France.jpg
La première des huit fresques de la Procession des saints de Bretagne ornant le déambulatoire de la Cathédrale Saint-Pierre de Rennes.
Fichier:Page de garde du livre la vie des bienheureux et des saints de Bretagne, pour tous les jours de l'année.png
Page de garde du livre la vie des bienheureux et des saints de Bretagne, pour tous les jours de l'année de Malo-Joseph de Garaby.

Les saints bretons désignent des personnalités bretonnes vénérées pour le caractère exemplaire de leur vie d'un point de vue chrétien. Peu d'entre elles ont été reconnues saintes par la procédure de canonisation de l'Église catholique (mise en place plusieurs siècles après leur mort), mais ont été désignées par le peuple, leur existence même n'étant pas toujours historiquement attestée. Sauf de rares exceptions, telle la Vita prima sancti Samsonis, généralement attribuée au VIIe ou VIIIe siècle, la plupart des vitae de saints bretons qui nous sont parvenues datent des {{#switch: X

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}} ou ont été réécrites dans le contexte de la réforme grégorienne qui induit parfois les clercs à remodeler les documents hagiographiques, issus de traditions orales transmises aussi bien dans le vieux fond populaire que dans le milieu savant, dans leur intérêt (légitimation de la figure épiscopale, du bien-fondé d'une réforme d'une communauté monastique)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le développement du culte de ces saints se développe au Moyen Âge tardif lorsque plusieurs familles de l'aristocratie bretonne s'approprient les légendes hagiographiques en justifiant par des arguments généalogiques, de la protection particulière d'un saint ou de son adoption comme ancêtre de substitution dans leurs lignages<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette production hagiographique s'interrompt brusquement avec le cartésianisme et la diffusion massive des textes grâce à l'imprimerie qui fige ces textes. Elle est mise à contribution pour écrire l'histoire des origines bretonnes (Albert Le Grand au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Modèle:Citation selon Joël Cornette<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Dom Lobineau au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) et opportunément réutilisée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui voit le véritable lancement des saints traditionnels bretons en lien avec l'essor du mouvement régionaliste breton. Prêtres et historiens laïcs (Dom Plaine, Arthur de La Borderie) se déchirent entre l'exaltation du celtisme et celle du christianisme mais ils confortent l'apologétique et l'essor de la foi en Bretagne en réécrivant l'histoire des origines bretonnes. Ils y intègrent les traditions hagiographiques spécifiquement bretonnes et les rattachent parfois à l'ultramontanisme triomphant<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Au tournant des 19e et 20e siècle François Duine sera de ceux qui orienteront fortement l'hagiologie dans une approche scientifique. Après la Seconde Guerre mondiale, la linguistique joue un rôle important dans l'historiographie concernant la période des migrations des clercs (ou « saints ») et des chefs militaires à partir de la Bretagne insulaire, avec les travaux de Léon Fleuriot ou de François Falc'hun. Les historiens contemporains éprouvent encore beaucoup de difficultés pour distinguer entre imaginaire et réalité. L'historicité des épisodes de la vie de ces saints reste ainsi souvent douteuse car ces épisodes se retrouvent dans l'hagiographie tels qu'ils apparaissent dans les coutumes ou dans le folklore. La structure même du récit des vitae se rencontre dans d'autres Vies de saints<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> dont les auteurs reprennent généralement des Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les historiens de la seconde partie de Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (André Chédeville, Hubert Guillotel, les chercheurs du CRBC tels que Bernard Tanguy ou Jean-Christophe Cassard, ou ceux du CIRDoMoC tels que Job an Irien ou Bernard Merdrignac) réétudient les textes hagiographiques dans lesquels ils voient une source de renseignements précieux sur l'histoire des mentalités et constituent Modèle:Citation.

La Bretagne vénère plus de Modèle:Nombre bretons mais seulement 700 sont répertoriés car tous ne sont pas Modèle:Citation, c'est-à-dire reconnus officiellement par l'Église catholique romaine<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Il est vain d'arguer que la plupart n'ont pas été reconnus par Rome puisque leur culte était implanté bien avant que la papauté ne se réserve les canonisations (1234) ». Cf Pierre-Roland Giot, L. Fleuriot, G. Bernier, B. Merdrignac et P. Guignon, "Les premiers bretons. La Bretagne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'an 1000", éditions Jos, 1988, Modèle:ISBN.</ref>. Mais la légende affirme qu'il y a Modèle:Nobr saints ou un nombre approchant) en Bretagne ; le chanoine Peyron a dressé une liste qui contient Modèle:Nobr noms et il a négligé certains saints indiqués dans le missel de Saint-Vougay<ref>Modèle:Lien web.</ref> et dont on ne connaît que le nom (par exemple Brangualabre, Budmaille, Icaguale, etc..)<ref name="r1">Paul-Yves Sébillot, "La Bretagne et ses traditions", éditions Maisonneuve et Larose, Modèle:2e, 1997, Modèle:ISBN.</ref>.

Ces saints bretons ont fondé de nombreuses villes et de nombreux monastères : saint Brieuc fonde en 485 la ville qui porte son nom ; Renan ou Ronan, moine irlandais, s'établit dans le Léon (Saint-Renan) , puis en Cornouaille (Locronan) ; Corentin, vers l'an 500, devient évêque de Quimper, dont la fondation serait due au roi Gradlon , venu lui aussi des Îles britanniques et qui aurait donné à son royaume le nom de Cornouaille en souvenir de sa région natale, la Cornouaille anglaise ; l'irlandais Efflamm et sa femme, Enora, abordent en pays de Léon, de même que, plus tard, le moine cambren Pol Aurélien , fondateur de l'évêché de Léon ; Lunaire, Briac, Suliac, défrichent la vallée de la Rance ; Maclou (Malo) relève la cité gallo-romaine d'Aleth, y fondant un évêché ; les évêchés de Dol, de Rennes, de Vannes, de Tréguier, revendiquent comme fondateurs saint Samson, saint Melaine, saint Patern et saint Tugdual, tous d'Outre-Manche. Pontivy est dû à saint Gonnery, Landerneau à saint Houardon, Châteaulin à saint Idunet, Ploërmel à saint Armel. Méen défriche dans la forêt de Brocéliande. Saint Tugen est abbé de l'abbaye de Daoulas et saint Gildas de celle de Rhuys. On pourrait en citer beaucoup d'autres... Leurs noms, précédés des préfixes plou, lan, tre ou loc désignent les localités qu'ils fondèrent ou qui en gardent le souvenir<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 2022, environ 170 saints bretons sont représentés, chacun par une statue, dans la Vallée des Saints<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Saints fondateurs, historiques ou traditionnels avant l'an 1000

L'origine historique des saints fondateurs

Leur origine est semi-légendaire : Modèle:Citation bloc

Les sept saints fondateurs

Fichier:479 Saints fondateurs 1514.jpg
Les sept saints fondateurs bretons (gravure sur bois de 1514)
Fichier:Saint-Pol 22 ND Kreisker Les sept saints du Tro Breiz.JPG
Saint-Pol-de-Léon : chapelle Notre-Dame du Kreisker, les sept saints du Tro Breizh

Les sept saints fondateurs sont traditionnellement réputés, selon une construction littéraire et hagiographique tardive forgée à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avoir fondé les sept évêchés qui existaient au Haut Moyen Âge. Cette tradition leur fait jouer un rôle éminent au moment de l'émigration d'une partie des Bretons d'outre-Manche, laquelle justifiera la nouvelle appellation, Britannia minor, appliquée à l'Ouest de l'Armorique gallo-romaine.

Du fait de leur antériorité à toute procédure canonique, ces saints n'ont pas fait l'objet d'une reconnaissance officielle par l'Église catholique. Le Tro Breizh, qui en breton signifie « tour de Bretagne », est un pèlerinage catholique qui relie les villes des sept saints fondateurs de la Bretagne.

Saints par la Vox Populi

Les autres saints bretons (saints par la vox populi c'est-à-dire élus saints par « la voix du peuple »), non reconnus comme tels par l'Église au sens canonique du terme. La tradition veut que le cimetière de Lanrivoaré abrite Modèle:Nombre ("sept mille sept cent sept et sept vingt"). La plupart de ces saints seraient tombés dans l'oubli si la persistance du culte des fontaines n'avait lié leur souvenir à la vertu bienfaisante des eaux ou si la tradition n'en avait fait des thaumaturges ou des guérisseurs ; des récits légendaires ont aussi contribué à en perpétuer le souvenir. Certaines maladies prirent même le nom de leur saint guérisseur : la goutte s'appelle en breton "drouk sant Ourlou" ("mal saint Ourlou"), l'hydrophobie (la rage) "drouk Sant Weltas" ("mal de saint Gildas"), les écrouelles "drouk sant Cadou" ("mal de saint Cadou"), la suette "drouk sant Just", les croûtes de la face "mal saint Georges", etc.. Saint Gonéry guérit la fièvre, saint Avertin les maux de tête, saint Brandan les plaies et les ulcères, Notre-Dame de Kerdévot la grippe, etc.<ref name="r1" />.

Les saints bretons sont supportés par l'église catholique, mais non reconnus officiellement par les autorités ecclésiastiques ; le pape Grégoire le Grand recommandait au clergé : « Détruisez seulement les idoles, rempacez- les par des reliques. Les prêtres firent graver des croix sur les menhirs, placèrent des statues dans les vieux chênes, mirent les fontaines sous l'invocation d'un saint ou d'une sainte, transformèrent la fête du solstice d'été en fête de la Saint-Jean et la fête du solstice d'hiver en fête de Noël, etc. lorsqu'elle l'a pu, l'église catholique a opéré des substitutions, jouant souvent sur l'homonymie : ainsi à Tréduder Tuder l'obscur a été transformé en Théodore, un martyr romain, et à Audierne saint Rumon a été remplacé par saint Raymond<ref>Andrew Paul Sandford et Yves Pascal Castel, "Patrimoine sacré en Bretagne", éditions Coop Breizh, 2012, Modèle:ISBN.</ref>.

On peut estimer que les seuls saints « nationaux », c’est-à-dire ceux dont le culte était célébré dans la Bretagne entière, sont au nombre d’une quinzaine : les sept saints fondateurs et saint Gildas, saint Guénolé, saint Yves, saint Turiau (écrit aussi saint Thuriau ou saint Thurien), saint Guillaume, saint Armel, saint Magloire, saint Melaine ; soit deux novi sancti (saints qui ont fait l’objet d’une canonisation officielle), trois abbés et sept évêques dont trois pour le seul siège de Dol. Sans entrer à nouveau dans le débat, sinon même la polémique relative au fameux Tro Breizh et au culte médiéval des sept saints fondateurs de Bretagne, ajoutons d’emblée à cette courte liste saint Brieuc et saint Tugdual, dont les cultes probablement l’un et l’autre d’origine cornouaillaise, furent acclimatés dans le nord de la Bretagne, comme l’a montré Bernard Tanguy, et peut-être seulement à l’époque tardive de l’érection de l'évêché de Tréguier, qui deviendra plus tard l'évêché de Saint-Brieuc et Tréguier ; mentionnons également saint Patern et même saint Clair, dont la renommée avait effectivement atteint le diocèse de Tréguier au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Et enfin, saint Méen et saint Maudez. Au total, sur un total de plusieurs centaines de noms, il y a une vingtaine de saints bretons véritablement connus au-delà de leurs terroirs<ref name="a">André-Yves Bourges, Hagio-historiographie médiévale, intervention faite au colloque annuel du CIRDoMoC en Modèle:Date-, consultable http://andreyvesbourges.blogspot.com/2007/07/en-tournant-les-pages-du-brviaire.html</ref>.

Évêques bretons

Modèle:Article détaillé

Autres saints bretons

Modèle:Article détaillé Sainte Anne est officiellement la patronne de la Bretagne ; Sainte-Anne-d'Auray est le plus important pèlerinage de Bretagne.

De nombreux saints bretons ont un culte à l’échelon local seulement sans diffusion ou presque hors de leur diocèse d’origine, même si ce culte est profondément enraciné, et dont les noms sont confinés au calendrier de leur Église : citons, à Quimper, deux supposés évêques du lieu, saint Alor, dont le nom est peut-être une cacographie pour Florus, et saint Alain, dont la vita, conservée notamment dans le recueil connu sous le nom d’Obituaire de Saint-Méen, constitue un démarquage impudent de celle de saint Amand ; à Tréguier, saint Efflam, saint Briac ; à Saint-Malo, saint Enogat, saint Aaron et saint Ideuc, etc<ref name="a"/>.

Saints, bienheureux, et personnalités religieuses après l'an 1000

Saints

Les sept saints bretons reconnus saints par l'Église au sens canonique du terme :

On peut rajouter à cette liste Vincent Ferrier, dominicain espagnol, prédicateur en Bretagne et dont les reliques reposent dans la cathédrale de Vannes (canonisé le Modèle:Date par le pape Modèle:Souverain2) ainsi que Gohard (évêque de Nantes né à Angers) canonisé par le Vatican en 1095 avant le décret de Rome.

Bienheureux

Liste non exhaustive des bienheureux :

Parmi les autres bienheureux bretons :

On peut ajouter à cette liste, pour leur action en Bretagne ou leur origine bretonne :

Autres personnalités importantes ou vénérées en Bretagne

Religieux non béatifiés :

Dominicains bretons célèbres de l'ordre des Frères Prêcheurs :

Autres personnes considérées comme saintes par la ferveur populaire :

Saints appropriés en Bretagne

Ces saints peuvent avoir une existence propre par ailleurs, ils sont ici listés pour le culte particulier ou le nom particulier qu'ils ont en Bretagne.

  • Sainte Anne (Santez Anna), assimilée par les Bretons à sainte Anne, la mère de la Vierge Marie et vénérée à Sainte-Anne-la-Palud comme à Sainte-Anne-d'Auray. Grand-mère de Jésus, elle est également considérée comme la « grand-mère des Bretons » (Mamm gozh ar Vretoned).

Modèle:Article détaillé

Saints guérisseurs

La liste exhaustive serait trop longue. À titre d'exemples, selon Pitre-Chevalier<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> :

  • saint Jean du Doigt guérit des maux d'yeux ;
  • saint Laurent les rhumatismes ;
  • saint Herbot fait lever le beurre ;
  • saint Honoré donne du lait aux jeunes mères ;
  • saint Colomban guérit les fous ;
  • saint Christophe guérit les enfants ;
  • saint Philibert, à Moëlan-sur-Mer, guérit les chagrins d'amour ;
  • saint Roc'h guérit la fièvre ;
  • saint Michel guérit la rage ;
  • saint Cornély guérit les bestiaux ;
  • saint Guénolé guérit les femmes stériles ;
  • etc..

Notes et références

Modèle:Références

Bibliographie

  • Michel Priziac, Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, 2002
  • Jacques Baudouin, Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident, Art, 2006
  • Bernard Tanguy, Les Noms de lieux bretons. Toponymie descriptive. Rennes, 1975
  • Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère, Douarnenez, 1990
  • Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor, Douarnenez, 1992
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Albert Le Grand, Les Vies des saints de la Bretagne Armorique, éd Pierre Doriou, Nantes, 1637. Rééditions Guy Autret-Ferré, Rennes, 1659 ; J. Salaün, Quimper, 1901
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} M. de Garaby, Vie des bienheureux et des saints de Bretagne, éd. J.-M. Williamson, Nantes, 1839. Réédition 1991.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Florian Le Roy, Bretagne des Saints, éd. André Bonne, 1959
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Louis Pape, Les Saints bretons, coll. Ouest France, 1981
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Bernard Merdrignac, Les Vies de saints bretons durant le haut Moyen Âge, éd. Ouest-France Université, Rennes, 1993.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} René Largillière, Les Saints et l'organisation bretonne primitive dans l'Armorique bretonne, éd. Armeline, Crozon, 1995. Modèle:ISBN. Nouvelle présentation d'une thèse parue en 1925. La version originale est {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k914005%7C{{ #if: bpt6k914005 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le Livre d'or des saints de Bretagne, éd. Coop Breizh, Spézet, 1995. Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Chanoine Morvan, Buez ar Zent (la Vie des Saints), édition révisée par le recteur Nicolas, Quimper, 1894
  • Les Noms des saints bretons, Joseph Loth, Paris, Honoré Champion, 1910.
  • Memento des sources hagiographiques de l'histoire de Bretagne, François Duine, Rennes, Bahon-Rault, 1918.
  • Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, François Duine, Paris, Honoré Champion, 1922.
  • Catalogue des sources hagiographiques pour l'histoire de Bretagne jusqu'à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, François Duine, Paris : Honoré Champion, 1922.
  • Les Saints et l'organisation chrétienne primitive dans l'Armorique bretonne, René Largillière, Rennes, Plihon, 1925.
  • Le Livre d'or des saints de Bretagne Joseph Chardronnet, Armor éditeur, 1977, réédition Coop Breizh, 1995.
  • La Bretagne des saints et des rois, Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, André Chédeville & Hubert Guillotel, éditions Ouest-France, 1984.
  • Vies de saints bretons et règles monastiques, Mélanie Hamon, Hor Yezh, coll. " Hagiographie bretonne - Sent Kozh Hor Bro "Rennes, 1998. St Herlé
  • Modèle:Ouvrage.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette

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